ClintReborn a écrit : ↑mer. 16 déc. 2020 16:40 Je cherche l’intérêt du biopic ou même de l'histoire ou même des personnes en question... Est ce que Lily James va vraiment devoir jouer la blonde de service siliconé ?
Pale a écrit : ↑mer. 16 déc. 2020 16:03Tom Cruise pousse une gueulante sur le tournage de MI : 7 à cause du COVID
je n'apprécie pas Cruise du fait de la scientologie mais là il a raison
à l'opposé un acteur beaucoup moins médiatisé (fiche plus grand chose comme acteur) et lui aussi dans la religion (dirigeant dans le ministère évangélique contestant le darwinisme, pas beaucoup mieux pour moi), Kirk Cameron (série Quoi de neuf docteur ? de 1985 à 92) lui, accueille de grandes manifestations de chants de Noël (en anglais) https://www.yahoo.com/entertainment/kir ... b63VpfLriP
Pale a écrit : ↑mer. 16 déc. 2020 16:03Tom Cruise pousse une gueulante sur le tournage de MI : 7 à cause du COVID
« [...] J'en appelle à votre bon sens et si vous ne pouvez pas être raisonnables, vous serez renvoyés. C'est tout. Je vous fais confiance ici".
Pale a écrit : ↑mer. 16 déc. 2020 16:03Tom Cruise pousse une gueulante sur le tournage de MI : 7 à cause du COVID
je n'apprécie pas Cruise du fait de la scientologie mais là il a raison
à l'opposé un acteur beaucoup moins médiatisé (fiche plus grand chose comme acteur) et lui aussi dans la religion (dirigeant dans le ministère évangélique contestant le darwinisme, pas beaucoup mieux pour moi), Kirk Cameron (série Quoi de neuf docteur ? de 1985 à 92) lui, accueille de grandes manifestations de chants de Noël (en anglais) https://www.yahoo.com/entertainment/kir ... b63VpfLriP
robinne a écrit : ↑jeu. 17 déc. 2020 07:47
[Donc Clint n’est pas Clint, mais Tom
Chut !
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Monster Hunter : les premières critiques de l'adaptation du jeu vidéo sont là
Après Resident Evil, Paul W.S. Anderson est de retour avec Milla Jovovich pour adapter un autre jeu vidéo : Monster Hunter. Est-ce l’affront ultime de 2020 ?
Puisque 2020 a choisi d’être une année horrifique jusqu’au bout, il semblerait que l’humanité a mérité un nouveau film de Paul W.S. Anderson. Le bonhomme n’en a visiblement pas terminé avec les adaptations de jeux vidéo puisqu’après Mortal Kombat et des Resident Evil en pagaille, il nous a gratifiés d’un long-métrage autour de l’univers rempli de grosses bébêtes de Monster Hunter.
Prévues pour sortir le 25 avril 2021 en France, les nouvelles aventures de Milla Jovovich au ralenti ont déjà été distribuées dans certains territoires, dont la Chine où un scandale a d’ailleurs éclaté autour d’une scène. Les États-Unis devraient, quant à eux, découvrir le film à partir du 25 décembre, face aux poids lourds Wonder Woman 1984 et Soul. C’est d’ailleurs pour cette raison que les premières critiques US sont tombées. Alors, est-ce aussi horrible que les précédents affronts du réalisateur ? Revue de presse.
Pour les habitués au style fin et subtil d’Anderson, Monster Hunter pourrait visiblement être une bonne surprise. En effet, certaines critiques se sont montrées assez tendres avec le film, pour peu que l’on sache à quoi s’attendre :
“Monster Hunter est un concentré de fun super-débile. Et même si son milieu traîne en longueur […], Anderson et sa femme [Milla] Jovovich prouvent que leur persistante saga Resident Evil n’était en rien un hasard : voici un couple qui sait comment prendre les jeux vidéo les plus insignifiants et les transformer en tranches de ridicule cinématographique conscientes d’elles-mêmes.” The Globe and Mail
“Il y a quelques héros badass avec des épées gigantesques, quelques grandes monstruosités écailleuses, et souvent rien de plus. Le minimalisme est raccord avec la carrière d'Anderson, et sa dévotion à offrir du contenu calorique avec un combo improbable d’unités classiques et de pulsations, immédiatement datées, de beats électroniques. Le film s’appelle Monster Hunter – de quoi d’autre pourrait-il avoir raisonnablement besoin ?” The AV Club
“Peu de choses dans Monster Hunter font sens, mais c’est au moins intéressant sur le plan visuel et pas déplaisant à streamer chez soi avec un ami, en posant des questions et en faisant des blagues tout du long.” Variety
Néanmoins, la plupart se sont montrées moins indulgentes, et ont reproché à Paul W.S. Anderson de tomber dans ses travers habituels, pour un résultat plus ou moins regardable :
“Anderson a simplement combiné l’iconographie établie de la populaire franchise de jeux de Capcom avec des moments filmiques préfabriqués.” Slant
“Quelques flashs d’alchimie amusée entre les deux acteurs représentent toute la dimension humaine de cet actioner de science-fiction sans imagination, mais cela ne veut pas dire que sa focalisation incessante sur des batailles avec des monstres géants ne contentera pas les fans du réalisateur.” The Hollywood Reporter
“Pour environ les deux tiers de sa durée, l’adaptation sur grand écran du jeu vidéo Monster Hunter semble tenter de répondre à une question que personne ne s’est posée : à quoi ressembleraient les films Jurassic Park s’ils étaient drainés de tout leur sens du merveilleux ?” Los Angeles Times
“Monster Hunter est inlassablement horrible, même pour les standards de 2020, alors qu’il chute rapidement dans une chasse aux monstres fade et sans couleurs, qui marie la valeur de production d’un film SyFy avec l’échelle d’un tutoriel, résultant dans l’un des films tirés de jeux vidéo les plus mornes et en manque d’imagination.” Indiewire
On s’en doutait un peu, mais Monster Hunter est loin de faire l’unanimité, bien que Paul W.S. Anderson semble avoir signé un nouveau film d’action bas du front, oscillant entre l’insupportable et le plaisir coupable selon votre degré de tolérance. On va attendre bien évidemment de se faire notre propre opinion sur la question, mais on vous renvoie à notre dossier sur la carrière d’Anderson, et cette question qui hante nos esprits : est-il un génie tordu ou un grand malade ?
Par l’intermédiaire de sa boîte de production Platinum Dunes, l’inénarrable Michael Bay a produit une pelletée de films d’horreur et de thrillers à high-concepts. Malheureusement, le cinéaste a souvent servi de prête-nom à des projets aussi décevants que fainéants, de Ouija à American Nightmare. Toutefois, Sans un bruit a fait figure d’exception revigorante, grâce à un John Krasinski habité par son sujet. On pouvait donc se montrer curieux à l’annonce de Songbird, et son surprenant concept de thriller pandémique, directement inspiré par la crise sanitaire actuellelle.
Tremblez, la Covid-23 est là !
Dès la parution de sa bande-annonce, Songbird a été le fruit d’un bad buzz assez logique. En imaginant un futur dystopique en proie à une forme évoluée de la Covid-19, le film a été jugé pour son opportunisme et son manque de tact, voulant capitaliser sur une tragédie que le monde entier est encore en train de traverser. Pour autant, le film est indéniablement une curiosité dans son souhait de capter nos incertitudes et nos doutes à un instant charnière. De manière intéressée ou non, il est évident qu'il se présente avant tout comme un objet socio-historique, qu’on pourra prendre avec plus ou moins de recul dans les années à venir, selon l’évolution de la pandémie.
Le problème, c’est qu’une telle intention est loin d’être suffisante. Et si le réalisateur Adam Mason (principalement responsable de films d’horreur au rabais) prétend avoir écrit le scénario de Songbird en trois jours pendant le confinement, le résultat s’en fait clairement ressentir. Le rendu final, digne d’une rédaction de lycéen mal dégrossie, déploie une introduction aussi longue qu’indigente, au point où la confusion prend le pas sur la stressante exagération de notre quotidien que le film essaie d’imposer.
Pourtant, Songbird n'est à sa base qu’une simple histoire d’amour impossible entre un coursier beau-gosse et immunisé (K.J. Apa), déambulant dans un monde à la dérive, et sa copine confinée (Sofia Carson). Sauf que le long-métrage perd un temps monstrueux en faisant graviter autour du couple une galerie de personnages inutiles et sous-exploités. C’est d’autant plus idiot qu’en découvrant toutes ces esquisses grossières cloîtrées chez elles, on ne fait que se demander à quel moment les ficelles du récit vont les amener à se rencontrer.
Cette extrême maladresse (ou flemmardise d’écriture, à vous de choisir) s’accompagne en réalité de l’incapacité du film à étendre son univers anxiogène et ses dérives ultra-sécuritaires. Alors qu’il nous présente durant une fraction de seconde une zone de quarantaine apocalyptique, avant de la conserver en hors-champ, Songbird semble passer à côté de son sujet, au profit d’un protagoniste inerte, contraint de faire des allers-retours entre les quelques décors que la production a pu s’accaparer.
Mason essaie désespérément d’amener son concept vers une réflexion socio-politique, à grands coups de conflits de classe et d’addiction à la livraison à domicile. La présence de Demi Moore et de Bradley Whitford (À la Maison-Blanche, Get Out) est censée donner corps à une sous-intrigue à base de bourgeois magouilleurs de bracelets d’immunité (oui oui, comme dans Koh-Lanta). Mais à l'image du reste, cet enjeu tombe vite dans le manichéisme facile, alors même que le long-métrage voudrait s’attarder sur la question de la morale dans un tel contexte de survie.
Beaucoup de bruit pour rien
Et c’est finalement le plus rageant avec Songbird : tout est là, à portée de main, avant d’être laissé sur le bas-côté comme un chien en période estivale. La fabrication bazardée du film est d'ailleurs renforcée par une mise en scène absolument catastrophique. Le tournage précipité durant l’été 2020 se ressent à chaque instant, notamment à cause des jump cuts en pagaille qui s’évertuent à énergiser des plans filmés par des marmottes sous cortisone.
Bien entendu, le fait que Songbird soit une "production Michael Bay" tend à forcer une émulation de son style si unique. Sauf qu’à l’instar de Jonathan Liebesman ou de Peter Berg, Adam Mason est loin d’avoir l’œil du réalisateur fou (et génial ?) de Bad Boys II. Sa photographie se résume à de pauvres sources de couleurs surexposées, tandis que son travail sur la perspective ferait pâlir le cadrage d’un court-métrage étudiant, au point d’asseoir l’aspect ultra-cheap de l'ensemble.
C’est d’ailleurs pour cette raison que Songbird est un film d’une infinie tristesse, tant il aurait pu être une expérimentation conceptuelle attachante, un one-shot entièrement motivé par l’immédiateté d’une période où l’instinct de tout à chacun prime. N’en reste qu’un produit de consommation poussif et même pas drôle, si ce n’est pour la présence ahurie du pauvre Peter Stormare, auquel on n’a visiblement pas laissé le temps de se laver les cheveux.
Songbird est disponible en VOD depuis le 16 décembre 2020.
Songbird est bien le film opportuniste que tout le monde craignait, dont le manque de sensibilité n'a d'égal que le je-m'en-foutisme de sa fabrication. Au-delà de la curiosité malsaine, difficile de défendre une proposition aussi creuse.
Avec tout ce que construit Cameron tel un fou des lego il pourra bientôt ouvrir un parc d’attractions
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
La Petite Maison dans la Prairie va avoir droit à son reboot !
La Paramount prépare une nouvelle version des livres cultes de Laura Ingalls Wilder.
Il fallait bien que ça arrive un jour. La plus culte des séries cultes des années 1970 sera rebootée à son tour, par Hollywood. Anonymous Content, Paramount Television et Friendly Family Productions travaillent à une nouvelle version de La Petite maison dans la Prairie. Plus exactement, ils développent une nouvelle adaptation des romans à succès de Laura Ingalls Wilder, qui avaient donné la série familiale en neuf saisons, diffusée de septembre 1974 à mai 1982 aux Etats-Unis sur NBC et tellement de fois rediffusée en France.
On ne sait pas grand chose de ce reboot, qui sera un drama, auquel sera associé Trip Friendly, le fils du producteur exécutif de l'époque, Ed Friendly.
Cette nouvelle version de La Petite Maison dans la Prairie pourrait être diffusée par la plateforme de streaming exclusivement américaine Paramount +, même si rien n'est encore acté.
Reste à savoir qui osera prendre la suite de Michael Landon, Melissa Gilbert et Alison Arngrim, pour repeupler Walnut Grove...
Pale a écrit : ↑ven. 18 déc. 2020 15:50La Petite Maison dans la Prairie va avoir droit à son reboot !
La Paramount prépare une nouvelle version des livres cultes de Laura Ingalls Wilder.
Il fallait bien que ça arrive un jour. La plus culte des séries cultes des années 1970 sera rebootée à son tour, par Hollywood. Anonymous Content, Paramount Television et Friendly Family Productions travaillent à une nouvelle version de La Petite maison dans la Prairie. Plus exactement, ils développent une nouvelle adaptation des romans à succès de Laura Ingalls Wilder, qui avaient donné la série familiale en neuf saisons, diffusée de septembre 1974 à mai 1982 aux Etats-Unis sur NBC et tellement de fois rediffusée en France.
On ne sait pas grand chose de ce reboot, qui sera un drama, auquel sera associé Trip Friendly, le fils du producteur exécutif de l'époque, Ed Friendly.
Cette nouvelle version de La Petite Maison dans la Prairie pourrait être diffusée par la plateforme de streaming exclusivement américaine Paramount +, même si rien n'est encore acté.
Reste à savoir qui osera prendre la suite de Michael Landon, Melissa Gilbert et Alison Arngrim, pour repeupler Walnut Grove...
mais il y a un téléfilm ou une mini-série sur la famille Ingalls avec d'autres acteurs qui est passé il y a quelques années à la télé mais pas avec le même titre
Modifié en dernier par Kit le sam. 19 déc. 2020 03:30, modifié 1 fois.
Kit a écrit : ↑ven. 18 déc. 2020 16:07
mais il y a un téléfilm ou ne mini-série sur la famille Ingalls avec d'autres acteurs qui est passé il y a quelques années à la télé mais pas avec le même titre
Pale a écrit : ↑ven. 18 déc. 2020 15:50La Petite Maison dans la Prairie va avoir droit à son reboot !
Moi je pense qu'il faudrait faire un reboot en série courte 2-3 saisons En prenant les épisodes les plus dark et en faisant une série de type Deadwood
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
The Electric State - les réalisateurs d'Avengers : Endgame dévoilent leur prochain film avec Millie Bobby Brown
Millie Bobby Brown, la star de Stranger Things, est au programme du prochain film de SF robotique des frères Russo, les réalisateurs d'Avengers : Endgame.
Anthony Russo et Joe Russo ont un programme bien chargé pour les années à venir. Pas étonnant lorsque l'on sort des succès Avengers : Infinity War et Avengers : Endgame nous direz-vous. Déjà producteurs actifs de Tyler Rake, et engagés sur la réalisation des prochains Cherry avec Tom Holland et surtout de The Gray Man, thriller d'action avec Ryan Gosling et Chris Evans ainsi que plus gros budget historique pour un film Netflix, ils ont désormais un troisième projet à l'horizon : The Electric State.
Adaptée d'une histoire du roman graphique Tales From the Loop, The Electric State se passera dans un futur où humains et robots vivent en relative harmonie, alors qu'une adolescente se rend compte que son nouvel ami robot a été envoyé par son frère disparu. Elle se met à sa recherche, et dévoile sans le vouloir une grande conspiration. L'héroïne sera incarnée par Millie Bobby Brown, la star de Stranger Things vue récemment dans Enola Holmes. Le film devait être à l'origine réalisé par le fameux Andrés Muschietti avant que celui-ci ne s'engage sur The Flash.
Depuis longtemps en développement au sein de la société de production des deux frères, le script du film a été au coeur d'une intense bataille d'enchères entre les différentes majors selon Deadline. C'est finalement Universal qui a remporté la juteuse collaboration, soumise semble-t-il à condition d'une sortie dans les salles de cinéma, ce qui ne devrait pas vraiment poser de problème au studio. En effet, vu les agendas chargés des frères Russo, le tournage ne devrait pas avoir lieu avant fin 2021 pour une sortie en 2022, année à laquelle, on l'espère tous, les cinémas seront de nouveau ouverts. En tout cas, il faudra donc patienter encore un moment avant de découvrir cet Electric State.
J'étais pas très chaud à l'idée de le regarder, c'est principalement sa courte durée qui m'a motivé (1h30). Au final je ne regrette pas, c'est un film qui ne manque pas d'intensité et devant lequel il est difficile de rester insensible face à la prestation des deux acteurs principaux. Je craignais que les critiques en fassent des tonnes concernant Chadwick Boseman vu que c'est malheureusement son dernier rôle mais je dois avouer qu'il m'a impressionné.
[mention]Pale[/mention]
il va mieux Clooney ? il avait été hospitalisé suite à une forte perte de poids trop rapide (à 59 ans 1/2 ce n'est pas raisonnable). même âge qu'Eddie Murphy et Michael J. Fox qui a pris sa retraite à cause de son Parkinson
Modifié en dernier par Kit le sam. 19 déc. 2020 23:24, modifié 1 fois.
J'étais pas très chaud à l'idée de le regarder, c'est principalement sa courte durée qui m'a motivé (1h30). Au final je ne regrette pas, c'est un film qui ne manque pas d'intensité et devant lequel il est difficile de rester insensible face à la prestation des deux acteurs principaux. Je craignais que les critiques en fassent des tonnes concernant Chadwick Boseman vu que c'est malheureusement son dernier rôle mais je dois avouer qu'il m'a impressionné.
le jazz, le blues il y a encore de quoi faire pour le cinéma. bien sûr il y a eu The Glenn Miller Story (Romance inachevée), The Benny Goodman Story, Bird (sur Charlie Parker), Cotton Club, Autour de minuit, Bix (Bix Beiderbecke), Accords et Désaccords, dernièrement Billie (Billie Holiday) et j'en oublie mais il y a encore des personnages intéressants comme Sister Rosetta Tharpe, Pinetop Perkins, Mahalia Jackson