Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
Avatar du membre
Kit
Messages : 9341
Enregistré le : dim. 6 sept. 2020 23:51
Localisation : où est né William Wyler

robinne a écrit : ven. 3 oct. 2025 16:24
Kit a écrit : ven. 3 oct. 2025 10:13 bon anniversaire à

Clive Owen 61 ans (Sin City, Inside Man, Les Fils de l'homme)
[...]
Punaise, 61 ans :sweat:
je n'ai découvert Inside Man : L'Homme de l'intérieur que dernièrement
Vosg'patt de cœur
Avatar du membre
ClintReborn
Messages : 5130
Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
Localisation : Avalon

robinne a écrit : ven. 3 oct. 2025 16:24
Kit a écrit : ven. 3 oct. 2025 10:13 bon anniversaire à

Clive Owen 61 ans (Sin City, Inside Man, Les Fils de l'homme)
[...]
Punaise, 61 ans :sweat:
Les acteurs vieillissent vite quand ce qu’ils ont fait de marquant date de 15 /20 ans :saint: On a en mémoire des rôles du début des années 2000
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Petite déception que ce The Lost Bus. Des personnages immunisés contre la fumée et l'asphyxie, une succession de clichés/stéréotypes plus éculés les uns que les autres, des réactions complètements cons et des situations qui prêtent souvent plus à rire qu'autre chose. Heureusement c'est bien foutu techniquement même si le film s'ouvre avec une scène qui pique un peu les yeux. Dans tous les cas, j'ai connu Greengrass plus inspiré.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image

Image
Avatar du membre
Kit
Messages : 9341
Enregistré le : dim. 6 sept. 2020 23:51
Localisation : où est né William Wyler

bon anniversaire à

Bernard Verley 86 ans (Napoléon II L'Aiglon, La Voie lactée, La Reine Margot, Lucie Aubrac)
Susan Sarandon 79 ans (La Kermesse des aigles, Atlantic City, Les Sorcières d'Eastwick, Thelma et Louise, Dans la vallée d'Elah, Wall Street : L'argent ne dort jamais)
Julien Clerc 78 ans chanteur
Jean-Loup Hubert 76 ans réal (Le Grand Chemin, Après la guerre, La Reine blanche)
Armand Assante 76 ans (La Taverne de l'enfer, J'aurai ta peau, Les Mambo kings, 1492 : Christophe Colomb, Judge Dredd)
Stephen Gyllenhaal 76 ans réal, père de Maggie et Jake Gyllenhaal
Tchéky Karyo 72 ans (La Balance, L'Ours, Nikita, 1492 : Christophe Colomb, The Patriot : Le Chemin de la liberté, Un long dimanche de fiançailles, Belle et Sébastien)
Christoph Waltz 69 ans (Inglourious Basterds, Carnage, Django Unchained, Big Eyes, 007 Spectre, Alita: Battle Angel, Mourir peut attendre)
Liev Schreiber 58 ans (Le Prodige, La Rançon, Scream, Hurricane Carter, Un crime dans la tête, X-Men Origins: Wolverine, série Ray Donovan)
Abraham Benrubi 56 ans (séries Parker Lewis ne perd jamais, Urgences, Men in Trees : Leçons de séduction)
Alicia Silverstone 49 ans (Souvenirs de l'au-delà, Clueless, Batman & Robin, Scooby-Doo 2, King Cobra, Mise à mort du cerf sacré)
Caitriona Balfe 46 ans (Money Monster, Le Mans 66, Belfast, The Amateur, série Outlander)
Rachael Leigh Cook 46 ans (Elle est trop bien, Antitrust, Blonde Ambition, séries Psych : Enquêteur malgré lui, Perception)
Sara Forestier 39 ans (L’Esquive, Hell, Gainsbourg (vie héroïque), Le Nom des gens, Suzanne, La Tête haute, Roubaix, une lumière)
Melissa Benoist 37 ans (Whiplash, Traque à Boston, séries Glee, Supergirl)
Dakota Johnson 36 ans (Cinquante Nuances de Grey (saga), A Bigger Splash, Célibataire, mode d'emploi, Suspiria, Madame Web) fille de Don Johnson et Melanie Griffith (et donc petite-fille de Tippi Hedren)
Vosg'patt de cœur
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Kit a écrit : sam. 4 oct. 2025 07:10 Dakota Johnson 36 ans (Cinquante Nuances de Grey (saga), A Bigger Splash, Célibataire, mode d'emploi, Suspiria, Madame Web) fille de Don Johnson et Melanie Griffith (et donc petite-fille de Tippi Hedren)
Image

:love2:
Avatar du membre
Kit
Messages : 9341
Enregistré le : dim. 6 sept. 2020 23:51
Localisation : où est né William Wyler

Pale a écrit : sam. 4 oct. 2025 08:23
Kit a écrit : sam. 4 oct. 2025 07:10 Dakota Johnson 36 ans (Cinquante Nuances de Grey (saga), A Bigger Splash, Célibataire, mode d'emploi, Suspiria, Madame Web) fille de Don Johnson et Melanie Griffith (et donc petite-fille de Tippi Hedren)
Image

:love2:
je m'en doutais :mrgreen2:
j'aime bien aussi Melissa Benoist
Image
Vosg'patt de cœur
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

J'ai moyennement apprécié. Ça se mate, il y a quelques moments drôles (et d'autres assez gênants) mais après Super de James Gunn, Kick Ass ou Deadpool, ce remake n'a rien de surprenant dans le genre super anti-héros.
Avatar du membre
Cocu
Messages : 2466
Enregistré le : mar. 14 juil. 2020 21:15

👋 qui va voir Marche ou crève ? :D
Pouet
Avatar du membre
robinne
Messages : 6749
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

Cocu a écrit : sam. 4 oct. 2025 13:45 👋 qui va voir Marche ou crève ? :D
Pas sûr d’avoir le temps :sweat:
Avatar du membre
NaughtyDog
Messages : 3381
Enregistré le : lun. 26 oct. 2020 12:34
Localisation : Paris

Image

une adaptation bien sympathique et tout à fait honnête à mon sens.
Avec un bémol cependant : il manque quand même le coté métaphysique introspectif du roman, et le film n'est peut-être pas aussi radical en terme d'intention finale.

Lawrence a aussi une facheuse tendance à ponctuer l'avancée par des morts gonzo un peu sensationnalistes également.

Pour autant, ils ont compris que faire une adaptation littérale était impossible (ou alors il fallait faire une voix-off omniprésente). Du coup exit le récit intérieur, on jongle de points de vue et on reste au plus près de Garraty et McVries, portés par les excellents Cooper Hoffmann et David Jonsson.
Et comme le roman, on s'intéresse avant tout aux échanges entre les personnages qui se livrent peu à peu, dans une approche plus ramassée (1h40, fonc loin de la progression à combustion lente du matériau source) mais toujours bien rythmée et bien emballée.

Ça manque d'une mise en scène plus ample, mais c'est dans son minimaliste que le film marche (sans mauvais jeu de mot) plutôt bien, jusqu'à un final modifié.
Cette fin m'a un peu fait ragé initialement (il y aura une fin alternative dans le blu-ray) mais qui demeure plutôt cohérente après réflexion, et qui propose tout de même un traitement non-anodin de par son tout dernier plan. Cela aurait pu être accentué mais en l'état ça reste pas mal à mon sens !

3/5
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Cocu a écrit : sam. 4 oct. 2025 13:45 👋 qui va voir Marche ou crève ? :D
:hello: Ce soir :hot:
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image
Avatar du membre
Kit
Messages : 9341
Enregistré le : dim. 6 sept. 2020 23:51
Localisation : où est né William Wyler

bon anniversaire à

Karen Allen 74 ans (La Chasse, Les Aventuriers de l'arche perdue, Starman, Fantômes en fête, Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal, Indiana Jones et le Cadran de la destinée)
Duncan Regehr 73 ans (séries Matt et Jenny, V, Zorro)
Daniel Baldwin 65 ans (Né un 4 juillet, Vampires, Héros malgré lui, séries Homicide, Les Soprano, Hawaii 5-0)
Guy Pearce 58 ans (L.A. Confidential, L'Enfer du devoir, Memento, La Machine à explorer le temps, Deux Frères, Le Discours d'un roi, séries Les Voisins, La Saga des McGregor, Mildred Pierce)
Josie Bissett 55 ans (The Doors, séries Melrose Place, La Vie secrète d'une ado ordinaire)
Parminder Nagra 50 ans (Joue-la comme Beckham, Bird Box, séries Urgences, Blacklist)
Kate Winslet 50 ans (Titanic, Eternal Sunshine of the Spotless Mind, The Reader, Les Noces rebelles, Steve Jobs, Lee Miller, séries Mildred Pierce, Mare of Easttown)
Jesse Eisenberg 42 ans (Bienvenue à Zombieland, The Social Network, Insaisissables (1,2,3), Batman v Superman : L'Aube de la justice, Retour à Zombieland)
Vosg'patt de cœur
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

J'ai adoré, c'est clairement la claque de mon week-end ciné. Je n'ai pas lu le roman donc j'étais en pleine découverte. La force du film, c'est l'authenticité et la justesse qui émanent des personnages, ce qui fait qu'on déguste pour eux jusque la fin. C'est vraiment une expérience qui ne m'a pas laissé insensible.

Image

Mitigé. Comme Naughty, grosse préférence pour la première partie qui pour le coup est enthousiasmante mais la seconde partie sombre dans un festival de rebondissements lourdingues et même l'humour ne fait plus mouche, tout devient d'une lourdeur incommensurable et j'avais vraiment hâte que ça se termine.
Avatar du membre
Wickaël
Messages : 1090
Enregistré le : sam. 25 juil. 2020 12:29
Contact :

Vu hier soir

Image

Bonne surprise. Je ne connais pas le roman de Stephen King excepté de réputation mais j’ai passé un bon moment devant le film. Ça va droit à l’essentiel et c’est très bien rythmé, presque aucun temps mort. C’est sanglant comme j’aime, et parfois assez drôle.

7/10
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

C'est une sorte de Il était une fois… la Vie mais version trash. Est-ce que le monde avait besoin de ça ? Je ne pense pas, en tout cas malgré un début très drôle, j'ai trouvé l'ensemble malaisant et malsain au possible :D
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Mon programme ciné du week-end prochain :

Image

Peut-être :

Image

Image

En VOD :

Image

Image

J'ai très envie de voir Good Boy mais sa sortie limitée sera peut-être problématique niveau horaire.

Pour Nouvelle Vague je suis moyennement chaud, ça dépendra de mon humeur et ma motivation.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Amazon fout déjà le bordel sur James Bond : les affiches retouchées sont une grosse blague

Image

Nouveau propriétaire de la saga James Bond, Amazon a osé désarmer le célèbre agent secret dans une série de posters. Le résultat n’est pas très convaincant.

Jusqu’à encore très récemment, la saga James Bond était pilotée par les producteurs Barbara Broccoli et Michael G. Wilson, ainsi que par le studio MGM. Mais en 2021, le célèbre lion rugissant a été acheté par Amazon pour la modique somme de 8,45 milliards de dollars. Et après Mourir peut attendre, dernier film de l’ère Craig, des tensions entre le duo historique et son nouveau collaborateur ont été rapportées. Si bien qu’en février 2025, la multinationale de Jeff Bezos a fini par acheter le contrôle créatif de la franchise.

Bien sûr, la production du nouveau volet a été accélérée. Un réalisateur, Denis Villeneuve, et un scénariste, Steven Knight, ont été annoncés. Il faudra attendre la fin du tournage de Dune 3 pour pouvoir sérieusement statuer sur le prochain visage de l’espion, même si un article de Deadline a récemment révélé quelques critères en amont de la phase de casting, très attendue. Même avant ça, le service promotionnel d’Amazon s’est attiré les foudres du web.

Comme l’ont rapporté plusieurs médias anglais et américains, dont The Telegraph, la compagnie a mis à jour sa ligne d’affiches promotionnelles des opus précédents sur Prime Video. Plutôt que de simplement utiliser les affiches originales, elle a opté pour un design minimaliste, mettant simplement en scène Bond dans une pose iconique. En soi, ce type de visuels uniformisés n’est pas rare, surtout à l’ère du streaming où les sagas sont parfois balancées en bloc sur les plateformes. Les James Bond viennent d’ailleurs d’arriver sur le service en France le premier octobre.

Ce qui a fait réagir, c’est plutôt l’absence du célèbre Walter PPK, que l’agent secret tient évidemment à la main dans la plupart desdites poses iconiques. Le graphiste en charge (humain ou pas) a donc retouché certaines photos pour effacer manuellement l’arme. Non seulement l’idée est complètement absurde (il y a un flingue dans le logo !), mais le résultat est tout bonnement abominable dans certains cas, comme dans celui de Dr No, ou pire encore, dans celui de GoldenEye, où le pauvre Pierce Brosnan semble affublé d’une main en plastique.

Image

Aucune raison officielle n’a été donnée, mais on peut supposer que cette décision visait à épargner un support de promotion très grand public. C’est loin d’être la première fois que ça arrive. Une fois sur Disney+, l’affiche de Thunderbolts* avait par exemple été délestée de ses flingues. Dans le cas d’une saga célébrissime pour ses séquences d’ouvertures se déroulant littéralement dans le canon d’un pistolet, cet excès de pudeur est particulièrement comique.

Forcément, la nouvelle a quelque peu énervé sur les réseaux sociaux, qui ont fait de la franchise un énième champ de bataille pour leur guerre culturelle. Ni une ni deux les affiches ont disparu de Prime Video. On est sauvés pour l’instant, jusqu’à la prochaine polémique éphémère qui ne manquera pas d’arriver avec les premières annonces de casting.


https://www.ecranlarge.com/films/news/j ... Ld58BQwSeQ
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Fast & Furious 11 : la suite n’est pas près d’arriver et Universal pourrait même l’annuler

Image

Fast & Furious 11 pourrait ne pas voir le jour ? La suite de la saga avec Vin Diesel donne des nouvelles et elles ne sont pas bonnes.

Malgré ses chiffres conséquents au box-office, Fast & Furious X a été un faux succès et un vrai échec pour la saga. Si le film avec Vin Diesel a récolté plus de 704 millions de dollars de recettes mondiales, son budget de production officiel de 340 millions, et officieux de 453 millions (selon Forbes) en auraient fait une très grosse déception. Notons qu’au box-office domestique (le plus important pour un film américain), Fast X n’a récolté que 146 millions de dollars.

Malgré tout, Vin Diesel veut son Fast & Furious 11. Il a même promis à ses fans de ramener la franchise à Los Angeles, à la culture des courses de rue et même de réunir Dom et Brian O’Conner (Deadline). Tout un programme. Cependant, d’après un récent article du Wall Street Journal, les coulisses du prochain opus de la saga d’action seraient plus compliquées.

D’après les sources du média américain, aucun scénario n’aurait officiellement été validé par Universal. De la même manière, la date de sortie du film n’aurait pas été fixée et la majorité du casting n’aurait pas encore signé de contrat pour un nouveau long-métrage. Le film semble presque au point mort, si bien que le studio hésiterait à le produire s’il n’est pas réalisé « plus raisonnablement« (« far more economically ») que le précédent volet.

Le budget de production visé par Universal serait cette fois de 200 millions de dollars. Si c’est bien moins que l’investissement hors frais marketing de Fast X, nous restons tout de même sur un bon gros budget de blockbuster américain. 200 millions de dollars, c’est le coût de production officiel de Spider-Man: No Way Home, de Deadpool & Wolverine et des 4 Fantastiques : Premiers pas.

C’est aussi le budget de production de Fast and Furious: Hobbs and Shaw et Fast and Furious 9 (sans prendre en compte l’inflation). À noter que les septième et huitième opus de la franchise ont coûté respectivement 250 millions, toujours sans les frais marketing. À voir ce que l’avenir réservera à ce Fast & Furious 11 et les possibles sacrifices de son équipe pour qu’il puisse finalement voir le jour.


https://www.ecranlarge.com/films/news/f ... P3n0y4fw3w
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Destination Finale 7 : un réalisateur surprenant (et francophone) pour la nouvelle suite ?

Image

Destination Finale 7, le nouveau film de la saga après Bloodlines, aurait trouvé son réalisateur : un cinéaste belge et prometteur.

Pour son retour dans les salles obscures avec Bloodlines, la saga Destination Finale a signé un superbe carton. Avec un budget de production officiel de 50 millions de dollars, le film réalisé par Zach Lipovsky et Adam B. Stein a amassé 138 millions de recettes au box-office domestique et 314 millions dans le monde. Un succès qui a donné à New Line, filiale de la Warner Bros., des envies de suite.

En effet, le septième opus de la saga horrifique est en préparation et les premiers détails sur son équipe commencent à poindre par ci par là. Déjà, le film sera scénarisé par Lori Evans Taylor, qui a cosigné Bloodlines. Aussi, d’après le Hollywood Reporter, ce Destination Finale 7 aurait trouvé son réalisateur en la personne de Michiel Blanchart. Selon les sources du média américain, aucune offre n’aurait encore officiellement été faite au cinéaste, mais les pourparlers seraient prometteurs.

Michiel Blanchart est un réalisateur belge de 32 ans qui s’est fait remarquer avec son court-métrage T’es morte Hélène, passé par le Festival de Clermont-Ferrand et nommé pour l’Oscar du meilleur court-métrage en 2023. Son premier long-métrage, l’efficace La Nuit se traîne, a remporté neuf Magritte du cinéma (l’équivalent belge des César et des Oscars), dont celui du Meilleur film. Michiel Blanchart prépare également une adaptation en long-métrage de T’es morte Hélène, produite par Sam Raimi.

Ce projet hollywoodien réalisé par un cinéaste francophone n’est pas sans faire penser au prochain Evil Dead: Burn, mis en scène par le Français Sébastien Vaniček, qui sortira l’année prochaine au cinéma. À noter que le producteur et papa de la franchise, Craig Perry, est toujours à la tête de ce Destination Finale 7. Le film sera aussi produit, entre autres, par Jon Watts (réalisateur des trois Spider-Man du MCU, créateur et producteur de la série Skeleton Crew) qui a également travaillé sur le précédent opus, avec son épouse Dianne McGunigle. Aucune date de sortie n’a encore été annoncée pour ce nouveau Destination Finale.


https://www.ecranlarge.com/films/news/d ... jA8EBT29Mw
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

EL a aimé The Lost Bus – Au cœur des flammes (3,5 étoiles) :

Image

Malgré une carrière qui a redéfini, avec des films comme Vol 93 et la saga Jason Bourne, le filmage caméra à l’épaule et la nervosité d’un montage cherchant le chaos, voire l’illisibilité au profit d’une sensation d’urgence et de tension, Paul Greengrass est relégué aux plateformes de streaming depuis quelques films (Un 22 juillet, La Mission). Pour un cinéaste qui a mûrement réfléchi à notre rapport aux images, à l’explosion de leurs sources et à leur vitesse de diffusion, c’est une petite déception, même si elle n’entache pas l’intérêt d’un film comme The Lost Bus – Au cœur des flammes, film catastrophe inspiré des événements du terrible Camp Fire survenu en Californie en 2018. On pouvait s’attendre à un simple drame sous tension épaulé par Matthew McConaughey et America Ferrera, mais Greengrass a évidemment plus de choses à raconter de ce drame humain et environnemental.

NOT ALRIGHT, NOT ALRIGHT, NOT ALRIGHT


De la CIA traquant Jason Bourne avec des systèmes de surveillance toujours plus perfectionnés aux images du 11 septembre vues et vécues en direct par le monde entier, il y a dans le cinéma de Paul Greengrass un kaléidoscope de plans qui semble recouvrir le monde entier. Les flux de transmission s’ajoutent, se recoupent et se répondent, et pourtant, les élans paranoïaques que cela suppose n’empêchent pas des angles morts, ceux qu’exploite le super espion pour échapper à ses poursuivants, ceux qui ont fait des armes de destruction massive irakiennes des chimères bien pratiques pour justifier l’intervention américaine (Green Zone), et ceux qui ont empêché aux systèmes de sécurité de prévenir les attentats du World Trade Center (Vol 93).

Derrière l’approche pseudo-documentaire, le travail de reconstitution souvent impressionnant du cinéaste recompose des suites de gestes, des chaînes de commande et des protocoles collectifs, dont la complexité théorique n’a d’égal que leurs dysfonctionnements permanents. Tout est là, sous nos yeux, retransmis par une quantité astronomique d’écrans, mais on ne voit rien. Vol 93 analysait l’événement qui allait redéfinir les États-Unis par le mélange d’hybris et d’inconscience d’un système aveugle, qui n’était même pas prêt à envisager une telle tragédie.

Sans surprise, c’est ce dérèglement qui intéresse Greengrass dans The Lost Bus. Au sortir des incendies qui ont atteint Los Angeles en 2025, le film réveille le traumatisme du Camp Fire de 2018, qui reste encore aujourd’hui le feu le plus meurtrier du pays (85 morts), et l’un des plus destructeurs (la ville de Paradise est partie en fumée). Loin du cinéma catastrophe qui plonge ses personnages dans le déchaînement abstrait des éléments, le réalisateur n’y va pas par quatre chemins : on y voit le détachement accidentel d’un câble électrique comme point de départ de la catastrophe, amplifié par un climat sec et l’absence de pluie depuis plus de 200 jours.

Sans avoir besoin de le marteler dans le reste du long-métrage, Greengrass fait ressortir la responsabilité humaine, entre le manque d’entretien d’un matériel électrique placé en zone à risque, et les effets concrets du réchauffement climatique sur la Californie. C’est sous notre nez et, comme le formulera le responsable des pompiers dans le dernier acte, rien n’est organisé pour combattre des feux qu’on sait de plus en plus fréquents et violents.

Au milieu des appels à évacuer qui ne s’envoient pas et la gestion chaotique du trafic qui tourne bien vite à l’apocalypse, le cinéaste remet une nouvelle fois en scène un aveuglement, tandis que ses plans larges introductifs sont soudain privés d’horizon par une fumée qui emplit le ciel, avant de plonger tout Paradise dans l’obscurité.

PAUL BURNTGRASS

Face aux mailles de ces organigrammes infernaux, incapables d’agir dans les temps, le réalisateur y oppose plus que jamais la simplicité des gestes du quotidien, ceux des individus qui tentent d’agir, à l’instar de ces inserts sur la main de Kevin McKay, conducteur qui ouvre et ferme par sa manivelle la porte de son bus scolaire. Paul Greengrass a toujours eu un talent certain pour tirer de ses stars hollywoodiennes (Matt Damon, Tom Hanks) une sobriété, une accessibilité qui en font ce parangon de l’Américain moyen presque allégorique, embarqué malgré lui dans des circonstances extraordinaires qui supposent une droiture morale.

À ce jeu, Matthew McConaughey transcende à lui seul le film. Malgré sa voix douce et son allure faussement stoïque, l’acteur laisse transparaître dans ses yeux une inquiétude, un désespoir qu’il essaie de retenir au plus profond de lui, mais que les tressauts de la caméra de Greengrass aident à capter. Dans le rôle d’un père de famille divorcé, contraint à des petits boulots dans une ville qu’il avait fuie, The Lost Bus traduit une stagnation dans une œuvre qui raconte pourtant une tentative de mouvement.

La surstimulation épuisante de son quotidien, où Kevin tente de conjuguer ses responsabilités de chauffeur (sécurité, timing, comptes rendus) avec sa vie de famille difficile, métaphorise cette loi du talion si américaine et hypocrite (quand on veut, on peut). Si elle impacte en premier lieu les classes défavorisées, elle se retrouve à plus grande échelle dans ces systèmes de sécurité censés protéger tout le monde, qui souffrent à leur tour d’un manque d’effectifs et de matériel.

Ce dézoom, qui connecte une lutte environnementale et structurelle à la lutte des classes, étonne dans un récit qu’on aurait cru calibré sur son prétexte de l’histoire vraie héroïque (Kevin accepte d’aller chercher avec son bus 22 enfants d’une école primaire pour les sortir de Paradise). The Lost Bus n’évite pas totalement les tares du genre, entre le délitement forcé de ses péripéties et un final gnangnan, mais sa lente introduction place intelligemment ses pions, au point de justifier l’égoïsme inaugural de son protagoniste, prêt à tout plaquer pour récupérer son fils et sa mère.

Greengrass ausculte, tout comme les gestes qu’il aime filmer, des circonstances, et ce moment où le sens du collectif ressurgit, à commencer dans la relation très organique qu’il arrive à tisser dans la panique entre Kevin et Mary, la professeure qui accompagne les enfants (America Ferrera, très convaincante). Si on peut reprocher à l’ensemble la gestion inégale de ses effets visuels, The Lost Bus a pour lui un sens de l’ampleur cauchemardesque, qui recadre toujours ses personnages en gros plan dans cet espace dévasté.

Par ce retour de l’individu dans les rouages d’un système tentaculaire et impuissant, le film en vient aussi à rappeler la culpabilité humaine en personnifiant ce feu dévastateur, notamment au travers de plans de drone très efficaces qui incarnent sa progression fulgurante. Une idée visuelle très à la mode, mais qui s’inscrit de façon tout à fait logique dans la filmographie d’un cinéaste au style toujours aussi pertinent.

The Lost Bus est disponible depuis le 3 octobre 2025 sur Apple TV+

Toujours balèze quand il s’agit de filmer la tension, Paul Greengrass sait surtout utiliser sa mise en scène pour dépeindre des systèmes qui dysfonctionnent, sur le plan intime et sociétal. S’il n’esquive pas toujours les problèmes de ce genre « d’histoire vraie », The Lost Bus est souvent saisissant, et tire son épingle du jeu par son intelligence thématique.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... ED-58_2wNA
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39



Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
robinne
Messages : 6749
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

Pale a écrit : lun. 6 oct. 2025 16:38 EL a aimé The Lost Bus – Au cœur des flammes (3,5 étoiles) :

Image

Malgré une carrière qui a redéfini, avec des films comme Vol 93 et la saga Jason Bourne, le filmage caméra à l’épaule et la nervosité d’un montage cherchant le chaos, voire l’illisibilité au profit d’une sensation d’urgence et de tension, Paul Greengrass est relégué aux plateformes de streaming depuis quelques films (Un 22 juillet, La Mission). Pour un cinéaste qui a mûrement réfléchi à notre rapport aux images, à l’explosion de leurs sources et à leur vitesse de diffusion, c’est une petite déception, même si elle n’entache pas l’intérêt d’un film comme The Lost Bus – Au cœur des flammes, film catastrophe inspiré des événements du terrible Camp Fire survenu en Californie en 2018. On pouvait s’attendre à un simple drame sous tension épaulé par Matthew McConaughey et America Ferrera, mais Greengrass a évidemment plus de choses à raconter de ce drame humain et environnemental.

NOT ALRIGHT, NOT ALRIGHT, NOT ALRIGHT


De la CIA traquant Jason Bourne avec des systèmes de surveillance toujours plus perfectionnés aux images du 11 septembre vues et vécues en direct par le monde entier, il y a dans le cinéma de Paul Greengrass un kaléidoscope de plans qui semble recouvrir le monde entier. Les flux de transmission s’ajoutent, se recoupent et se répondent, et pourtant, les élans paranoïaques que cela suppose n’empêchent pas des angles morts, ceux qu’exploite le super espion pour échapper à ses poursuivants, ceux qui ont fait des armes de destruction massive irakiennes des chimères bien pratiques pour justifier l’intervention américaine (Green Zone), et ceux qui ont empêché aux systèmes de sécurité de prévenir les attentats du World Trade Center (Vol 93).

Derrière l’approche pseudo-documentaire, le travail de reconstitution souvent impressionnant du cinéaste recompose des suites de gestes, des chaînes de commande et des protocoles collectifs, dont la complexité théorique n’a d’égal que leurs dysfonctionnements permanents. Tout est là, sous nos yeux, retransmis par une quantité astronomique d’écrans, mais on ne voit rien. Vol 93 analysait l’événement qui allait redéfinir les États-Unis par le mélange d’hybris et d’inconscience d’un système aveugle, qui n’était même pas prêt à envisager une telle tragédie.

Sans surprise, c’est ce dérèglement qui intéresse Greengrass dans The Lost Bus. Au sortir des incendies qui ont atteint Los Angeles en 2025, le film réveille le traumatisme du Camp Fire de 2018, qui reste encore aujourd’hui le feu le plus meurtrier du pays (85 morts), et l’un des plus destructeurs (la ville de Paradise est partie en fumée). Loin du cinéma catastrophe qui plonge ses personnages dans le déchaînement abstrait des éléments, le réalisateur n’y va pas par quatre chemins : on y voit le détachement accidentel d’un câble électrique comme point de départ de la catastrophe, amplifié par un climat sec et l’absence de pluie depuis plus de 200 jours.

Sans avoir besoin de le marteler dans le reste du long-métrage, Greengrass fait ressortir la responsabilité humaine, entre le manque d’entretien d’un matériel électrique placé en zone à risque, et les effets concrets du réchauffement climatique sur la Californie. C’est sous notre nez et, comme le formulera le responsable des pompiers dans le dernier acte, rien n’est organisé pour combattre des feux qu’on sait de plus en plus fréquents et violents.

Au milieu des appels à évacuer qui ne s’envoient pas et la gestion chaotique du trafic qui tourne bien vite à l’apocalypse, le cinéaste remet une nouvelle fois en scène un aveuglement, tandis que ses plans larges introductifs sont soudain privés d’horizon par une fumée qui emplit le ciel, avant de plonger tout Paradise dans l’obscurité.

PAUL BURNTGRASS

Face aux mailles de ces organigrammes infernaux, incapables d’agir dans les temps, le réalisateur y oppose plus que jamais la simplicité des gestes du quotidien, ceux des individus qui tentent d’agir, à l’instar de ces inserts sur la main de Kevin McKay, conducteur qui ouvre et ferme par sa manivelle la porte de son bus scolaire. Paul Greengrass a toujours eu un talent certain pour tirer de ses stars hollywoodiennes (Matt Damon, Tom Hanks) une sobriété, une accessibilité qui en font ce parangon de l’Américain moyen presque allégorique, embarqué malgré lui dans des circonstances extraordinaires qui supposent une droiture morale.

À ce jeu, Matthew McConaughey transcende à lui seul le film. Malgré sa voix douce et son allure faussement stoïque, l’acteur laisse transparaître dans ses yeux une inquiétude, un désespoir qu’il essaie de retenir au plus profond de lui, mais que les tressauts de la caméra de Greengrass aident à capter. Dans le rôle d’un père de famille divorcé, contraint à des petits boulots dans une ville qu’il avait fuie, The Lost Bus traduit une stagnation dans une œuvre qui raconte pourtant une tentative de mouvement.

La surstimulation épuisante de son quotidien, où Kevin tente de conjuguer ses responsabilités de chauffeur (sécurité, timing, comptes rendus) avec sa vie de famille difficile, métaphorise cette loi du talion si américaine et hypocrite (quand on veut, on peut). Si elle impacte en premier lieu les classes défavorisées, elle se retrouve à plus grande échelle dans ces systèmes de sécurité censés protéger tout le monde, qui souffrent à leur tour d’un manque d’effectifs et de matériel.

Ce dézoom, qui connecte une lutte environnementale et structurelle à la lutte des classes, étonne dans un récit qu’on aurait cru calibré sur son prétexte de l’histoire vraie héroïque (Kevin accepte d’aller chercher avec son bus 22 enfants d’une école primaire pour les sortir de Paradise). The Lost Bus n’évite pas totalement les tares du genre, entre le délitement forcé de ses péripéties et un final gnangnan, mais sa lente introduction place intelligemment ses pions, au point de justifier l’égoïsme inaugural de son protagoniste, prêt à tout plaquer pour récupérer son fils et sa mère.

Greengrass ausculte, tout comme les gestes qu’il aime filmer, des circonstances, et ce moment où le sens du collectif ressurgit, à commencer dans la relation très organique qu’il arrive à tisser dans la panique entre Kevin et Mary, la professeure qui accompagne les enfants (America Ferrera, très convaincante). Si on peut reprocher à l’ensemble la gestion inégale de ses effets visuels, The Lost Bus a pour lui un sens de l’ampleur cauchemardesque, qui recadre toujours ses personnages en gros plan dans cet espace dévasté.

Par ce retour de l’individu dans les rouages d’un système tentaculaire et impuissant, le film en vient aussi à rappeler la culpabilité humaine en personnifiant ce feu dévastateur, notamment au travers de plans de drone très efficaces qui incarnent sa progression fulgurante. Une idée visuelle très à la mode, mais qui s’inscrit de façon tout à fait logique dans la filmographie d’un cinéaste au style toujours aussi pertinent.

The Lost Bus est disponible depuis le 3 octobre 2025 sur Apple TV+

Toujours balèze quand il s’agit de filmer la tension, Paul Greengrass sait surtout utiliser sa mise en scène pour dépeindre des systèmes qui dysfonctionnent, sur le plan intime et sociétal. S’il n’esquive pas toujours les problèmes de ce genre « d’histoire vraie », The Lost Bus est souvent saisissant, et tire son épingle du jeu par son intelligence thématique.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... ED-58_2wNA
Ils n'ont pas l'air d'accord avec toi :o
Avatar du membre
robinne
Messages : 6749
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

Pale a écrit : lun. 6 oct. 2025 17:17 Image
Merci :jap:
Je n'en avais pas entendu parler ;)
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

robinne a écrit : lun. 6 oct. 2025 17:18 Ils n'ont pas l'air d'accord avec toi :o
Ce n'est point grave :o :D
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

robinne a écrit : lun. 6 oct. 2025 17:19
Pale a écrit : lun. 6 oct. 2025 17:17 Image
Merci :jap:
Je n'en avais pas entendu parler ;)
Sa diffusion commence en janvier 2026.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Nouvelle Vague : un exercice de style réjouissant [critique]

Image

Richard Linklater raconte le tournage d’A Bout de Souffle dans une comédie vive et joyeuse, à peine alourdie par sa dimension patrimoniale et touristique.

Le Texan Richard Linklater vient à Paris reconstituer la fabrication d’A Bout de Souffle, le Godard inaugural qui fit de la Nouvelle Vague un raz-de-marée, début 1960. Le réalisateur de Boyhood, roi du coming-of-age movie, envisage cette mythologie française comme le prétexte d’un nouveau film d’apprentissage, de jeunesse, de premières fois. C’est Génération rebelle délocalisé dans le Quartier Latin.

Son talent pour recréer des petites bulles d’espace-temps dans lesquelles il fait bon vivre fonctionne ici à plein, et se double d’un extraordinaire exercice de style « à la manière de », un pastiche superbement confectionné, porté par des comédiens irrésistibles, qui donne à ce Nouvelle Vague des airs de vrai-faux film de Godard – celui des sixties, primesautier et fantaisiste.

Linklater ambitionne sans doute d’inciter les jeunes cinéastes d’aujourd’hui à retrouver l’insouciance et l’envie de tout déconstruire qui agitaient Godard et Cie à l’époque. Un geste en légère contradiction avec la démarche patrimoniale de l’entreprise, ses révérences respectueuses qui sont aussi celles d’un touriste américain à Paris, d’un fan qui a clairement choisi d’« imprimer la légende ».

On n’a ainsi jamais accès à l’intériorité de Godard, constamment planqué derrière ses lunettes noires et ses aphorismes, et qui restera jusqu’au bout cette silhouette sortie d’une BD ligne claire. Mais ce n’est pas l’intention du film, qui se veut pédago mais cool, un cours d’histoire du cinéma pour rire et en accéléré, comme la visite du Louvre dans Bande à part.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... RL6Kt4YB0g
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image





Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39



Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Mia Goth a la première de Frankenstein à Los Angeles :

Image

Un peu trop transparent quand même :o
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

EL a beaucoup aimé Nouvelle Vague (4 étoiles) :

Image

De Slacker à Everybody Wants Some! en passant par Rock Academy et Boyhood, on ne peut pas dire que la filmographie de Richard Linklater soit la plus simple à définir. Et pourtant, chacun de ses projets renferme une identité propre, une envie de tester, d’une manière ou d’une autre, le sens de ses images et de ses dispositifs. Lorsqu’il a été annoncé que le réalisateur texan tournait en France (et en français) un film sur le tournage d’À bout de souffle de Jean-Luc Godard, ça semblait aussi jouissif que cohérent. Et c’est exactement ce qu’est Nouvelle Vague, en salles le 8 octobre.

NOUVEAU SOUFFLE


Toujours aussi productif et éclectique (y compris en 2024 avec le mésestimé Hit Man), Richard Linklater ne cesse d’amuser et de s’amuser. Qu’il raconte son enfance par l’animation (Apollo 10 ½), laisse ses acteurs raconter la trajectoire bouleversante d’un couple (la trilogie du Before) ou qu’il filme une vie de famille sur 12 ans (Boyhood), son goût de l’expérimentation se fait sans dogmes, d’où la nature ludique qui transparaît de ses images, même sur ses œuvres les plus mineures.

C’est bien cet état d’esprit qui fait de Nouvelle Vague une évidence dans sa filmographie. Ce faux biopic sur la production d’À bout de souffle de Jean-Luc Godard cherche moins à raconter la pensée et le tournage derrière l’un des films les plus influents de l’histoire qu’à embrasser le joyeux chaos qui en fera un chef-d’œuvre.

Quand bien même Linklater joue avec le ratio 1.37 et un noir et blanc qui rappelle celui de Raoul Coutard, sa reconstitution – par ailleurs très soignée – évite de reprendre les effets d’une révolution en marche largement dénaturés depuis. D’aucuns lui reprochent le manque d’audace de sa mise en scène, alors que sa sobriété tient à une grande malice, à un jeu justement : offrir le contrechamp à certains plans mythiques, et ainsi donner une tridimensionnalité nouvelle à l’œuvre dont il raconte la genèse.

Quel intérêt aurait Linklater à reproduire les jump cuts ou les ruptures de la règle des 180 degrés d’À bout de souffle, si ce n’est pour les dévitaliser de leur substance ? C’est même tout le propos du long-métrage : à chaque citation, à chaque inspiration, Godard définit par son patchwork d’influences une ligne ténue et punk entre le plagiat et la révolution. Linklater n’a pas la prétention de bouleverser les codes établis, mais son hommage esquive la muséification d’un film intouchable et de son auteur.

BEFORE REVOLUTION

L’amusement du cinéaste réside dans le bouillonnement culturel de toute une époque qu’il capte avec vigueur, que ce soit au Café de Flore ou dans les bureaux des Cahiers du cinéma. Toute la clique est là, de Truffaut à Chabrol en passant par Rivette, symboles d’une soif de nouveauté portée par une pugnacité doublée d’une douce arrogance.

Cette vivacité doit beaucoup à une direction d’acteurs incroyable, énième preuve du talent de Richard Linklater en la matière. Majoritairement composé d’inconnus sélectionnés pour leur ressemblance physique avec leur rôle, le casting ne tombe jamais dans la piètre imitation. Si Guillaume Marbeck reprend à merveille les mimiques de Jean-Luc Godard et son phrasé si génialement agaçants, Zoey Deutch bluffe le plus, tant elle se fond dans la peau de Jean Seberg. On en oublierait presque qu’on regarde une fiction, d’autant que le personnage possède certaines des plus belles scènes du film, en s’engageant dans ce tournage risqué tout en exprimant des doutes légitimes.

Là, Nouvelle Vague se montre typiquement linklaterien, et se construit sur une mise en abyme de la performance (et pas seulement des acteurs), entre celle que le réalisateur tire de ses comédiens, et celle que les personnages incarnent. Hit Man en était l’exemple le plus explicite : le cinéma de Linklater se passionne pour l’auto-mise en scène de ses protagonistes, le plaisir à opposer sa nature profonde à l’image qu’on veut renvoyer de soi.

À ce titre, Jean-Luc Godard n’a rien à envier au faux tueur à gages qu’incarnait Glen Powell, grand gamin fantasque à la limite de la bipolarité, toujours sur le fil entre le génie et l’escroc. De quoi rendre le long-métrage toujours drôle et enlevé, sans pour autant égratigner le roi de la Nouvelle Vague.

En réalité, dans cette balance permanente entre le sérieux de l’opération et son sens de l’improvisation plus ou moins ridicule, le film se pose quelques belles questions : et si À bout de souffle avait été mauvais ? Et si c’était le cas, à quoi ça aurait tenu ? Finalement, ce faux making-of rappelle moins ses modèles que le brillant Ne coupez pas ! (la version de Shin’ichirô Ueda, pas le copier-coller de Michel Hazanavicius).

En racontant les déboires d’une production horrifique fauchée, il en émergeait de la tendresse. Un tournage sera toujours un éternel bourbier, dont on ne peut ressortir grandi qu’à travers le collectif. Parfois, ça donne de gentils nanars, et parfois, par le plus grand des miracles, ça donne une œuvre immense et novatrice. Mais dans tous les cas, Richard Linklater n’en oublie pas son mantra : l’amusement.

S’il ne désacralise pas la Nouvelle Vague, Richard Linklater évite le biopic ronflant et confortable en reliant le tournage chaotique d’À bout de souffle à sa propre vision du cinéma, faite d’accidents heureux, d’amusement, d’improvisation, et d’un génie qui doit quand même beaucoup au hasard.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... S5g8Bb9Nag

Un autre avis plus modéré (3 étoiles) :

"Avec sa reconstitution folle et son tempo comique parfait, Nouvelle vague capture à merveille le génie de Godard. Dommage que l'ensemble repose sur un trop grand classicisme."
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Tron : Ares – premiers avis pour le retour de la saga culte avec Jared Leto

Image

La saga Tron est de retour avec un troisième volet, Tron : Ares, mené par Jared Leto en programme d’intelligence artificielle super-intelligent.

Que la franchise Tron est passionnante. Après le cultissime premier opus Tron sorti en 1982, la saga a eu le droit à une suite en 2010 par Joseph Kosinski avec Tron : L’Héritage. Jeff Bridges y reprenait son rôle de Kevin Flynn, jouant les disparus, tout en passant le flambeau à son fils pour nous offrir une aventure passionnante (à la fois scénaristiquement, formellement et dans l’écosystème hollywoodien). Un troisième volet a alors rapidement été commandé, mais c’est seulement quinze ans plus tard qu’il débarque enfin au cinéma.

Bien que présenté comme un simili-reboot par Disney, Tron : Ares semble bel et bien une suite des deux précédents opus. Réalisé par Joachim Rønning, le film suivra ainsi la rencontre entre les êtres IA du monde numérique de Tron avec le reste de l’humanité, les deux rentrant en collision pour la première fois de la saga. Jeff Bridges est toujours là, accompagné par les nouveaux venus Jared Leto, Greta Lee, Evan Peters, Gillian Anderson ou encore Jodie Turner-Smith. Les premiers avis sont tombés.

« Tron : Ares est un amas de choix narratifs fades et ineptes, reprenant les pires tendances de son prédécesseur et les accentuant. Les effets spéciaux sont jolis, mais ils servent tous une narration fade et des scènes décevantes. Même la musique ne peut sauver cet exercice stupide. » Josh Parham – Next Best Picture

« Tron : Ares est visuellement époustouflant et offre l’une des meilleures 3D que j’ai vues depuis dix ans (en dehors des films Avatar). Ceci dit, l’intrigue est extrêmement stupide et aucun des personnages ne m’a vraiment intéressé. Si, malgré cette réaction, vous avez encore envie de le voir, l’IMAX 3D est un must. » Peter Sciretta – Slash Film

« Tron : Ares est un régal pour les yeux. Les visuels ! Et oui, la bande-son est incroyable. J’ai passé un bon moment devant, mais j’aurais aimé que certains personnages soient plus étoffés. » Wendy Lee Szany – Den of Geek

« Tron : Ares est le PLUS beau film de l’année, conçu pour IMAX ! Des rouges éclatants, un design époustouflant et une bande-son tonitruante que vous ne pourrez plus arrêter d’écouter. Un triomphe visuel et sonore, même si une histoire faible et des personnages fades freinent l’ensemble. » Shabbaz – The Movie Podcast

« Tron : Ares est une sorte de grand bruit purement visuel. Un film qui emprunte des tropes à tous les grands films de science-fiction sur l’IA, mais qui ne creuse jamais plus profondément que la surface. C’est élégant, il y a de l’action géniale, des idées cool mais c’est émotionnellement vide. Dieu merci, il y a la musique de NIN qui est vraiment la grâce salvatrice aux côtés de Greta Lee. » Zach Pope – Into the Geek-Verse

« Tron : Ares est on ne peut plus basique. Une histoire, des émotions et des personnages qui vont droit au but. Ce qui est correct. Mais il a des graphismes vraiment amusants, une bande-son très entraînante et juste assez de l’âme de Tron : L’Héritage pour captiver les fans. Je l’ai plus apprécié que détesté. » Germain Lussier – Gizmodo

« L’esthétique de Tron : Ares est soignée, radicale et époustouflante, et les musiques de Nine Inch Nails, véritables classiques du club, complètent parfaitement ce spectacle visionnaire et éblouissant. Les femmes (Greta Lee, Jodie Turner-Smith et Gillian Anderson) volent la vedette, sublimant l’ensemble. » Courtney Howard – Fresh Fiction TV

« Tron : Ares est décevant. Le scénario est faible et ne met pas en valeur les nouveaux personnages. Il a l’air d’un DTV à gros budget, grâce à Joachim Rønning. Au moins, la musique de Nine Inch Nails est excellente. J’aimerais bien savoir ce qu’aurait donné TRON : ASCENSION de Joseph Kosinski. » Brandon Norwood – The Film Blerds

« Des graphismes éclatants et une bande originale percutante de Nine Inch Nails ne peuvent détourner l’attention du chaos qui entoure Tron : Ares. Le film est particulièrement réussi lorsqu’il nous plonge dans un monde différent, mais malheureusement, une grande partie de ce qui se passe se déroule dans une réalité morne. Tout le monde est en pilotage automatique dans ce scénario chaotique… » Adam Patla – The Rolling Tape

En dehors des louanges assez unanimes sur la réussite visuelle du film (et heureusement vu le budget estimé de 200 millions de dollars), Tron : Arès semble avoir particulièrement déçu la critique. Bien sûr, comme chaque avant-première, certains avis sont plutôt très positifs, mais difficile de ne pas voir une certaine retenue, d’autant plus que certains critiques ne se sont pas gênés pour exprimer à quel point le scénario n’était pas à la hauteur du reste.

En France, le film sort ce 8 octobre et si vous êtes impatients de découvrir notre avis, l’embargo tombera ce mardi 7 octobre à 18h.


https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... cXl--PPPfA
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Alone at Dawn : le film de guerre de Ron Howard s’offre un super casting

Image

Le casting du prochain film de Ron Howard, Alone at Dawn, a agrandi son casting avec deux supers acteurs.

Ron Howard ne chôme pas : peu après Eden, son thriller psychologique avec Sydney Sweeney, Ana de Armas, Jude Law, Vanessa Kirby et Daniel Brühl, le cinéaste reviendra avec le film d’animation The Shrinking of Treehorn, actuellement en post-production. De plus, en juin dernier, une nouvelle version de Backdraft, le film de pompier de 1991 avec Kurt Russel, Robert De Niro et William Baldwin, a été annoncée avec Glen Powell dans le premier rôle. Cette reprise sera réalisée par Ron Howard, dont la liste des projets a aussi continué de s’agrandir avec Alone at Dawn, un drame militaire inspiré d’une histoire vraie pour laquelle le cinéaste s’associera cette fois à Amazon MGM Studios.

Ce projet s’inscrit ainsi dans le cadre du contrat qui a récemment été renouvelé entre le studio et Imagine Entertainment, la société de production de Ron Howard qui prendra aussi la casquette de producteur exécutif. Le film n’a pas encore dévoilé de date de production, mais a déjà trouvé ses deux têtes d’affiche.

Adam Driver n’avait pas encore Ron Howard sur son tableau de chasse, mais ce n’est plus qu’une question de temps. Après avoir travaillé avec Noah Baumbach, Spike Lee, Terry Gilliam, Steven Soderbergh, Martin Scorsese, Ridley Scott, Leos Carax, les frères Coen, Steven Spielberg ou encore Michael Mann, l’acteur tournera prochainement pour le réalisateur oscarisé d’Un homme d’exception. L’information a notamment été rapportée par Deadline et The Hollywood Reporter.

À cette occasion, il donnera pour la première fois la réplique à l’actrice oscarisée des Misérables, Anne Hathaway, qui incarnera une officière de l’armée. Alone at Dawn retracera l’histoire de John Chapman, un soldat de l’US Air Force mort au combat durant la guerre d’Afghanistan, dont la bravoure ne sera reconnue que des années plus tard, au terme d’une longue enquête qui lui vaudra finalement une Médaille d’Honneur posthume. Il s’agira d’une adaptation du roman éponyme de Dan Schilling et Lori Longfritz.

Il sera par ailleurs intéressant de voir Adam Driver s’emparer d’un rôle de militaires, une première pour l’acteur qui a fait partie du corps des Marines des États-Unis dans sa jeunesse.

Ron Howard est familier de ce type de récit biographique ou inspiré de faits réels, ayant déjà mis en scène Apollo 13, Un homme d’exception, De l’ombre à la lumière, Frost/Nixon, Rush ou plus récemment Treize Vies. Quant à Anne Hathaway, elle sera d’abord à l’affiche du prochain The Odyssey de Christopher Nolan, mais aussi dans le prochain drame de David Lowery, Mother Mary, et dans le thriller Verity aux côtés de Dakota Johnson et Josh Hartnett.

Aucune date de sortie n’a encore été dévoilée pour Alone at Dawn.


https://www.ecranlarge.com/films/news/a ... iaq_d9dDeg
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

EL a beaucoup aimé la série Monstre : l’histoire d’Ed Gein (4 étoiles) :

Image

Plus gore et trash que Dahmer, plus risquée que Menéndez, cette troisième saison de Monstre pousse l’anthologie dans ses retranchements. Derrière ses viscères et ses atrocités, elle interroge ce que nous faisons de nos monstres et ce que nos monstres font de nous. Une immense réussite qui déglingue les rouages d’une Amérique malade.

https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... egXWZtG2Bw
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

"Le rôle de sa vie" : Timothée Chalamet encensé en joueur de ping pong

Image

Les premières réactions à Marty Supreme, le film de ping pong de Josh Safdie, sont très positives.

Surprise de taille au 63e Festival de New York hier soir : Timothée Chalamet est apparu pour présenter en avant-première secrète Marty Supreme, son nouveau film signé Josh Safdie.

Présenté par le réalisateur lui-même, l’acteur a pris brièvement la parole avant la projection : "Ce film — au-delà d’être l’histoire de Marty Mauser — est une lettre d’amour à New York," a lancé Chalamet, avant d’ajouter qu’il était "tellement heureux" de dévoiler le film dans sa ville natale. "J’ai été au lycée juste en bas de la rue… C’est complètement dingue d’être là !"



Située dans les années 1950, cette comédie dramatique sportive produite par A24 suit un prodige du ping-pong américain, Marty Mauser (Chalamet), bien décidé à devenir champion.

Et les premières réactions sont dithyrambiques.










https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... FG_jqRqylw
Avatar du membre
robinne
Messages : 6749
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

Pale a écrit : lun. 6 oct. 2025 18:21 Image
[...]
J'ai vu la bande-annonce au cinéma, et je ne suis pas le public :lol:
Avatar du membre
robinne
Messages : 6749
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

Pale a écrit : mar. 7 oct. 2025 16:49 EL a beaucoup aimé la série Monstre : l’histoire d’Ed Gein (4 étoiles) :

Image

Plus gore et trash que Dahmer, plus risquée que Menéndez, cette troisième saison de Monstre pousse l’anthologie dans ses retranchements. Derrière ses viscères et ses atrocités, elle interroge ce que nous faisons de nos monstres et ce que nos monstres font de nous. Une immense réussite qui déglingue les rouages d’une Amérique malade.

https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... egXWZtG2Bw
Je regarde justement la "saison 2", sur les Menéndez. Je ne connaissais pas leur histoire, et c'est tout de même glauque et morbide :sweat:

Concernant Monstre : l’histoire d’Ed Gein, j'ai lu que Charlie Hunnam était très investi dans son rôle :sweat: J'espère qu'il n'apportait pas du boulot à la maison :D
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

robinne a écrit : mar. 7 oct. 2025 17:06 J'espère qu'il n'apportait pas du boulot à la maison :D
:lol:

J'avais modérément apprécié la série sur Dahmer, je vais faire l'impasse sur les frères Menendez mais je vais surement regarder Ed Gein, en partie pour voir la performance de l'acteur.
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
Pale
Messages : 11185
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Image
Avatar du membre
Wickaël
Messages : 1090
Enregistré le : sam. 25 juil. 2020 12:29
Contact :

Pale a écrit : mar. 7 oct. 2025 16:49 EL a beaucoup aimé la série Monstre : l’histoire d’Ed Gein (4 étoiles) :

Image

Plus gore et trash que Dahmer, plus risquée que Menéndez, cette troisième saison de Monstre pousse l’anthologie dans ses retranchements. Derrière ses viscères et ses atrocités, elle interroge ce que nous faisons de nos monstres et ce que nos monstres font de nous. Une immense réussite qui déglingue les rouages d’une Amérique malade.

https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... egXWZtG2Bw
Pas encore trouvé le temps de commencer la série, dans peu de temps j’espère.
Avatar du membre
robinne
Messages : 6749
Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 16:27

Pale a écrit : mar. 7 oct. 2025 17:14 J'avais modérément apprécié la série sur Dahmer, je vais faire l'impasse sur les frères Menendez mais je vais surement regarder Ed Gein, en partie pour voir la performance de l'acteur.
Ce qui est pas mal, c'est qu'entre Dahmer et Menendez, le style n'est pas du tout le même. Et le traitement des personnages non plus (pour ce que j'en ai vu de Menendez - je suis en pause après l'épisode 5, assez impressionnant).
Kahled
Messages : 1128
Enregistré le : jeu. 16 juil. 2020 18:04

Wickaël a écrit : mar. 7 oct. 2025 17:45
Pale a écrit : mar. 7 oct. 2025 16:49 EL a beaucoup aimé la série Monstre : l’histoire d’Ed Gein (4 étoiles) :

Image

Plus gore et trash que Dahmer, plus risquée que Menéndez, cette troisième saison de Monstre pousse l’anthologie dans ses retranchements. Derrière ses viscères et ses atrocités, elle interroge ce que nous faisons de nos monstres et ce que nos monstres font de nous. Une immense réussite qui déglingue les rouages d’une Amérique malade.

https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... egXWZtG2Bw
Pas encore trouvé le temps de commencer la série, dans peu de temps j’espère.
J’ai vu les deux premiers épisodes. C’est assez bluffant. Et j’aime bien Charlie Hunnam, c’est un acteur pour lequel j’ai toujours eu de la sympathie.
Répondre