AbsolumentBOX OFFICE STORY a écrit : ↑sam. 28 janv. 2023 05:32 Dis moi Pale est-ce que la gothique Jenna Ortega t'aurait-elle ému ?.![]()

AbsolumentBOX OFFICE STORY a écrit : ↑sam. 28 janv. 2023 05:32 Dis moi Pale est-ce que la gothique Jenna Ortega t'aurait-elle ému ?.![]()
C'est vendu partout comme le grand retour de Brendan Fraser mais le résumé ne m’intéresse absolument pas
Fais confiance à Darren Aronofsky pour transcender tout çaClintReborn a écrit : ↑sam. 28 janv. 2023 13:20 C'est vendu partout comme le grand retour de Brendan Fraser mais le résumé ne m’intéresse absolument pasC'est du trop gros drama pour moi
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Je crois que je vais faire l'impasse, j'ai pas vraiment envie de payer pour voir toutes ces têtes à claquesClintReborn a écrit : ↑dim. 29 janv. 2023 18:37 J'attends les premiers avis sur Asterix pour voir si c'est vraiment la catastrophe annoncée![]()
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l'affiche fait déjà très accumulation de problématiques
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Astérix et périlsClintReborn a écrit : ↑dim. 29 janv. 2023 18:37 J'attends les premiers avis sur Asterix pour voir si c'est vraiment la catastrophe annoncée![]()
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l'affiche fait déjà très accumulation de problématiques
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Bonne nouvelle !Pale a écrit : ↑mar. 31 janv. 2023 20:57 EL a aimé Knock at the Cabin (3,5 étoiles) :
À chaque nouveau film de M. Night Shyamalan, c'est la même petite musique : il est de retour. Et chaque fois, c'est la même question : parle-t-on du réalisateur de Sixième Sens, Incassable, Signes et Le Village, ou de celui de La Jeune fille de l'eau, Phénomènes, et Le Dernier Maître de l'air ? La réponse est rarement claire et nette, mais Knock at the Cabin devrait y remédier. Mené par Dave Bautista, Ben Aldridge et Jonathan Groff, ce thriller est ***roulement de tambours, phrase inédite en approche*** le meilleur film de Shyamalan depuis bien longtemps.
CROIRE DUR COMME FIER
Le cinéma de Shyamalan raconte presque toujours la même chose : des personnages qui luttent pour ne pas croire, que ce soit en un récit qui les dépasse (une menace, une invasion, une fin du monde) ou un rôle qu'ils refusent d'assumer (être un sauveur, être un leader, être mort). Le réalisateur et scénariste n'a donc qu'un objectif : que le public y croit aussi, et le suive jusqu'au bout du monde et des twists, quitte à user jusqu'à la dernière corde le concept de suspension d'incrédulité. C'est pour ça que Shyamalan a été si vite piégé dans son cinéma : c'est facile d'avoir envie d'y croire, et encore plus d'avoir envie d'en rire.
Toujours debout malgré une carrière qui a connu autant de hauts et de bas que le bon goût sur Ecran Large, Shyamalan revient à la source du mal avec son 15e film. Knock at the Cabin ressemble à un nouveau testament de son cinéma, et une note d'intention ultime. C'est le film qui résume tous ses films, et l'histoire qui raconte toutes les autres.
Le principe est simple : quatre personnes entrent de force dans la maison d'une famille, et les implorent de croire en leur histoire. Pourquoi ? Parce que l'avenir du monde en dépend. Dans le rôle de Shyamalan (avec quelques dizaines de kilos de muscles en plus), Dave Bautista est le maître narrateur, celui qui a eu une vision et veut la partager. Dans le rôle du public, la famille (assise et attachée à des chaises, soit une version un peu brutale du cinéma) est sommée d'ouvrir les yeux et les oreilles, et se laisser embarquer par le récit. Le dispositif est si simple qu'il pourrait être comique, mais Shyamalan y croit tellement que Knock at the Cabin se transforme vite en vertigineux et palpitant thriller.
APOCALYPSE LIE
Dans une scène de Signes, le meilleur film de Shyamalan (ndlr : l'équipe souhaite se désolidariser de Geoffrey), Mel Gibson demande à son frère Phoenix : "Tu dois te demander quel genre de personne tu es. Es-tu de ceux qui voient des signes, des miracles ? Ou est-ce que tu penses que les gens ont juste de la chance ? Est-il possible qu'il n'y ait pas de coïncidences ?". Knock at the Cabin reparle de coïncidence, et ce n'est pas une coïncidence : les deux films se répondent parfaitement, pour créer un passionnant écho Shyamalanesque.
Maison isolée dans la nature, envahisseurs sortis de nulle part, famille qui se resserre pour affronter la menace, télévision comme seule fenêtre vers l'extérieur, flashbacks pour écrire les personnages pendant l'action : c'est une copie presque conforme de Signes. Sauf que dans le film d'aliens, c'était une lutte externe avec des extraterrestres venant attaquer le foyer pour le détruire. Dans Knock at the Cabin, c'est une guerre interne, et c'est pour ça que le home invasion est réglé en quelques scènes. Tout se jouera dans cette cabane transformée en scène de théâtre, où les personnages vont eux-mêmes réduire à néant leur petit monde, avec le "simple" pouvoir d'une histoire.
Car le vrai envahisseur apparaît au fil des minutes : c'est le récit lui-même qui s'installe peu à peu dans la maison, s'infiltre dans les esprits et menace de tout faire basculer (les convictions, les rapports de force, le film, et donc le monde entier). Tandis que l'un des papas se bat désespérément pour essayer de trouver les failles de l'histoire, et rationaliser la moindre preuve et le moindre signe, l'autre se laisse aller à l'ultime tentation : y croire. Le film sera ainsi une lente glissade vers le cœur du cinéma de Shyamalan – et si c'était vrai ? Et si j'avais envie que ce soit vrai ? Et si c'était vrai justement parce que j'ai envie d'y croire ?
Le jeu de miroir entre les personnages et les spectateurs, tous vissés à leurs fauteuils et prisonniers à leur manière, devient alors délicieusement malin. C'est un kidnapping (consenti, côté public), et tout comme son alter ego visionnaire à l'écran, Shyamalan a 90 minutes pour convaincre.
C'est d'autant plus plaisant et ludique que le réalisateur et scénariste a réfréné quelques pulsions ridicules. Il se donne un rôle, mais tellement dérisoire qu'il semble lui-même ranger son ego au placard (surtout après son rôle grotesque dans Old). Il met en scène cette part du public qui résiste à son cinéma, mais avec un vrai personnage pour l'incarner (et pas un bouffon comme le critique dans La Jeune fille de l'eau). Résultat : c'est diablement simple, efficace et sans détour. Tiens, comme Signes.
HAUTE TENSION
Mais Knock at the Cabin n'est pas un pensum meta de petit malin. C'est d'abord et surtout un thriller redoutable, emballé avec un savoir-faire qui rappelle les grandes heures du cinéaste. Après les fiascos After Earth et Le Dernier Maître de l'air, qui ont confirmé dans les flammes de l'enfer hollywoodien qu'il ne devait plus toucher aux effets visuels (les créatures de Signes et La Jeune fille de l'eau étaient des avertissements), Shyamalan est revenu à un cinéma à échelle humaine. Et plus encore que les précédents, Knock at the Cabin démontre que c'était une sage décision.
Dès les premières minutes, il s'attache à un simple champ-contrechamp, et se repose sur les plus élémentaires outils du cinéma : les visages, les mots, les sons, le hors-champ, le silence. Il ne réinvente pas la poudre et traîne toujours ses gros sabots (il se passe quelque chose d'étrange, donc : plans débullés), mais c'est un retour aux sources salvateur. En quelques instants, il plante merveilleusement le décor de cette cabane dans les bois, qui pourrait tout aussi bien être sur une autre planète tant elle est étrange.
Cabossée par les carambolages des années 2000-2010, la mise en scène de Shyamalan a certainement perdu de son panache (ce qui coïncide presque avec la fin de sa collaboration avec l'excellent James Newton Howard). L'impeccable précision d'Incassable ou Signes semble appartenir à un autre monde, et Knock at the Cabin n'offre pas de plans ou de mouvements de caméra aussi marquants. Mais le réalisateur retrouve une véritable maîtrise, comme s'il repartait à zéro, et revenait consciemment aux outils premiers de son cinéma.
Et parmi ces outils, il y a bien évidemment les acteurs. Shyamalan est l'homme qui a magnifiquement dirigé des poids lourds comme Bruce Willis, Samuel L. Jackson ou encore Mel Gibson. Dans Knock at the Cabin, il utilise Dave Bautista d'une manière particulièrement intéressante et étonnante, jouant de son physique de colosse pour créer l'ambiguïté et l'inquiétude dès la première scène. Ce n'est pas la première fois que le catcheur impressionne (sa scène mémorable de Blade Runner 2049, son timing comique dans Les Gardiens de la galaxie, son énergie dans Glass Onion), mais c'est probablement la première fois qu'il a autant d'espace pour exister, et jouer sur autant de nuances.
Face à lui, Nikki Amuka-Bird (déjà dans Old) et surtout Ben Aldridge tirent leur épingle du jeu, avec des pics d'intensité fantastiques. Et c'est là que le cinéma de Shyamalan est finalement bel et bien de retour : dans l'émotion. Ses meilleurs films sont ceux qui ont donné envie de noyer les frissons dans les larmes. Ils gardent toujours quelques longueurs d'avance sur Knock at the Cabin, mais Shyamalan revient dans la course. Et c'est peut-être ça la seule preuve que les miracles existent.
Oui, tout le monde crie au grand retour de Shyamalan depuis des années, mais promis, cette fois c'est différent. Thriller tendu, cauchemar malicieux et réflexion sur son propre cinéma : Knock at the Cabin est son meilleur film depuis bien longtemps, et un passionnant miroir à son chef-d'œuvre Signes.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... Era3tNY8qo
AllocinéClintReborn a écrit : ↑mer. 1 févr. 2023 12:36 Je suis parti en fou rire dés ce matin en voyant la page allo du nouveau film asterixPour gonfler la note désastreuse ils ont mis en haut des notations presses les 4 étoiles des magazines peoples et tv suivants :
20 Minutes Closer LCI Public Télé 2 semaines Télé 7 Jours
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_ ... 60600.html
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Gros comme une maison cette technique![]()
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Je n’y mets plus les « pieds » !Kit a écrit : ↑mer. 1 févr. 2023 13:30AllocinéClintReborn a écrit : ↑mer. 1 févr. 2023 12:36 Je suis parti en fou rire dés ce matin en voyant la page allo du nouveau film asterixPour gonfler la note désastreuse ils ont mis en haut des notations presses les 4 étoiles des magazines peoples et tv suivants :
20 Minutes Closer LCI Public Télé 2 semaines Télé 7 Jours
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_ ... 60600.html
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c'est quoi ce site obscur ?
Je suis ravi de voir que cela ne change pas en tout cas... Il n'y a rien a regretterrobinne a écrit : ↑mer. 1 févr. 2023 18:45Je n’y mets plus les « pieds » !Kit a écrit : ↑mer. 1 févr. 2023 13:30AllocinéClintReborn a écrit : ↑mer. 1 févr. 2023 12:36 Je suis parti en fou rire dés ce matin en voyant la page allo du nouveau film asterixPour gonfler la note désastreuse ils ont mis en haut des notations presses les 4 étoiles des magazines peoples et tv suivants :
20 Minutes Closer LCI Public Télé 2 semaines Télé 7 Jours
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_ ... 60600.html
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c'est quoi ce site obscur ?
Pale a écrit : ↑mar. 7 févr. 2023 17:59 George Clooney va adapter Le bureau des Légendes aux États-Unis
La série dramatique d’espionnage, largement acclamée autant en France qu’à l’international, est sur le point de s’exporter outre-Atlantique.
Une version USA du Bureau des Légendes ? Showtime a dit oui à une adaptation de la série Canal+, avec George Clooney comme réalisateur et producteur exécutif. Créée par Eric Rochant et diffusée de 2015 à 2020, l’histoire a suivi pendant 5 saisons la vie quotidienne des agents du BDL aka le Bureau des Légendes. Ce département de la DGSE forme et dirige à distance les agents d'infiltration dits clandestins, qui sont en mission de longue durée dans des zones d'intérêts français. Atouts des services du renseignement, leur objectif est de repérer les personnes susceptibles d'être recrutées comme informateurs. Ils opèrent sous une identité factice, "sous légende".
Ce remake à l’américaine a un nom, The Department, et "marchera sur les traces d’Homeland, l'une des productions les plus réussies et qui définit le mieux Showtime", a déclaré Chris McCarthy, président-directeur général de Showtime et Paramount Media, dans un communiqué. "Tout comme Homeland a élevé l'espionnage mondial à un niveau supérieur, The Department ira plus loin et emmènera les téléspectateurs dans un monde de subterfuges avec des personnages complexes qui luttent contre leurs propres démons alors qu'ils combattent des menaces nationales et mondiales." Aucune annonce autour du scénariste, du showrunner ou du casting pour le moment, mais on sait déjà que le tournage commencera plus tard dans l’année.
https://www.premiere.fr/Series/News-Ser ... khSyXnXFkI