Après deux premières saisons savoureuses (l'épisode 6 de la saison 2
), The Bear réouvrira ses portes en juin 2024 !La série a d'ores et déjà été renouvelée pour une quatrième saison, qui sera/a été tournée dans la foulée de la troisième.
The Bear (Hulu / Disney+)
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Après deux premières saisons savoureuses (l'épisode 6 de la saison 2), The Bear réouvrira ses portes en juin 2024 !
La série a d'ores et déjà été renouvelée pour une quatrième saison, qui sera/a été tournée dans la foulée de la troisième.
Après deux premières saisons savoureuses (l'épisode 6 de la saison 2
), The Bear réouvrira ses portes en juin 2024 !La série a d'ores et déjà été renouvelée pour une quatrième saison, qui sera/a été tournée dans la foulée de la troisième.
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BOX OFFICE STORY
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La série va-t-elle garder toutes ses qualités ?
Encore un Golden Globe pour son emblématique acteur ?
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La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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NaughtyDog
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Episode 1 de cette S3 assez génial, totalement atmosphérique et nous plongeant le passé de Carmy (de NY à Copenhague) de manière evanescente. C'est superbement mis en scéne par Storer, saupoudré d'un montage parfait et d'un score de Trent Reznor & Atticus Ross
l'ep 2 nous ramène ensuite efficacement en annonçant la direction de la saison (l'obtention d'une étoile) pour que l'ep 3 nous invite à nouveau dans le tumulte de la cuisine via un montage renforçant l'anxiété de Carmy. Un programme attendu mais divinement monté/mis en scène. Reste à voir comment la suite se démarquera !
ça va binge watch le reste d'une traite !
l'ep 2 nous ramène ensuite efficacement en annonçant la direction de la saison (l'obtention d'une étoile) pour que l'ep 3 nous invite à nouveau dans le tumulte de la cuisine via un montage renforçant l'anxiété de Carmy. Un programme attendu mais divinement monté/mis en scène. Reste à voir comment la suite se démarquera !
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NaughtyDog
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Une S3 de vraie belle facture, qui pose comme fil rouge la quête d'excellence du The Bear pour mieux questionner les rapports humains de l'équipe. Problématique illustrée notamment dans l'épisode final au Ever, mettant en avant la dualité entre le désir de perfection et l'abandon de soi jusqu'au point de rupture.
Car il est bien question de cela vis-à-vis de Sydney et Carmy, ce dernier semblant devenir le chef parfait au détriment de son humanité.
La mise en scéne est encore une fois superbe, mais c'est la direction d'acteurs qui est au cordeau, laissant leur talent briller dans de nombreux plans-séquences. On retiendra surtout les épisodes 1 et 3, puis le 6e par Ayo Edebiri (formidable focus sur le passé de Tina dans une quête de recherche de travail), le 8 (Jamie Lee Curtis livrant LA perf de la série) et le 10e qui est à la fois doux et amer sur la profession.
Une très bonne saison
4/5
Car il est bien question de cela vis-à-vis de Sydney et Carmy, ce dernier semblant devenir le chef parfait au détriment de son humanité.
La mise en scéne est encore une fois superbe, mais c'est la direction d'acteurs qui est au cordeau, laissant leur talent briller dans de nombreux plans-séquences. On retiendra surtout les épisodes 1 et 3, puis le 6e par Ayo Edebiri (formidable focus sur le passé de Tina dans une quête de recherche de travail), le 8 (Jamie Lee Curtis livrant LA perf de la série) et le 10e qui est à la fois doux et amer sur la profession.
Une très bonne saison
4/5
Épisode 1 : un premier épisode introspectif et mélancolique, qui nous plonge dans la personnalité perfectionniste et tourmentée de Carmy.
Épisode 2 : des retrouvailles à huis clos, où les personnages reprennent leurs relations là où ils les avaient laissées à la fin de la deuxième saison.
Épisode 3 : un épisode elliptique qui donne à nouveau à voir le quotidien de l'équipe - toujours aussi dysfonctionnelle - sur fond de musique classique.
Hâte de dévorer la suite !
Épisode 2 : des retrouvailles à huis clos, où les personnages reprennent leurs relations là où ils les avaient laissées à la fin de la deuxième saison.
Épisode 3 : un épisode elliptique qui donne à nouveau à voir le quotidien de l'équipe - toujours aussi dysfonctionnelle - sur fond de musique classique.
Hâte de dévorer la suite !
Épisode 4 : un épisode plus posé où l'on découvre où en sont les personnages dans leurs vies respectives, avec un caméo de .
Épisode 5 : un retour aux fourneaux où l'on assiste à la réorganisation en interne du restaurant, avec un caméo inattendu de .
Épisode 6 : un épisode touchant sur le passé professionnel de Tina, avec une apparition toujours aussi émouvante de .
Pour l'instant, je trouve cette saison légèrement en deçà des deux précédentes, moins sincère et plus fabriquée. Ça a du mal à décoller !
Épisode 5 : un retour aux fourneaux où l'on assiste à la réorganisation en interne du restaurant, avec un caméo inattendu de .
Épisode 6 : un épisode touchant sur le passé professionnel de Tina, avec une apparition toujours aussi émouvante de .
Pour l'instant, je trouve cette saison légèrement en deçà des deux précédentes, moins sincère et plus fabriquée. Ça a du mal à décoller !
peut-être qu'un jour je testerai the bear, mais j'attendrai surement que la série se termine...et de voir les retours sur l'intégralité de la série (en espérant pour elle que les gens ne soient pas trop déçus en fur et à mesure de sa vie) 
Épisode 7 : un épisode se concentrant davantage sur les petites mains du restaurant, qui annonce la volonté d'indépendance de Sydney.
Épisode 8 : le meilleur épisode de cette saison, un face-à-face mère-fille absolument poignant. Jamie Lee Curtis est impériale en mère abîmée par la vie.
Épisode 9 : un épisode mosaïque et choral assez similaire au septième, mais qui prépare surtout le terrain pour le tout dernier.
Épisode 10 : un final qui pousse Sydney et Carmy dans leurs derniers retranchements, mais dont la résolution est hélas reportée à la prochaine saison.
Même si les qualités d'écriture et d'interprétation sont toujours au rendez-vous, cette saison sert globalement de transition vers la suivante. Cela reste l'une des rares séries dotées de vraies qualités cinématographiques (chaque épisode se révélant différent du précédent en termes de focalisation et de fabrication), avec un étalonnage crépusculaire pour les scènes tournées à Chicago, solaire pour celles à Copenhague et clinique pour celles en cuisine.
Déjà hâte de voir la quatrième saison !
Épisode 8 : le meilleur épisode de cette saison, un face-à-face mère-fille absolument poignant. Jamie Lee Curtis est impériale en mère abîmée par la vie.
Épisode 9 : un épisode mosaïque et choral assez similaire au septième, mais qui prépare surtout le terrain pour le tout dernier.
Épisode 10 : un final qui pousse Sydney et Carmy dans leurs derniers retranchements, mais dont la résolution est hélas reportée à la prochaine saison.
Même si les qualités d'écriture et d'interprétation sont toujours au rendez-vous, cette saison sert globalement de transition vers la suivante. Cela reste l'une des rares séries dotées de vraies qualités cinématographiques (chaque épisode se révélant différent du précédent en termes de focalisation et de fabrication), avec un étalonnage crépusculaire pour les scènes tournées à Chicago, solaire pour celles à Copenhague et clinique pour celles en cuisine.
Déjà hâte de voir la quatrième saison !