plus camelote que Kaamelott ?Pale a écrit : ↑mer. 22 oct. 2025 17:28Depuis hier il y a eu une mise à jour et c'est moins positif :ClintReborn a écrit : ↑mer. 22 oct. 2025 17:24 Je verrais la saga ciné quand tous les films seront sortis. Bon vu les notations allociné les critiques n'ont pas été trop dures dans la presse c'est globalement positif sur du 4 et 3 étoiles![]()
J'avoue que les retours m'ont un peu refroidi. Je vais probablement faire l'impasse, du moins au cinéma.
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- ClintReborn
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En effet j'avais cliqué sur la page du 1er film au lieu du secondPale a écrit : ↑mer. 22 oct. 2025 17:28Depuis hier il y a eu une mise à jour et c'est moins positif :ClintReborn a écrit : ↑mer. 22 oct. 2025 17:24 Je verrais la saga ciné quand tous les films seront sortis. Bon vu les notations allociné les critiques n'ont pas été trop dures dans la presse c'est globalement positif sur du 4 et 3 étoiles![]()
J'avoue que les retours m'ont un peu refroidi. Je vais probablement faire l'impasse, du moins au cinéma.
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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Après l'absence d'un personnage principal a cause d'un différent artistique sur son évolution scénaristique n'a pas vraiment arranger les choses ... Astier avait tenter d'arrondir les angles en restant vague sur le sujet mais bon 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Il sembleraitKit a écrit : ↑mer. 22 oct. 2025 18:27plus camelote que Kaamelott ?Pale a écrit : ↑mer. 22 oct. 2025 17:28Depuis hier il y a eu une mise à jour et c'est moins positif :ClintReborn a écrit : ↑mer. 22 oct. 2025 17:24 Je verrais la saga ciné quand tous les films seront sortis. Bon vu les notations allociné les critiques n'ont pas été trop dures dans la presse c'est globalement positif sur du 4 et 3 étoiles![]()
J'avoue que les retours m'ont un peu refroidi. Je vais probablement faire l'impasse, du moins au cinéma.![]()
bon anniversaire à
Philip Kaufman 89 ans réal (L'Invasion des profanateurs, L'Étoffe des héros, L'Insoutenable Légèreté de l'être)
Hugh Fraser 80 ans (série Hercule Poirot)
Ang Lee 71 ans réal (Garçon d'honneur, Salé sucré, raison et sentiments, Ice Storm, Tigre et Dragon, Hulk, Le Secret de Brokeback Mountain, L'Odyssée de Pi)
Sam Raimi 66 ans réal (Evil Dead (trilogie), Darkman, Mort ou vif, Spider-Man (trilogie), Doctor Strange in the Multiverse of Madness, séries Hercule, Xena)
Jon Huertas 49 ans (série Castle)
Ryan Reynolds 49 ans (Green Lantern, RIPD : Brigade fantôme, Deadpool)
Emilia Clarke 39 ans (Terminator Genisys, Solo: A Star Wars Story, Last Christmas, série Game of Thrones)
Jessica Stroup 39 ans (La colline a des yeux 2, Le Bal de l'horreur, séries 90210 Beverly Hills : Nouvelle Génération, Following, Iron Fist)
Amandla Stenberg 27 ans (Hunger Games, Colombiana, Everything, Everything, Darkest Minds : Rébellion, The Hate U Give)
Mina Sundwall 24 ans (série Perdus dans l'espace)
Philip Kaufman 89 ans réal (L'Invasion des profanateurs, L'Étoffe des héros, L'Insoutenable Légèreté de l'être)
Hugh Fraser 80 ans (série Hercule Poirot)
Ang Lee 71 ans réal (Garçon d'honneur, Salé sucré, raison et sentiments, Ice Storm, Tigre et Dragon, Hulk, Le Secret de Brokeback Mountain, L'Odyssée de Pi)
Sam Raimi 66 ans réal (Evil Dead (trilogie), Darkman, Mort ou vif, Spider-Man (trilogie), Doctor Strange in the Multiverse of Madness, séries Hercule, Xena)
Jon Huertas 49 ans (série Castle)
Ryan Reynolds 49 ans (Green Lantern, RIPD : Brigade fantôme, Deadpool)
Emilia Clarke 39 ans (Terminator Genisys, Solo: A Star Wars Story, Last Christmas, série Game of Thrones)
Jessica Stroup 39 ans (La colline a des yeux 2, Le Bal de l'horreur, séries 90210 Beverly Hills : Nouvelle Génération, Following, Iron Fist)
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Je reste pour le moment convaincu que kaamelott aurait du se poursuivre en format téléfilms a la suite logique de la saison 6
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Ça : Bienvenue à Derry – premiers avis sur la série d’horreur HBO Max, sur les origines du clown

La série Ça : Bienvenue à Derry arrive sur HBO Max le 27 octobre, pour raconter les origines du clown infernal. Voilà les premiers avis sur ce prequel.
La série Ça : Bienvenue à Derry représente au fond un petit fantasme pour les fans de Stephen King. Déjà parce qu’elle adapte pour la première fois certaines parties du livre mémorable publié en 1986, où l’écrivain dévoilait quelques chapitres douloureux de l’histoire de Derry, dans le passé, pour expliquer en partie les origines de ce foutu clown. Mais aussi parce qu’elle ramène un personnage bien connu de son monde : Dick Hallorann, le monsieur apparu dans Shining (et Doctor Sleep) où il partageait les dons extraordinaires du môme. Il était mentionné dans le livre Ça, et le voilà au premier plan de la série, incarné par Chris Chalk.
La saison 1 de Ça : Bienvenue à Derry va fouiller dans les archives et les entrailles de Derry et commencera par les années 60, autour d’une bande d’enfants et d’une base militaire secrète. Réalisateur des deux récents films, Ça et Ça : Chapitre 2, Andy Muschietti est de retour pour assurer la continuité avec sa sœur productrice Barbara Muschietti.
La presse a pu découvrir les cinq premiers épisodes sur les huit de cette saison, et voilà les premiers avis (spoilers : on a vu les premiers épisodes, donc on sait que c’est bien).
« Un conte terrifiant et magistralement tissé sur les origines du monstrueux clown Pennywise. […] La profondeur émotionnelle du casting et la représentation de la peur et de la panique magnifient vraiment Ça : Bienvenue à Derry. La Lily de Clara Stack sort particulièrement du lot. […] Ça : Bienvenue à Derry ne détaille pas seulement l’émergence de Pennywise, mais porte son regard sur la société pour démontrer à quel point les êtres humains peuvent être horribles. » Variety
« Ça : Bienvenue à Derry n’est jamais aussi effrayant et efficace que lorsqu’elle suit les enfants de Derry qui commencent à rencontrer Pennywise. Les films de Muschietti avaient réussi à montrer l’étrangeté rampante et la terreur qui s’installent à mesure que les enfants se rapprochent de Ça, et Muschietti mobilise cette sensibilité irréelle dans l’extraordinaire séquence d’intro. » IGN
« Une vision intelligente mais inégale du classique de Stephen King […] Ça : Bienvenue à Derry n’est jamais aussi bien que lorsqu’elle est très sombre, ce qui est particulièrement prononcé quand la série se concentre sur le casting adulte. » Slant Magazine
« Ça : Bienvenue à Derry devrait satisfaire les fans hardcore de Stephen King qui mouraient d’envie de voir un univers étendu, avec des références au gang de Bower et un focus sur les origines indigènes de l’entité. En tant que série d’horreur, malheureusement, ça fait pâle figure comparé à ce que Muschietti avait été capable de faire avec ses films. » Collider
« Le prequel gore de Pennywise ressemble à une copie de Stranger Things, avec des tactiques de frayeur plus tordues mais moins significatives, et des enfants plus agaçants. […] L’équipe des Muschietti a certainement installé des intrigues potentiellement intrigantes dans ces cinq premiers chapitres, donc qui sait où tout ça pourrait aller. » The Wrap
« Vous profiterez mieux de Derry si vous avez vu les films et lu le livre. C’était un régal de remarquer les clins d’œil qui ont été inclus.[…] Mais ce qui évite à Derry d’être du simple réchauffé, c’est l’introduction d’une intrigue secondaire qui s’éloigne des jeunes protagonistes. À la place, Ça développe le lore et le contexte de ce qui se passe à Derry, à travers les adultes. » Seattle Times
La première saison de la série Ça : Bienvenue à Derry est composée de huit épisodes, en partie réalisés par Andy Muschietti, qui a déjà en tête un plan sur plusieurs années (si le succès est au rendez-vous) : 1962 pour la saison 1, 1935 pour la saison 2 et 1908 pour la saison 3, histoire d’adapter plusieurs épisodes terribles de l’histoire de Derry évoqués dans le livre.
La série débarque en France sur HBO Max le 27 octobre, avec un épisode par semaine. Et on reparle très vite sur Ecran Large parce qu’on a trouvé ça tout à fait satisfaisant, avec une grosse vibe Freddy dans les meilleurs moments d’horreur grand-guignol.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... CsQxq41iJg

La série Ça : Bienvenue à Derry arrive sur HBO Max le 27 octobre, pour raconter les origines du clown infernal. Voilà les premiers avis sur ce prequel.
La série Ça : Bienvenue à Derry représente au fond un petit fantasme pour les fans de Stephen King. Déjà parce qu’elle adapte pour la première fois certaines parties du livre mémorable publié en 1986, où l’écrivain dévoilait quelques chapitres douloureux de l’histoire de Derry, dans le passé, pour expliquer en partie les origines de ce foutu clown. Mais aussi parce qu’elle ramène un personnage bien connu de son monde : Dick Hallorann, le monsieur apparu dans Shining (et Doctor Sleep) où il partageait les dons extraordinaires du môme. Il était mentionné dans le livre Ça, et le voilà au premier plan de la série, incarné par Chris Chalk.
La saison 1 de Ça : Bienvenue à Derry va fouiller dans les archives et les entrailles de Derry et commencera par les années 60, autour d’une bande d’enfants et d’une base militaire secrète. Réalisateur des deux récents films, Ça et Ça : Chapitre 2, Andy Muschietti est de retour pour assurer la continuité avec sa sœur productrice Barbara Muschietti.
La presse a pu découvrir les cinq premiers épisodes sur les huit de cette saison, et voilà les premiers avis (spoilers : on a vu les premiers épisodes, donc on sait que c’est bien).
« Un conte terrifiant et magistralement tissé sur les origines du monstrueux clown Pennywise. […] La profondeur émotionnelle du casting et la représentation de la peur et de la panique magnifient vraiment Ça : Bienvenue à Derry. La Lily de Clara Stack sort particulièrement du lot. […] Ça : Bienvenue à Derry ne détaille pas seulement l’émergence de Pennywise, mais porte son regard sur la société pour démontrer à quel point les êtres humains peuvent être horribles. » Variety
« Ça : Bienvenue à Derry n’est jamais aussi effrayant et efficace que lorsqu’elle suit les enfants de Derry qui commencent à rencontrer Pennywise. Les films de Muschietti avaient réussi à montrer l’étrangeté rampante et la terreur qui s’installent à mesure que les enfants se rapprochent de Ça, et Muschietti mobilise cette sensibilité irréelle dans l’extraordinaire séquence d’intro. » IGN
« Une vision intelligente mais inégale du classique de Stephen King […] Ça : Bienvenue à Derry n’est jamais aussi bien que lorsqu’elle est très sombre, ce qui est particulièrement prononcé quand la série se concentre sur le casting adulte. » Slant Magazine
« Ça : Bienvenue à Derry devrait satisfaire les fans hardcore de Stephen King qui mouraient d’envie de voir un univers étendu, avec des références au gang de Bower et un focus sur les origines indigènes de l’entité. En tant que série d’horreur, malheureusement, ça fait pâle figure comparé à ce que Muschietti avait été capable de faire avec ses films. » Collider
« Le prequel gore de Pennywise ressemble à une copie de Stranger Things, avec des tactiques de frayeur plus tordues mais moins significatives, et des enfants plus agaçants. […] L’équipe des Muschietti a certainement installé des intrigues potentiellement intrigantes dans ces cinq premiers chapitres, donc qui sait où tout ça pourrait aller. » The Wrap
« Vous profiterez mieux de Derry si vous avez vu les films et lu le livre. C’était un régal de remarquer les clins d’œil qui ont été inclus.[…] Mais ce qui évite à Derry d’être du simple réchauffé, c’est l’introduction d’une intrigue secondaire qui s’éloigne des jeunes protagonistes. À la place, Ça développe le lore et le contexte de ce qui se passe à Derry, à travers les adultes. » Seattle Times
La première saison de la série Ça : Bienvenue à Derry est composée de huit épisodes, en partie réalisés par Andy Muschietti, qui a déjà en tête un plan sur plusieurs années (si le succès est au rendez-vous) : 1962 pour la saison 1, 1935 pour la saison 2 et 1908 pour la saison 3, histoire d’adapter plusieurs épisodes terribles de l’histoire de Derry évoqués dans le livre.
La série débarque en France sur HBO Max le 27 octobre, avec un épisode par semaine. Et on reparle très vite sur Ecran Large parce qu’on a trouvé ça tout à fait satisfaisant, avec une grosse vibe Freddy dans les meilleurs moments d’horreur grand-guignol.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... CsQxq41iJg
Les Mitchell contre les Machines 2 : une suite en préparation pour le génial film sur Netflix

Quelques mois après le carton de KPop Demon Hunters, Netflix annonce la suite d’un autre de ses films d’animation : l’excellent Les Mitchell contre les Machines.
Si on devait vous conseiller un film d’animation sur Netflix, ce serait sans doute celui-ci. Pourtant, Les Mitchell contre les Machines est avant tout le bébé de Sony Pictures Animation, produit par le fameux duo Phil Lord et Chris Miller, qui bosse également sur la saga Spider-Man au sein du même studio. Autrefois intitulé Connected, il a finalement été vendu à Netflix pour la coquette somme de plus de 100 millions de dollars, selon Variety.
À l’époque, il est devenu le plus gros film d’animation de la plateforme avec 53 millions de visionnages en 28 jours à peine. Mais surtout, il a connu un vrai succès populaire. Un succès justifié, car cette histoire de famille ultra-dysfonctionnelle aux prises avec une armée de robots est effectivement très jouissive. Bonne nouvelle (enfin, on espère) : elle n’est pas encore terminée.
L’information de Variety a été confirmée quelques minutes à peine plus tard par les réseaux sociaux de Netflix : Les Michell contre les Machines 2 a bien été validé chez Sony. Mike Rianda ne rempile pas à la réalisation, mais il est remplacé par Guillermo Martinez, qui avait travaillé sur le premier, et JP Sans, co-réalisateur des Bad Guys 2. Le scénario lui a été confié aux sœurs Wendy Molyneux et Lizzie Molyneux-Logelin (The Great North). Enfin, vous serez ravis d’apprendre que Phil Lord et Chris Miller restent producteurs via leur compagnie Lord Miller.
Bien que le premier avait été simplement acheté par le service de streaming, celui-ci devrait faire l’objet d’une vraie collaboration entre les deux mastodontes du divertissement. Il faut dire que les productions Sony Pictures Animation fonctionnent particulièrement bien sur Netflix. La dernière en date, KPop Demon Hunters a oblitéré le record des Mitchell avec 325 millions de vues en 91 jours, ce qui en fait non pas seulement le plus gros film d’animation de la plateforme, non pas seulement son plus gros film, mais carrément son plus gros titre, toutes catégories confondues.
Bien entendu, une suite est en train de se mettre en place, histoire de continuer à surfer sur la vague virale qui a emmené le film au sommet. Le nouveau réalisateur Guillermo Martinez a d’ailleurs occupé le post de Story Artist sur KPop Demon Hunters. Il a également travaillé sur Spider-Man : Across the Spider-verse, dont la suite ultra-attendue devrait sortir le 25 juin 2027. Parfois, faire de bons films, ça paie.
https://www.ecranlarge.com/films/news/m ... u2G42xBPPQ

Quelques mois après le carton de KPop Demon Hunters, Netflix annonce la suite d’un autre de ses films d’animation : l’excellent Les Mitchell contre les Machines.
Si on devait vous conseiller un film d’animation sur Netflix, ce serait sans doute celui-ci. Pourtant, Les Mitchell contre les Machines est avant tout le bébé de Sony Pictures Animation, produit par le fameux duo Phil Lord et Chris Miller, qui bosse également sur la saga Spider-Man au sein du même studio. Autrefois intitulé Connected, il a finalement été vendu à Netflix pour la coquette somme de plus de 100 millions de dollars, selon Variety.
À l’époque, il est devenu le plus gros film d’animation de la plateforme avec 53 millions de visionnages en 28 jours à peine. Mais surtout, il a connu un vrai succès populaire. Un succès justifié, car cette histoire de famille ultra-dysfonctionnelle aux prises avec une armée de robots est effectivement très jouissive. Bonne nouvelle (enfin, on espère) : elle n’est pas encore terminée.
L’information de Variety a été confirmée quelques minutes à peine plus tard par les réseaux sociaux de Netflix : Les Michell contre les Machines 2 a bien été validé chez Sony. Mike Rianda ne rempile pas à la réalisation, mais il est remplacé par Guillermo Martinez, qui avait travaillé sur le premier, et JP Sans, co-réalisateur des Bad Guys 2. Le scénario lui a été confié aux sœurs Wendy Molyneux et Lizzie Molyneux-Logelin (The Great North). Enfin, vous serez ravis d’apprendre que Phil Lord et Chris Miller restent producteurs via leur compagnie Lord Miller.
Bien que le premier avait été simplement acheté par le service de streaming, celui-ci devrait faire l’objet d’une vraie collaboration entre les deux mastodontes du divertissement. Il faut dire que les productions Sony Pictures Animation fonctionnent particulièrement bien sur Netflix. La dernière en date, KPop Demon Hunters a oblitéré le record des Mitchell avec 325 millions de vues en 91 jours, ce qui en fait non pas seulement le plus gros film d’animation de la plateforme, non pas seulement son plus gros film, mais carrément son plus gros titre, toutes catégories confondues.
Bien entendu, une suite est en train de se mettre en place, histoire de continuer à surfer sur la vague virale qui a emmené le film au sommet. Le nouveau réalisateur Guillermo Martinez a d’ailleurs occupé le post de Story Artist sur KPop Demon Hunters. Il a également travaillé sur Spider-Man : Across the Spider-verse, dont la suite ultra-attendue devrait sortir le 25 juin 2027. Parfois, faire de bons films, ça paie.
https://www.ecranlarge.com/films/news/m ... u2G42xBPPQ
EL a beaucoup aimé A House of Dynamite (4 étoiles) :

Kathryn Bigelow (Point Break, Démineurs, Zero Dark Thirty) nous avait manqués depuis l’injustement boudé Detroit en 2017. La cinéaste américaine n’a néanmoins rien perdu de son énergie et de sa colère. A House of Dynamite (disponible sur Netflix à partir du 24 octobre) a même des allures de synthèse, convoquant autant son sens du suspense ravageur que son regard exhaustif et complexe sur une politique étasunienne perçue comme un colosse aux pieds d’argile. Plus que jamais, sa caméra à l’épaule et ses pluies d’acronymes en quête d’authenticité documentaire se confrontent à un récit allégorique, une mise en garde aux airs de fable terrifiante sur les stratégies de dissuasion nucléaire et leurs limites.
FAMILLES NUCLÉAIRES
18 minutes. 18 minutes qui semblent à la fois durer une éternité, et passer à la vitesse de l’éclair. Ces 18 minutes sont celles qui séparent le lancement de provenance inconnue d’un missile de son impact sur une grande ville américaine. Qui a pu prendre cette décision ? Quel est le mobile ? Et comment y réagir ? Ces 18 minutes paradoxales, suspendues dans le temps, Kathryn Bigelow en fait un cocon, ou plutôt une suite de poupées gigogne qui lui permet de multiplier les points de vue sur ce même événement aux airs de disque rayé.
Bien que cette temporalité heurtée soit au cœur de cette écriture en trois parties, il y a une autre tragédie larvée dans cette répétitivité inaltérable. A House of Dynamite est avant tout un film sur un oubli collectif qui nous revient en plein visage, celui du risque concret des attaques nucléaires, qui s’est désagrégé avec la fin de la guerre froide malgré un arsenal mondial toujours plus développé, au même titre que les protocoles pour empêcher l’anéantissement de l’humanité.
Avec le sens du détail qui est le sien, Bigelow et son scénariste Noah Oppenheim croquent avec une efficacité redoutable des sommes d’individualités, des suites de gestes et des réactions qui s’enclenchent d’un bout à l’autre de la planète, grandement épaulée par la photographie chirurgicale de Barry Ackroyd (déjà présent sur Démineurs, ainsi que dans le cinéma de Paul Greengrass). Derrière l’esthétique tremblée inspirée par le documentaire, captant avec brio l’urgence de la situation, le chef opérateur transcende ici son emploi des longues focales, qui compressent l’espace et isolent les corps au sein de ce chaos ambiant.
L’entrave physique développée par le scénario, où les cellules de crise et les bunkers s’imposent, s’efface petit à petit au profit d’une claustrophobie intérieure, engendrée par l’effet de sidération et d’impuissance de personnages pourtant compétents (pour la plupart), mais incapables de conscientiser l’ampleur de la catastrophe en chemin.
WARGAMES
Le film a d’ailleurs le bon ton de débuter à « l’étage de surveillance » de la salle de crise, gérée par une officière supérieure (Rebecca Ferguson), dont on nous présente les habitudes et la maîtrise liées à ses responsabilités, jusque dans l’échange tardif de ses baskets pour des chaussures à talons qu’on suppose obligatoires. L’esthétique avant le pratique, c’est aussi ce qui déborde de cette chaîne de commande grippée. Les écrans, les graphiques, les statistiques et les communications en général sont autant de barrières qui déréalisent ces circonstances exceptionnelles.
Là encore, on segmente et on surcadre dans des suites de champs-contrechamps qui ne se raccordent pas vraiment, qui communiquent sans vraiment réussir à se comprendre. Pour autant, Kathryn Bigelow ne cherche pas à rejeter naïvement les garde-fous essentiels face à des prises de décision au potentiel cataclysmique. Elle pointe du doigt en revanche des protocoles qui n’ont jamais été vraiment pensés pour servir, ou pour y appréhender la dimension humaine en leur sein.
Il semble d’ailleurs que la réalisatrice souffre – du côté de la presse américaine – d’un procès d’intention par rapport à la peinture soi-disant anachronique d’une administration plutôt réfléchie et mesurée, bien loin du bellicisme à l’emporte-pièce du gouvernement Trump, qu’on n’ose même pas imaginer dans une telle situation. Pourtant, c’est bien là que Bigelow puise la sève de sa démarche : sa reconstitution démente, qui impose au spectateur de suivre le rythme de ses acronymes et de ses nombreux protagonistes, reste conditionnée par sa nature allégorique, osons même dire de fable catastrophiste.
La densité de son montage n’en oublie jamais son sens du suspense ou l’émotion qu’elle s’efforce d’instiguer par petites touches déchirantes (un jouet de dinosaure retrouvé dans une poche). Cela étant dit, elle ne se prive pas d’égratigner les figures qu’elle met en scène, qu’il s’agisse du commandant du STRATCOM (Tracy Letts), bien décidé à engager une riposte coûte que coûte, ou d’un président dépassé, incarné par un Idris Elba dont le charisme ne peut cacher sa nature de pantin showman. Le décalage de sa fonction le rattrape dès lors qu’il est exfiltré d’un match de basket qu’il est venu accompagner, au point de rappeler cette célèbre photo de George W. Bush apprenant les attentats du 11 septembre 2001 pendant la lecture d’une histoire auprès d’enfants.
A House of Dynamite a surtout le mérite, que d’aucuns jugeront frustrant, de laisser la plupart de ses portes ouvertes, d’observer l’ampleur inévitable d’une telle tragédie plutôt que d’asséner des vérités générales. Kathryn Bigelow y voit la conclusion officieuse de sa trilogie sur le complexe militaro-industriel composée de Démineurs et Zero Dark Thirty, mais c’est plus que ça.
Les soldats héroïques disparaissent au profit de junkies d’adrénaline rattrapés par le réel (Démineurs), des agents obsessionnels se découvrent en simples rouages esseulés et solitaires d’une nation qui essaie vainement de leur conférer un but (Zero Dark Thirty) et le récit choral noie l’action individuelle dans les tares d’un racisme systémique (Detroit). Confronté à cette même corde raide nihiliste, A House of Dynamite devient l’œuvre somme de son autrice sur l’impuissance et la déshumanisation de l’Amérique, renforcée par son casting cinq étoiles contraint à la désincarnation.
A House of Dynamite est disponible sur Netflix à partir du 24 octobre 2025.
D’un thriller au compte à rebours palpitant, Kathryn Bigelow décortique couche par couche les failles d’un système où l’humain n’a plus sa place. Glaçant.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... CtxQ6OHjMQ

Kathryn Bigelow (Point Break, Démineurs, Zero Dark Thirty) nous avait manqués depuis l’injustement boudé Detroit en 2017. La cinéaste américaine n’a néanmoins rien perdu de son énergie et de sa colère. A House of Dynamite (disponible sur Netflix à partir du 24 octobre) a même des allures de synthèse, convoquant autant son sens du suspense ravageur que son regard exhaustif et complexe sur une politique étasunienne perçue comme un colosse aux pieds d’argile. Plus que jamais, sa caméra à l’épaule et ses pluies d’acronymes en quête d’authenticité documentaire se confrontent à un récit allégorique, une mise en garde aux airs de fable terrifiante sur les stratégies de dissuasion nucléaire et leurs limites.
FAMILLES NUCLÉAIRES
18 minutes. 18 minutes qui semblent à la fois durer une éternité, et passer à la vitesse de l’éclair. Ces 18 minutes sont celles qui séparent le lancement de provenance inconnue d’un missile de son impact sur une grande ville américaine. Qui a pu prendre cette décision ? Quel est le mobile ? Et comment y réagir ? Ces 18 minutes paradoxales, suspendues dans le temps, Kathryn Bigelow en fait un cocon, ou plutôt une suite de poupées gigogne qui lui permet de multiplier les points de vue sur ce même événement aux airs de disque rayé.
Bien que cette temporalité heurtée soit au cœur de cette écriture en trois parties, il y a une autre tragédie larvée dans cette répétitivité inaltérable. A House of Dynamite est avant tout un film sur un oubli collectif qui nous revient en plein visage, celui du risque concret des attaques nucléaires, qui s’est désagrégé avec la fin de la guerre froide malgré un arsenal mondial toujours plus développé, au même titre que les protocoles pour empêcher l’anéantissement de l’humanité.
Avec le sens du détail qui est le sien, Bigelow et son scénariste Noah Oppenheim croquent avec une efficacité redoutable des sommes d’individualités, des suites de gestes et des réactions qui s’enclenchent d’un bout à l’autre de la planète, grandement épaulée par la photographie chirurgicale de Barry Ackroyd (déjà présent sur Démineurs, ainsi que dans le cinéma de Paul Greengrass). Derrière l’esthétique tremblée inspirée par le documentaire, captant avec brio l’urgence de la situation, le chef opérateur transcende ici son emploi des longues focales, qui compressent l’espace et isolent les corps au sein de ce chaos ambiant.
L’entrave physique développée par le scénario, où les cellules de crise et les bunkers s’imposent, s’efface petit à petit au profit d’une claustrophobie intérieure, engendrée par l’effet de sidération et d’impuissance de personnages pourtant compétents (pour la plupart), mais incapables de conscientiser l’ampleur de la catastrophe en chemin.
WARGAMES
Le film a d’ailleurs le bon ton de débuter à « l’étage de surveillance » de la salle de crise, gérée par une officière supérieure (Rebecca Ferguson), dont on nous présente les habitudes et la maîtrise liées à ses responsabilités, jusque dans l’échange tardif de ses baskets pour des chaussures à talons qu’on suppose obligatoires. L’esthétique avant le pratique, c’est aussi ce qui déborde de cette chaîne de commande grippée. Les écrans, les graphiques, les statistiques et les communications en général sont autant de barrières qui déréalisent ces circonstances exceptionnelles.
Là encore, on segmente et on surcadre dans des suites de champs-contrechamps qui ne se raccordent pas vraiment, qui communiquent sans vraiment réussir à se comprendre. Pour autant, Kathryn Bigelow ne cherche pas à rejeter naïvement les garde-fous essentiels face à des prises de décision au potentiel cataclysmique. Elle pointe du doigt en revanche des protocoles qui n’ont jamais été vraiment pensés pour servir, ou pour y appréhender la dimension humaine en leur sein.
Il semble d’ailleurs que la réalisatrice souffre – du côté de la presse américaine – d’un procès d’intention par rapport à la peinture soi-disant anachronique d’une administration plutôt réfléchie et mesurée, bien loin du bellicisme à l’emporte-pièce du gouvernement Trump, qu’on n’ose même pas imaginer dans une telle situation. Pourtant, c’est bien là que Bigelow puise la sève de sa démarche : sa reconstitution démente, qui impose au spectateur de suivre le rythme de ses acronymes et de ses nombreux protagonistes, reste conditionnée par sa nature allégorique, osons même dire de fable catastrophiste.
La densité de son montage n’en oublie jamais son sens du suspense ou l’émotion qu’elle s’efforce d’instiguer par petites touches déchirantes (un jouet de dinosaure retrouvé dans une poche). Cela étant dit, elle ne se prive pas d’égratigner les figures qu’elle met en scène, qu’il s’agisse du commandant du STRATCOM (Tracy Letts), bien décidé à engager une riposte coûte que coûte, ou d’un président dépassé, incarné par un Idris Elba dont le charisme ne peut cacher sa nature de pantin showman. Le décalage de sa fonction le rattrape dès lors qu’il est exfiltré d’un match de basket qu’il est venu accompagner, au point de rappeler cette célèbre photo de George W. Bush apprenant les attentats du 11 septembre 2001 pendant la lecture d’une histoire auprès d’enfants.
A House of Dynamite a surtout le mérite, que d’aucuns jugeront frustrant, de laisser la plupart de ses portes ouvertes, d’observer l’ampleur inévitable d’une telle tragédie plutôt que d’asséner des vérités générales. Kathryn Bigelow y voit la conclusion officieuse de sa trilogie sur le complexe militaro-industriel composée de Démineurs et Zero Dark Thirty, mais c’est plus que ça.
Les soldats héroïques disparaissent au profit de junkies d’adrénaline rattrapés par le réel (Démineurs), des agents obsessionnels se découvrent en simples rouages esseulés et solitaires d’une nation qui essaie vainement de leur conférer un but (Zero Dark Thirty) et le récit choral noie l’action individuelle dans les tares d’un racisme systémique (Detroit). Confronté à cette même corde raide nihiliste, A House of Dynamite devient l’œuvre somme de son autrice sur l’impuissance et la déshumanisation de l’Amérique, renforcée par son casting cinq étoiles contraint à la désincarnation.
A House of Dynamite est disponible sur Netflix à partir du 24 octobre 2025.
D’un thriller au compte à rebours palpitant, Kathryn Bigelow décortique couche par couche les failles d’un système où l’humain n’a plus sa place. Glaçant.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... CtxQ6OHjMQ
2 films complètement différents. Je pense que Une bataille après l’autre me restera plus en mémoire, car c’est un univers que j’aime bien (j’avais lu le bouquin qui a inspiré Paul Thomas Anderson il y a quelques années : Vineland de Thomas Pynchon, et avoir vu le film me donne envie de le relire
Mais je n’en ai pas pour autant détester Tron: Ares, au contraire même. Je ne comprends pas le désamour pour ce film. Peut-être à cause de Evan Peters, qui en fait trop, comme d’habitude
bon anniversaire à
Martin Campbell 82 ans réal (Absolom 2022, GoldenEye, Le Masque de Zorro, La Légende de Zorro, Casino Royale, Green Lantern, série Les Professionnels)
Kevin Kline 78 ans (Le Choix de Sophie, Silverado, Cry Freedom, Un poisson nommé Wanda, La télé lave plus propre, Chaplin, Président d'un jour, Créatures féroces, Le Songe d'une nuit d'été)
Luc Thuillier 61 ans ( La Vieille qui marchait dans la mer)
Martin Campbell 82 ans réal (Absolom 2022, GoldenEye, Le Masque de Zorro, La Légende de Zorro, Casino Royale, Green Lantern, série Les Professionnels)
Kevin Kline 78 ans (Le Choix de Sophie, Silverado, Cry Freedom, Un poisson nommé Wanda, La télé lave plus propre, Chaplin, Président d'un jour, Créatures féroces, Le Songe d'une nuit d'été)
Luc Thuillier 61 ans ( La Vieille qui marchait dans la mer)
Vosg'patt de cœur





