Le Cercle des profileurs disparus
EL n'a pas aimé Tron : Ares (1,5 étoiles) :
Tron : Ares est loin d’être le pari le moins risqué de Disney cette année. Bien qu’elle ait naguère révolutionné l’industrie des effets spéciaux et malgré son esthétique instantanément reconnaissable, la franchise n’a jamais vraiment dominé le box-office. L’engagement du réalisateur Joachim Rønning (Maléfique 2, Pirates des Caraïbes 5) n’était pas rassurant, pas plus que celui de Jared Leto, aimant à navet et gourou fashion récemment accusé par neuf femmes de comportements plus qu’inappropriés. Mickey n’ayant pas poussé le vice jusqu’à lui confier la bande originale (ouf, c’est Nine Inch Nails), l’espoir restait de mise. Le film sort en salles ce 8 octobre 2025.
PLUS C’EST CON, PLUS C’EST TRON
En 1982, Tron avait été une petite révolution. C’était l’un des premiers longs-métrages à vraiment implémenter des images générées par ordinateur. Steven Lisberger et Bonnie MacBird avaient eu la bonne idée d’incorporer cette technologie naissante à leur scénario, ce qui en faisait un témoin assez savoureux de son temps. En 2010, L'Héritage se proposait de moderniser son esthétique virtuelle. Malgré ses énormes défauts, il était parvenu à le faire.
Tron : Ares ajoute lui aussi sa pierre à cet édifice, qui suit de près l’évolution des technologies numériques. Cette fois, la promesse est non plus de nous balancer simplement dans un ordinateur, mais de matérialiser les programmes dans le monde réel, où se déroule une bonne partie du récit. Sur le plan technique, c’est effectivement un défi supplémentaire (faire interagir des CGI avec des décors et personnages physiques, c’est difficile) et, sur le plan thématique, c’est à peu près cohérent à l’heure de l’intelligence artificielle.
Malheureusement, c’est précisément là qu’il se plante. Non pas que les effets spéciaux ne sont pas convaincants, bien au contraire : la… trainée rouge laissée par les véhicules est même étonnamment tangible. C’est plutôt qu’une fois en dehors de « la grille », rien, mais alors rien n'a de sens. Le scénario est un gigantesque foutoir dont les enjeux sont plus débiles les uns que les autres, et ce, dès cette atroce séquence d’ouverture en 3D.
Pour donner une petite idée du niveau d’absurdité, le MacGuffin principal est une ligne de code qui permet – tenez vous bien – de matérialiser n’importe quoi, n’importe quand, n’importe comment, sans limites de temps. Et ce, grâce à une sorte d’imprimante 3D géante défiant toutes les règles de la physique, que les programmes peuvent carjacker de l’intérieur, la chose étant connectée non-stop au serveur. Dans le monde de Tron, on peut littéralement créer de la matière ex nihilo, mais personne n’a encore inventé les interrupteurs.
Bien sûr, la franchise n’a jamais vraiment été un monument de réalisme informatique, mais celui-ci explose toutes les limites de la suspension d’incrédulité au bazooka, surtout quand l’intrigue tente de raccrocher les wagons de ce train où tout est possible, donc rien n’a d’importance (bien pratique, cette « backdoor »).
IA-T-IL UN PILOTE DANS LA MOTO ?
C’est d’autant plus risible qu’elle voudrait faire du personnage éponyme un monstre de Frankenstein contemporain (le roman est cité 3 fois…) se découvrant une humanité. Même le jeu de Jared Leto porte moins préjudice à ce héros que le scénario, qui le balade à travers les décors en espérant que son regard perdu dans le vide suscitera un peu de sympathie. Sachant que le seul autre vrai personnage est celui de Greta Lee, dont l’unique touche de caractérisation concerne une sœur morte du cancer. Original.
Un gros ramassis de clichés dans un univers complètement incohérent, ça donne donc un chaos noir et rouge, voire pire encore. Car, malgré tout, les scénaristes Jesse Wigutow et David DiGilio tiennent à évoquer les enjeux technologiques du moment, à savoir bien entendu l'IA générative.
Dans leur futur, le destin de l’humanité est entre les mains de deux patrons millionnaires de la tech. L’un est un fils à maman super mégalo, super méchant (Evan Peters, prix du cabotinage le plus raté de l’année), l’autre une grande humaniste super gentille, super courageuse, super chanceuse et super forte à moto.
Et entre eux, il n’y a personne à part un programme démissionnaire, deux ou trois personnages secondaires qui hackent des trucs quand c’est utile et huit figurants qui courent en hurlant quand un space invader grandeur nature débarque dans leur ville. Une véritable utopie de la Silicon Valley au niveau de subtilité et de nuance d’un bot Twitter, se terminant avec une leçon de morale d’une naïveté quasiment criminelle. Quand on sait que Disney a un temps considéré ajouter un personnage généré par IA dans le projet, on se demande si c’est de l’insouciance ou de la publicité mensongère.
Alors la nostalgie de bas étage dans laquelle se vautre le dernier acte, avec un Jeff Bridges les yeux rivés sur son chèque, n’en est que plus pathétique. L’avant-gardisme du premier Tron s’est définitivement dilué dans le cynisme hollywoodien. Il faut dire qu’entre-temps, les promesses enthousiasmantes qui allaient avec l’évolution du numérique n’ont pas été tenues. Et le champ des possibles évoqué avec passion par le long-métrage de Steven Lisberger s’est rétrécit considérablement.
PRETTY HATE MACHINE
Peut-être est-il impossible aujourd’hui de réaliser un film Tron sans sombrer dans le cinéma d’horreur. Ou alors en se focalisant sur ses séquences d’action pleines de néons. C’est ce qu’on essaie de faire quand on réalise la stupidité du scénario, accordant notre confiance au savoir-faire de Joachim Rønning. Pirates des Caraïbes 5 était certes un très mauvais film, mais il comportait quelques moments de bravoure qui tiraient le maximum de l’univers exploité. Et l’univers de Tron est un bac à sable galvanisant.
Déployant une armada assez conséquente aussi bien dans le monde réel que sur « la grille », le blockbuster comporte quelques bonnes idées : une course poursuite qui devient une partie de Snake urbain, un dog fight entre jets de l’armée et mécha à lasers… Dommage qu’il les exploite rarement à fond, y compris dans un climax en sous-régime qui se contente d’érafler quelques immeubles. En fait, certaines séquences nous paraissent beaucoup plus épiques qu’elles ne le sont réellement. Et ça, c’est bien sûr grâce à la musique.
La saga a toujours étendu ses expérimentations technologiques à sa bande-son, et ce dès 1982. Disney avait eu à l’époque l’audace d’engager la pionnière Wendy Carlos, et c’est d’ailleurs peut-être pour honorer son héritage que ces nerds de Daft Punk ont accepté de participer à la suite. Le score de Nine Inch Nails n’est peut-être pas aussi mémorable, mais il transcende complètement ce qui serait sans lui un navet sans âme.
De retour sous leur célèbre alias à jamais affilié au rock industriel, Trent Reznor et Atticus Ross osent pourtant l’EBM méga-bourrin, dont la noirceur sous-jacente insuffle un peu de créativité dans la machine. Il faut voir cette poursuite somme toute assez générique, qui se charge de désespoir au rythme étrange des synthés. L’écart se creuse entre les postes créatifs. Le prochain volet sera probablement mis en scène par Uwe Boll et en musique par Aphex Twin.
Blague à part, c’est aussi la preuve qu’il est encore possible d’utiliser la mythologie Tron pour débroussailler l’imaginaire technologique. La prochaine fois, peut-être.
Un sommet de stupidité caricatural, voire inconscient, sauvé du naufrage total par les restes de la saga et la bande originale de Nine Inch Nails.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 0L_lVQuwMQ
Tron : Ares est loin d’être le pari le moins risqué de Disney cette année. Bien qu’elle ait naguère révolutionné l’industrie des effets spéciaux et malgré son esthétique instantanément reconnaissable, la franchise n’a jamais vraiment dominé le box-office. L’engagement du réalisateur Joachim Rønning (Maléfique 2, Pirates des Caraïbes 5) n’était pas rassurant, pas plus que celui de Jared Leto, aimant à navet et gourou fashion récemment accusé par neuf femmes de comportements plus qu’inappropriés. Mickey n’ayant pas poussé le vice jusqu’à lui confier la bande originale (ouf, c’est Nine Inch Nails), l’espoir restait de mise. Le film sort en salles ce 8 octobre 2025.
PLUS C’EST CON, PLUS C’EST TRON
En 1982, Tron avait été une petite révolution. C’était l’un des premiers longs-métrages à vraiment implémenter des images générées par ordinateur. Steven Lisberger et Bonnie MacBird avaient eu la bonne idée d’incorporer cette technologie naissante à leur scénario, ce qui en faisait un témoin assez savoureux de son temps. En 2010, L'Héritage se proposait de moderniser son esthétique virtuelle. Malgré ses énormes défauts, il était parvenu à le faire.
Tron : Ares ajoute lui aussi sa pierre à cet édifice, qui suit de près l’évolution des technologies numériques. Cette fois, la promesse est non plus de nous balancer simplement dans un ordinateur, mais de matérialiser les programmes dans le monde réel, où se déroule une bonne partie du récit. Sur le plan technique, c’est effectivement un défi supplémentaire (faire interagir des CGI avec des décors et personnages physiques, c’est difficile) et, sur le plan thématique, c’est à peu près cohérent à l’heure de l’intelligence artificielle.
Malheureusement, c’est précisément là qu’il se plante. Non pas que les effets spéciaux ne sont pas convaincants, bien au contraire : la… trainée rouge laissée par les véhicules est même étonnamment tangible. C’est plutôt qu’une fois en dehors de « la grille », rien, mais alors rien n'a de sens. Le scénario est un gigantesque foutoir dont les enjeux sont plus débiles les uns que les autres, et ce, dès cette atroce séquence d’ouverture en 3D.
Pour donner une petite idée du niveau d’absurdité, le MacGuffin principal est une ligne de code qui permet – tenez vous bien – de matérialiser n’importe quoi, n’importe quand, n’importe comment, sans limites de temps. Et ce, grâce à une sorte d’imprimante 3D géante défiant toutes les règles de la physique, que les programmes peuvent carjacker de l’intérieur, la chose étant connectée non-stop au serveur. Dans le monde de Tron, on peut littéralement créer de la matière ex nihilo, mais personne n’a encore inventé les interrupteurs.
Bien sûr, la franchise n’a jamais vraiment été un monument de réalisme informatique, mais celui-ci explose toutes les limites de la suspension d’incrédulité au bazooka, surtout quand l’intrigue tente de raccrocher les wagons de ce train où tout est possible, donc rien n’a d’importance (bien pratique, cette « backdoor »).
IA-T-IL UN PILOTE DANS LA MOTO ?
C’est d’autant plus risible qu’elle voudrait faire du personnage éponyme un monstre de Frankenstein contemporain (le roman est cité 3 fois…) se découvrant une humanité. Même le jeu de Jared Leto porte moins préjudice à ce héros que le scénario, qui le balade à travers les décors en espérant que son regard perdu dans le vide suscitera un peu de sympathie. Sachant que le seul autre vrai personnage est celui de Greta Lee, dont l’unique touche de caractérisation concerne une sœur morte du cancer. Original.
Un gros ramassis de clichés dans un univers complètement incohérent, ça donne donc un chaos noir et rouge, voire pire encore. Car, malgré tout, les scénaristes Jesse Wigutow et David DiGilio tiennent à évoquer les enjeux technologiques du moment, à savoir bien entendu l'IA générative.
Dans leur futur, le destin de l’humanité est entre les mains de deux patrons millionnaires de la tech. L’un est un fils à maman super mégalo, super méchant (Evan Peters, prix du cabotinage le plus raté de l’année), l’autre une grande humaniste super gentille, super courageuse, super chanceuse et super forte à moto.
Et entre eux, il n’y a personne à part un programme démissionnaire, deux ou trois personnages secondaires qui hackent des trucs quand c’est utile et huit figurants qui courent en hurlant quand un space invader grandeur nature débarque dans leur ville. Une véritable utopie de la Silicon Valley au niveau de subtilité et de nuance d’un bot Twitter, se terminant avec une leçon de morale d’une naïveté quasiment criminelle. Quand on sait que Disney a un temps considéré ajouter un personnage généré par IA dans le projet, on se demande si c’est de l’insouciance ou de la publicité mensongère.
Alors la nostalgie de bas étage dans laquelle se vautre le dernier acte, avec un Jeff Bridges les yeux rivés sur son chèque, n’en est que plus pathétique. L’avant-gardisme du premier Tron s’est définitivement dilué dans le cynisme hollywoodien. Il faut dire qu’entre-temps, les promesses enthousiasmantes qui allaient avec l’évolution du numérique n’ont pas été tenues. Et le champ des possibles évoqué avec passion par le long-métrage de Steven Lisberger s’est rétrécit considérablement.
PRETTY HATE MACHINE
Peut-être est-il impossible aujourd’hui de réaliser un film Tron sans sombrer dans le cinéma d’horreur. Ou alors en se focalisant sur ses séquences d’action pleines de néons. C’est ce qu’on essaie de faire quand on réalise la stupidité du scénario, accordant notre confiance au savoir-faire de Joachim Rønning. Pirates des Caraïbes 5 était certes un très mauvais film, mais il comportait quelques moments de bravoure qui tiraient le maximum de l’univers exploité. Et l’univers de Tron est un bac à sable galvanisant.
Déployant une armada assez conséquente aussi bien dans le monde réel que sur « la grille », le blockbuster comporte quelques bonnes idées : une course poursuite qui devient une partie de Snake urbain, un dog fight entre jets de l’armée et mécha à lasers… Dommage qu’il les exploite rarement à fond, y compris dans un climax en sous-régime qui se contente d’érafler quelques immeubles. En fait, certaines séquences nous paraissent beaucoup plus épiques qu’elles ne le sont réellement. Et ça, c’est bien sûr grâce à la musique.
La saga a toujours étendu ses expérimentations technologiques à sa bande-son, et ce dès 1982. Disney avait eu à l’époque l’audace d’engager la pionnière Wendy Carlos, et c’est d’ailleurs peut-être pour honorer son héritage que ces nerds de Daft Punk ont accepté de participer à la suite. Le score de Nine Inch Nails n’est peut-être pas aussi mémorable, mais il transcende complètement ce qui serait sans lui un navet sans âme.
De retour sous leur célèbre alias à jamais affilié au rock industriel, Trent Reznor et Atticus Ross osent pourtant l’EBM méga-bourrin, dont la noirceur sous-jacente insuffle un peu de créativité dans la machine. Il faut voir cette poursuite somme toute assez générique, qui se charge de désespoir au rythme étrange des synthés. L’écart se creuse entre les postes créatifs. Le prochain volet sera probablement mis en scène par Uwe Boll et en musique par Aphex Twin.
Blague à part, c’est aussi la preuve qu’il est encore possible d’utiliser la mythologie Tron pour débroussailler l’imaginaire technologique. La prochaine fois, peut-être.
Un sommet de stupidité caricatural, voire inconscient, sauvé du naufrage total par les restes de la saga et la bande originale de Nine Inch Nails.
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Marty Supreme : premiers avis sur le thriller sportif dingue avec Timothée Chalamet
Timothée Chalamet joue les pongistes orgueilleux dans Marty Supreme de Josh Safdie et les premiers avis sur le film sont enfin tombés.
Depuis son passage à la Mostra de Venise avec Smashing Machine et surtout son Lion d’argent du meilleur réalisateur reçu des mains du jury d’Alexander Payne, Benny Safdie est un peu sous le feu des projecteurs. D’autant plus que son film met en scène Dwayne Johnson dans un rôle bien différent du reste de sa carrière cinéma, avec l’ambition de glaner (éventuellement) une fameuse statuette en mars prochain. Mais attention, un réalisateur peut en cacher un autre.
Si Benny Safdie a eu son heure de gloire, c’est désormais à son frère, Josh Safdie, de cueillir les lauriers avec Marty Supreme. Mené par Timothée Chalamet, le film raconte l’histoire de Marty Mauser, un jeune homme-pongiste à l’ambition démesurée, qui va tout faire pour réaliser ses rêves et prouver que rien ne peut l’arrêter. Un pitch qui promettait un thriller et faux-biopic hors-norme avec la tension de Uncut Gems. Alors qu’il avait évité les festivals jusqu’ici, Marty Supreme a été dévoilé dans une avant-première surprise au NYFF (New York Film Festival). Les premiers avis sont donc tombés.
« Marty Supreme est le meilleur film de [Josh] Safdie à ce jour. Une odyssée cinétique qui se joue comme un croisement dérangé entre Arrête moi si tu peux et Uncut Gems. Timothée Chalamet livre une performance exceptionnelle dans ce tour de force cinématographique inoubliable et époustouflant, qui fait feu de tout bois. » Diego Andaluz – Discussing Film
« Marty Supreme repose sur une réalisation exceptionnelle et exaltante de Josh Safdie. La meilleure performance de Timothée Chalamet – il était fait pour jouer ce personnage – avec une Odessa A’Zion formidable à la tête d’une distribution secondaire superbe. C’est impressionnant. » David Canfield – The Hollywood Reporter
« Marty Supreme est un mélange de Uncut Gems et de L’Attrape-cœurs [de J.D. Salinger] et de Jerry Maguire, porté par la meilleure performance de Timothée Chalamet à ce jour. J’ai adoré. » Ramin Setoodeh – Variety
« Marty Supreme est une véritable explosion d’adrénaline et ce dont on rêvait après Uncut Gems. Tout aussi dément et tendu, mais ivre de l’assurance de la jeunesse et de l’arrogance de croire que le talent et le charme suffisent. C’est une œuvre cinématographique absolument remarquable. » David Crow – Den of Geek
« Marty Supreme est le meilleur film de l’année. Oh mon Dieu ! Toute l’énergie débordante de Safdie, si caractéristique, parfaitement imprégnée du charisme générationnel du prince promis [sous-entendu Chalamet, ndlr]. La performance de Chalamet est aussi folle que celle de Cody Rhodes à WrestleMania 40. Ceux qui savent, savent. » Liam T. Crowley – Screenrant
« Marty Supreme est du pur Safdie. Moite, nerveux, tentaculaire, drôle, dérangé et exaspérant. Un film à suspense sur une personne brisée, condamnée par l’ego qui l’a construite, ignorant tous les avertissements et signes avant-coureurs, poursuivant sa propre vision du destin jusqu’à la ruine chaotique, même lorsque la vie offre une autre issue.
On y retrouve certaines des scènes de ping-pong les plus palpitantes jamais réalisées, dans un montage où l’on voit Marty jouer pour les Harlem Globetrotters contre un Walrus ou un Marty nu se faire violemment fesser par une raquette de ping-pong ! Chalamet est formidable et, à son apogée, porté par une confiance excessive. C’est amusant et d’une sagesse sans prétention, mais la seconde partie est tellement déjantée qu’elle peut être épuisante, pour le meilleur comme pour le pire. » Jason Osiason – Fantastic Film Fans
« Oui, Josh a emporté toute l’énergie débordante du Safdie avec lui dans Marty Supreme. Dire que c’est un film de sport ne suffit pas, c’est une odyssée frénétique et déjantée, aussi exaltante qu’épuisante. Le star power de Timothée est si éclatant et indéniable que c’est une véritable supernova. J’ai adoré. » Hoai-Tran Bui – Slash Film
« Marty Supreme est un pur délice. Josh Safdie nous entraîne dans un tour du monde chaotique et tentaculaire pour déconstruire l’orgueil arrogant d’un prodige du ping-pong qui ne peut s’empêcher d’être insupportable. C’est remarquable comme ça marche. Il n’y a plus aucun doute sur le fait que Timothée Chalamet soit une superstar du cinéma. » Brandon Lewis – Geek Vibes Nation
« Marty Supreme est une épopée sportive tentaculaire et électrisante, débordante de vitalité du premier au dernier plan. Josh Safdie nous offre une partition magistrale de chaos organisé à une échelle jamais vue auparavant, nous propulsant dans la quête incessante de Marty pour prouver à tous qu’il est le meilleur joueur de ping-pong du monde. Timothée Chalamet, avec une cadence de parole fulgurante, un esprit survolté et une confiance inébranlable, s’investit pleinement dans son rôle, émotionnellement et physiquement, atteignant un apogée qui a fait exploser le public.
Le résultat est une performance et un film aussi exaltants, surprenants et angoissants que tout ce que [Josh] Safdie a réalisé. La musique est phénoménale, vibrant d’une énergie surnaturelle, tandis que le montage cinétique fait passer les 2h30 du film à une vitesse fulgurante. L’une des histoires de sport les plus vivifiantes et les meilleures jamais portées à l’écran. » Matt Neglia – Next Best Picture
Et voilà que la course aux Oscars est donc relancée avec l’arrivée de Marty Supreme. On se doutait que l’œuvre de Josh Safdie pourrait bien devenir un des favoris pour les statuettes de 2026, mais les premiers retours critiques autour du film viennent de le confirmer pleinement. Marty Supreme semble avoir rassemblé les foules, la plupart des avis évoquant l’un des meilleurs films de l’année, le plaçant d’ores et déjà aux côtés de Une bataille après l’autre et Hamnet.
Au petit jeu de l’Oscar du meilleur acteur mené par les deux frères Safdie, Timothée Chalamet semble avoir mis une petite mandale à Dwayne Johnson avec sa prestation dans Marty Supreme. Évidemment, il est trop tôt pour se positionner catégoriquement, mais il y a de grandes chances pour que le jeune acteur franco-américain reparte avec une ribambelle de prix en début d’année prochaine. Pour se faire notre propre avis, on devra en tout cas attendre encore un moment puisque le film sortira seulement le 18 février 2026 en France.
https://www.ecranlarge.com/films/news/m ... fsrkjVJjxw
Timothée Chalamet joue les pongistes orgueilleux dans Marty Supreme de Josh Safdie et les premiers avis sur le film sont enfin tombés.
Depuis son passage à la Mostra de Venise avec Smashing Machine et surtout son Lion d’argent du meilleur réalisateur reçu des mains du jury d’Alexander Payne, Benny Safdie est un peu sous le feu des projecteurs. D’autant plus que son film met en scène Dwayne Johnson dans un rôle bien différent du reste de sa carrière cinéma, avec l’ambition de glaner (éventuellement) une fameuse statuette en mars prochain. Mais attention, un réalisateur peut en cacher un autre.
Si Benny Safdie a eu son heure de gloire, c’est désormais à son frère, Josh Safdie, de cueillir les lauriers avec Marty Supreme. Mené par Timothée Chalamet, le film raconte l’histoire de Marty Mauser, un jeune homme-pongiste à l’ambition démesurée, qui va tout faire pour réaliser ses rêves et prouver que rien ne peut l’arrêter. Un pitch qui promettait un thriller et faux-biopic hors-norme avec la tension de Uncut Gems. Alors qu’il avait évité les festivals jusqu’ici, Marty Supreme a été dévoilé dans une avant-première surprise au NYFF (New York Film Festival). Les premiers avis sont donc tombés.
« Marty Supreme est le meilleur film de [Josh] Safdie à ce jour. Une odyssée cinétique qui se joue comme un croisement dérangé entre Arrête moi si tu peux et Uncut Gems. Timothée Chalamet livre une performance exceptionnelle dans ce tour de force cinématographique inoubliable et époustouflant, qui fait feu de tout bois. » Diego Andaluz – Discussing Film
« Marty Supreme repose sur une réalisation exceptionnelle et exaltante de Josh Safdie. La meilleure performance de Timothée Chalamet – il était fait pour jouer ce personnage – avec une Odessa A’Zion formidable à la tête d’une distribution secondaire superbe. C’est impressionnant. » David Canfield – The Hollywood Reporter
« Marty Supreme est un mélange de Uncut Gems et de L’Attrape-cœurs [de J.D. Salinger] et de Jerry Maguire, porté par la meilleure performance de Timothée Chalamet à ce jour. J’ai adoré. » Ramin Setoodeh – Variety
« Marty Supreme est une véritable explosion d’adrénaline et ce dont on rêvait après Uncut Gems. Tout aussi dément et tendu, mais ivre de l’assurance de la jeunesse et de l’arrogance de croire que le talent et le charme suffisent. C’est une œuvre cinématographique absolument remarquable. » David Crow – Den of Geek
« Marty Supreme est le meilleur film de l’année. Oh mon Dieu ! Toute l’énergie débordante de Safdie, si caractéristique, parfaitement imprégnée du charisme générationnel du prince promis [sous-entendu Chalamet, ndlr]. La performance de Chalamet est aussi folle que celle de Cody Rhodes à WrestleMania 40. Ceux qui savent, savent. » Liam T. Crowley – Screenrant
« Marty Supreme est du pur Safdie. Moite, nerveux, tentaculaire, drôle, dérangé et exaspérant. Un film à suspense sur une personne brisée, condamnée par l’ego qui l’a construite, ignorant tous les avertissements et signes avant-coureurs, poursuivant sa propre vision du destin jusqu’à la ruine chaotique, même lorsque la vie offre une autre issue.
On y retrouve certaines des scènes de ping-pong les plus palpitantes jamais réalisées, dans un montage où l’on voit Marty jouer pour les Harlem Globetrotters contre un Walrus ou un Marty nu se faire violemment fesser par une raquette de ping-pong ! Chalamet est formidable et, à son apogée, porté par une confiance excessive. C’est amusant et d’une sagesse sans prétention, mais la seconde partie est tellement déjantée qu’elle peut être épuisante, pour le meilleur comme pour le pire. » Jason Osiason – Fantastic Film Fans
« Oui, Josh a emporté toute l’énergie débordante du Safdie avec lui dans Marty Supreme. Dire que c’est un film de sport ne suffit pas, c’est une odyssée frénétique et déjantée, aussi exaltante qu’épuisante. Le star power de Timothée est si éclatant et indéniable que c’est une véritable supernova. J’ai adoré. » Hoai-Tran Bui – Slash Film
« Marty Supreme est un pur délice. Josh Safdie nous entraîne dans un tour du monde chaotique et tentaculaire pour déconstruire l’orgueil arrogant d’un prodige du ping-pong qui ne peut s’empêcher d’être insupportable. C’est remarquable comme ça marche. Il n’y a plus aucun doute sur le fait que Timothée Chalamet soit une superstar du cinéma. » Brandon Lewis – Geek Vibes Nation
« Marty Supreme est une épopée sportive tentaculaire et électrisante, débordante de vitalité du premier au dernier plan. Josh Safdie nous offre une partition magistrale de chaos organisé à une échelle jamais vue auparavant, nous propulsant dans la quête incessante de Marty pour prouver à tous qu’il est le meilleur joueur de ping-pong du monde. Timothée Chalamet, avec une cadence de parole fulgurante, un esprit survolté et une confiance inébranlable, s’investit pleinement dans son rôle, émotionnellement et physiquement, atteignant un apogée qui a fait exploser le public.
Le résultat est une performance et un film aussi exaltants, surprenants et angoissants que tout ce que [Josh] Safdie a réalisé. La musique est phénoménale, vibrant d’une énergie surnaturelle, tandis que le montage cinétique fait passer les 2h30 du film à une vitesse fulgurante. L’une des histoires de sport les plus vivifiantes et les meilleures jamais portées à l’écran. » Matt Neglia – Next Best Picture
Et voilà que la course aux Oscars est donc relancée avec l’arrivée de Marty Supreme. On se doutait que l’œuvre de Josh Safdie pourrait bien devenir un des favoris pour les statuettes de 2026, mais les premiers retours critiques autour du film viennent de le confirmer pleinement. Marty Supreme semble avoir rassemblé les foules, la plupart des avis évoquant l’un des meilleurs films de l’année, le plaçant d’ores et déjà aux côtés de Une bataille après l’autre et Hamnet.
Au petit jeu de l’Oscar du meilleur acteur mené par les deux frères Safdie, Timothée Chalamet semble avoir mis une petite mandale à Dwayne Johnson avec sa prestation dans Marty Supreme. Évidemment, il est trop tôt pour se positionner catégoriquement, mais il y a de grandes chances pour que le jeune acteur franco-américain reparte avec une ribambelle de prix en début d’année prochaine. Pour se faire notre propre avis, on devra en tout cas attendre encore un moment puisque le film sortira seulement le 18 février 2026 en France.
https://www.ecranlarge.com/films/news/m ... fsrkjVJjxw
bon anniversaire à
Paul Hogan 86 ans (Crocodile Dundee)
Chevy Chase 82 ans (Le Golf en folie, Fletch aux trousses, Trois amigos !, Le sapin a les boules, série Community)
Sigourney Weaver 76 ans (saga Alien, saga SOS Fantômes, Working Girl, Avatar)
Stephanie Zimbalist 69 ans (série Les Enquêtes de Remington Steele)
Ian Hart 61 ans (L'Anglais qui gravit une colline mais descendit une montagne, Michael Collins, Harry Potter à l'école des sorciers, tv Le Chien des Baskerville)
Emily Procter 57 ans (séries À la Maison-Blanche, Les Experts : Miami)
Matt Damon 55 ans (Will Hunting, Il faut sauver le soldat Ryan, Le Talentueux Mr Ripley, saga Jason Bourne, Oppenheimer, saga Ocean's)
Enrique Arce 53 ans (série La casa de papel)
Kristanna Loken 46 ans (Terminator 3 : Le Soulèvement des machines, BloodRayne, séries Pensacola, The L Word, PainkillerJane)
Angus T. Jones 32 ans (série Mon oncle Charlie)
Molly Quinn 32 ans (série Castle)
Paul Hogan 86 ans (Crocodile Dundee)
Chevy Chase 82 ans (Le Golf en folie, Fletch aux trousses, Trois amigos !, Le sapin a les boules, série Community)
Sigourney Weaver 76 ans (saga Alien, saga SOS Fantômes, Working Girl, Avatar)
Stephanie Zimbalist 69 ans (série Les Enquêtes de Remington Steele)
Ian Hart 61 ans (L'Anglais qui gravit une colline mais descendit une montagne, Michael Collins, Harry Potter à l'école des sorciers, tv Le Chien des Baskerville)
Emily Procter 57 ans (séries À la Maison-Blanche, Les Experts : Miami)
Matt Damon 55 ans (Will Hunting, Il faut sauver le soldat Ryan, Le Talentueux Mr Ripley, saga Jason Bourne, Oppenheimer, saga Ocean's)
Enrique Arce 53 ans (série La casa de papel)
Kristanna Loken 46 ans (Terminator 3 : Le Soulèvement des machines, BloodRayne, séries Pensacola, The L Word, PainkillerJane)
Angus T. Jones 32 ans (série Mon oncle Charlie)
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Vosg'patt de cœur
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ClintReborn
- Messages : 5130
- Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
- Localisation : Avalon
Je dois dire que voir Elle Fanning dans ce rôle est très étrange
C'est une excellente Actrice mais on pourrait croire a un montage tellement c'est un projet a part dans sa filmo 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
C'est vrai que ça semble à part, mais je trouve que ça marche bien : (je ne révèle rien, c'est dans la bande-annonceClintReborn a écrit : ↑mer. 8 oct. 2025 10:55Je dois dire que voir Elle Fanning dans ce rôle est très étrange
)Elle a quand même Super 8 et les films Maléfique à son actif. Alors certes c'est vrai qu'elle joue davantage dans des films plus indépendants mais c'est comme Scarlett qui alterne parfois avec un gros blockrobinne a écrit : ↑mer. 8 oct. 2025 17:14C'est vrai que ça semble à part, mais je trouve que ça marche bien : (je ne révèle rien, c'est dans la bande-annonceClintReborn a écrit : ↑mer. 8 oct. 2025 10:55Je dois dire que voir Elle Fanning dans ce rôle est très étrange
bon anniversaire à
Pierre Jolivet 73 ans act, réal (Ma petite entreprise)
Scott Bakula 71 ans (Color of Night, Ma vie avec Liberace, séries Code Quantum, Star Trek: Enterprise, NCIS : Nouvelle-Orléans)
Linwood Boomer 70 ans act (La Petite Maison dans la prairie), prod (séries Ricky ou la Belle Vie, Troisième planète après le Soleil, Malcolm)
Michael Paré 67 ans (Philadelphia Experiment, Le Village des damnés -1995, série Texas police)
Guillermo del Toro 61 ans réal (Hellboy, Le Labyrinthe de Pan, Crimson Peak, La Forme de l'eau, Nightmare Alley, Pinocchio)
Laurent Mariotte 56 ans animateur tv
Yann Barthes 51 ans journ. tv (Quotidien)
Brandon Routh 46 ans (Superman Returns, séries Arrow, Legends of Tomorrow, Chuck)
Pierre Jolivet 73 ans act, réal (Ma petite entreprise)
Scott Bakula 71 ans (Color of Night, Ma vie avec Liberace, séries Code Quantum, Star Trek: Enterprise, NCIS : Nouvelle-Orléans)
Linwood Boomer 70 ans act (La Petite Maison dans la prairie), prod (séries Ricky ou la Belle Vie, Troisième planète après le Soleil, Malcolm)
Michael Paré 67 ans (Philadelphia Experiment, Le Village des damnés -1995, série Texas police)
Guillermo del Toro 61 ans réal (Hellboy, Le Labyrinthe de Pan, Crimson Peak, La Forme de l'eau, Nightmare Alley, Pinocchio)
Laurent Mariotte 56 ans animateur tv
Yann Barthes 51 ans journ. tv (Quotidien)
Brandon Routh 46 ans (Superman Returns, séries Arrow, Legends of Tomorrow, Chuck)
Vosg'patt de cœur
Tron Ares se fait détruire par la critique américaine
Disney croyait réveiller un monstre oublié avec Tron Ares, mais c’est une bête mal en point qu’il a ressuscitée. Et la presse américaine a copieusement démoli le film.
Sorti en 1982, le premier Tron reste l’un de ces films cultes qui n’ont jamais été des machines à billets. Avec un budget estimé à 17 millions de dollars pour un box-office d’à peine 33 millions, le film a été rapidement rangé dans le bac des curiosités coûteuses. Quant à l’extraordinaire opéra cyberpunk Tron L’héritage, avec un budget colossal de 170 millions, il n’a rapporté « que » 400 millions dans le monde, soit un très modeste retour sur investissement pour un blockbuster Disney.
En remettant le couvert avec Tron : Ares, Disney sait donc qu’il joue avec le feu. Le risque d’un flop massif flottait déjà au-dessus du tournage, d’autant que l’équipe artistique n’était pas franchement rassurante, avec Joachim Rønning (heureux yes man de blockbusters tièdes comme Pirates des Caraïbes 5 ou Maléfique 2) à la caméra et le gourou de secte Jared « Morbius » Leto en tête d’affiche, alors qu’il traîne plusieurs accusations de comportements inappropriés.
Et ça n’a pas manqué, Tron : Ares est un énorme ratage. À la projection presse, nos valeureux Geoffrey et Mathieu ont souffert mille tourments pour survivre à ce Tron 3. Et la critique américaine a aussi déglingué Tron : Ares. Revue de presse.
« Tron : Ares a le cachet visuel d’un jeu mobile et la profondeur thématique d’une flaque d’eau — au point de faire passer le pitch du film original de 1982, dans lequel Jeff Bridges se faisait aspirer dans un ordinateur, pour une œuvre philosophique. » Independent
« Contrairement à Tron : l’héritage, qui ressemblait à une attraction futuriste lancée à pleine vitesse, Ares est un reboot mollasson et sans inspiration, qui passe son temps à sur-expliquer un scénario aussi alambiqué que prévisible. » The Verge
« Tron : Ares n’est qu’un chaos visuel, un film qui pioche dans tous les grands classiques de la science-fiction sur l’IA sans jamais creuser plus loin que la surface. C’est stylé, bourré d’action et d’idées séduisantes, mais émotionnellement creux. » Zach Pope Reviews
« Alors que le film original de 1982 donnait l’impression d’avoir une génération d’avance, la nouvelle tentative de Sean Bailey pour transformer Tron en franchise ressemble surtout à un exercice de nostalgie un peu mécanique. » Variety
« Tron : Ares affiche des effets visuels de haute volée, mais avec des dialogues inintéressants au service d’un scénario qui singe grossièrement la saga Terminator. Les acteurs, eux, semblent pris en otage. Quant à Jeff Bridges, il débarque cinq minutes en robe de moine futuriste et rejoue The Big Lebowski. » Culture Mix
« En regardant Tron : Ares, on prend surtout conscience à quel point cette franchise a épuisé jusqu’à la corde sa propre métaphore. » New York Magazine/Vulture
« Tron : Ares n’est qu’un recyclage de poncifs et de vieilles ficelles, sans jamais rien proposer à la hauteur du spectacle qu’il prétend offrir, ni de la présence de Trent Reznor à la bande-son. » Flickering Myth
« Tron : Ares donne l’impression d’une franchise passée à la machine à laver des studios : tout ce qui faisait son identité a été rincé, essoré, et expédié dans le siphon. » Lyles’ Movie Files
« Un thriller de science-fiction épuisant, surproduit, nauséeux et interminable. Un long clip musical qui se déguise péniblement en film. » NYC Movie Guru
Tron Ares n’est pas simplement un échec esthétique ou narratif selon les critiques américaines : c’est une alerte pour toute licence qui se croit immortelle. Ressusciter un monstre sacré du cinéma des années 80 exige bien plus qu’un retour aux néons et aux cycles, il faut un cœur, une âme, de l’audace. Or, en l’état, ce nouveau chapitre n’a aucun des trois. Sur Metacritic, il affiche une moyenne de 50/100.
Si vous voulez vous faire du mal, Tron Ares sera dans les salles françaises à partir du 8 octobre 2025.
https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... DAgL5ktzqA
Disney croyait réveiller un monstre oublié avec Tron Ares, mais c’est une bête mal en point qu’il a ressuscitée. Et la presse américaine a copieusement démoli le film.
Sorti en 1982, le premier Tron reste l’un de ces films cultes qui n’ont jamais été des machines à billets. Avec un budget estimé à 17 millions de dollars pour un box-office d’à peine 33 millions, le film a été rapidement rangé dans le bac des curiosités coûteuses. Quant à l’extraordinaire opéra cyberpunk Tron L’héritage, avec un budget colossal de 170 millions, il n’a rapporté « que » 400 millions dans le monde, soit un très modeste retour sur investissement pour un blockbuster Disney.
En remettant le couvert avec Tron : Ares, Disney sait donc qu’il joue avec le feu. Le risque d’un flop massif flottait déjà au-dessus du tournage, d’autant que l’équipe artistique n’était pas franchement rassurante, avec Joachim Rønning (heureux yes man de blockbusters tièdes comme Pirates des Caraïbes 5 ou Maléfique 2) à la caméra et le gourou de secte Jared « Morbius » Leto en tête d’affiche, alors qu’il traîne plusieurs accusations de comportements inappropriés.
Et ça n’a pas manqué, Tron : Ares est un énorme ratage. À la projection presse, nos valeureux Geoffrey et Mathieu ont souffert mille tourments pour survivre à ce Tron 3. Et la critique américaine a aussi déglingué Tron : Ares. Revue de presse.
« Tron : Ares a le cachet visuel d’un jeu mobile et la profondeur thématique d’une flaque d’eau — au point de faire passer le pitch du film original de 1982, dans lequel Jeff Bridges se faisait aspirer dans un ordinateur, pour une œuvre philosophique. » Independent
« Contrairement à Tron : l’héritage, qui ressemblait à une attraction futuriste lancée à pleine vitesse, Ares est un reboot mollasson et sans inspiration, qui passe son temps à sur-expliquer un scénario aussi alambiqué que prévisible. » The Verge
« Tron : Ares n’est qu’un chaos visuel, un film qui pioche dans tous les grands classiques de la science-fiction sur l’IA sans jamais creuser plus loin que la surface. C’est stylé, bourré d’action et d’idées séduisantes, mais émotionnellement creux. » Zach Pope Reviews
« Alors que le film original de 1982 donnait l’impression d’avoir une génération d’avance, la nouvelle tentative de Sean Bailey pour transformer Tron en franchise ressemble surtout à un exercice de nostalgie un peu mécanique. » Variety
« Tron : Ares affiche des effets visuels de haute volée, mais avec des dialogues inintéressants au service d’un scénario qui singe grossièrement la saga Terminator. Les acteurs, eux, semblent pris en otage. Quant à Jeff Bridges, il débarque cinq minutes en robe de moine futuriste et rejoue The Big Lebowski. » Culture Mix
« En regardant Tron : Ares, on prend surtout conscience à quel point cette franchise a épuisé jusqu’à la corde sa propre métaphore. » New York Magazine/Vulture
« Tron : Ares n’est qu’un recyclage de poncifs et de vieilles ficelles, sans jamais rien proposer à la hauteur du spectacle qu’il prétend offrir, ni de la présence de Trent Reznor à la bande-son. » Flickering Myth
« Tron : Ares donne l’impression d’une franchise passée à la machine à laver des studios : tout ce qui faisait son identité a été rincé, essoré, et expédié dans le siphon. » Lyles’ Movie Files
« Un thriller de science-fiction épuisant, surproduit, nauséeux et interminable. Un long clip musical qui se déguise péniblement en film. » NYC Movie Guru
Tron Ares n’est pas simplement un échec esthétique ou narratif selon les critiques américaines : c’est une alerte pour toute licence qui se croit immortelle. Ressusciter un monstre sacré du cinéma des années 80 exige bien plus qu’un retour aux néons et aux cycles, il faut un cœur, une âme, de l’audace. Or, en l’état, ce nouveau chapitre n’a aucun des trois. Sur Metacritic, il affiche une moyenne de 50/100.
Si vous voulez vous faire du mal, Tron Ares sera dans les salles françaises à partir du 8 octobre 2025.
https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... DAgL5ktzqA
Ouille ouille ouille !!!Pale a écrit : ↑jeu. 9 oct. 2025 16:27 Tron Ares se fait détruire par la critique américaine
Disney croyait réveiller un monstre oublié avec Tron Ares, mais c’est une bête mal en point qu’il a ressuscitée. Et la presse américaine a copieusement démoli le film.
Sorti en 1982, le premier Tron reste l’un de ces films cultes qui n’ont jamais été des machines à billets. Avec un budget estimé à 17 millions de dollars pour un box-office d’à peine 33 millions, le film a été rapidement rangé dans le bac des curiosités coûteuses. Quant à l’extraordinaire opéra cyberpunk Tron L’héritage, avec un budget colossal de 170 millions, il n’a rapporté « que » 400 millions dans le monde, soit un très modeste retour sur investissement pour un blockbuster Disney.
En remettant le couvert avec Tron : Ares, Disney sait donc qu’il joue avec le feu. Le risque d’un flop massif flottait déjà au-dessus du tournage, d’autant que l’équipe artistique n’était pas franchement rassurante, avec Joachim Rønning (heureux yes man de blockbusters tièdes comme Pirates des Caraïbes 5 ou Maléfique 2) à la caméra et le gourou de secte Jared « Morbius » Leto en tête d’affiche, alors qu’il traîne plusieurs accusations de comportements inappropriés.
Et ça n’a pas manqué, Tron : Ares est un énorme ratage. À la projection presse, nos valeureux Geoffrey et Mathieu ont souffert mille tourments pour survivre à ce Tron 3. Et la critique américaine a aussi déglingué Tron : Ares. Revue de presse.
« Tron : Ares a le cachet visuel d’un jeu mobile et la profondeur thématique d’une flaque d’eau — au point de faire passer le pitch du film original de 1982, dans lequel Jeff Bridges se faisait aspirer dans un ordinateur, pour une œuvre philosophique. » Independent
« Contrairement à Tron : l’héritage, qui ressemblait à une attraction futuriste lancée à pleine vitesse, Ares est un reboot mollasson et sans inspiration, qui passe son temps à sur-expliquer un scénario aussi alambiqué que prévisible. » The Verge
« Tron : Ares n’est qu’un chaos visuel, un film qui pioche dans tous les grands classiques de la science-fiction sur l’IA sans jamais creuser plus loin que la surface. C’est stylé, bourré d’action et d’idées séduisantes, mais émotionnellement creux. » Zach Pope Reviews
« Alors que le film original de 1982 donnait l’impression d’avoir une génération d’avance, la nouvelle tentative de Sean Bailey pour transformer Tron en franchise ressemble surtout à un exercice de nostalgie un peu mécanique. » Variety
« Tron : Ares affiche des effets visuels de haute volée, mais avec des dialogues inintéressants au service d’un scénario qui singe grossièrement la saga Terminator. Les acteurs, eux, semblent pris en otage. Quant à Jeff Bridges, il débarque cinq minutes en robe de moine futuriste et rejoue The Big Lebowski. » Culture Mix
« En regardant Tron : Ares, on prend surtout conscience à quel point cette franchise a épuisé jusqu’à la corde sa propre métaphore. » New York Magazine/Vulture
« Tron : Ares n’est qu’un recyclage de poncifs et de vieilles ficelles, sans jamais rien proposer à la hauteur du spectacle qu’il prétend offrir, ni de la présence de Trent Reznor à la bande-son. » Flickering Myth
« Tron : Ares donne l’impression d’une franchise passée à la machine à laver des studios : tout ce qui faisait son identité a été rincé, essoré, et expédié dans le siphon. » Lyles’ Movie Files
« Un thriller de science-fiction épuisant, surproduit, nauséeux et interminable. Un long clip musical qui se déguise péniblement en film. » NYC Movie Guru
Tron Ares n’est pas simplement un échec esthétique ou narratif selon les critiques américaines : c’est une alerte pour toute licence qui se croit immortelle. Ressusciter un monstre sacré du cinéma des années 80 exige bien plus qu’un retour aux néons et aux cycles, il faut un cœur, une âme, de l’audace. Or, en l’état, ce nouveau chapitre n’a aucun des trois. Sur Metacritic, il affiche une moyenne de 50/100.
Si vous voulez vous faire du mal, Tron Ares sera dans les salles françaises à partir du 8 octobre 2025.
https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... DAgL5ktzqA
Attendons l’avis de @Miamsolo et de @NaughtyDog
Les vraies chanteuses de KPop Demon Hunters livrent la première performance live de "Golden"
Le tube du film Netflix, chanté en live, pour la première fois, sur un plateau de télé.
Huntr/x a pris d’assaut le Tonight Show de Jimmy Fallon mardi soir, et c'est un événement !
Pour la première fois, le phénomène Netflix KPop Demon Hunters s'offre une performance live, avec le titre "Golden".
EJAE, Audrey Nuna et Rei Ami prêtent leurs voix aux personnages de Rumi (Arden Cho), Mira (May Hong) et Zoey (Ji-young Yoo) dans les moments chantés de KPop Demon Hunters. Le film d’animation, sorti le 20 juin, est désormais le film le plus regardé de l’histoire de la plateforme de streaming, dépassant l’ancien record détenu par Red Notice, avec 236 millions de vues à la fin août.
Mais ce n'est pas tout : la bande originale du film est aussi devenue disque de platine aux Etats-Unis, suivant le dernier classement Billboard 200. La BO de KPop Demon Hunters cumule aussi 117 millions de streams officiels à la demande sur les 102 000 unités équivalentes albums de la semaine.
En septembre, "Golden" a fait l’histoire en restant cinq semaines consécutives en tête du Hot 100, devenant ainsi le plus long numéro 1 d’un titre animé dans l’histoire du classement. Et la bande originale du film ne s’arrête pas là : quatre titres figurent au top 10 du Hot 100. Outre Golden, les morceaux préférés des fans Your Idol, Soda Pop et How It’s Done ont atteint respectivement les positions 4, 5 et 8.
Forcément, ce n'était qu'une question de temps avant que les producteurs ne passent à la phase d'après : le lancement d'un vrai groupe de KPop Demon Hunters ! Les voilà :
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... -de-Golden
J'ai eu des frissons
Le tube du film Netflix, chanté en live, pour la première fois, sur un plateau de télé.
Huntr/x a pris d’assaut le Tonight Show de Jimmy Fallon mardi soir, et c'est un événement !
Pour la première fois, le phénomène Netflix KPop Demon Hunters s'offre une performance live, avec le titre "Golden".
EJAE, Audrey Nuna et Rei Ami prêtent leurs voix aux personnages de Rumi (Arden Cho), Mira (May Hong) et Zoey (Ji-young Yoo) dans les moments chantés de KPop Demon Hunters. Le film d’animation, sorti le 20 juin, est désormais le film le plus regardé de l’histoire de la plateforme de streaming, dépassant l’ancien record détenu par Red Notice, avec 236 millions de vues à la fin août.
Mais ce n'est pas tout : la bande originale du film est aussi devenue disque de platine aux Etats-Unis, suivant le dernier classement Billboard 200. La BO de KPop Demon Hunters cumule aussi 117 millions de streams officiels à la demande sur les 102 000 unités équivalentes albums de la semaine.
En septembre, "Golden" a fait l’histoire en restant cinq semaines consécutives en tête du Hot 100, devenant ainsi le plus long numéro 1 d’un titre animé dans l’histoire du classement. Et la bande originale du film ne s’arrête pas là : quatre titres figurent au top 10 du Hot 100. Outre Golden, les morceaux préférés des fans Your Idol, Soda Pop et How It’s Done ont atteint respectivement les positions 4, 5 et 8.
Forcément, ce n'était qu'une question de temps avant que les producteurs ne passent à la phase d'après : le lancement d'un vrai groupe de KPop Demon Hunters ! Les voilà :
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... -de-Golden
J'ai eu des frissons
Avec Madame on a commencé la saison 2 de Mercredi hier, et je devrais pouvoir mater Ed Gein la semaine prochaine.
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NaughtyDog
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- Enregistré le : lun. 26 oct. 2020 12:34
- Localisation : Paris
Rapidement : techniquement les FX sont impeccables, la 3D est surprennamment réussie, la BO défonce (celle de Legacy reste indétronable)
Scenar lineaire qui a mon sens compile toutes les tares de ce projet trop timoré. On est rarement dans la Grid, et quand c'est le cas c'est juste pour un seul décor (+ une scene inutile impliquant un call-back au film de 82). Toute l'ambition de l'univers est au rabais et ça manque constamment d'ampleur : grosso modo la belle Greta Lee poursuivie par 2 programmes, dont un qui va accéder à son humanité (le gros hic c'est que c'est Jared Leto, et que son arc narratif est bazardé).
2 lightcycles, 3-4 autres vehicules dans le monde réel...et basta !
Pire la mini scène post generique annonce un film plus intéressant, mais vu que Tron Ares sera pas un succes on.attendra encore 15 poges pour un film
2/5 max
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NaughtyDog
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- Localisation : Paris
bon anniversaire à
Peter Coyote 84 ans (E.T. l'extra-terrestre, À double tranchant, Lunes de fiel, Kika, Erin Brockovich, seule contre tous, séries Les 4400, The Inside : Dans la tête des tueurs, Commander in Chief)
Charles Dance 79 ans (Sur la route de Nairobi, Alien³, Last Action Hero, Gosford Park, Imitation Game, séries Game of Thrones, Agatha Christie : Dix petits nègres, The Crown)
Francis Perrin 78 ans (On a volé la cuisse de Jupiter, Le Roi des cons, Tête à claques, séries Mongeville, Demain nous appartient, Sam)
Séverine 77 ans chanteuse gagnante du Concours Eurovision de la chanson pour Monaco en 1971 avec la chanson Un banc, un arbre, une rue
Jeanette 74 ans chanteuse
Ariane Ascaride 71 ans (Marius et Jeannette)
Hippolyte Girardot 70 ans (Manon des sources, Un monde sans pitié, Je ne rêve que de vous)
Philippe Lioret 70 ans réal (Mademoiselle, L'Équipier, Je vais bien, ne t'en fais pas, Toutes nos envies)
Mario López 52 ans (séries Sauvés par le gong, Pacific Blue)
Jodi Lyn O'Keefe 47 ans (séries Nash Bridges, Prison Break, Vampire Diaries)
Alex Meraz 40 ans (Twilight, chapitre II à chapitre V)
Rose McIver 37 ans (La Leçon de piano, Lovely Bones, A Christmas Prince, séries Once Upon a Time, iZombie, Ghosts)
Aimee Teegarden 36 ans (Scream 4, Le Grand Soir, Le Cercle : Rings, séries Friday Night Lights, 90210 Beverly Hills : Nouvelle Génération, Star-Crossed)
Maggie Elizabeth Jones 22 ans (Nouveau Départ, série marrant elle joue le personnage jeune du rôle joué par Aimee Teegarden dans la série Star-Crossed)
Peter Coyote 84 ans (E.T. l'extra-terrestre, À double tranchant, Lunes de fiel, Kika, Erin Brockovich, seule contre tous, séries Les 4400, The Inside : Dans la tête des tueurs, Commander in Chief)
Charles Dance 79 ans (Sur la route de Nairobi, Alien³, Last Action Hero, Gosford Park, Imitation Game, séries Game of Thrones, Agatha Christie : Dix petits nègres, The Crown)
Francis Perrin 78 ans (On a volé la cuisse de Jupiter, Le Roi des cons, Tête à claques, séries Mongeville, Demain nous appartient, Sam)
Séverine 77 ans chanteuse gagnante du Concours Eurovision de la chanson pour Monaco en 1971 avec la chanson Un banc, un arbre, une rue
Jeanette 74 ans chanteuse
Ariane Ascaride 71 ans (Marius et Jeannette)
Hippolyte Girardot 70 ans (Manon des sources, Un monde sans pitié, Je ne rêve que de vous)
Philippe Lioret 70 ans réal (Mademoiselle, L'Équipier, Je vais bien, ne t'en fais pas, Toutes nos envies)
Mario López 52 ans (séries Sauvés par le gong, Pacific Blue)
Jodi Lyn O'Keefe 47 ans (séries Nash Bridges, Prison Break, Vampire Diaries)
Alex Meraz 40 ans (Twilight, chapitre II à chapitre V)
Rose McIver 37 ans (La Leçon de piano, Lovely Bones, A Christmas Prince, séries Once Upon a Time, iZombie, Ghosts)
Aimee Teegarden 36 ans (Scream 4, Le Grand Soir, Le Cercle : Rings, séries Friday Night Lights, 90210 Beverly Hills : Nouvelle Génération, Star-Crossed)
Maggie Elizabeth Jones 22 ans (Nouveau Départ, série marrant elle joue le personnage jeune du rôle joué par Aimee Teegarden dans la série Star-Crossed)
Vosg'patt de cœur
Trailer du nouveau Timur Bekmambetov :
Dans un futur proche, un détective est accusé du meurtre de sa femme. Jugé par une intelligence artificielle ultra-performante, qu'il a lui-même contribué à mettre en place, il n'a que 90 minutes pour prouver son innocence... avant qu'elle ne scelle son sort.
Dans un futur proche, un détective est accusé du meurtre de sa femme. Jugé par une intelligence artificielle ultra-performante, qu'il a lui-même contribué à mettre en place, il n'a que 90 minutes pour prouver son innocence... avant qu'elle ne scelle son sort.
J’avais oublié de toucher un mot sur The Office que j’ai terminé début octobre. J’ai simplement adoré suivre le quotidien de ces personnages atypiques dans cette entreprise de papier. J’ai beaucoup ri, eu des frissons et à de rares moments limite la petite larme à l’oeil. Même si les 2 dernières saisons sont en dessous des autres principalement à cause du départ de Steve Carell qui était clairement le meilleur perso de la série. Dwight et le couple Jim/Pam font également partie de mes persos préférés, et puis les seconds rôles ne sont pas non plus en reste.
Donc même si c’était un peu moins qualitatif sur les saisons 8-9 la série offre un final qui clôt merveilleusement bien la série.
9/10 et entrée dans mon Top 10 Séries
Donc même si c’était un peu moins qualitatif sur les saisons 8-9 la série offre un final qui clôt merveilleusement bien la série.
9/10 et entrée dans mon Top 10 Séries
Wickaël a écrit : ↑ven. 10 oct. 2025 18:59 J’avais oublié de toucher un mot sur The Office que j’ai terminé début octobre. J’ai simplement adoré suivre le quotidien de ces personnages atypiques dans cette entreprise de papier. J’ai beaucoup ri, eu des frissons et à de rares moments limite la petite larme à l’oeil. Même si les 2 dernières saisons sont en dessous des autres principalement à cause du départ de Steve Carell qui était clairement le meilleur perso de la série. Dwight et le couple Jim/Pam font également partie de mes persos préférés, et puis les seconds rôles ne sont pas non plus en reste.
Donc même si c’était un peu moins qualitatif sur les saisons 8-9 la série offre un final qui clôt merveilleusement bien la série.
9/10 et entrée dans mon Top 10 Séries
Si tu ne connais pas Brooklyn 99 je te la conseille
Pouet
@Cocu oui je connais bien
Alors oui il y a des (grosses) facilités comme c'est pas permis d'imaginer mais j'ai malgré tout apprécié ce thriller qui n'a pas cette fâcheuse tendance de s'éterniser. En effet, le film dure 1h25 hors générique, inutile de dire que le rythme est effréné. Le cadre confère une certaine classe à l'ensemble et Keira Knightley est excellente dans le rôle de cette journaliste déterminée à faire triompher la vérité envers et contre tous.
bon anniversaire à
Charles Shyer 84 ans réal (Baby Boom
, Le Père de la mariée & II )
John Nettles 82 ans (séries Bergerac, Inspecteur Barnaby)
Jean-Jacques Goldman 74 ans
David Morse 72 ans (The Indian Runner, L'Armée des douze singes, Rock, Au revoir à jamais, La ligne verte , L'échange, Dancer in the Dark)
Joan Cusack 63 ans (Working Girl , Toy Story 2, In and Out, Broadcast News, Toy Story 3) Sœur de l'acteur John Cusack
Sean Patrick Flanery 60 ans (Les Anges de Boston, Les Anges de Boston 2, Saw 3D, séries Les Aventures du jeune Indiana Jones , Dead Zone, Stargate SG-1)
Claudia Black 53 ans (séries Farscape , Stargate SG-1)
Linda Hardy 52 ans (séries Demain nous appartient, Section de recherches, RIS police scientifique, Mafiosa) Miss France 1992
Emily Deschanel 49 ans (séries Bones , Devil in Ohio) sœur de Zooey Deschanel
Matt Bomer 48 ans (Flight Plan, Massacre à la tronçonneuse : Le Commencement, Time Out, Magic Mike, séries Tru Calling : Compte à rebours, Chuck, FBI : Duo très spécial , American Horror Story, American Horror Stories)
Julie McNiven 45 ans (séries Mad Men, Supernatural, Stargate Universe)
une pensée pour Michelle Trachtenberg qui aurait eu 40 ans et nous a quitté en début d'année
Hugo Brunswick 36 ans (vx fr de Tom Holland dans les Spider-Man)
Charles Shyer 84 ans réal (Baby Boom
, Le Père de la mariée & II )John Nettles 82 ans (séries Bergerac, Inspecteur Barnaby)
Jean-Jacques Goldman 74 ans
David Morse 72 ans (The Indian Runner, L'Armée des douze singes, Rock, Au revoir à jamais, La ligne verte
, L'échange, Dancer in the Dark)Joan Cusack 63 ans (Working Girl
, Toy Story 2, In and Out, Broadcast News, Toy Story 3) Sœur de l'acteur John CusackSean Patrick Flanery 60 ans (Les Anges de Boston, Les Anges de Boston 2, Saw 3D, séries Les Aventures du jeune Indiana Jones
, Dead Zone, Stargate SG-1)Claudia Black 53 ans (séries Farscape
, Stargate SG-1)Linda Hardy 52 ans (séries Demain nous appartient, Section de recherches, RIS police scientifique, Mafiosa) Miss France 1992
Emily Deschanel 49 ans (séries Bones
, Devil in Ohio) sœur de Zooey DeschanelMatt Bomer 48 ans (Flight Plan, Massacre à la tronçonneuse : Le Commencement, Time Out, Magic Mike, séries Tru Calling : Compte à rebours, Chuck, FBI : Duo très spécial
, American Horror Story, American Horror Stories)Julie McNiven 45 ans (séries Mad Men, Supernatural, Stargate Universe)
une pensée pour Michelle Trachtenberg qui aurait eu 40 ans et nous a quitté en début d'année
Hugo Brunswick 36 ans (vx fr de Tom Holland dans les Spider-Man)
Vosg'patt de cœur
Le point de départ n'est pas sans rappeler le film The Box mais la comparaison s'arrête là. Au début l'ambiance est plutôt pas mal et un peu flippante mais au fur et à mesure le film devient amorphe et inintéressant vu que ça ne raconte rien. Dakota Fanning a beau se démener comme elle peut, elle ne nous sauve pas de la torpeur provoqué par l'ensemble et on est assez triste de la voir dans un truc aussi pourri. Après il n'y avait pas grand chose à attendre de la part du réalisateur de l'étron The Strangers (le home invasion avec Liv Tyler qui a été remaké récemment par Renny Harlin).
Pour ma part je n'ai pas passé un mauvais moment, j'ai trouvé ça assez sympathique, visuellement très joli, la musique vraiment pas mal. Par contre le rythme n'est pas super et le scénario est clairement le point noir du film. Mais ce que j'apprécie avec cette trilogie, c'est que chaque épisode propose quelque chose de différent. J'ai rarement vu des sagas dont les films sont aussi différents les uns des autres. Mon préféré reste Tron Legacy, qui fut un de mes gros coups de cœur niveau blockbuster de ces dernières années (enfin même 20 car le film est sorti il y a 15 ansOuille ouille ouille !!!
Attendons l’avis de @Miamsolo et de @NaughtyDog
). Ce Tron Ares, je lui donne la note de 6/10. Je le reverrai peut-être dans quelques temps, mais pas autant que le précédent que j'ai vu à maintes reprises 
Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
https://www.youtube.com/@teambarjow
Je vais le voir ce soir en ATMOS, je le sens assez bienMiamsolo a écrit : ↑sam. 11 oct. 2025 15:32Pour ma part je n'ai pas passé un mauvais moment, j'ai trouvé ça assez sympathique, visuellement très joli, la musique vraiment pas mal. Par contre le rythme n'est pas super et le scénario est clairement le point noir du film. Mais ce que j'apprécie avec cette trilogie, c'est que chaque épisode propose quelque chose de différent. J'ai rarement vu des sagas dont les films sont aussi différents les uns des autres. Mon préféré reste Tron Legacy, qui fut un de mes gros coups de cœur niveau blockbuster de ces dernières années (enfin même 20 car le film est sorti il y a 15 ansOuille ouille ouille !!!
Attendons l’avis de @Miamsolo et de @NaughtyDog
Baby Boom
hélas oui surtout dans mes préférées (Pat Crawley, Robert Redford, Claudia Cardinale, Diane KeatonPale a écrit : ↑dim. 12 oct. 2025 09:11R.I.P.
Ça fait déjà quelques très grosses pointures en très peu de temps.
Vosg'patt de cœur
bon anniversaire à
Aurore Clément 80 ans (Lacombe Lucien, Le Juge Fayard dit « le Shériff », Le Crabe-Tambour, Apocalypse Now : version Redux, Paris, Texas)
Brigitte Lahaie 70 ans (Les Prédateurs de la nuit)
Clémentine Célarié 68 ans (37°2 le matin, La Vengeance d'une blonde, Les Misérables)
Patrick Bosso 63 ans (mini-séries Zodiaque, Le Maître du Zodiaque)
Hugh Jackman 57 ans (X-Men (série de films), Van Helsing, Le Prestige, Australia, Les Misérables, Prisoners, Logan, The Greatest Showman)
Tyler Blackburn 39 ans (séries Pretty Little Liars, Ravenswood, Roswell, New Mexico)
Josh Hutcherson 33 ans (Hunger Games (saga), Le Secret de Terabithia, Detention, Voyage au centre de la Terre, Escobar: Paradise Lost, Zathura : Une aventure spatiale, Five Nights at Freddy’s)
Aurore Clément 80 ans (Lacombe Lucien, Le Juge Fayard dit « le Shériff », Le Crabe-Tambour, Apocalypse Now : version Redux, Paris, Texas)
Brigitte Lahaie 70 ans (Les Prédateurs de la nuit)
Clémentine Célarié 68 ans (37°2 le matin, La Vengeance d'une blonde, Les Misérables)
Patrick Bosso 63 ans (mini-séries Zodiaque, Le Maître du Zodiaque)
Hugh Jackman 57 ans (X-Men (série de films), Van Helsing, Le Prestige, Australia, Les Misérables, Prisoners, Logan, The Greatest Showman)
Tyler Blackburn 39 ans (séries Pretty Little Liars, Ravenswood, Roswell, New Mexico)
Josh Hutcherson 33 ans (Hunger Games (saga), Le Secret de Terabithia, Detention, Voyage au centre de la Terre, Escobar: Paradise Lost, Zathura : Une aventure spatiale, Five Nights at Freddy’s)
Vosg'patt de cœur
