Le Cercle des profileurs disparus

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ClintReborn
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Pale a écrit : jeu. 18 sept. 2025 16:59 A Big Bold Beautiful Journey : premiers avis sur la romance entre Margot Robbie et Colin Farrell

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Les premiers avis sur A Big Bold Beautiful Journey, l’histoire d’amour surréelle de Kogonoda entre Margot Robbie et Colin Farrell, viennent de sortir.

A Big Beautiful Journey marque le retour de Kogonada au long-métrage après que le réalisateur de Columbus et After Yang est passé par le petit écran pour assurer quelques épisodes de Pachinko et The Acolyte. Cette romance entre Colin Farrell et Margot Robbie, deux inconnus réunis par un voyage improbable, est le fruit d’un scénario écrit par Seth Reiss et qui figurait sur la fameuse “Black List” censée regrouper les meilleurs scénarios du moment cherchant preneur à Hollywood.

Comptant également Kevin Kline, Phoebe Waller-Bridge et Lily Rabe au casting, A Big Bold Beautiful Journey sortira en France le 1er octobre 2025. Mais la presse américaine, elle, a déjà pu découvrir le film et publier ses critiques, dont voici un échantillon.

“Kogonada se plaît à exploiter le plaisir simple qu’il y a à voir des gens beaux tomber amoureux à l’écran. Il use de l’empathie qui fait sa patte pour pousser au sentiment : écoutez-vous, soyez ouvert, et peut-être que vous ressentirez quelque chose de beau si vous vous y autorisez.”
Conor O’Donnell – The Film Stage

“Kogonoda n’a pas écrit ni assuré le montage de A Big Bold Beautiful Journey, ce qui fait que la sophistication n’est pas au rendez-vous, ni la douce musicalité qu’il avait su mettre en place dans ses précédents films.”
Clarisse Loughrey – The Independent

“C’est le genre de film dont on s’attend à ce qu’il nous manipule émotionnellement. Si seulement c’était le cas… parce que ce serait bienvenu, en comparaison de ce récit imperméable aux sentiments et tout juste nuancé ci et là.”
Brian Truitt – USA Today

“Il faut au moins reconnaître à A Big Beautiful Journey une égalité totale et démocratique dans sa façon de gâcher le talent des uns et des autres.”
Alison Willmore – New York Magazine

“Est-ce que A Big Beautiful Journey est une démonstration d’ambition créative avec un vide béant en son centre, ou une histoire d’amour de haute volée, mâtinée d’une sensibilité esthétique bienvenue ? Tout comme ce serait le cas à l’issue d’un premier date, c’est l’alchimie qui fera toute la différence.”
Jesse Hassenger – The A. V. Club

“Ce film à high-concept essaye si fort de charmer que patauger dans toute cette guimauve sucrée jusqu’à l’écœurement devient un véritable parcours du combattant.”
Nikki Baughan – Screen Daily

“Bien que parfois inventif et touchant, A Big Bold Beautiful Journey est un cafouillage en termes de ton. Les dilemmes romantiques et autres qu’on y trouve sonnent peut-être vrai, mais ni ça ni les performances solides des acteurs principaux ne suffisent à sauver l’ensemble inégal.”
Lou Thomas – Empire

“A Big Bold Beautiful Journey manque sa cible à la fois en tant qu’histoire d’amour et histoire fantastique. Bien que je répugne à accuser un artisan aussi intelligent que Kogonada d’être entièrement responsable du résultat, il a tout de même, après tout, accepté de mettre en scène ce scénario nul. Voilà effectivement un grand, audacieux et bel ennui.”
Ryan Lattanzio – IndieWire

“Cet exercice éprouvant représente l’un des gâchis de talent les plus scandaleux de ces derniers temps, du casting pourtant talentueux (Margot Robbie et Colin Farrell en tête) au compositeur légendaire Joe Hisaishi en passant par Kogonada, dont les films précédents, After Yang et Columbus, transmettaient une telle vérité dans les émotions qu’on ne peut s’expliquer, ici, une telle perte d’énergie en mièvrerie.”
Alonso Duralde

Ça tape dur sur A Big Bold Beautiful Journey de (presque) tous les côtés. Sans surprise, personne n’éreinte le casting, mais la plupart des critiques ne comprennent tout simplement pas ce virage dans la carrière de Kogonada, qui semble avoir signé ici une bluette pénible et fade. Le film récolte la moyenne (effectivement très très moyenne) de 41/100 sur Metacritic, qui aurait de quoi refroidir un glaçon.

Toutefois, il ne faut jamais se priver de se faire son propre avis sur un film, et ce sera possible avec A Big Bold Beautiful Journey pour le public français dès le 1er octobre, date de sa sortie en salle.


https://www.ecranlarge.com/films/news/b ... e2Lppjf9fg

Depuis le début je sentais le truc ultra neuneu.
J''aime comme le magazine encourage quand même de le voir en salle alors que c'est le genre de film qui fait carrière sur une plateforme pour des gens en manque d’inspiration qui vont rater leur soirée romantique :o :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Pale
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Magnifique trailer, ça m'a filé des frissons.
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Wickaël
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Je viens de regarder cette bande-annonce:



Ça a l'air pas mal du tout.
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NaughtyDog
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Meilleur film de 2025 et un des meilleurs de son auteur.

PTA ressuscite les codes du Nouvel Hollywood pour les adapter à l'Amérique contemporaine, dans une course en avant à la fois drôle, tendue, impeccablement filmée et hyper politique.

Tout le cast brille (Teyana Taylor en personnage qu'on aurait pu voir dans un Bigelow, la révélation Chase Infiniti ou Sean Penn en militaro-suprémaciste faisant penser au Frollo du Bossu de Notre-Dame ^^), ça dure 2h40 mais ca file à toute vitesse.

DiCaprio est en un de ses meilleurs rôles de la décennie, sorte de Duke de Big Lebowski croisé à son perso de Once Upon a Time in Hollywood mixé à la sauce guerillero. Mon seul regret tient peut-être dans la finalité de son arc narratif tant il demeure le perso le plus passif de tout le métrage.

Mzis quoi qu'il en soit voir un blockbuster kamikaze à 130M venant d'Hollywood ça fait un bien fou, surtout quand c'est aussi maitrisé (la poursuite finale est orchestrée sans autre antécédant dans l'Histoire du cinéma).
Bref c'est excellentissime

4.5/5
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robinne
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Pale a écrit : jeu. 18 sept. 2025 17:19
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9 :D
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robinne
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NaughtyDog a écrit : ven. 19 sept. 2025 14:19 Image


Meilleur film de 2025 et un des meilleurs de son auteur.

PTA ressuscite les codes du Nouvel Hollywood pour les adapter à l'Amérique contemporaine, dans une course en avant à la fois drôle, tendue, impeccablement filmée et hyper politique.

Tout le cast brille (Teyana Taylor en personnage qu'on aurait pu voir dans un Bigelow, la révélation Chase Infiniti ou Sean Penn en militaro-suprémaciste faisant penser au Frollo du Bossu de Notre-Dame ^^), ça dure 2h40 mais ca file à toute vitesse.

DiCaprio est en un de ses meilleurs rôles de la décennie, sorte de Duke de Big Lebowski croisé à son perso de Once Upon a Time in Hollywood mixé à la sauce guerillero. Mon seul regret tient peut-être dans la finalité de son arc narratif tant il demeure le perso le plus passif de tout le métrage.

Mzis quoi qu'il en soit voir un blockbuster kamikaze à 130M venant d'Hollywood ça fait un bien fou, surtout quand c'est aussi maitrisé (la poursuite finale est orchestrée sans autre antécédant dans l'Histoire du cinéma).
Bref c'est excellentissime

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je n'ai pas vu le film, mais je plussoie tout de même :lol:
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Pale
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Leonardo DiCaprio et Jennifer Lawrence chez Scorsese : ça se confirme pour ce projet alléchant

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Le prochain film de Martin Scorsese est en train de se concrétiser, avec potentiellement un casting énorme : Leonardo DiCaprio et Jennifer Lawrence.

On ne l’arrête plus ! Martin Scorsese a un peu moins d’une trentaine de longs-métrages de fiction au compteur (sans compter les documentaires et les courts), et il continue à enchainer les projets ambitieux. Killers of the Flower Moon avait coûté 200 millions de dollars à Apple, qui espérait probablement en tirer quelques récompenses, un prestige inhérent à son image de marque et un boost d’abonnés sur sa plateforme de SVoD. S’il n’a évidemment pas remboursé cette somme, il constitue un carton critique de plus dans sa filmographie.

Visiblement, l’expérience a été concluante pour Apple, puisque la firme serait en négociations pour financer et produire son film suivant, aux côtés de StudioCanal, chez qui le scénario a été développé. Et c’est encore un projet d’envergure.

C’est le média américain Deadline qui a mis la main sur ces précieuses informations : Scorsese prépare officiellement son prochain film chez Apple et Studiocanal, qu’ils espèrent tourner à partir de janvier 2026. Il s’agirait d’une adaptation du roman What Happens at Night de Peter Cameron. Les droits avaient été acquis par Studiocanal en 2023 et à l’époque, Scorsese devait se contenter du poste de producteur, puisqu’il réfléchissait à des possibles suites de Killers of the Flower Moon.

Cette histoire fantasmagorique raconte le voyage d’un couple américain vers une petite ville européenne enneigée pour adopter un bébé. Ils arrivent dans un hôtel quasi désert et lugubre où ils rencontrent un panel de personnages énigmatiques, parmi lesquels une chanteuse, un businessman dépravé et un guérisseur charismatique. Alors qu’ils tentent de concrétiser l’adoption, ils semblent en savoir de moins en moins sur leur vie et sur eux-mêmes. What Happens at Night est décrit comme une histoire de fantôme, ce qui ne manque pas de rappeler l’ambiance de Shutter Island, loin des fresques sociales récentes.

Et, toujours selon Deadline, Leonardo DiCaprio et Jennifer Lawrence seraient envisagés dans les rôles principaux, donc probablement ceux des membres du couple. L’annonce tombe à point nommé, quelques jours avant la sortie d’Une Bataille après l’autre, où DiCaprio s’amuse comme rarement, et quelques semaines avant la sortie américaine de Die, my love, produit par Scorsese et interprété par Lawrence. Les deux acteurs se retrouveront quelques années après Don’t Look Up. Le scénario est signé Patrick Marber, auteur de Closer et Chronique d’un scandale. On signe où ?


https://www.ecranlarge.com/films/news/l ... lkBWmOSV0w
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Pale a écrit : ven. 19 sept. 2025 16:48 Image
affiche intriguante :)
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bon anniversaire à

Dany Carrel 93 ans (Des gens sans importance, La Petite Vertu, Le Pacha, Un idiot à Paris, Pot-Bouille, Porte des Lilas)
Sophia Loren 91 ans (La Péniche du bonheur, Le Cid, Madame Sans-Gêne, La Chute de l'Empire romain, Mariage à l'italienne, Lady L, Arabesque)
Sabine Azéma 76 ans (La vie est un roman, L'Amour à mort, Smoking / No Smoking, Le bonheur est dans le pré, Tanguy)
Anthony John Denison 76 ans (séries Les Incorruptibles de Chicago, Prison Break, The Closer : L.A. enquêtes prioritaires & Major Crimes)
Gary Cole 69 ans (Dans la ligne de mire, Dodgeball ! Même pas mal !, Délire Express, séries Jack Killian, l'homme au micro, À la Maison-Blanche, The Good Wife, Suits : Avocats sur mesure, NCIS)
Bruno Debrandt 56 ans (séies Engrenages, Caïn, Le Voyageur)
Asia Argento 50 ans (La Reine Margot, Marie-Antoinette, Transylvania)
Gil Alma 46 ans (série Nos chers voisins, César Wagner)
Dounia Coesens 37 ans (séries Plus belle la vie, L'Art du crime, La Doc et le véto, Demain nous appartient, Tom et Lola)
Modifié en dernier par Kit le dim. 21 sept. 2025 12:43, modifié 1 fois.
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Pale
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bon anniversaire à

Jérôme Seydoux 91 ans propriétaire d'Europalaces (Pathé-Gaumont), prod de cinéma
Jerry Bruckheimer 82 ans producteur cinéma et séries (American Gigolo, Le Flic de Beverly Hills, Top Gun, USS Alabama, Rock, Les Ailes de l'enfer, Ennemi d'État, Pearl Harbor, Pirates des Caraïbes (saga), Le Roi Arthur, Top Gun : Maverick, séries Les Experts et spin-offs, Lucifer)
David Michel 80 ans ventriloque avec Nestor le pingouin à la télé :love2:
Stephen King 78 ans écrivain
Bill Murray 75 ans (SOS Fantômes (saga), Un jour sans fin, Lost in Translation, Broken Flowers, La Vie aquatique)
François Cluzet 70 ans (Association de malfaiteurs, Ne le dis à personne, Les Petits Mouchoirs, Intouchables)
Ethan Coen 68 ans réal avec son frère Joel (Barton Fink, Fargo, The Big Lebowski, O'Brother, No Country for Old Men)
David James Elliott 65 ans (séries JAG, Close to Home)
Nancy Travis 64 ans (Trois Hommes et un bébé, Air America, séries C'est moi le chef !, Mr Mercedes -d'après les romans de Stephen King)
Rob Morrow 63 ans (série Numb3rs)
Angus Macfadyen 61 ans (Braveheart, Equilibrium, Saw 3)
David Wenham 60 ans (Le Seigneur des anneaux, Moulin Rouge, Van Helsing, 300)
Jean-Pierre Michaël 59 ans (série RIS police scientifique, vx fr de Brad Pitt, Keanu Reeves, Ethan Hawke + Michael Fassbender, Ben Affleck, Jude Law, Timothy Olyphant, Damian Lewis, etc...)
Rob Benedict 55 ans (séries Felicity, Supernatural)
Alfonso Ribeiro 54 ans (série Le Prince de Bel-Air)
Olivia Bonamy 53 ans (Bloody Mallory, Le Petit Garçon, Le Ciel, les Oiseaux et... ta mère !, Filles perdues, cheveux gras, Ils, MR 73) en couple avec Romain Duris
Maggie Grace 42 ans (Taken séries Lost : Les Disparus, Californication, Fear the Walking Dead)
Ryan Guzman 38 ans (séries Pretty Little Liars, Heroes Reborn, 9-1-1)
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Je m'étais juré de ne jamais regarder, au final j'aurais mieux fait de m'écouter ^^ En vrai c'est pas le pire film que j'ai vu cette année. Ça commence même très bien, les 20/30 premières minutes sont drôles et bien rythmées mais l'humour progressiste +++ commence à devenir extrêmement lourd au fur et à mesure et l'ensemble finit par tourner à vide à tel point que ça devient plus exaspérant que drôle. Par contre la prestation de Camille Lou est excellente, c'est vraiment grâce à elle qu'on tient jusque la fin.
Modifié en dernier par Pale le dim. 21 sept. 2025 12:27, modifié 1 fois.
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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Mon programme ciné du mois d'octobre :

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Peut-être :

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En VOD :

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Ma plus grosse attente : The Lost Bus - Au coeur des flammes

Je ne sais pas si c'est officiel ou une erreur mais Bugonia est prévu le 29 octobre en Belgique.

Autant septembre était calme, autant ça va être difficile de s'organiser en octobre vu la multitude de sorties :D
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Pale a écrit : dim. 21 sept. 2025 11:15 Mon programme ciné du week-end prochain :

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Normalement j'irai aussi le voir le week-end prochain :hot: :hello:
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avec un peu de retard
Alexandra Vandernoot a eu 60 ans le 19 septembre (Le Souper, Le Jaguar, Le Dîner de cons, Le Placard, séries Highlander, Tramontane, Ici tout commence)
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NaughtyDog a écrit : lun. 22 sept. 2025 15:03
Not bad mais je n'ai aucune intention de regarder la saison 3 ou Le Livre de Boba Fett :D

En VOST et VF :



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Pale a écrit : lun. 22 sept. 2025 17:53 Image
Ca faisait longtemps que Paul Greengrass n'avait pas fait un film, non ?
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Magnifique(s) Scarlett :love: :love:

Sublimée par Yorgos Lanthimos



et par Jonathan Glazer
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robinne a écrit : mar. 23 sept. 2025 12:16
Pale a écrit : lun. 22 sept. 2025 17:53 Image
Ca faisait longtemps que Paul Greengrass n'avait pas fait un film, non ?
Ça fait un moment oui, son dernier film est sorti en 2020.

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Frankenstein : Folie à deux ^^
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Pas plus intéressé que ça par ce remake de La Main sur le berceau mais il permettra au moins de retrouver Mary Elizabeth Winstead.
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EL a beaucoup aimé Une bataille après l’autre (4 étoiles) :

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Le Paul Thomas Anderson nouveau est arrivé ! Le réalisateur de Boogie Nights, Magnolia, There Will Be Blood et Phantom Thread (entre autres) est l’un des auteurs américains les plus respectés de son temps, mais la nouvelle cuvée était attendue avec une certaine inquiétude. Et ce n’est évidemment pas parce qu’il adapte librement le roman Vineland de Thomas Pynchon ou parce qu’il engage Leonardo DiCaprio, Sean Penn, Chase Infiniti, Benicio del Toro et Regina Hall. Qu’on se rassure : Une bataille après l’autre, en salles ce 24 septembre 2025, n’en est que plus savoureux.

UN OSCAR APRÈS L’AUTRE


Si Une bataille après l’autre a tant fait jaser en amont de sa sortie, c’est parce qu’il représente un investissement colossal, parfois même jugé inconscient, pour son coproducteur et distributeur Warner Bros. Les sources de Variety donnent une fourchette allant de 130 à 175 millions de dollars, soit à peu près l’équivalant de l’enveloppe allouée au dernier Godzilla x Kong. Or, jusqu’ici, le plus gros succès d’Anderson au box-office est There Will Be Blood, qui a apporté… 76 millions de dollars.

Ce n’est pas qu’une histoire de gros sous : le cinéaste avait peut-être bel et bien besoin d’un budget de blockbuster pour raconter cette histoire qu’il rumine depuis des années, celle d’un ancien plastiqueur membre d’un groupe armé révolutionnaire dont la fille est enlevée par sa némésis, un militaire zélé, par ailleurs suprémaciste blanc. Mais avec une somme aussi énorme vient généralement un cahier des charges et le studio espère probablement en tirer non pas un retour sur investissement, mais quelques brouettes d’Oscars.

Décrite comme la plus mainstream des œuvres du metteur en scène, elle aurait donc aussi très bien pu être la plus calibrée. Bonne nouvelle : c’est très, très loin d’être le cas. Cette longue poursuite, avec ses ruptures de ton, est moins une aventure pleine d’action telle qu’Hollywood en dégueule dans nos multiplexes qu’un véritable survival désespéré et hargneux. Et surtout, sa hargne est profondément, frontalement politique, aux antipodes du statu quo défendu habituellement par les divertissements de ce calibre.

TOUT EST CHAOS

Dès les premiers plans, le ton est donné. Une femme va et vient. La caméra descend vers un camp de rétention pour réfugiés, puis remonte. Orfèvre du format large, Anderson profite des moyens à sa disposition pour relever un défi à la hauteur de son style : raconter une fuite en avant perpétuelle, un interminable jeu de chat et de souris explosif, sans jamais pour autant perdre de vue les personnages qui gesticulent dans le chaos ambiant.

Une bataille après l’autre, ils se coursent, se carapatent, se poursuivent sans relâche jusqu’à ce qu’un enfant arrive et exige une certaine stabilité. Rien n’y fait : malgré la séparation, de gré ou de force, ils sont rebalancés dans ce maelström de violence et de cruauté. Que ce soit les idéaux politiques radicaux des révolutionnaires, les pulsions sexuelles de leurs ennemis ou même les méfaits de leurs aïeux, tout les pousse à revenir dans l’arène, ou plutôt dans la course.

Et la mise en scène, prodigieuse, relève le défi avec panache. La caméra d’Anderson balaie la bataille de Baktan Cross (le titre provisoire) avec une intensité folle, notamment lors d’une géniale séquence de raid où un Benicio del Toro flegmatique prend la main, secondé par une armée de skateurs roulant en formation. Mais au milieu de tout ça, elle reste, comme toujours chez Anderson, complètement assujettie à la performance des comédiens, traqués en gros plan malgré le bordel général.

Bien sûr, grâce à l’un des meilleurs directeurs d’acteur en activité ainsi qu’à une intrigue en surtension permanente, ils sont tous à la hauteur de leur personnage. Chase Infiniti prouve qu’elle n’a pas uniquement été castée parce que son nom décrit le film, Regina Hall est aussi excellente que d’habitude, mais c’est bien sûr DiCaprio et Penn qui sortent le grand jeu. Le premier semble disjoncter en temps réel, tandis que le second livre la performance la plus hallucinée de l’année, peut-être même de sa carrière, comme possédé par l’esprit du fascisme américain. D’aucuns diraient qu’ils en font un peu trop. Mais dans ce cas, mieux vaut trop que pas assez.

YOUTH AGAINST FASCISM

Révolutionnaires contre puissance militaire décérébrée agissant sur les ordres d’un suprémaciste en quête de reconnaissance… C’est évidemment une description peu flatteuse du paysage politique américain. La réflexion n’a plus droit de cité à Baktan Cross, où la violence d’un groupe entretient celle de l’autre. L’affrontement devient une routine, dont Anderson parvient à capter tout le cynisme et l’horreur. Les États-Unis d’Une bataille après l’autre sont plongés dans une guérilla permanente, la paix revendiquée par le pays de la liberté étant un grossier mensonge.

Le film sera probablement taxé de « post-Trump », et il arrive effectivement à point nommé, alors que le débat politique aux États-Unis et chez tous ceux qu’il influence (nous) se mue en bataille rangée où chaque camp antagonise son adversaire jusqu’à faire passer au second plan toute notion d’empathie, de réflexion ou de vérité, alors que le fascisme avance quasiment à visage découvert et que le militantisme est confondu avec le terrorisme, à dessein.

Le titre reflète évidemment cette nécessité de lutter non pas pour faire entendre sa voix, mais pour survivre dans un monde quasiment apocalyptique. Mais il reflète aussi la transmission de ce combat, non pas par amour parental, mais par le traumatisme. Infiniti incarne une jeunesse prise à partie par la vieille garde, qui doit parfois littéralement se glisser dans les creux de la machine pour mieux la gripper à son tour. D’où cette poursuite finale où l’horizontalité qui prévalait jusque là laisse place à la verticalité, puis à une confrontation écœurante de noirceur paranoïaque.

Le cinéaste ne se contente pas d’un commentaire sur l’actualité. Le fruit est pourri depuis fort longtemps et les graines ne manquent pas, des deux côtés du verger. Il faut remonter à très longtemps pour trouver un blockbuster aussi virulent, capable de faire la part des choses entre l’idéalisme, les erreurs et la bêtise des rebelles (voir ce running gag très drôle de la bureaucratie underground) et la domination meurtrière des généraux. Les extrêmes ne se rejoignent pas, cette fois.

Imparfait (certains enjeux du début sont exposés un poil maladroitement), Une bataille après l’autre ne plaira peut-être pas aux actionnaires de Warner. Mais il prouve qu’un demi-siècle après le Nouvel Hollywood, le cinéma américain à très gros budget a encore un peu de courage. Et ça, ça n’a pas de prix. Enfin, presque.

Rarement dans l’histoire récente du cinéma hollywoodien autant d’argent n’a été alloué à une œuvre aussi frontalement politique, qui décrit l’Amérique post et pré-Trump telle qu’elle est : une guerre perpétuelle qui fabrique ses propres opposants à coups de traumatismes.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... Q_UejHdyvg
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« C’est réel » : le réalisateur d’Évanouis confirme la « suite » de son film d’horreur

Je spoile le reste pour ceux n'ayant pas encore vu le premier (qu'il faut impérativement voir) :


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Zach Cregger, le réalisateur d’Évanouis, a confirmé que son film d’horreur à succès pourrait bien avoir un prequel.

Bien que Warner soit forcément très satisfait des 400 millions de dollars déjà récoltés par Conjuring 4, le studio a eu le mérite d’avoir un gros succès du côté du cinéma d’horreur « original » au travers d’Évanouis. Ses 263 millions de dollars de recettes mondiales (pour un budget de 38 millions) confirment l’attrait du public pour les bizarreries de Zach Cregger, clairement l’une des voix émergentes et prometteuses de l’horreur depuis le génial Barbare.

Depuis, le cinéaste s’est vu confier un reboot de Resident Evil, qui promet de trouver sa propre tonalité, fidèle à l’esprit des jeux sans être entravé par leur narration. Mais forcément, Warner envisagerait de franchiser Évanouis. On pourra se plaindre que le moindre succès doive être prolongé artificiellement, mais des discussions étaient en cours, comme l’avait révélé The Hollywood Reporter. C’est désormais Cregger lui-même qui confirme le projet.

On savait que Warner Bros. et New Line (la division de Warner qui a distribué Évanouis) avait dialogué avec Zach Cregger, et que la direction envisagée serait celle d’un prequel autour de la terrifiante Tante Gladys (Amy Madigan). Étant donné que le personnage sort de nulle part pour semer la zizanie dans l’univers du long-métrage, il y aurait matière à explorer son passé.

À l’occasion de la sortie en vidéo d’Évanouis, Zach Cregger s’est entretenu avec Fangoria, et a confirmé que les rumeurs étaient vraies, sous-entendant même que les discussions avec Warner vont quelque part :

« C’est réel et j’en parle à Warner Bros. Il y a une histoire et c’est une idée qui m’enthousiasme. Ce ne sont pas des conneries. »

Cregger avait révélé qu’au sein de la narration fragmentée d’Évanouis, il avait finalement coupé du scénario tout un chapitre sur Gladys et ses origines, qui devrait servir pour ce potentiel prequel. En tout cas, et c’est sans doute le plus intéressant, l’idée n’a pas juste émergé du côté de Warner au moment du succès du film. Zach Cregger l’avait anticipée :

« J’étais prêt. J’avais cette idée dans ma poche avant même que le film ne sorte. »

Au-delà de Resident Evil, qui a débuté sa production, Zach Cregger est aussi rattaché au projet Henchman, au sein du DCU de James Gunn. En voilà un qui est bien occupé.



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Pale
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Black Phone 2 : premiers avis pour la suite du film d’horreur fantastique

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L’univers de Black Phone va faire son retour au cinéma avec Black Phone 2, une suite du film d’horreur dont les premiers avis sont tombés.

Après son passage chez Marvel avec Doctor Strange (plutôt apprécié par la critique et les spectateurs), Scott Derrickson a choisi de revenir à ses premières amours avec le cinéma d’horreur. Depuis, hormis avec le très oubliable The Gorge (film de science-fiction mêlant horreur et romcom sur Apple TV+), tous ses projets ont plus ou moins été liés à un seul univers : celui de Black Phone. En effet, après le premier volet sorti en 2021, il a réalisé un segment de V/H/S 85 en 2023 intitulé Dreamkill et qui faisait allusion aux événements du film Black Phone.

Deux ans plus tard, le voilà de retour avec Finney (Mason Thomas), qui s’était fait kidnapper dans le premier opus. L’adolescent a désormais 17 ans et veut retrouver une vie normale, mais sa sœur Gwen (Madeleine McGraw) commence à entendre la sinistre sonnerie du téléphone de l’Attrapeur dans ses rêves et lui demande de l’aide pour affronter le fameux tueur (incarné par Ethan Hawke). Un programme assez classique pour une suite sur le papier, dont les premiers avis viennent de tomber. Revue de presse.

« Le plus impressionnant dans Black Phone 2, c’est qu’il a trouvé une façon cohérente de faire revenir l’Attrapeur et même de le renforcer. On découvre le passé de ce ravisseur d’enfants, ce qui approfondit le personnage plutôt que de simplement répondre à des questions que personne n’a posées. » SlashFilm

« Il y a une critique souvent formulée à l’encontre des films d’horreur contemporains qui vaut également pour Black Phone 2 : tous les meilleurs éléments de ce film proviennent d’autres films, qu’il s’agisse des précédentes réalisations de l’équipe créative ou de titres emblématiques des décennies passées. » IndieWire

« Il est un peu trop long et comporte une partie beaucoup trop explicative pour un film qui donne le meilleur de lui-même lorsqu’il s’appuie sur une logique surréaliste digne d’un cauchemar, mais ce film étrange exploite son côté effrayant de manière inattendue et créative. » RogerEbert.com

« Black Phone 2 met peut-être un peu de temps à atteindre sa vitesse de croisière, mais une fois que tout s’harmonise – du complot de vengeance surnaturel de l’Attrapeur à l’utilisation par Gwen de ses pouvoirs de médium à des fins bénéfiques –, c’est une suite plus que valable. » IGN

« Black Phone 2 regorge de moments d’horreur géniaux, de quelques éclats de rire et même d’une belle touche d’émotion qui vient tout harmoniser. Le premier film était certes solide, mais celui-ci est excellent. Une des rares suites qui surpasse son prédécesseur. » Io9

« Une vision forte et une interprétation unique des classiques de l’horreur, associées à un casting exceptionnel, font de Black Phone 2 une suite qui surpasse son prédécesseur à presque tous les niveaux. » Bloody Disgusting

« Black Phone 2 est peut-être son film le plus ouvertement pieux à ce jour [à Scott Derrickson, ndlr] : un slasher surnaturel et religieux qui étend le mythe du premier film à une logique onirique glaciale. […] Tout au long du film, Scott Derrickson fait se confondre rêves, réalité, passé et présent dans un espace cinématographique unique et hanté. »

Un retour gagnant pour Scott Derrickson donc, a priori, tant les premières critiques sont positives et semblent unanimes sur un point : Black Phone 2 serait une suite meilleure que l’original. Pour en avoir le cœur net en France, il faudra attendre le 15 octobre 2025.


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Pale
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Wickaël
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Pale a écrit : mar. 23 sept. 2025 22:33 Image



Pas plus intéressé que ça par ce remake de La Main sur le berceau mais il permettra au moins de retrouver Mary Elizabeth Winstead.
C’est toujours un plaisir de la voir à l’écran, elle se fait tellement rare...
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robinne
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Pale a écrit : mer. 24 sept. 2025 18:25 Image
C'est Jeremy Allen White ?? :ouch:
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Pale
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robinne a écrit : mer. 24 sept. 2025 18:55
Pale a écrit : mer. 24 sept. 2025 18:25 Image
C'est Jeremy Allen White ?? :ouch:
Oui :jap:
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Kit
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Pale a écrit : mer. 24 sept. 2025 19:23
robinne a écrit : mer. 24 sept. 2025 18:55
Pale a écrit : mer. 24 sept. 2025 18:25 Image
C'est Jeremy Allen White ?? :ouch:
Oui :jap:
le vrai a eu 76 ans hier
Vosg'patt de cœur
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