
Le Cercle des profileurs disparus
J'ai commencé la saison 4 de Vikings. Ça reste calme. Ragnar est en mode pépère et Bjorn en mode Bear Grylls 

Depuis quand est-il nécessaire d’être abonné à Canal pour voir leurs séries ? Ils les sortent en support physique

- ClintReborn
- Messages : 5147
- Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
- Localisation : Avalon
Du support physique en 2020 ?

Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"

Mitigé. La première partie pose surtout les personnages avec quelques petits affrontements ici et là (notamment durant l'intro) et c'est vraiment dans la seconde partie que l'on rentre dans le vif du sujet. Rien de révolutionnaire mais les affrontements urbains sont bien foutus et immersifs. Après j'ai quand même esquissé des sourires ici et là devant les bourdes de certains personnages. Bien mais sans plus d'autant plus que le scénario et l'objectif des personnages sont parfois nébuleux.
- ClintReborn
- Messages : 5147
- Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
- Localisation : Avalon
Je suis pas vraiment emballé par Mosul dans le genre conflit armé/ politique guérilla urbaine il y a la série Fauda qui est pas mal du tout et qui aborde un sujet au combien difficile et polémique



Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
C'est un support physique que tu montres là. Fais gaffe.ClintReborn a écrit : ↑jeu. 26 nov. 2020 12:45 Je suis pas vraiment emballé par Mosul dans le genre conflit armé/ politique guérilla urbaine il y a la série Fauda qui est pas mal du tout et qui aborde un sujet au combien difficile et polémique![]()

Bah ouais

C’est ça d’être tatoué Netflix

- NaughtyDog
- Messages : 3391
- Enregistré le : lun. 26 oct. 2020 12:34
- Localisation : Paris

je rejoins Pale
une suite bien déceptive qui enlève tous les bons trucs du premier pour en faire une fantasy Disney Channel laide au potentiel cartoony passé à la lessive
c'est pas terrible du tout quoi
J'ai même été déçu par la prestation de Julian Dennison , beaucoup plus délirant dans Deadpool 2 mais surtout Hunt for the Wilderpeople.NaughtyDog a écrit : ↑ven. 27 nov. 2020 01:14 je rejoins Pale
une suite bien déceptive qui enlève tous les bons trucs du premier pour en faire une fantasy Disney Channel laide au potentiel cartoony passé à la lessive
c'est pas terrible du tout quoi
EL a modérément apprécié Mosul (3 étoiles) :

Après Avengers : Endgame, les frères Joe et Anthony Russo semblaient s’être reconvertis dans la production de films d’action, comme Manhattan Lockdown, avec le regretté Chadwick Boseman, ou encore plus récemment Tyler Rake, avec notre Thor international, Chris Hemsworth. Mais avec Mosul, première réalisation de Matthew Michael Carnahan (frère du réalisateur Joe Carnahan et scénariste de Dark Waters, World War Z ou encore Le Royaume de Peter Berg), les frères Russo étonnent avec un parti pris audacieux pour filmer la lutte contre le terrorisme en Irak… du point de vue des Irakiens. Sur le papier, en tout cas…
La guérilla, la vraie
Dès l’apparition de sa bande-annonce sèche et rugueuse, Mosul semblait affirmer une volonté de détonner dans le paysage du genre, notamment avec un parti pris audacieux : un film de guerre sur la lutte des combattants irakiens contre l’État islamique, filmé du point de vue des Irakiens, et tourné entièrement en arabe. Le dernier fait est, par ailleurs, plus que notable pour un film de guerre occidental, avec les frères Russo à la production, qui poursuivent leur collaboration fructueuse avec le géant du streaming, en creusant une veine beaucoup moins buddy-movie qu’avec Tyler Rake.
Ici, il est clairement question de filmer la lutte contre le terrorisme de manière frontale et violente. Co-scénariste sur Deepwater, Matthew Michael Carnahan est clairement sous l'influence de Peter Berg dans sa mise en scène avec une caméra portée immersive, nerveuse, qui colle au corps des personnages sans jamais les lâcher. Les impacts et les coups se font ressentir avec une violence viscérale qui ne laisse pas de marbre.
Mosul veut nous montrer la guérilla des combattants irakiens, la vraie, et le film impressionne la rétine par son réalisme et l’efficacité de ses scènes d’actions, qui se revendiquent clairement dans la lignée d’un Green Zone de Paul Greengrass.
L'Amérique, la vraie
Mais si Mosul revendique dans ses partis pris esthétiques l’influence d’un cinéma américain purement occidental, c’est aussi le cas dans ses ressorts scénaristiques, et c'est ce qui en fait sa limite.
En effet, une fois passé le parti pris d’un film entièrement tourné dans la langue locale où se déroule son action, le scénariste use dans son écriture de mécaniques tellement huilées qu’il devient difficile de ne pas identifier l’ADN américain derrière la caméra. Au final, le réalisateur pose un regard purement occidental sur la lutte de combattants irakiens contre le terrorisme. Si l’intention est plus que louable dans le postulat de départ, ces mécaniques scénaristiques viennent par moment désamorcer l’originalité du propos politique et du regard posé sur ce conflit.
L’exemple le plus parlant n'est autre que son casting. Ce n’est probablement pas anodin si le rôle du chef de cette élite de combattants est tenu par l’acteur irakien Suhail Dabbach, un habitué des productions occidentales de ce genre, vu notamment dans Démineurs de Kathryn Bigelow, et qui sera prochainement au casting de Cherry, le prochain film des frères Russo avec Tom Holland.
Le jeune français Adam Bessa, qui incarne le jeune policier rejoignant les combattants dans leur lutte, figurait également déjà au casting de Tyler Rake, la précédente production des réalisateurs pour la plateforme. Des choix de casting qui permettent aux spectateurs occidentaux d’avoir un repère, parmi cette bande de combattants, tous joués par des acteurs irakiens inconnus. Ce parti pris donne néanmoins à l’ensemble un réalisme plus proche du documentaire que de la fiction, qui sert avant tout le propos politique du long-métrage.
À noter un twist final très hollywoodien dans l’âme, dans la veine des mécaniques d’écriture éculées, présentes tout au long du film, mais qui apporte une émotion sincère dans son final. Mosul pose alors un regard très émouvant sur ces combattants plus vrais que nature, qui se démarque dans le paysage des productions hollywoodiennes actuelles du genre.
Mosul, disponible sur Netflix le 26 novembre 2020 en France
Sous influences Peter Berg et Paul Greengrass, Mosul se démarque par son parti pris audacieux de poser un regard original sur la lutte des combattants irakiens contre le terrorisme. Malgré une écriture parfois trop mécanique pour nous faire complètement oublier son ADN occidental, Mosul impressionne, notamment par le réalisme et la nervosité de ses scènes d'actions.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... NqSimTBN9g

Après Avengers : Endgame, les frères Joe et Anthony Russo semblaient s’être reconvertis dans la production de films d’action, comme Manhattan Lockdown, avec le regretté Chadwick Boseman, ou encore plus récemment Tyler Rake, avec notre Thor international, Chris Hemsworth. Mais avec Mosul, première réalisation de Matthew Michael Carnahan (frère du réalisateur Joe Carnahan et scénariste de Dark Waters, World War Z ou encore Le Royaume de Peter Berg), les frères Russo étonnent avec un parti pris audacieux pour filmer la lutte contre le terrorisme en Irak… du point de vue des Irakiens. Sur le papier, en tout cas…
La guérilla, la vraie
Dès l’apparition de sa bande-annonce sèche et rugueuse, Mosul semblait affirmer une volonté de détonner dans le paysage du genre, notamment avec un parti pris audacieux : un film de guerre sur la lutte des combattants irakiens contre l’État islamique, filmé du point de vue des Irakiens, et tourné entièrement en arabe. Le dernier fait est, par ailleurs, plus que notable pour un film de guerre occidental, avec les frères Russo à la production, qui poursuivent leur collaboration fructueuse avec le géant du streaming, en creusant une veine beaucoup moins buddy-movie qu’avec Tyler Rake.
Ici, il est clairement question de filmer la lutte contre le terrorisme de manière frontale et violente. Co-scénariste sur Deepwater, Matthew Michael Carnahan est clairement sous l'influence de Peter Berg dans sa mise en scène avec une caméra portée immersive, nerveuse, qui colle au corps des personnages sans jamais les lâcher. Les impacts et les coups se font ressentir avec une violence viscérale qui ne laisse pas de marbre.
Mosul veut nous montrer la guérilla des combattants irakiens, la vraie, et le film impressionne la rétine par son réalisme et l’efficacité de ses scènes d’actions, qui se revendiquent clairement dans la lignée d’un Green Zone de Paul Greengrass.
L'Amérique, la vraie
Mais si Mosul revendique dans ses partis pris esthétiques l’influence d’un cinéma américain purement occidental, c’est aussi le cas dans ses ressorts scénaristiques, et c'est ce qui en fait sa limite.
En effet, une fois passé le parti pris d’un film entièrement tourné dans la langue locale où se déroule son action, le scénariste use dans son écriture de mécaniques tellement huilées qu’il devient difficile de ne pas identifier l’ADN américain derrière la caméra. Au final, le réalisateur pose un regard purement occidental sur la lutte de combattants irakiens contre le terrorisme. Si l’intention est plus que louable dans le postulat de départ, ces mécaniques scénaristiques viennent par moment désamorcer l’originalité du propos politique et du regard posé sur ce conflit.
L’exemple le plus parlant n'est autre que son casting. Ce n’est probablement pas anodin si le rôle du chef de cette élite de combattants est tenu par l’acteur irakien Suhail Dabbach, un habitué des productions occidentales de ce genre, vu notamment dans Démineurs de Kathryn Bigelow, et qui sera prochainement au casting de Cherry, le prochain film des frères Russo avec Tom Holland.
Le jeune français Adam Bessa, qui incarne le jeune policier rejoignant les combattants dans leur lutte, figurait également déjà au casting de Tyler Rake, la précédente production des réalisateurs pour la plateforme. Des choix de casting qui permettent aux spectateurs occidentaux d’avoir un repère, parmi cette bande de combattants, tous joués par des acteurs irakiens inconnus. Ce parti pris donne néanmoins à l’ensemble un réalisme plus proche du documentaire que de la fiction, qui sert avant tout le propos politique du long-métrage.
À noter un twist final très hollywoodien dans l’âme, dans la veine des mécaniques d’écriture éculées, présentes tout au long du film, mais qui apporte une émotion sincère dans son final. Mosul pose alors un regard très émouvant sur ces combattants plus vrais que nature, qui se démarque dans le paysage des productions hollywoodiennes actuelles du genre.
Mosul, disponible sur Netflix le 26 novembre 2020 en France
Sous influences Peter Berg et Paul Greengrass, Mosul se démarque par son parti pris audacieux de poser un regard original sur la lutte des combattants irakiens contre le terrorisme. Malgré une écriture parfois trop mécanique pour nous faire complètement oublier son ADN occidental, Mosul impressionne, notamment par le réalisme et la nervosité de ses scènes d'actions.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... NqSimTBN9g
Godzilla vs. Kong : après James Bond, Netflix a tenté de s'emparer du blockbuster

Le prochain volet du MonsterVerse, Godzilla vs. Kong d'Adam Wingard pourrait rejoindre la liste des blockbusters privés de salles.
Si la pandémie de Covid-19 n'a pas inventé la diffusion en streaming ou le rachat de films par les plateformes, la crise qui a paralysé l'industrie et son circuit de distribution en salles a largement accéléré et étendu le procédé, au point d'englober les gros blockbusters comme Mourir peut attendre pour lesquels la mention "exclusivement au cinéma" ne sonne plus comme une évidence. Comme on l'a appris en octobre dernier, la MGM aurait effectivement cherché à revendre le prochain James Bond à un service de SVoD comme Netflix ou Apple TV+, bien que les négociations aient tourné court après les 600 millions demandés par le studio.
Alors que les 200 millions de budget de Mulan ont été rétrogradés sur Disney+ en Premium VOD (aux États-Unis) et que Wonder Woman 1984 sortira finalement en salles, mais aussi directement (mais temporairement) sur HBO Max aux États-Unis, The Hollywood Reporter a dévoilé que Netflix aurait entamé une bataille de gros sous pour ajouter Godzilla vs. Kong à son catalogue. Le prochain volet du MonsterVerse devait initialement sortir en mars dernier, avant d'être repoussé à novembre, puis finalement à mai 2021, au risque de se retrouver en plein embouteillage des sorties.
Le géant du streaming aurait ainsi fait une offre à 200 millions de dollars pour récupérer le film (dont le budget est estimé à 200 millions hors frais marketing), une somme largement supérieure aux 30 millions qui auraient été déboursés pour l'achat de Malcolm & Marie avec Zendaya et John David Washington (mais en même temps, les enjeux sont bien différents). Cette offre aurait cependant été déclinée par WarnerMedia. En effet, il semblerait que le groupe envisage de mettre son blockbuster directement sur HBO Max.
Avec l'arrivée prophétique du Zack Snyder's Justice League, la plateforme semble prête à entrer sérieusement dans la course au streaming dans laquelle elle est à la traîne depuis son lancement en Amérique du Nord. Une ambition réaliste étant donné que la Warner détient 25% de parts sur le film d'Adam Wingard dont elle contrôle également la sortie, comme l'a précisé The Hollywood Reporter. Il suffirait donc de quelques accords et sans doute quelques billets pour s'offrir l'exclusivité, et ce sans avoir à vendre un aussi gros film à un concurrent comme Netflix.
Toujours d'après le média, le boss de WarnerMedia, Jason Kilar, et la présidente de Warner Bros., Ann Sarnoff, travailleraient en personne sur le deal, qui pourrait se coupler à une sortie en salles, pour suivre le modèle mis en place par l'Amazone de DC. Legendary, qui a financé le blockbuster à hauteur de 75%, a refusé de commenter, tandis qu'un porte-parole anonyme de la Warner a déclaré : "Nous prévoyons de sortir Godzilla vs. Kong en salles l'année prochaine, comme prévu".
Pour l'instant, Godzilla vs. Kong est toujours prévu le 19 mai 2021 en salles, mais pour combien de temps encore ? En attendant, notre critique de Godzilla II : Roi des Monstres est juste ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... XKZMEXVU-E

Le prochain volet du MonsterVerse, Godzilla vs. Kong d'Adam Wingard pourrait rejoindre la liste des blockbusters privés de salles.
Si la pandémie de Covid-19 n'a pas inventé la diffusion en streaming ou le rachat de films par les plateformes, la crise qui a paralysé l'industrie et son circuit de distribution en salles a largement accéléré et étendu le procédé, au point d'englober les gros blockbusters comme Mourir peut attendre pour lesquels la mention "exclusivement au cinéma" ne sonne plus comme une évidence. Comme on l'a appris en octobre dernier, la MGM aurait effectivement cherché à revendre le prochain James Bond à un service de SVoD comme Netflix ou Apple TV+, bien que les négociations aient tourné court après les 600 millions demandés par le studio.
Alors que les 200 millions de budget de Mulan ont été rétrogradés sur Disney+ en Premium VOD (aux États-Unis) et que Wonder Woman 1984 sortira finalement en salles, mais aussi directement (mais temporairement) sur HBO Max aux États-Unis, The Hollywood Reporter a dévoilé que Netflix aurait entamé une bataille de gros sous pour ajouter Godzilla vs. Kong à son catalogue. Le prochain volet du MonsterVerse devait initialement sortir en mars dernier, avant d'être repoussé à novembre, puis finalement à mai 2021, au risque de se retrouver en plein embouteillage des sorties.
Le géant du streaming aurait ainsi fait une offre à 200 millions de dollars pour récupérer le film (dont le budget est estimé à 200 millions hors frais marketing), une somme largement supérieure aux 30 millions qui auraient été déboursés pour l'achat de Malcolm & Marie avec Zendaya et John David Washington (mais en même temps, les enjeux sont bien différents). Cette offre aurait cependant été déclinée par WarnerMedia. En effet, il semblerait que le groupe envisage de mettre son blockbuster directement sur HBO Max.
Avec l'arrivée prophétique du Zack Snyder's Justice League, la plateforme semble prête à entrer sérieusement dans la course au streaming dans laquelle elle est à la traîne depuis son lancement en Amérique du Nord. Une ambition réaliste étant donné que la Warner détient 25% de parts sur le film d'Adam Wingard dont elle contrôle également la sortie, comme l'a précisé The Hollywood Reporter. Il suffirait donc de quelques accords et sans doute quelques billets pour s'offrir l'exclusivité, et ce sans avoir à vendre un aussi gros film à un concurrent comme Netflix.
Toujours d'après le média, le boss de WarnerMedia, Jason Kilar, et la présidente de Warner Bros., Ann Sarnoff, travailleraient en personne sur le deal, qui pourrait se coupler à une sortie en salles, pour suivre le modèle mis en place par l'Amazone de DC. Legendary, qui a financé le blockbuster à hauteur de 75%, a refusé de commenter, tandis qu'un porte-parole anonyme de la Warner a déclaré : "Nous prévoyons de sortir Godzilla vs. Kong en salles l'année prochaine, comme prévu".
Pour l'instant, Godzilla vs. Kong est toujours prévu le 19 mai 2021 en salles, mais pour combien de temps encore ? En attendant, notre critique de Godzilla II : Roi des Monstres est juste ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... XKZMEXVU-E
Voici ce qu'en dit Télérama (Pale a écrit : ↑mar. 24 nov. 2020 12:00
Le film se fait déchirer par la presse Outre-atlantique, je suis loin d'avoir détestéLe film va maybe souvent dans l'excès mais j'ai trouvé que c'était une bonne chronique familiale avec des hauts et des bas et des personnages à fleur de peau. Un bon drame de Ron Howard qui ne m'a pas laissé totalement insensible. J'ai même apprécié Glenn Close que j'avais incendié après avoir vu la bande-annonce
![]()

“Une Ode américaine” de Ron Howard sur Netflix : fresque sociale sur l’Amérique blanche défavorisée
En adaptant Hillbilly Élégie, de J.D. Vance, récit d’une enfance sur les terres de Donald Trump, le réalisateur réussit à ménager vérité sociale et conventions hollywoodiennes tout en construisant des personnages attachants. Une huitième nomination à l’Oscar est assurée pour l’actrice Glenn Close.
https://www.telerama.fr/cinema/une-ode- ... 747702.php
Alan Ball retrouvera-t-il un jour le niveau de “Six Feet Under” ?
Malgré sa trame qui puise dans une blessure intime de son auteur, “Uncle Frak” d’Alan Ball ne retrouve pas la puissance dramatique de ses créations antérieures.
https://www.lesinrocks.com/cinema/films ... eet-under/
Je ne savais même pas qu'il sortait un film
Malgré sa trame qui puise dans une blessure intime de son auteur, “Uncle Frak” d’Alan Ball ne retrouve pas la puissance dramatique de ses créations antérieures.
https://www.lesinrocks.com/cinema/films ... eet-under/
Je ne savais même pas qu'il sortait un film


L'histoire dans son ensemble est un peu tirée par les cheveux mais si on se laisse prendre au jeu, The Call est un thriller coréen rondement mené et qui tient véritablement en haleine jusque la fin. Un postulat de départ qui rappelle bien évidemment Fréquence interdite mais on retrouve également un petit côté L'Effet papillon. Les actrices sont particulièrement impressionnantes.
N'empêche, même si j'en suis loin maintenant, j'aimerais bien retrouver une organisation de mon temps me permettant de revoir une centaine de films par an.
Quand je le faisais, j'avais la sensation en fin d'année de réellement avoir une bonne idée des films réellement marquants des 12 mois passés.
Là j'ai une vision tellement partielle de l'année ciné 2020 que faire un top me parait hâtif et faussé.
D'ailleurs techniquement je me retrouve pour le moment cette année pour l'instant avec un top 10 voire top 5 contenant des films qui, je pense, ne le méritent pas vraiment si ce n'est peut-être un ou deux.

Il n'est pas secret je le mets à jour sur F&D
Le top 10 en l'état donne ça :
★★★★★☆
01 / Jojo Rabbit (Taïka Waïtiti)
02 / 1917 (Sam Mendes)
★★★★☆☆
03 / On The Rocks (Sofia Coppola)
04 / Relic (Natalie Erika James)
05 / Tenet (Christopher Nolan)
06 / L'Ombre de Staline (Agnieszka Holland)
07 / Le Diable, tout le temps (Antonio Campos)
08 / Antebellum (Gerard Bush et Christopher Renz)
★★★☆☆☆
09 / His House (Remi Weekes)
10 / Scandal (Jay Roach)
Mais dans les faits, pour moi seuls les 10 premiers pourraient potentiellement avoir leur place dans un Top 10. De 3 à 8 j'ai trouvé ça sympa, mais ce ne sont pas des films que je qualifierai de "marquants". Et les 9 & 10, je les trouve juste "moyens".

Le top 10 en l'état donne ça :
★★★★★☆
01 / Jojo Rabbit (Taïka Waïtiti)
02 / 1917 (Sam Mendes)
★★★★☆☆
03 / On The Rocks (Sofia Coppola)
04 / Relic (Natalie Erika James)
05 / Tenet (Christopher Nolan)
06 / L'Ombre de Staline (Agnieszka Holland)
07 / Le Diable, tout le temps (Antonio Campos)
08 / Antebellum (Gerard Bush et Christopher Renz)
★★★☆☆☆
09 / His House (Remi Weekes)
10 / Scandal (Jay Roach)
Mais dans les faits, pour moi seuls les 10 premiers pourraient potentiellement avoir leur place dans un Top 10. De 3 à 8 j'ai trouvé ça sympa, mais ce ne sont pas des films que je qualifierai de "marquants". Et les 9 & 10, je les trouve juste "moyens".
J'avais presque le double l'année dernière

Après, le confinement de ce début d'année m'a permis de faire plein de découvertes toutes années confondues. Si je combine les 2 (sorties de 2020 et découvertes toutes années confondues), je suis pas très loin des 300 films

Seuls les 2 1er j'imagineNext a écrit : ↑ven. 27 nov. 2020 14:45 Il n'est pas secret je le mets à jour sur F&D![]()
Le top 10 en l'état donne ça :
★★★★★☆
01 / Jojo Rabbit (Taïka Waïtiti)
02 / 1917 (Sam Mendes)
★★★★☆☆
03 / On The Rocks (Sofia Coppola)
04 / Relic (Natalie Erika James)
05 / Tenet (Christopher Nolan)
06 / L'Ombre de Staline (Agnieszka Holland)
07 / Le Diable, tout le temps (Antonio Campos)
08 / Antebellum (Gerard Bush et Christopher Renz)
★★★☆☆☆
09 / His House (Remi Weekes)
10 / Scandal (Jay Roach)
Mais dans les faits, pour moi seuls les 10 premiers pourraient potentiellement avoir leur place dans un Top 10. De 3 à 8 j'ai trouvé ça sympa, mais ce ne sont pas des films que je qualifierai de "marquants". Et les 9 & 10, je les trouve juste "moyens".
Pouet
Sur feu Allociné ?

Je n’en ai vus que 3 de ta liste (2, 5, 10)Le top 10 en l'état donne ça :
★★★★★☆
01 / Jojo Rabbit (Taïka Waïtiti)
02 / 1917 (Sam Mendes)
★★★★☆☆
03 / On The Rocks (Sofia Coppola)
04 / Relic (Natalie Erika James)
05 / Tenet (Christopher Nolan)
06 / L'Ombre de Staline (Agnieszka Holland)
07 / Le Diable, tout le temps (Antonio Campos)
08 / Antebellum (Gerard Bush et Christopher Renz)
★★★☆☆☆
09 / His House (Remi Weekes)
10 / Scandal (Jay Roach)


On fait avec l’année qu’on aMais dans les faits, pour moi seuls les 10 premiers pourraient potentiellement avoir leur place dans un Top 10. De 3 à 8 j'ai trouvé ça sympa, mais ce ne sont pas des films que je qualifierai de "marquants". Et les 9 & 10, je les trouve juste "moyens".

Ce que je veux dire par là, c’est qu’en 2019, ils ont fait des films qui sont sortis en 2020.
En 2021, à part les films repoussés, on aura peu de films faits en 2020...
Après, le confinement de ce début d'année m'a permis de faire plein de découvertes toutes années confondues. Si je combine les 2 (sorties de 2020 et découvertes toutes années confondues), je suis pas très loin des 300 films![]()

Chapeau

J’ai fait peu de découvertes étant donné que j’ai pas mal regardé mes films en support physique


tu m'as pas compris, relis toi, t'as mis seul les 10 premiers sur 10, alors que tu voulais dire les 2 1er sur 10
Pouet
Je trouve la remasterisation 4K de la trilogie du Seigneur des Anneaux décevante, enfin sur les photos qui traînent ici et là sur internet, ça dénature complètement l'œuvre de Peter Jackson...
Je ne partage pas cet avis

De plus, Peter Jackson n'a jamais caché son insatisfaction sur des éléments de la trilogie. Là ce sont les mêmes techniciens qui sont à l’œuvre je suppose sous sa supervision, donc j'ose espérer qu'il sait ce qu'il fait.
Ensuite j'ai juste vu cette image :

Je trouve que ça confère à l'image une ambiance plus réaliste, plus tangible, plus dure et guerrière.
Perso je pense que je me referai la trilogie remastérisée lors de sa sortie au ciné.
Sinon :

Vu les 5 premiers épisodes de la saison 2. C'est sûrement parce que j'ai découvert la série sur le tard et que j'ai probablement du recul par rapport à cela mais je trouve que cette saison 2 n'a absolument rien à envier à la première. Déjà le point de départ est directement accrocheur et cette saison se montre incroyablement imprévisible, c'est un régal à chaque épisode.
Verdict sur l'ensemble demain mais je suis toujours aussi fan.

Vu les 5 premiers épisodes de la saison 2. C'est sûrement parce que j'ai découvert la série sur le tard et que j'ai probablement du recul par rapport à cela mais je trouve que cette saison 2 n'a absolument rien à envier à la première. Déjà le point de départ est directement accrocheur et cette saison se montre incroyablement imprévisible, c'est un régal à chaque épisode.
Verdict sur l'ensemble demain mais je suis toujours aussi fan.
- ClintReborn
- Messages : 5147
- Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
- Localisation : Avalon
C'est clair qu'il y a une nette amélioration de l'image en comparaison de l'original qui est trop pâle et délavéePale a écrit : ↑ven. 27 nov. 2020 22:33Je ne partage pas cet avis
De plus, Peter Jackson n'a jamais caché son insatisfaction sur des éléments de la trilogie. Là ce sont les mêmes techniciens qui sont à l’œuvre je suppose sous sa supervision, donc j'ose espérer qu'il sait ce qu'il fait.
Ensuite j'ai juste vu cette image :
Je trouve que ça confère à l'image une ambiance plus réaliste, plus tangible, plus dure et guerrière.
Perso je pense que je me referai la trilogie remastérisée lors de sa sortie au ciné.


Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"