D'accord, il faut donc que tu découvres Brightburn et Overlord
Overlord c'est une grosse tuerie aussi.
Le Cercle des profileurs disparus
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ClintReborn
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C'était du chinois 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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ClintReborn
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C'est tout de suite moins glamourAh ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
J'ai regardé ce film par curiosité et je trouve sa note injustement basse. D'accord c'est le film qui peut s'avérer frustrant pour son manque d'explications mais ça passe, c'est le genre où il faut lire entre les lignes. Après le film vaut surtout pour son ambiance plutôt tendue et mystérieuse.
[mention]Pale[/mention] tu comptes regarder le Zack Snyder's Justice League ?
Après Doctor Strange, Benedict Cumberbatch va jouer un autre grand magicien... en pleine guerre
Alors que le sorcier de Marvel se prépare pour sa suite réalisée par Sam Raimi, Benedict Cumberbatch pourrait remonter le temps et participer à une guerre.
Alors que Marvel et Doctor Strange a permis de voir l’acteur Benedict Cumberbatch en magicien maître du temps et de l’illusion, l'acteur pourrait reprendre du service et nous éblouir de ses nombreux tours... durant la guerre.
Un projet d’adaptation du roman historique de David Fisher, The War Magician, a été annoncé depuis 2012 avec aux commandes le réalisateur Marc Forster (Quantum of Solace) avant que celui-ci décide de renoncer. Depuis 2015, Benedict Cumberbatch fait partie de l’affaire, mais l’annonce toute récente d’un réalisateur pourrait enfin relancer complètement la machine.
En effet, le réalisateur Colin Trevorrow a dernièrement terminé Jurassic World : Le Monde d'après et a été engagé pour réaliser le long-métrage sur la Seconde Guerre mondiale produit par StudioCanal. Le scénario est toujours en cours d'écriture et a été confié à Nicholas Mariani (qui n'a rien écrit hors court-métrage pour le moment). L'intrigue selon Deadline va avoir comme point de départ un gang magique international, venant d’Afrique, d’Europe et du Moyen-Orient, qui aurait participé avec le magicien Jasper Maskelyne et une officière du renseignement militaire à la victoire contre les nazis.
L'histoire réelle du magicien Maskelyne qui a utilisé l'illusion pour tromper l'officier allemand Erwin Rommel a donné une anecdote bien cocasse. En effet, le magicien a inspiré l'écrivain britannique Ian Fleming pour écrire le personnage de Q de la saga James Bond.
Aucune date de sortie n'a encore été communiquée pour ce film. En revanche, Benedict Cumberbatch reprendra sa cape de grand maître le 23 mars 2022 pour Doctor Strange in the Multiverse of Madness réalisée par Sam Raimi. En attendant de voir les prochains tours de magie de notre docteur, vous pouvez toujours retrouver notre critique du premier Doctor Strange.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... ds_Jg-zRdU
Alors que le sorcier de Marvel se prépare pour sa suite réalisée par Sam Raimi, Benedict Cumberbatch pourrait remonter le temps et participer à une guerre.
Alors que Marvel et Doctor Strange a permis de voir l’acteur Benedict Cumberbatch en magicien maître du temps et de l’illusion, l'acteur pourrait reprendre du service et nous éblouir de ses nombreux tours... durant la guerre.
Un projet d’adaptation du roman historique de David Fisher, The War Magician, a été annoncé depuis 2012 avec aux commandes le réalisateur Marc Forster (Quantum of Solace) avant que celui-ci décide de renoncer. Depuis 2015, Benedict Cumberbatch fait partie de l’affaire, mais l’annonce toute récente d’un réalisateur pourrait enfin relancer complètement la machine.
En effet, le réalisateur Colin Trevorrow a dernièrement terminé Jurassic World : Le Monde d'après et a été engagé pour réaliser le long-métrage sur la Seconde Guerre mondiale produit par StudioCanal. Le scénario est toujours en cours d'écriture et a été confié à Nicholas Mariani (qui n'a rien écrit hors court-métrage pour le moment). L'intrigue selon Deadline va avoir comme point de départ un gang magique international, venant d’Afrique, d’Europe et du Moyen-Orient, qui aurait participé avec le magicien Jasper Maskelyne et une officière du renseignement militaire à la victoire contre les nazis.
L'histoire réelle du magicien Maskelyne qui a utilisé l'illusion pour tromper l'officier allemand Erwin Rommel a donné une anecdote bien cocasse. En effet, le magicien a inspiré l'écrivain britannique Ian Fleming pour écrire le personnage de Q de la saga James Bond.
Aucune date de sortie n'a encore été communiquée pour ce film. En revanche, Benedict Cumberbatch reprendra sa cape de grand maître le 23 mars 2022 pour Doctor Strange in the Multiverse of Madness réalisée par Sam Raimi. En attendant de voir les prochains tours de magie de notre docteur, vous pouvez toujours retrouver notre critique du premier Doctor Strange.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... ds_Jg-zRdU
EL a aimé Inunaki, le Village oublié (3,5 étoiles) :
Après avoir apposé sa marque sur le cinéma horrifique international, grâce au succès de franchises telles que Ring, l’horreur japonaise a progressivement reflué des inconscients, jusqu’à se réduire comme peau de chagrin. De retour avec Inunaki, le Village oublié, le légendaire Takashi Shimizu va-t-il réveiller les spectres chevelus qui accompagnèrent de leurs malédictions la fin des VHS ?
ON PREND LES MÊMES...
On lui doit Ju-on: The Grudge, un des cauchemars les plus populaires issus de l’archipel nippon, décliné en suites, remakes et reboots, jusqu’à une récente et décevante relecture hollywoodienne. En dépit d’un parcours irrégulier, Shimizu est bien un des paternels de la J-horror, quoique ses dernières mises en scène n’aient pas soulevé un écho nécessaire pour se voir exploiter sous nos latitudes.
Avec Inunaki, il se plonge dans une des plus vivaces légendes urbaines japonaises, grâce à laquelle il a été primé au Festival de Gérardmer. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’auteur est plus que désireux de secouer les carcans du cinéma de genre dont il a contribué à populariser les grands stéréotypes.
Pourtant, l’immersion dans son nouveau long-métrage n’a de prime abord rien d’une sinécure. S’ouvrant sur un apparent found footage, le récit veut nous familiariser avec un mythe aux contours un peu flou pour qui n’en est pas familier, tout en nous collant aux basques de deux personnages plutôt horripilants. Quand l’ensemble décide de mixer découpage traditionnel et vision subjective, on se demande un temps dans quelle direction va bien pouvoir nous entraîner cette intrigue un tantinet bordélique.
Et c’est justement de cet apparent foutoir que jaillit une œuvre invraisemblablement sympathique. On comprend rapidement que le film n’a rien d’une énième production un peu faiblarde et désireuse d’agiter devant les yeux du spectateur une tripotée de concepts usés, mais qu’il entend plutôt leur offrir un ultime baroud d’honneur, à l’occasion d’un grand huit effrayant à l’énergie communicative. Takashi Shimizu choisit d’avancer de soubresauts en rupture de ton, enchaîne les séquences intimistes avec les révélations (parfois totalement perchées) et ne cherche pas tant la cohérence que l’adrénaline.
...ET ON LES ÉCARTÈLE
Inunaki se transforme ainsi en gigantesque foire aux atrocités, profondément imprévisible, qui s’amuse à revisiter les grandes figures du cinéma de genre japonais tout en les dynamitant. Toujours inventif, le métrage contient une quantité étonnante de petits morceaux de bravoure, allant du frisson idéalement injecté au détour d’un plan, en passant par des scènes plus originales, telles que l’abomination surgissant d’une cabine téléphonique. D'orbites déformées en corps suppliciés, de jump scare en pures phases d'angoisse, Inunaki balance la sauce et se réinvente sans cesse, et déborde littéralement de monstrueuses hallucinations.
Que se passe-t-il ? Quelle est la véritable nature de la menace et quels sont les enjeux qui meuvent les protagonistes ? Ces questions ont beau être essentielles, on ne peut pas dire qu’elles embarrassent le film, qui change toujours de braquet avant que le spectateur retrouve son souffle. Cette électricité narrative, doublée d’une créativité constante dans les irruptions de l’effroi est dopée par une mythologie foutraque, mais intrigante. Tout cela permet au film de distiller petit à petit, puis à coups de bulldozer, un enthousiasme jubilatoire, pour peu qu’on accepte de lui lâcher la bride en termes de cohérence dramaturgique.
On pardonne volontiers à Inunaki son bazar narratif, tant celui-ci sert de toile de fond à la créativité en surchauffe de Shimizu, qui offre à l'horreur nippone un jouissif baroud d'honneur.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... Ky9ZtAkToE
Après avoir apposé sa marque sur le cinéma horrifique international, grâce au succès de franchises telles que Ring, l’horreur japonaise a progressivement reflué des inconscients, jusqu’à se réduire comme peau de chagrin. De retour avec Inunaki, le Village oublié, le légendaire Takashi Shimizu va-t-il réveiller les spectres chevelus qui accompagnèrent de leurs malédictions la fin des VHS ?
ON PREND LES MÊMES...
On lui doit Ju-on: The Grudge, un des cauchemars les plus populaires issus de l’archipel nippon, décliné en suites, remakes et reboots, jusqu’à une récente et décevante relecture hollywoodienne. En dépit d’un parcours irrégulier, Shimizu est bien un des paternels de la J-horror, quoique ses dernières mises en scène n’aient pas soulevé un écho nécessaire pour se voir exploiter sous nos latitudes.
Avec Inunaki, il se plonge dans une des plus vivaces légendes urbaines japonaises, grâce à laquelle il a été primé au Festival de Gérardmer. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’auteur est plus que désireux de secouer les carcans du cinéma de genre dont il a contribué à populariser les grands stéréotypes.
Pourtant, l’immersion dans son nouveau long-métrage n’a de prime abord rien d’une sinécure. S’ouvrant sur un apparent found footage, le récit veut nous familiariser avec un mythe aux contours un peu flou pour qui n’en est pas familier, tout en nous collant aux basques de deux personnages plutôt horripilants. Quand l’ensemble décide de mixer découpage traditionnel et vision subjective, on se demande un temps dans quelle direction va bien pouvoir nous entraîner cette intrigue un tantinet bordélique.
Et c’est justement de cet apparent foutoir que jaillit une œuvre invraisemblablement sympathique. On comprend rapidement que le film n’a rien d’une énième production un peu faiblarde et désireuse d’agiter devant les yeux du spectateur une tripotée de concepts usés, mais qu’il entend plutôt leur offrir un ultime baroud d’honneur, à l’occasion d’un grand huit effrayant à l’énergie communicative. Takashi Shimizu choisit d’avancer de soubresauts en rupture de ton, enchaîne les séquences intimistes avec les révélations (parfois totalement perchées) et ne cherche pas tant la cohérence que l’adrénaline.
...ET ON LES ÉCARTÈLE
Inunaki se transforme ainsi en gigantesque foire aux atrocités, profondément imprévisible, qui s’amuse à revisiter les grandes figures du cinéma de genre japonais tout en les dynamitant. Toujours inventif, le métrage contient une quantité étonnante de petits morceaux de bravoure, allant du frisson idéalement injecté au détour d’un plan, en passant par des scènes plus originales, telles que l’abomination surgissant d’une cabine téléphonique. D'orbites déformées en corps suppliciés, de jump scare en pures phases d'angoisse, Inunaki balance la sauce et se réinvente sans cesse, et déborde littéralement de monstrueuses hallucinations.
Que se passe-t-il ? Quelle est la véritable nature de la menace et quels sont les enjeux qui meuvent les protagonistes ? Ces questions ont beau être essentielles, on ne peut pas dire qu’elles embarrassent le film, qui change toujours de braquet avant que le spectateur retrouve son souffle. Cette électricité narrative, doublée d’une créativité constante dans les irruptions de l’effroi est dopée par une mythologie foutraque, mais intrigante. Tout cela permet au film de distiller petit à petit, puis à coups de bulldozer, un enthousiasme jubilatoire, pour peu qu’on accepte de lui lâcher la bride en termes de cohérence dramaturgique.
On pardonne volontiers à Inunaki son bazar narratif, tant celui-ci sert de toile de fond à la créativité en surchauffe de Shimizu, qui offre à l'horreur nippone un jouissif baroud d'honneur.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... Ky9ZtAkToE
Ridley Scott prépare Roads to Freedom et ambitionne une énorme série sur la Seconde Guerre Mondiale
Il s'agira d'un projet très personnel pour le cinéaste anglais, qui envisage de s'inspirer de ses souvenirs de sa propre enfance en Grande-Bretagne.
Du haut de ses 83 ans, Ridley Scott est toujours aussi actif. Alors qu'on attend son prochain film The Last Duel en fin d'année, qu'il tourne actuellement son biopic de Gucci, prépare celui de Napoléon, et travaille pendant sa pause déjeuner sur la saison 2 de Raised By Wolves, on apprend qu'il a trouvé le temps de lancer une nouvelle série à gros budget, autour de la Seconde Guerre Mondiale.
Une série limitée épique intitulée Roads to Freedom qui racontera le conflit 39-45 sous de multiples angles à travers le monde.
Elle sera basée sur les livres de Sir Antony Beevor, qui co-écrira la série, composée de 10 épisodes avec le créateur de Peaky Blinders, Steven Knight. Scott sera producteur exécutif et il prévoit même de réaliser le premier épisode.
Un projet très personnel pour le cinéaste, qui envisage de s'inspirer des souvenirs de sa propre enfance en Grande-Bretagne en temps de guerre et de son voyage ultérieur en Allemagne d'après-guerre, où son père a joué un rôle crucial dans la reconstruction du pays. Son ambition est de na pas limiter la narration au point de vue américain ou britannique, mais d'élargir la portée de cette perspective en incluant des personnages venus de Russie, de France et d'Allemagne, en évoquant la course entre l'Est et l'Ouest pour mettre la main sur Berlin, jetant les bases de la Guerre froide. Roads to Freedom "mettra l'accent sur l'héroïsme et l'humanité, en racontant les histoires d'hommes, de femmes et d'enfants qui luttent pour survivre".
Reste que le projet est encore loin d'être concrétisé. Il n'a pas de chaîne ou de plateforme attachées pour la diffusion et n'a pas encore trouvé son financement, sachant que Ridley Scott souhaiterait mettre sur pied une coproduction mondiale, selon Deadline.
https://www.premiere.fr/Series/News-Ser ... jVk22rGjsQ
Il s'agira d'un projet très personnel pour le cinéaste anglais, qui envisage de s'inspirer de ses souvenirs de sa propre enfance en Grande-Bretagne.
Du haut de ses 83 ans, Ridley Scott est toujours aussi actif. Alors qu'on attend son prochain film The Last Duel en fin d'année, qu'il tourne actuellement son biopic de Gucci, prépare celui de Napoléon, et travaille pendant sa pause déjeuner sur la saison 2 de Raised By Wolves, on apprend qu'il a trouvé le temps de lancer une nouvelle série à gros budget, autour de la Seconde Guerre Mondiale.
Une série limitée épique intitulée Roads to Freedom qui racontera le conflit 39-45 sous de multiples angles à travers le monde.
Elle sera basée sur les livres de Sir Antony Beevor, qui co-écrira la série, composée de 10 épisodes avec le créateur de Peaky Blinders, Steven Knight. Scott sera producteur exécutif et il prévoit même de réaliser le premier épisode.
Un projet très personnel pour le cinéaste, qui envisage de s'inspirer des souvenirs de sa propre enfance en Grande-Bretagne en temps de guerre et de son voyage ultérieur en Allemagne d'après-guerre, où son père a joué un rôle crucial dans la reconstruction du pays. Son ambition est de na pas limiter la narration au point de vue américain ou britannique, mais d'élargir la portée de cette perspective en incluant des personnages venus de Russie, de France et d'Allemagne, en évoquant la course entre l'Est et l'Ouest pour mettre la main sur Berlin, jetant les bases de la Guerre froide. Roads to Freedom "mettra l'accent sur l'héroïsme et l'humanité, en racontant les histoires d'hommes, de femmes et d'enfants qui luttent pour survivre".
Reste que le projet est encore loin d'être concrétisé. Il n'a pas de chaîne ou de plateforme attachées pour la diffusion et n'a pas encore trouvé son financement, sachant que Ridley Scott souhaiterait mettre sur pied une coproduction mondiale, selon Deadline.
https://www.premiere.fr/Series/News-Ser ... jVk22rGjsQ
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NaughtyDog
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Si quelques problèmes persistent (utilisation pas toujours adéquate du 4:3, quelques fonds verts baveux et un antagoniste qui manque quand même de coffre..), Zack Snyder's Justice League est pour ma part le meilleur film DC de l'ancienne timeline (oui c'est mieux que MoS et BvS)
Ici on est dans la trame ancestrale du combat entre le Bien et le Mal (purement comic book donc) avec des Dieux qui feront équipe dans la bataille. Exit les gloubi-boulgas narratifs avortés, ici on a 4h épiques et étonnement humaines également. Chaque perso est correctement introduit de manière solennelle et avec emphase.
A ce titre, si on compare avec la version ciné de 2017, les grands vainqueurs sont Cyborg (meilleur perso du film) et Flash (qui n'est plus un bouffon malgré son coté comic relief, et bénéficie d'une superbe séquence avec Iris).
Chaque héros est bien contrebalancé, même si Superman et Batman sont quand même plus en retrait (malgré des rôles importants).
Rayon antagoniste : Steppenwolf a toujours un design douteux, mais se révèle mieux caractérisé et plus menaçant qu'auparavant. En bonus, on tease très bien Darkseid (malgré le fait qu'on ne le reverra pas de sitôt...)
Autre point notable : la BO de Junkie Xl, tantôt atmosphérique, émotionnelle ou bien épique apporte du gravitas comme il faut. On retiendra un superbe thème principal inspirant, ou encore des choeurs du plus bel effet alloués à Wonder Woman.
Ce Snyder Cut (et le seul digne de ce nom) est une vraie leçon sur les bénéfices d'un director's cut, à savoir la même histoire grossièrement, mais contée différement (et là est toute la différence). En terme de ton et visuellement c'est évidemment bcp plus edgy, plus brut de décoffrage (membres et têtes tranchées).
Et malgré les 4h, le rythme est très bien gêré entre scènes d'action bien découpées, introspections et présentations des persos...un petit aspect mini-série qui permet une trame fluide et cohérente, pour notre plus grand bonheur.
Bref, quand on voit d'où on revient, ça force le respect, et on tient là un très bon film Justice League !
4/5
Isabelle Adjani revient au cinéma avec un rôle parfait, pour François Ozon
François Ozon va adapter Les Larmes amères de Petra von Kant, pièce de théâtre et film de Rainer Werner Fassbinder, avec Isabelle Adjani et Denis Ménochet.
François Ozon aime certainement beaucoup de choses dans l'absolu, mais au cinéma, il y en deux qui sont particulièrement évidentes : les actrices, et Fassbinder. Les actrices, parce que Charlotte Rampling dans Sous le sable puis Swimming Pool avec Ludivine Sagnier, parce que 8 femmes avec son parterre de stars, parce que Marine Vacth dans Jeune & Jolie, et bientôt Sophie Marceau dans Tout s'est bien passé.
Et Fassbinder, parce que tout est presque parti de là. Dès son troisième film, Ozon adaptait une pièce de théâtre du réalisateur allemand : Gouttes d'eau sur pierres brûlantes, terrible jeu de séduction entre Bernard Giraudeau, Malik Zidi, Anna Thomson et Ludivine Sagnier.
Le prochain projet du réalisateur de Potiche et Été 85 a donc des airs de flashback puisque François Ozon prépare une nouvelle adaptation des Larmes amères de Petra von Kant, une pièce de théâtre de Rainer Werner Fassbinder, qu'il avait lui-même adaptée en film en 1971. Des retrouvailles d'autant plus belles qu'il filmera Isabelle Adjani.
Comme Woody Allen, François Ozon prépare déjà un film alors qu'il vient d'en terminer un. Son 21ème long-métrage sera donc porté par Isabelle Adjani, qui devrait retrouver là un grand rôle dramatique hors-normes, dans une histoire de manipulation, humiliation et séduction entre femmes.
Le personnage de Petra von Kant est a priori un beau terrain de jeu pour elle : c'est une créatrice de mode narcissique et sadique, qui prend un plaisir pervers à humilier et maltraiter son assistante. Ce rapport d'amour-haine tordu et amoureux va être compliqué par l'arrivée d'une jeune femme, dont Petra tombe amoureuse. Dans la pièce et le film de Fassbinder, c'est un huis-clos, qui se déroule intégralement dans l'appartement de Petra.
Ozon retrouvera pour l'occasion Denis Ménochet, qu'il avait dirigé dans Grâce à Dieu et Dans la maison. Variety précise même que selon Satellifax, l'acteur jouera Fassbinder, et Adjani, sa muse. De quoi imaginer une relecture ? Possible, vu que le casting du film allemand était entièrement féminin.
Si François Ozon enchaîne les films, Isabelle Adjani, elle, choisit avec précaution ses rôles. Hormis son apparition dans Dix pour cent et Capitaine Marleau, elle tourne peu au cinéma : Le Monde est à toi en 2018, Carole Matthieu en 2016, Sous les jupes des filles en 2014, David et Madame Hansen en 2012, ou De Force en 2011. Sachant qu'on attend toujours Sœurs, drame réalisé par Yamina Benguigui, avec Maïwenn et Rachida Brakni.
En tout cas, François Ozon + Isabelle Adjani + Rainer Werner Fassbinder = oui, vivement.
http://www.ecranlarge.com/films/news/13 ... NFxF26AZ_I
François Ozon va adapter Les Larmes amères de Petra von Kant, pièce de théâtre et film de Rainer Werner Fassbinder, avec Isabelle Adjani et Denis Ménochet.
François Ozon aime certainement beaucoup de choses dans l'absolu, mais au cinéma, il y en deux qui sont particulièrement évidentes : les actrices, et Fassbinder. Les actrices, parce que Charlotte Rampling dans Sous le sable puis Swimming Pool avec Ludivine Sagnier, parce que 8 femmes avec son parterre de stars, parce que Marine Vacth dans Jeune & Jolie, et bientôt Sophie Marceau dans Tout s'est bien passé.
Et Fassbinder, parce que tout est presque parti de là. Dès son troisième film, Ozon adaptait une pièce de théâtre du réalisateur allemand : Gouttes d'eau sur pierres brûlantes, terrible jeu de séduction entre Bernard Giraudeau, Malik Zidi, Anna Thomson et Ludivine Sagnier.
Le prochain projet du réalisateur de Potiche et Été 85 a donc des airs de flashback puisque François Ozon prépare une nouvelle adaptation des Larmes amères de Petra von Kant, une pièce de théâtre de Rainer Werner Fassbinder, qu'il avait lui-même adaptée en film en 1971. Des retrouvailles d'autant plus belles qu'il filmera Isabelle Adjani.
Comme Woody Allen, François Ozon prépare déjà un film alors qu'il vient d'en terminer un. Son 21ème long-métrage sera donc porté par Isabelle Adjani, qui devrait retrouver là un grand rôle dramatique hors-normes, dans une histoire de manipulation, humiliation et séduction entre femmes.
Le personnage de Petra von Kant est a priori un beau terrain de jeu pour elle : c'est une créatrice de mode narcissique et sadique, qui prend un plaisir pervers à humilier et maltraiter son assistante. Ce rapport d'amour-haine tordu et amoureux va être compliqué par l'arrivée d'une jeune femme, dont Petra tombe amoureuse. Dans la pièce et le film de Fassbinder, c'est un huis-clos, qui se déroule intégralement dans l'appartement de Petra.
Ozon retrouvera pour l'occasion Denis Ménochet, qu'il avait dirigé dans Grâce à Dieu et Dans la maison. Variety précise même que selon Satellifax, l'acteur jouera Fassbinder, et Adjani, sa muse. De quoi imaginer une relecture ? Possible, vu que le casting du film allemand était entièrement féminin.
Si François Ozon enchaîne les films, Isabelle Adjani, elle, choisit avec précaution ses rôles. Hormis son apparition dans Dix pour cent et Capitaine Marleau, elle tourne peu au cinéma : Le Monde est à toi en 2018, Carole Matthieu en 2016, Sous les jupes des filles en 2014, David et Madame Hansen en 2012, ou De Force en 2011. Sachant qu'on attend toujours Sœurs, drame réalisé par Yamina Benguigui, avec Maïwenn et Rachida Brakni.
En tout cas, François Ozon + Isabelle Adjani + Rainer Werner Fassbinder = oui, vivement.
http://www.ecranlarge.com/films/news/13 ... NFxF26AZ_I
Mon rythme de (re)visionnages de films a ralenti. En ce moment je me refait Brooklyn Nine-Nine et Dans le sillages des Pirates, la nouvelle série-documentaire de Netflix.
Moi c'est l'inverse, je suis motivé de ouf mais avec le travail c'est pas toujours évident dans le sens où quand je rentre j'ai pas forcément la force et la motivation de mater quelque chose. Je préfère être en forme
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ClintReborn
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J'allais dire que Pacino avait prit un coup de vieux mais je lui donne toujours par erreur 20 ans de moins qu'en réalité
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Le soir en semaine j'ai pas la force pour mater un film, ou alors faut que je le commence tôt. Mais le week-end je mate un ou plusieurs films si j'ai le temps.
Oui idem, le week-end j'essaie d'en profiter à fond. Enfin pas ce week-end en l’occurrence car j'ai la malchance de bosser demain
Pareil, ces derniers temps, je ne fais que dormir et je tiens rarement éveillé tard 
Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
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J'ai enfin vu la bête (en deux fois). Je trouve que c'est un Justice League digne de ce nom et je suis ravi de ce dénouement heureux pour Zack Snyder qui peut nous offrir sa propre vision et très content du triomphe que connaît actuellement le film. Les deux premières heures sont bien mais je trouve que le film prend véritablement son envol lorsque la ligue est enfin réunie. A partir de ce moment là, c'est claque sur claque. J'adore aussi ce genre de gros blockbuster qui mélange aussi bien l'intime et l'épique. Cette Snyder Cut donne l'occasion à ses personnages d'exister mais elle possède aussi une ampleur de dingue avec des scènes et des plans grandioses. Bref pour moi ce film a des allures de monument et je surkiffe Flash
J'ai tellement hâtePale a écrit : ↑dim. 21 mars 2021 13:02
J'ai enfin vu la bête (en deux fois). Je trouve que c'est un Justice League digne de ce nom et je suis ravi de ce dénouement heureux pour Zack Snyder qui peut nous offrir sa propre vision et très content du triomphe que connaît actuellement le film. Les deux premières heures sont bien mais je trouve que le film prend véritablement son envol lorsque la ligue est enfin réunie. A partir de ce moment là, c'est claque sur claque. J'adore aussi ce genre de gros blockbuster qui mélange aussi bien l'intime et l'épique. Cette Snyder Cut donne l'occasion à ses personnages d'exister mais elle possède aussi une ampleur de dingue avec des scènes et des plans grandioses. Bref pour moi ce film a des allures de monument et je surkiffe Flash
C'est assurément un bon film, très poignant qui ne fait pas dans le pathos avec un Riz Ahmed prodigieux et une Olivia Cooke délicieuse. Bref j'ai beaucoup aimé même si le film est parfois flou dans son évolution, certains détails scénaristiques me laissent un peu dubitatif Enfin je chipote mais dans le fond, le film est superbe.
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NaughtyDog
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Cherry n'est pas mauvais, mais c'est pas forcément bon non plus
Néanmoins on tient là un film avec de vraies forces : les Russos livrent ici un film plus intimiste, à la recherche visuelle constante
une constance qui in fine nuit pas mal à la narration de Cherry, qui bénéficie d'un scénario des plus classiques
une histoire d'amour (qui manque cruellement d'emphase) qui se mue en descente aux enfers dans la drogue et la criminalité suite à une expérience traumatique en Irak.
Une histoire "vraie" à la base,qui est racontée de manière un peu trop surlignée, àbase de grosse voix-off, et de justement une non-économie de moyens : plans ultra travaillés, ralentis,travelings sur-signifiants, jeu de focale et autres artifices pour modifier la photographie...
Il y a pas à dire Cherry est un objet cinématographique très intéressant formellement, pour un fond on ne peut plus basique. Heureusement on a tient aussi une direction d'acteurs au cordeau, surplombée par celle d'un Tom Holland excellent.
Dommage de ne pas avoir mis tous ses moyens dans quelque chose de moins artificiel, ce qui aurait permis de décupler l'émotion (pareil, le film est bcp trop long pour ce qu'il nous raconte).
Néanmoins, je ne veux pas être trop vache, 'est clairement un film à voir pour son acteur et sa recherche plastique !
2.5/5
Godzilla vs. Kong : les premiers avis sur le combat titanesque de Warner sont tombés
Entre action démente et humains pitoyables, Godzilla vs. Kong a soufflé le chaud et le froid auprès de la critique américaine. Ready ? Fight !
Parmi les blockbusters attendus du printemps, Warner a beaucoup misé sur Godzilla vs. Kong, son combat de titans censé entériner son MonsterVerse. Il faut dire qu’après sa bande-annonce plutôt excitante, le film d’Adam Wingard a semblé promettre une bonne tranche d’action décomplexée. Bonne nouvelle, les premiers avis ont souligné la note d’intention bien régressive du projet.
En effet, certains médias américains ont pu découvrir le long-métrage avant sa sortie le 31 mars 2021 aux États-Unis. Chose intéressante, la distribution hybride de Godzilla vs. Kong en salles et sur HBO Max (une stratégie encore assez nouvelle) a poussé la plupart de ces avis préliminaires à souligner l’importance d’un écran géant pour un tel spectacle. Peut-être est-ce d’ailleurs dû au manque de blockbusters, mais le duel de colosses a été globalement salué pour ses séquences d’action épiques, à la lisibilité bien plus proche de Pacific Rim que de Godzilla II : Roi des Monstres. Sur ce point, autant dire qu’on est quelque peu rassuré...
En revanche, si beaucoup se sont accordés à sauver la dimension cool du film, d’autres n’ont pas pu passer outre ses nombreux personnages humains, dont les enjeux semblent aussi bien implémentés et pertinents qu’une crotte de Kaiju. Petit tour d’horizon.
“Vu Godzilla vs. Kong deux fois. Les scènes avec les humains sont exactement ce que vous attendez et ne valent pas qu’on en parle. Tout ce qui a attrait à Godzilla et Kong est la raison pour laquelle il faut voir ce film sur un écran IMAX. Ils ont tous les deux des scènes qui présentent leur puissance et le troisième acte est incroyable.
J’ai regardé le combat entre Godzilla et Kong pour la première fois dans mon salon, et même si j’ai une installation décente, ce film demande à être vu sur le plus grand écran possible. Si vous pouvez trouver un cinéma où vous vous sentez en sécurité, allez définitivement voir ce film sur grand écran.” - Steven Weintraub - Collider
“Comme on pouvait s’y attendre – et c'est sans doute mieux ainsi - les combats de titans sont les meilleures parties de Godzilla vs. Kong. Adam Wingard a définitivement un regard pour tirer le meilleur de ces moments ! Je pense qu’ils n’ont toujours pas réussi à incorporer des personnages humains, mais la qualité de l’ensemble aide.” - Perri Nemiroff - Collider
"Godzilla vs. Kong a d’excellentes scènes d’action et effets spéciaux. L’histoire est follement ambitieuse et par instants accomplit quelques moments uniques de SF cool. Je le regarderais encore pour cela, mais la plupart des angles sur les humains sont si surchargés, illogiques et vains que ça m’a sorti du film." - Germain Lussier - Gizmodo
“J’avais totalement détesté le précédent Godzilla. Donc voici la plus grande louange que je puisse donner à un film comme Godzilla vs. Kong : c’est un film cohérent avec des combats en plein jour et je pouvais toujours voir ce qui se passait. Il faut vraiment le prendre comme un compliment.” - Mike Ryan - Uproxx
"J’ai vu Godzilla vs. Kong et je lui mets un grand A [note américaine] ! Les bagarres de monstres sont badass et belles – des combats énormes, tous bien designées et complexes. Une histoire solide, un casting fort, et une très bonne bande-originale. Un véritable “Midnight Monster movie” et mon film préféré des quatre Godzilla/Kong modernes." - Erik Davis - Fandango
"Godzilla vs. Kong est fun, vibrant, bourré d’action et énergisant. Il est à la hauteur du match de poids lourds qu’il a vendu, avec ses effets spéciaux et séquences d’action incroyables. Le film vend un spectacle, et c’est exactement ce que le public aura." - Sheraz Farroqi - ComicBook Debate
Pour rappel, Godzilla vs. Kong est toujours censé sortir au cinéma en France. À cause de la pandémie mondiale, Warner Bros a été contraint de décaler une nouvelle fois le blockbuster pour le 19 mai 2021 par chez nous. En attendant de savoir si ce sera la bonne, on vous renvoie à nos dossiers dédiés au bestiaire du MonsterVerse, et également à notre classement des cinq meilleurs films Godzilla et des cinq pires.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1616409757
Volte/Face 2 : la suite pourrait voir le retour de John Travolta et Nicolas Cage
S'il est déjà difficile de concevoir qu'une suite de Volte/Face puisse voir le jour, y retrouver John Travolta et Nicolas Cage paraît encore plus insolite.
Volte/Face est une production génialement déroutante, même si le fait d'en faire une suite avec Adam Wingard pour prendre le relais de John Woo est maintenant ce qu'il y a de plus improbable concernant cette pépite des années 90. Si on pensait au départ qu'il s'agirait d'un remake, on a pourtant appris en février dernier que le réalisateur du prochain Godzilla vs. Kong et le scénariste Simon Barrett étaient en train d'écrire une suite directe, ce qu'on a un peu de mal à imaginer.
Pour rappel, le film original gravite autour de Sean Archer et Castor Troy, qui a l'air tout ce qu'il y a de plus mort à la fin. En acceptant que le terroriste s'en soit finalement tiré, on pouvait pensait assez naïvement que les deux personnages pourraient effectivement revenir, sans pour autant être à nouveau incarnés par John Travolta et Nicolas Cage étant donné que tout le principe du film repose sur le fait de pouvoir changer de visage.
Mais là encore, ce Volte/Face 2 réserve bien des surprises, puisque le réalisateur a récemment déclaré à Showbiz Cheat Sheet que les deux acteurs sont prêts à revenir au casting s'ils sont satisfaits par le scénario. Il a également précisé que ce scénario n'en était encore qu'à ses débuts :
"Simon [Barrett] et moi sommes sur le point de remettre notre ébauche à la Paramount. On doit encore surmonter quelques obstacles, comme savoir s'ils aiment ce film. Ils ont lu notre projet dans les grandes lignes. Tout le monde est d'accord, mais rendre le scénario est une chose différente, on verra comment tout le monde réagit. C'est une histoire sur Sean Archer et Castor Troy. Pour rester dans cette optique, l'histoire nous mène dans une direction bien spécifique."
Il se pourrait donc que le duo se reforme, ce qui rend le projet encore plus curieux, mais pas forcément plus rassurant. En tout cas, pour se replonger dans le film d'action de 1997, notre dossier est disponible de ce côté.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1616404844
S'il est déjà difficile de concevoir qu'une suite de Volte/Face puisse voir le jour, y retrouver John Travolta et Nicolas Cage paraît encore plus insolite.
Volte/Face est une production génialement déroutante, même si le fait d'en faire une suite avec Adam Wingard pour prendre le relais de John Woo est maintenant ce qu'il y a de plus improbable concernant cette pépite des années 90. Si on pensait au départ qu'il s'agirait d'un remake, on a pourtant appris en février dernier que le réalisateur du prochain Godzilla vs. Kong et le scénariste Simon Barrett étaient en train d'écrire une suite directe, ce qu'on a un peu de mal à imaginer.
Pour rappel, le film original gravite autour de Sean Archer et Castor Troy, qui a l'air tout ce qu'il y a de plus mort à la fin. En acceptant que le terroriste s'en soit finalement tiré, on pouvait pensait assez naïvement que les deux personnages pourraient effectivement revenir, sans pour autant être à nouveau incarnés par John Travolta et Nicolas Cage étant donné que tout le principe du film repose sur le fait de pouvoir changer de visage.
Mais là encore, ce Volte/Face 2 réserve bien des surprises, puisque le réalisateur a récemment déclaré à Showbiz Cheat Sheet que les deux acteurs sont prêts à revenir au casting s'ils sont satisfaits par le scénario. Il a également précisé que ce scénario n'en était encore qu'à ses débuts :
"Simon [Barrett] et moi sommes sur le point de remettre notre ébauche à la Paramount. On doit encore surmonter quelques obstacles, comme savoir s'ils aiment ce film. Ils ont lu notre projet dans les grandes lignes. Tout le monde est d'accord, mais rendre le scénario est une chose différente, on verra comment tout le monde réagit. C'est une histoire sur Sean Archer et Castor Troy. Pour rester dans cette optique, l'histoire nous mène dans une direction bien spécifique."
Il se pourrait donc que le duo se reforme, ce qui rend le projet encore plus curieux, mais pas forcément plus rassurant. En tout cas, pour se replonger dans le film d'action de 1997, notre dossier est disponible de ce côté.
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Après Tyler Rake sur Netflix, Sam Hargrave va bientôt réaliser un nouveau film d'action avec Jake Gyllenhaal
Le passage de Sam Hargrave derrière la caméra pour Netflix, a été auréolé de succès. Il est devenu un réalisateur de film d'action assez convoité.
Lorsque Tyler Rake a fait son entrée dans le catalogue Netflix en avril 2020, il a véritablement cassé la baraque. Bénéficiant des confinements un peu partout dans le monde, il avait été visionné près de 100 millions de fois en moins de trois mois : un record pour le leader de la SVoD. Sans trop de surprise, le retour du mercenaire interprété par Chris Hemsworth a d'ores et déjà été annoncé et Tyler Rake 2 devrait être tourné avant la fin de l'année 2021. Le film devrait par ailleurs inaugurer une véritable saga : Netflix a annoncé qu'elle avait commandé tout un univers étendu autour du film, qui sera dirigé par nulle autre que... les frères Russo, à qui on doit notamment les derniers long-métrages de la saga Avengers.
À l'origine, Sam Hargrave, son réalisateur, est un cascadeur professionnel : il a notamment joué dans Atomic Blonde et coordonné les cascades de plusieurs films Marvel. Suite au carton de son film, il est devenu un homme très convoité à Hollywood. Il a notamment été recruté par Jon Favreau pour diriger les scènes d'action sur le tournage de The Mandalorian. Plus récemment, c'est la Metro-Goldywn-Mayer (MGM) qui l'a contacté pour réaliser un nouveau film de guerre.
Le magazine Deadline rapporte effectivement que le cinéaste devrait bientôt signer Combat Control, un film d'action qui retrace l'histoire vraie de la mort d'un soldat américain en Afghanistan. Le sergent Nathan Chapman est mort lors d'une embuscade dans les montagnes afghanes, en mars 2002. Des années plus tard, le sergent était monté en grade, à titre posthume, suite à l'enquête d'une autre militaire.
C'est l'acteur Jake Gyllenhaal (Brokeback Mountain, Nocturnal Animals) qui a été choisi pour jouer le rôle du soldat. Sur le papier, on retrouve là exactement la formule qui avait fait le succès de Tyler Rake sur Netflix, à savoir une star hollywoodienne très connue, un protagoniste réaliste mais quasi-superhéroïque et de la baston à en revendre. À noter que ce n'est pas la première fois qu'il endosse l'uniforme américain pour un long-métrage : il l'avait déjà fait en 2005, pour le film Jarhead, la fin de l'innocence, de Sam Mendes
Récemment, Jake Gyllenhaal s'est fait plus discret devant la caméra. En 2020 par exemple, il n'est apparu dans aucun nouveau film, mais a participé à la production du superbe Relic ou encore du film Netflix Le Diable, tout le temps, avec Tom Holland. Il sera bientôt à l'affiche du film The Guilty (remake du film danois éponyme) avec Ethan Hawke, Riley Keough et Peter Sarsgaard.
Pour l'instant, Combat Control vient seulement d'être annoncé. Il est encore trop tôt pour dévoiler une date de tournage - encore moins une date de sortie. Tyler Rake épisode 2 en revanche, devrait rejoindre le catalogue courant 2022. D'ici là, on vous invite à retrouver notre critique du film ou notre dossier dans lequel on dissèque ce qui fait de Tyler Rake, la nouvelle formule gagnante de Netflix.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 7tm8_7m8Nc
Le passage de Sam Hargrave derrière la caméra pour Netflix, a été auréolé de succès. Il est devenu un réalisateur de film d'action assez convoité.
Lorsque Tyler Rake a fait son entrée dans le catalogue Netflix en avril 2020, il a véritablement cassé la baraque. Bénéficiant des confinements un peu partout dans le monde, il avait été visionné près de 100 millions de fois en moins de trois mois : un record pour le leader de la SVoD. Sans trop de surprise, le retour du mercenaire interprété par Chris Hemsworth a d'ores et déjà été annoncé et Tyler Rake 2 devrait être tourné avant la fin de l'année 2021. Le film devrait par ailleurs inaugurer une véritable saga : Netflix a annoncé qu'elle avait commandé tout un univers étendu autour du film, qui sera dirigé par nulle autre que... les frères Russo, à qui on doit notamment les derniers long-métrages de la saga Avengers.
À l'origine, Sam Hargrave, son réalisateur, est un cascadeur professionnel : il a notamment joué dans Atomic Blonde et coordonné les cascades de plusieurs films Marvel. Suite au carton de son film, il est devenu un homme très convoité à Hollywood. Il a notamment été recruté par Jon Favreau pour diriger les scènes d'action sur le tournage de The Mandalorian. Plus récemment, c'est la Metro-Goldywn-Mayer (MGM) qui l'a contacté pour réaliser un nouveau film de guerre.
Le magazine Deadline rapporte effectivement que le cinéaste devrait bientôt signer Combat Control, un film d'action qui retrace l'histoire vraie de la mort d'un soldat américain en Afghanistan. Le sergent Nathan Chapman est mort lors d'une embuscade dans les montagnes afghanes, en mars 2002. Des années plus tard, le sergent était monté en grade, à titre posthume, suite à l'enquête d'une autre militaire.
C'est l'acteur Jake Gyllenhaal (Brokeback Mountain, Nocturnal Animals) qui a été choisi pour jouer le rôle du soldat. Sur le papier, on retrouve là exactement la formule qui avait fait le succès de Tyler Rake sur Netflix, à savoir une star hollywoodienne très connue, un protagoniste réaliste mais quasi-superhéroïque et de la baston à en revendre. À noter que ce n'est pas la première fois qu'il endosse l'uniforme américain pour un long-métrage : il l'avait déjà fait en 2005, pour le film Jarhead, la fin de l'innocence, de Sam Mendes
Récemment, Jake Gyllenhaal s'est fait plus discret devant la caméra. En 2020 par exemple, il n'est apparu dans aucun nouveau film, mais a participé à la production du superbe Relic ou encore du film Netflix Le Diable, tout le temps, avec Tom Holland. Il sera bientôt à l'affiche du film The Guilty (remake du film danois éponyme) avec Ethan Hawke, Riley Keough et Peter Sarsgaard.
Pour l'instant, Combat Control vient seulement d'être annoncé. Il est encore trop tôt pour dévoiler une date de tournage - encore moins une date de sortie. Tyler Rake épisode 2 en revanche, devrait rejoindre le catalogue courant 2022. D'ici là, on vous invite à retrouver notre critique du film ou notre dossier dans lequel on dissèque ce qui fait de Tyler Rake, la nouvelle formule gagnante de Netflix.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 7tm8_7m8Nc
Un nouveau film Ace Ventura est en projet
Peut-être avec les scénaristes de Sonic, le film… Mais avec ou sans Jim Carrey ?
Le gros, gros succès de Un prince à New York 2 avec Eddie Murphy sur Amazon Prime va-t-il lancer une vague de reboots de comédies ? En tous cas, il paraît que le projet de retour d’Ace Ventura est de nouveau sur les rails. C’est l’équipe du studio Morgan Creek, détenteur des droits d’Ace Ventura, détective chiens et chats, qui l’a affirmé lors d’une interview publiée sur le site du distributeur Park Circus. "Nous sommes très excités de nos développements de franchise, avec L’Exorciste et la franchise Ace Ventura… on ne peut pas ignorer 3 millions de fans qui chattent sur la page Facebook officielle d’Ace Ventura que le public réclame un troisième film", expliquent-ils. "Pendant le Covid, le public a adoré voir revenir des personnages aussi aimés avec de nouvelles histoires." Des sites américains affirment que Morgan Creek a aussi annoncé lors de la même interview que Ace Ventura 3 se fera chez Amazon avec les scénaristes de Sonic, le film, mais l’info a disparu depuis de la page web. Une annonce trop prématurée ?
Jim Carrey, alias Ace Ventura, jouait le méchant Robotnik dans Sonic, le film, qui a été un gros succès en salles en février 2020, suffisamment pour qu’une suite soit déjà en chantier, toujours avec Carrey. Par contre, on ne sait pas s’il reviendra dans cet éventuel Ace Ventura 3, dans la peau du détective privé cartoonesque qu’il avait incarné dans deux films. Ace Ventura, détective chiens et chats était sorti en 1994, la même année que Dumb and Dumber et The Mask : un brelan d’as qui avait fait de Carrey la superstar de la comédie US. La suite Ace Ventura en Afrique (1995) avait tout aussi cartonné (cinquième plus gros succès de l’année, devant Casper mais derrière Pocahontas). Une série télé animée avait duré trois saisons entre 1995 et 2000, et il faut aussi évoquer le DTV Ace Ventura 3 (2009), un spin-off sur le fils du héros, Ace Junior, joué par le jeune Josh Flitter. En 2017, le studio Morgan Creek avait déjà annoncé un reboot d’Ace Ventura, mais sans réel suivi. Carrey n’était pas très chaud, paraît-il. Mais c’était avant que la pandémie ne bouscule tout. Suffisamment pour faire revenir Ace ?
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... BcnKW-3az4
Peut-être avec les scénaristes de Sonic, le film… Mais avec ou sans Jim Carrey ?
Le gros, gros succès de Un prince à New York 2 avec Eddie Murphy sur Amazon Prime va-t-il lancer une vague de reboots de comédies ? En tous cas, il paraît que le projet de retour d’Ace Ventura est de nouveau sur les rails. C’est l’équipe du studio Morgan Creek, détenteur des droits d’Ace Ventura, détective chiens et chats, qui l’a affirmé lors d’une interview publiée sur le site du distributeur Park Circus. "Nous sommes très excités de nos développements de franchise, avec L’Exorciste et la franchise Ace Ventura… on ne peut pas ignorer 3 millions de fans qui chattent sur la page Facebook officielle d’Ace Ventura que le public réclame un troisième film", expliquent-ils. "Pendant le Covid, le public a adoré voir revenir des personnages aussi aimés avec de nouvelles histoires." Des sites américains affirment que Morgan Creek a aussi annoncé lors de la même interview que Ace Ventura 3 se fera chez Amazon avec les scénaristes de Sonic, le film, mais l’info a disparu depuis de la page web. Une annonce trop prématurée ?
Jim Carrey, alias Ace Ventura, jouait le méchant Robotnik dans Sonic, le film, qui a été un gros succès en salles en février 2020, suffisamment pour qu’une suite soit déjà en chantier, toujours avec Carrey. Par contre, on ne sait pas s’il reviendra dans cet éventuel Ace Ventura 3, dans la peau du détective privé cartoonesque qu’il avait incarné dans deux films. Ace Ventura, détective chiens et chats était sorti en 1994, la même année que Dumb and Dumber et The Mask : un brelan d’as qui avait fait de Carrey la superstar de la comédie US. La suite Ace Ventura en Afrique (1995) avait tout aussi cartonné (cinquième plus gros succès de l’année, devant Casper mais derrière Pocahontas). Une série télé animée avait duré trois saisons entre 1995 et 2000, et il faut aussi évoquer le DTV Ace Ventura 3 (2009), un spin-off sur le fils du héros, Ace Junior, joué par le jeune Josh Flitter. En 2017, le studio Morgan Creek avait déjà annoncé un reboot d’Ace Ventura, mais sans réel suivi. Carrey n’était pas très chaud, paraît-il. Mais c’était avant que la pandémie ne bouscule tout. Suffisamment pour faire revenir Ace ?
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... BcnKW-3az4