Belle coïncidence
Le Cercle des profileurs disparus
bon anniversaire à
Jean Sorel 91 ans (germinal -1963, Belle de jour)
Michael Douglas 81 ans (À la poursuite du diamant vert, Wall Street, La Guerre des Rose, Basic Instinct, Le Président et Miss Wade, The Game, Ant-Man, série Les Rues de San Francisco)
et sa femme Catherine Zeta-Jones 56 ans (Les Mille et Une Nuits, Le Masque de Zorro, Haute Voltige, Chicago, Le Terminal, Ocean's Twelve, La Légende de Zorro)
Pedro Almodóvar 76 ans réal (Femmes au bord de la crise de nerfs, Talons aiguilles)
Anson Williams 76 ans (série Happy Days/Les Jours heureux)
Bernard Le Coq 75 ans (Capitaine Conan, Se souvenir des belles choses, série Une famille formidable)
Mark Hamill 74 ans (saga Star Wars)
Heather Locklear 64 ans (série Dynastie, Hooker, Melrose Place, Spin City, LAX)
Anne Roumanoff 60 ans humoriste
Jason Flemyng 59 ans (Rob Roy, Arnaques, Crimes et Botanique, La Ligue des Gentlemen extraordinaires, L'Étrange Histoire de Benjamin Button)
Will Smith 57 ans (trilogie Men in Black, Ali, Je suis une légende, série Le Prince de Bel-Air)
Jean-François Piège 55 ans cuisinier ancien juré de Top Chef
Claire Borotra
52 ans (série La Vengeance aux yeux clairs, téléfilms Meurtres au Pays basque, Meurtres à Guérande)
Joel David Moore 48 ans (séries LAX, Bones, Forever)
Donald Glover 42 ans (Spider-Man: Homecoming, Solo: A Star Wars Story, Spider-Man: Across the Spider-Verse)
Jean Sorel 91 ans (germinal -1963, Belle de jour)
Michael Douglas 81 ans (À la poursuite du diamant vert, Wall Street, La Guerre des Rose, Basic Instinct, Le Président et Miss Wade, The Game, Ant-Man, série Les Rues de San Francisco)
et sa femme Catherine Zeta-Jones 56 ans (Les Mille et Une Nuits, Le Masque de Zorro, Haute Voltige, Chicago, Le Terminal, Ocean's Twelve, La Légende de Zorro)
Pedro Almodóvar 76 ans réal (Femmes au bord de la crise de nerfs, Talons aiguilles)
Anson Williams 76 ans (série Happy Days/Les Jours heureux)
Bernard Le Coq 75 ans (Capitaine Conan, Se souvenir des belles choses, série Une famille formidable)
Mark Hamill 74 ans (saga Star Wars)
Heather Locklear 64 ans (série Dynastie, Hooker, Melrose Place, Spin City, LAX)
Anne Roumanoff 60 ans humoriste
Jason Flemyng 59 ans (Rob Roy, Arnaques, Crimes et Botanique, La Ligue des Gentlemen extraordinaires, L'Étrange Histoire de Benjamin Button)
Will Smith 57 ans (trilogie Men in Black, Ali, Je suis une légende, série Le Prince de Bel-Air)
Jean-François Piège 55 ans cuisinier ancien juré de Top Chef
Claire Borotra
52 ans (série La Vengeance aux yeux clairs, téléfilms Meurtres au Pays basque, Meurtres à Guérande)Joel David Moore 48 ans (séries LAX, Bones, Forever)
Donald Glover 42 ans (Spider-Man: Homecoming, Solo: A Star Wars Story, Spider-Man: Across the Spider-Verse)
Vosg'patt de cœur
C’est même certain, mais miser tout sur les FX et le visuel ça fait pas tout...
Récemment j'ai vu ceci :
Je découvre seulement maintenant ce petit classique de la comédie. Il s'agit donc de Vampires en toute intimité réalisé par Taika Waititi et Jemaine Clement. Il s'agit donc d'un film à la C'est arrivé près de chez nous, donc sous forme de reportage et où l'on suit le quotidien de vampires qui vivent en colocation. Comme on peut le lire sur l'affiche, c'est absolument hilarant et c'est une des meilleures comédies que j'ai pu voir ces derniers temps. C'est drôle et inventif en permanence.
Je découvre cet autre petit classique, enfin je pense que le film est davantage populaire aux États-Unis car le film va en plus bénéficier d'une ressortie pour ces 40 ans. Bref cette comédie dramatique de Joel Schumacher s'apparente à du John Hughes, on retrouve d'ailleurs dans St. Elmo's Fire une kyrielle d'acteurs que l'on retrouve dans le cinéma de Hughes. Dans ce Schumacher, on va suivre la trajectoire d'une bande d'amis après la fac dans la vie active. Bon le film met surtout l'accent sur les peines de cœur, c'est un peu cucul mais ça m'a fait plaisir de plonger dans une ambiance aussi années 80.
Je découvre seulement maintenant ce petit classique de la comédie. Il s'agit donc de Vampires en toute intimité réalisé par Taika Waititi et Jemaine Clement. Il s'agit donc d'un film à la C'est arrivé près de chez nous, donc sous forme de reportage et où l'on suit le quotidien de vampires qui vivent en colocation. Comme on peut le lire sur l'affiche, c'est absolument hilarant et c'est une des meilleures comédies que j'ai pu voir ces derniers temps. C'est drôle et inventif en permanence.
Je découvre cet autre petit classique, enfin je pense que le film est davantage populaire aux États-Unis car le film va en plus bénéficier d'une ressortie pour ces 40 ans. Bref cette comédie dramatique de Joel Schumacher s'apparente à du John Hughes, on retrouve d'ailleurs dans St. Elmo's Fire une kyrielle d'acteurs que l'on retrouve dans le cinéma de Hughes. Dans ce Schumacher, on va suivre la trajectoire d'une bande d'amis après la fac dans la vie active. Bon le film met surtout l'accent sur les peines de cœur, c'est un peu cucul mais ça m'a fait plaisir de plonger dans une ambiance aussi années 80.
En ce moment je découvre quelques Kubrick, pour le moment la note minimum que j’ai mis c’est 8/10, pas déçu.
J’ai terminé la première saison de Alien: Earth hier. J’ai beaucoup aimé, de très bonnes idées et d'autres un peu moins... mais malgré tout j’ai passé un très bon moment et l’envie de découvrir l’épisode suivant était là. Maintenant reste à savoir si la suite sera à la hauteur de cette première saison qui pour ma part a été très convaincante.
8/10
bon anniversaire à
Linda Hamilton 69 ans (saga Terminator, Le Pic de Dante, série La Belle et la Bête )
Melissa Sue Anderson 63 ans (série La Petite Maison dans la prairie)
Jim Caviezel 57 ans (Frequence interdite , La Ligne rouge, La Vengeance de Monte Cristo, La Passion du Christ, séries Le Prisonnier, Person of Interest )
Christina Milian 44 ans (Le Rendez-vous de Noël, série Dexter : Les Origines) compagne du chanteur français M. Pokora[
Linda Hamilton 69 ans (saga Terminator, Le Pic de Dante, série La Belle et la Bête
)Melissa Sue Anderson 63 ans (série La Petite Maison dans la prairie)
Jim Caviezel 57 ans (Frequence interdite
, La Ligne rouge, La Vengeance de Monte Cristo, La Passion du Christ, séries Le Prisonnier, Person of Interest )Christina Milian 44 ans (Le Rendez-vous de Noël, série Dexter : Les Origines) compagne du chanteur français M. Pokora[
Vosg'patt de cœur
superbe en effet 
marrant ses parents sont pourtant blonds. elle me fait penser à Anne-Marie Peysson, Nolwenn Leroybon anniversaire à
François Dunoyer 79 ans (séries Le Retour d'Arsène Lupin, Les Nouveaux Exploits d'Arsène Lupin, Julie Lescaut)
Tom Braidwood 77 ans (séries X-Files : Aux frontières du réel, The Lone Gunmen : Au cœur du complot)
Jean-Marc Barr 65 ans (Le Grand Bleu, Europa, Breaking the Waves)
Tamara Taylor 55 ans (série Bones)
Gwyneth Paltrow 53 ans (Seven, Shakespeare in Love, Le Talentueux Mr. Ripley, L'Amour extra-large, Two Lovers, films Marvel)
Avril Lavigne 41 ans chanteuse
Jenna Ortega 23 ans (Beetlejuice Beetlejuice, séries Jane the Virgin, Harley, le cadet de mes soucis, Mercredi, You)
Vosg'patt de cœur
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ClintReborn
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- Localisation : Avalon
En effet c'est très très subtilement transparent
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
À ce propos :
Une seconde saison que j'ai trouvé un peu en deçà de la première. Mon problème est qu'ils veulent trop en faire et du coup cette saison ne prend jamais véritablement le temps de se poser ou de respirer, on passe du coq à l'âne en permanence et certains personnages deviennent juste des fonctions. Après la saison est sauvée par de très bons épisodes comme un épisode en mode Freaky Friday dans lequel la prestation de Jenna Ortaga est bluffante ou un épisode final que j'ai trouvé très intense et qui me donne envie de voir la suite des événements.
L'hallucination collective de 2025, le film qu'il faut impérativement porter aux nues pour pas passer pour l'enculé de service. Ce film confirme que Paul Thomas Anderson se résume pour moi à Boogie Nights et Punch-Drunk Love. Alors tout n'est pas à jeter dans Une bataille après l'autre, il est vrai que la fin tient plutôt en haleine mais le tout est tellement caricatural, ridicule et dénué de subtilités et de nuances que cela rend le visionnage parfois pénible. Sean Penn mérite l'oscar du meilleur cabotinage de l'année. Et je comprends pas cette manie qu'ont ces réalisateurs pédants de recouvrir l’entièreté du film avec une musique hors de propos un peu comme la batterie insupportable dans le film Birdman. Ah et sinon je ne peux pas croire que ça ait couté autant de pognon car à part la scène d'une émeute, tout se passe dans des endroits déserts.
The Social Network 2 : une date de sortie et un nouveau titre pour la suite au casting prestigieux
The Social Network 2, écrit et réalisé par Aaron Sorkin, avec Jeremy Allen White et Mikey Madison a enfin une date de sortie.
De semaine en semaine, le casting de The Social Network 2, la suite du film écrit par Aaron Sorkin, réalisé par David Fincher et sorti en 2010, continue de se préciser. Le dernier comédien à avoir rejoint l’équipe à ce jour est l’acteur nominé aux Emmy et aux Grammy Awards, Bill Burr. On a pu le voir dans la série Old Dads, dans quelques épisodes de Breaking Bad ou encore dans The Mandalorian.
À ses côtés, on retrouvera notamment l’actrice oscarisée Mikey Madison (Anora, Once Upon a Time…in Hollywood), le lauréat d’un Golden Globe et d’un Emmy Award Jeremy Allen White (The Bear, prochainement dans Deliver Me from Nowhere) et le génial Jeremy Strong (The Apprentice, Succession).
Par ailleurs, alors que ce Social Network 2 continue de se dévoiler, Sony a enfin annoncé une date de sortie pour le film, dorénavant titré The Social Reckoning. Le long-métrage débarquera dans presque un an dans les cinémas américains, le 9 octobre 2026. Aucune précision n’a encore été faite pour sa sortie française. Si une diffusion au cinéma est confirmée, Reckoning devrait arriver sur nos écrans le mercredi précédent sa sortie domestique, le 7 octobre, comme s’est devenu la tradition pour les grosses sorties américaines.
Pour rappel, ce nouveau film s’inspire des « Facebook Files » du Wall Street Journal, une série d’articles publiés en octobre 2021 par Jeff Horowitz (Jeremy Allen White dans le film), qui ont révélé les rouages internes — ainsi que les nombreux dommages causés par — le plus grand réseau social au monde. Aucun autre détail n’a encore été dévoilé sur le film si ce n’est que Mikey Madison y incarnera la lanceuse d’alerte Frances Haugen et que Jeremy Strong sera le nouveau Mark Zuckerberg, succédant au Jesse Eisenberg du film de 2010.
The Social Network 2 est cette fois écrit ET réalisé par Aaron Sorkin. Ce sera sa quatrième mise en scène, après Le Grand Jeu, Les Sept de Chicago et Being the Ricardos. De son côté, David Fincher est parti retrouver son fidèle collaborateur Brad Pitt dans la suite de Once Upon a Time… in Hollywood pour Netflix, The Adventures of Cliff Booth.
https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... 4CicuxymwA
The Social Network 2, écrit et réalisé par Aaron Sorkin, avec Jeremy Allen White et Mikey Madison a enfin une date de sortie.
De semaine en semaine, le casting de The Social Network 2, la suite du film écrit par Aaron Sorkin, réalisé par David Fincher et sorti en 2010, continue de se préciser. Le dernier comédien à avoir rejoint l’équipe à ce jour est l’acteur nominé aux Emmy et aux Grammy Awards, Bill Burr. On a pu le voir dans la série Old Dads, dans quelques épisodes de Breaking Bad ou encore dans The Mandalorian.
À ses côtés, on retrouvera notamment l’actrice oscarisée Mikey Madison (Anora, Once Upon a Time…in Hollywood), le lauréat d’un Golden Globe et d’un Emmy Award Jeremy Allen White (The Bear, prochainement dans Deliver Me from Nowhere) et le génial Jeremy Strong (The Apprentice, Succession).
Par ailleurs, alors que ce Social Network 2 continue de se dévoiler, Sony a enfin annoncé une date de sortie pour le film, dorénavant titré The Social Reckoning. Le long-métrage débarquera dans presque un an dans les cinémas américains, le 9 octobre 2026. Aucune précision n’a encore été faite pour sa sortie française. Si une diffusion au cinéma est confirmée, Reckoning devrait arriver sur nos écrans le mercredi précédent sa sortie domestique, le 7 octobre, comme s’est devenu la tradition pour les grosses sorties américaines.
Pour rappel, ce nouveau film s’inspire des « Facebook Files » du Wall Street Journal, une série d’articles publiés en octobre 2021 par Jeff Horowitz (Jeremy Allen White dans le film), qui ont révélé les rouages internes — ainsi que les nombreux dommages causés par — le plus grand réseau social au monde. Aucun autre détail n’a encore été dévoilé sur le film si ce n’est que Mikey Madison y incarnera la lanceuse d’alerte Frances Haugen et que Jeremy Strong sera le nouveau Mark Zuckerberg, succédant au Jesse Eisenberg du film de 2010.
The Social Network 2 est cette fois écrit ET réalisé par Aaron Sorkin. Ce sera sa quatrième mise en scène, après Le Grand Jeu, Les Sept de Chicago et Being the Ricardos. De son côté, David Fincher est parti retrouver son fidèle collaborateur Brad Pitt dans la suite de Once Upon a Time… in Hollywood pour Netflix, The Adventures of Cliff Booth.
https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... 4CicuxymwA
EL a beaucoup aimé Dexter : Resurrection (4 étoiles) :
Après les premiers instants, entravés des défauts attendus, cette nouvelle suite élève Dexter à un niveau qu’il n’avait pas atteint depuis longtemps. On en reprendrait bien une part ou deux.
https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... SmyR777Zxg
Après les premiers instants, entravés des défauts attendus, cette nouvelle suite élève Dexter à un niveau qu’il n’avait pas atteint depuis longtemps. On en reprendrait bien une part ou deux.
https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... SmyR777Zxg
Sisu 2 : Road to Revenge – premiers avis pour la suite du Rambo finlandais méga-bourrin
Aatami Korp n’a pas fini de désosser du militaire. La suite de Sisu, Sisu : Road to Revenge, a été projetée en festival et les retours sont extatiques.
Réalisé par le finlandais Jalmari Helander, le premier Sisu, sous-titré en France De l’or et du sang, avait été un petit succès en 2022. Ce simili Rambo ultra-bourrin mettait en scène un chercheur d’or (Jorma Tommila) particulièrement tenace, à qui une bande de Waffen-SS avaient le malheur de chercher des noises. Une suite a donc été lancée dans la foulée, toujours avec le même duo d’acteur et réalisateur. Cette fois cependant, le budget a gonflé et des acteurs américains bien connus se sont glissés dans la distribution.
Sisu : Road to Revenge oppose « l’homme qui refuse de mourir », sur le point de reconstruire la maison de sa famille assassinée, aux commandants de l’armée rouge responsables, joués par Richard Brake et Stephen Lang. La bande-annonce promettait un film plus ambitieux et les premières critiques, suite à sa projection au Fantastic Fest, le confirment.
« Si vous vous demandez qui pourrait gagner dans un combat entre un camion et un avion de chasse, ce film nous donne la réponse gore et sanglante – Au diable les lois de la physique.«
MovieWeb
« Sisu : Road to Revenge offre une version absurde et éprouvante du même petit plaisir blindé d’action fantastique, comme un mélange post-Seconde Guerre mondiale de Mad Max : Fury Road et d’une suite de Fast & Furious. »
IGN
« Sisu : Road to Revenge augmente le carnage et le chaos d’une telle manière qu’on se demande s’il est meilleur que son prédécesseur. »
DreadCentral
« C’est du slapstick grandiose, grotesque et il y a un moment où Dragonov regarde, à juste titre, les pitreries de Korpi comme s’il contemplait Vil Coyote en action. »
Austin Chronicle
« Une bonne partie de Road to Revenge est un film muet extrêmement gore, avec Aatami qui décime des soldats de l’armée rouge par vingtaines, dans des scènes d’action aussi inventives qu’incroyablement drôles. »
Slant Magazine
« Helander se fait passer pour George Miller dans son thriller routier tapageur à la Mad Max, qui adresse un bon gros et sanglant doigt d’honneur à la réalité, à la faveur d’un carnage d’action jouissif. »
Bloody Disgusting
« Le romancier Cormac McCarthy a exploré l’idée que la violence peut être régénérative et rédemptrice. Dans Sisu : Road to Revenge, Helander a dépeint ce concept sur un écran de cinéma de six mètres, aux portes de la mort et dégoulinant de gore. »
Film Threat
Carton plein pour le moment donc, sachant que les médias cités ici sont pour certains spécialisés dans le cinéma d’action ou d’horreur. Les médias plus traditionnels, comme Variety, Deadline et consorts n’ont pas encore dédié de critiques au film. Aux États-Unis, il sera dans les salles le 21 novembre 2025. En France, aucune date n’a pour le moment été annoncée.
https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... s1mz1O6CuQ
Aatami Korp n’a pas fini de désosser du militaire. La suite de Sisu, Sisu : Road to Revenge, a été projetée en festival et les retours sont extatiques.
Réalisé par le finlandais Jalmari Helander, le premier Sisu, sous-titré en France De l’or et du sang, avait été un petit succès en 2022. Ce simili Rambo ultra-bourrin mettait en scène un chercheur d’or (Jorma Tommila) particulièrement tenace, à qui une bande de Waffen-SS avaient le malheur de chercher des noises. Une suite a donc été lancée dans la foulée, toujours avec le même duo d’acteur et réalisateur. Cette fois cependant, le budget a gonflé et des acteurs américains bien connus se sont glissés dans la distribution.
Sisu : Road to Revenge oppose « l’homme qui refuse de mourir », sur le point de reconstruire la maison de sa famille assassinée, aux commandants de l’armée rouge responsables, joués par Richard Brake et Stephen Lang. La bande-annonce promettait un film plus ambitieux et les premières critiques, suite à sa projection au Fantastic Fest, le confirment.
« Si vous vous demandez qui pourrait gagner dans un combat entre un camion et un avion de chasse, ce film nous donne la réponse gore et sanglante – Au diable les lois de la physique.«
MovieWeb
« Sisu : Road to Revenge offre une version absurde et éprouvante du même petit plaisir blindé d’action fantastique, comme un mélange post-Seconde Guerre mondiale de Mad Max : Fury Road et d’une suite de Fast & Furious. »
IGN
« Sisu : Road to Revenge augmente le carnage et le chaos d’une telle manière qu’on se demande s’il est meilleur que son prédécesseur. »
DreadCentral
« C’est du slapstick grandiose, grotesque et il y a un moment où Dragonov regarde, à juste titre, les pitreries de Korpi comme s’il contemplait Vil Coyote en action. »
Austin Chronicle
« Une bonne partie de Road to Revenge est un film muet extrêmement gore, avec Aatami qui décime des soldats de l’armée rouge par vingtaines, dans des scènes d’action aussi inventives qu’incroyablement drôles. »
Slant Magazine
« Helander se fait passer pour George Miller dans son thriller routier tapageur à la Mad Max, qui adresse un bon gros et sanglant doigt d’honneur à la réalité, à la faveur d’un carnage d’action jouissif. »
Bloody Disgusting
« Le romancier Cormac McCarthy a exploré l’idée que la violence peut être régénérative et rédemptrice. Dans Sisu : Road to Revenge, Helander a dépeint ce concept sur un écran de cinéma de six mètres, aux portes de la mort et dégoulinant de gore. »
Film Threat
Carton plein pour le moment donc, sachant que les médias cités ici sont pour certains spécialisés dans le cinéma d’action ou d’horreur. Les médias plus traditionnels, comme Variety, Deadline et consorts n’ont pas encore dédié de critiques au film. Aux États-Unis, il sera dans les salles le 21 novembre 2025. En France, aucune date n’a pour le moment été annoncée.
https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... s1mz1O6CuQ
Les Intrus, Chapitre 2 : premiers avis pour le nouveau film de la saga d’horreur The Strangers
Les Intrus : Chapitre 2 (The Strangers: Chapter 2 en VO) arrive bientôt en salles, et les premiers avis sur le film de Renny Harlin viennent de sortir.
En 2008 sortait The Strangers, un petit film d’horreur signé Bryan Bertino dans lequel la maison de Liv Tyler et Scott Speedman subissait le siège de dangereux inconnus. C’était le premier volet qui s’ignorait d’une future saga : dix ans plus tard arrivait Strangers : Prey at Night, suivi d’un projet de trilogie réalisée par Renny Harlin (Cliffhanger, Peur bleue, Le Cauchemar de Freddy). Son Les Intrus : Chapitre 1 (oui, c’est contre-intuitif) a vu le jour en 2024, et aujourd’hui, c’est le deuxième opus qui s’apprête à débarquer sur nos écrans.
Le film, porté par Madelaine Petsch (déjà héroïne du premier film et connue pour son rôle de Cheryl dans Riverdale), Gabriel Basso et Emma Horvath, a pu être découvert en avant-première par la presse américaine. Voici un échantillon de ces tout premiers avis.
“Bien que le film ne propose rien qui n’ait pas déjà été vu dans un slasher, cette bascule dans le pur survival fait l’effet d’un bol d’air frais, après le premier volet qui ne faisait preuve d’aucune idée originale et ne présageait d’aucun changement à venir dans sa formule usée jusqu’à la corde.”
Allistair Ryder – Looper
“A force d’en expliquer trop et pas assez à la fois, ce segment du milieu de la trilogie ne parvient pas à pousser plus loin le danger que représentent les intrus. Le passage le plus effrayant du film est peut-être bien le carton de fin qui annonce “à suivre…”.”
Jamie Graham – Empire
“Le film est une amélioration en soi parce que la trilogie avait très mal commencé, mais il n’en reste pas moins un survival horrifique sans inspiration, bourré de scènes répétitives, de choix insensés de la part des personnages et d’une mythologie qui semble annuler la raison-même qui justifie le fait que la franchise existe.”
Rafael Motamayor – Slashfilm
“Se distinguant principalement par sa ressemblance gênante avec le Halloween 2 de Rick Rosenthal, Chapitre 2 ne semble être, pendant un temps, qu’un épilogue étendu et inutile du premier film.”
Mark Hanson – Slant Magazine
“Les Intrus : Chapitre 2 est le deuxième acte d’une “trilogie” qu’on pourrait qualifier, en étant généreux, de saga de slashers étirée dans le seul but de faire de l’argent. Lorsque la somme des parties fait déjà moins que le tout, peut-être que c’est qu’il est temps de laisser tomber l’affaire.”
James Preston Poole – Discussing Film
“Il se trouve que les créateurs de cette arnaque à fric n’ont furieusement pas l’intention d’essayer de la mener où que ce soit.”
Brian Tallerico – RogerEbert.com
Ce n’est pas glorieux pour Les Intrus : Chapitre 2, qui ne récolte aucune critique positive sur Metacritic et reçoit pour l’instant la note infamante de 30/100. Ce n’est pas mieux du côté de Rotten Tomatoes, où le film se mange le score très salé de 18%. Pour les courageux qui projetteraient le noble dessein de vouloir se faire leur propre avis, rendez-vous en salle le 29 octobre 2025.
https://www.ecranlarge.com/films/news/l ... tM7KcBDZxg
Les Intrus : Chapitre 2 (The Strangers: Chapter 2 en VO) arrive bientôt en salles, et les premiers avis sur le film de Renny Harlin viennent de sortir.
En 2008 sortait The Strangers, un petit film d’horreur signé Bryan Bertino dans lequel la maison de Liv Tyler et Scott Speedman subissait le siège de dangereux inconnus. C’était le premier volet qui s’ignorait d’une future saga : dix ans plus tard arrivait Strangers : Prey at Night, suivi d’un projet de trilogie réalisée par Renny Harlin (Cliffhanger, Peur bleue, Le Cauchemar de Freddy). Son Les Intrus : Chapitre 1 (oui, c’est contre-intuitif) a vu le jour en 2024, et aujourd’hui, c’est le deuxième opus qui s’apprête à débarquer sur nos écrans.
Le film, porté par Madelaine Petsch (déjà héroïne du premier film et connue pour son rôle de Cheryl dans Riverdale), Gabriel Basso et Emma Horvath, a pu être découvert en avant-première par la presse américaine. Voici un échantillon de ces tout premiers avis.
“Bien que le film ne propose rien qui n’ait pas déjà été vu dans un slasher, cette bascule dans le pur survival fait l’effet d’un bol d’air frais, après le premier volet qui ne faisait preuve d’aucune idée originale et ne présageait d’aucun changement à venir dans sa formule usée jusqu’à la corde.”
Allistair Ryder – Looper
“A force d’en expliquer trop et pas assez à la fois, ce segment du milieu de la trilogie ne parvient pas à pousser plus loin le danger que représentent les intrus. Le passage le plus effrayant du film est peut-être bien le carton de fin qui annonce “à suivre…”.”
Jamie Graham – Empire
“Le film est une amélioration en soi parce que la trilogie avait très mal commencé, mais il n’en reste pas moins un survival horrifique sans inspiration, bourré de scènes répétitives, de choix insensés de la part des personnages et d’une mythologie qui semble annuler la raison-même qui justifie le fait que la franchise existe.”
Rafael Motamayor – Slashfilm
“Se distinguant principalement par sa ressemblance gênante avec le Halloween 2 de Rick Rosenthal, Chapitre 2 ne semble être, pendant un temps, qu’un épilogue étendu et inutile du premier film.”
Mark Hanson – Slant Magazine
“Les Intrus : Chapitre 2 est le deuxième acte d’une “trilogie” qu’on pourrait qualifier, en étant généreux, de saga de slashers étirée dans le seul but de faire de l’argent. Lorsque la somme des parties fait déjà moins que le tout, peut-être que c’est qu’il est temps de laisser tomber l’affaire.”
James Preston Poole – Discussing Film
“Il se trouve que les créateurs de cette arnaque à fric n’ont furieusement pas l’intention d’essayer de la mener où que ce soit.”
Brian Tallerico – RogerEbert.com
Ce n’est pas glorieux pour Les Intrus : Chapitre 2, qui ne récolte aucune critique positive sur Metacritic et reçoit pour l’instant la note infamante de 30/100. Ce n’est pas mieux du côté de Rotten Tomatoes, où le film se mange le score très salé de 18%. Pour les courageux qui projetteraient le noble dessein de vouloir se faire leur propre avis, rendez-vous en salle le 29 octobre 2025.
https://www.ecranlarge.com/films/news/l ... tM7KcBDZxg
Je découvre seulement U Turn - Ici commence l'enfer, je n'avais pas d'attentes particulières et je me suis pris une belle claque. Le point de départ n'est pas sans rappeler Red Rock West de John Dahl mais Oliver Stone oblige, on a affaire ici à un trip sous acide. Le film porte bien son titre, c'est une véritable descente en enfer à laquelle on assiste lorsque Sean Penn débarque dans un bled perdu au fin fond de l'Arizona et va se frotter à des gens peu recommandables. Le film monte crescendo et propose une dernière partie ultra intense. Il faut également souligner la bande-originale exceptionnelle de Ennio Morricone. Encore une fois c'est un réel bonheur de découvrir la musique de ce maestro. Ah et sinon U Turn offre également une des meilleures performances de Jennifer Lopez.
J'ai également vu ceci :
Un film sous forme de huis clos où il est préférable de ne pas trop savoir de quoi il en retourne au préalable. Le film tient assez bien en haleine mais malgré tout j'ai modérément apprécié car j'ai trouvé l'ensemble un peu vain et certaines scènes sont parfois énervantes vu le parti pris du film. Ça reste une curiosité qui se regarde malgré tout et qui suscite la réflexion.
Un film sous forme de huis clos où il est préférable de ne pas trop savoir de quoi il en retourne au préalable. Le film tient assez bien en haleine mais malgré tout j'ai modérément apprécié car j'ai trouvé l'ensemble un peu vain et certaines scènes sont parfois énervantes vu le parti pris du film. Ça reste une curiosité qui se regarde malgré tout et qui suscite la réflexion.
Je découvre ce film pour la première fois alors que la bande-annonce m'avait beaucoup marqué à l'époque de sa sortie au début des années 90, probablement que le charme de Kim Basinger n'y était pas pour rien
Sinon j'ai moyennement apprécié ce thriller qui se la joue Hitchcock mais tout est extrêmement indigeste et tiré par les cheveux. Reste la musique qui pour le coup est assez Hitchcockienne.Je vais peut-être me laisser tenterPale a écrit : ↑sam. 27 sept. 2025 18:34 EL a beaucoup aimé Dexter : Resurrection (4 étoiles) :
Après les premiers instants, entravés des défauts attendus, cette nouvelle suite élève Dexter à un niveau qu’il n’avait pas atteint depuis longtemps. On en reprendrait bien une part ou deux.
https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... SmyR777Zxg
le gars rage parce que sa voiture Kutcher (coûte cher)
Vosg'patt de cœur
Excellent
Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
https://www.youtube.com/@teambarjow
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Skipper Mike
- Messages : 502
- Enregistré le : mar. 13 oct. 2020 00:07
C'est pas la première fois que ça m'arrive mais là j'ai trouvé ça abusé quand même : j'ai découvert seulement au générique de fin d'Une bataille après l'autre que Sean Penn jouait dans le film
Pendant tout la séance j'essayais de retrouver dans quel autre film j'avais vu cet acteur, mais j'étais persuadé que je ne l'avais vu qu'une ou deux fois et que c'était juste un gars d'habitude cantonné aux seconds rôles et à qui on avait décidé de donner sa chance. Je me suis senti très con en lisant son nom, surtout qu'il n'était pas si méconnaissable J'avoue que c'est très très fortSkipper Mike a écrit : ↑dim. 28 sept. 2025 20:33C'est pas la première fois que ça m'arrive mais là j'ai trouvé ça abusé quand même : j'ai découvert seulement au générique de fin d'Une bataille après l'autre que Sean Penn jouait dans le film
Good Luck, Have Fun, Don’t Die : les premiers avis sur le délire SF anti-IA sont tombés
Après une longue interruption, Gore Verbinski revient avec Good Luck, Have Fun, Don’t Die, une proposition aussi casse-cou qu’intrigante. Les premiers avis sont arrivés : le film n’a laissé personne indifférent.
Après avoir fait flamber les compteurs du box-office avec Pirates des Caraïbes, Verbinski avait perdu de son aura. En 2013, The Lone Ranger a été un énorme flop, avec un budget estimé entre 225 et 250 millions de dollars, le film n’avait ramené que 260 millions au box-office mondial. Et comme le malheur ne vient jamais seul, son film suivant, A Cure for Life a coûté 40 millions pour des retours ridicules autour de 24 millions. Autant dire que le retour du réalisateur derrière la caméra est attendu avec une certaine tension.
Le pitch de Good Luck, Have Fun, Don’t Die raconte comment un voyageur du futur débarque dans un restaurant de Los Angeles, et doit recruter un certain nombre de clients mécontents afin de contrecarrer les plans intelligence artificielle forcément malveillante. Entre la comédie SF, le thriller ésotérique, et la satire technologique, sur le papier, le film a tout du pari ultra casse-gueule.
Côté casting, Verbinski a recruté Sam Rockwell en tête d’affiche, secondé par Haley Lu Richardson, Michael Peña, Zazie Beetz et Juno Temple. Présenté en séance surprise au Fantastic Fest, Good Luck, Have Fun, Don’t Die a été accueilli avec ferveur par les critiques. Revue de tweets.
« Good Luck, Have Fun, Don’t Die est un film à l’humour noir hilarant, qui vibre avec l’urgence du récit et par son inventivité. La fin est un peu bancale (pour moi), mais dans l’ensemble, c’est une aventure amusante avec un casting exceptionnel qui surprend constamment. » Rob Dean – Neon Splatter
« Good Luck, Have Fun, Don’t Die est l’un des films de science-fiction les plus audacieux et inventifs que j’aie vus depuis des lustres. D’une actualité brûlante et d’une créativité folle. Incroyablement fun. J’en suis resté bouche bée. Tout le monde doit voir ça. C’est exactement le genre de cinéma déjanté qu’il faut défendre. » Slasher Reviews
« J’ai vu Good Luck, Have Fun, Don’t Die et c’est une satire incroyablement divertissante sur le voyage dans le temps, l’IA, la tarte, et la triste addiction moderne à la technologie. Sam Rockwell mène un excellent casting à travers une aventure complètement folle pour sauver le monde. » Eric Vespe – The KingCast
« Good Luck, Have Fun, Don’t Die est déjanté, foutraque, hilarant – mais aussi un avertissement glaçant sur notre avenir. Imaginez Gore Verbinski revisitant Terminator à travers une satire sur notre tendance à nous réfugier dans la technologie plutôt que d’affronter la réalité. C’est, sans hésitation, mon film préféré du Fantastic Fest et une œuvre que le monde entier doit découvrir dès sa sortie en janvier. Et quel casting : ils ont littéralement tout donné ! » Seth – According To Seth
« La quatrième et dernière projection surprise du Fantastic Fest n’a pas déçu. Après neuf ans d’absence, Gore Verbinski revient avec Good Luck, Have Fun, Don’t Die, un voyage aussi original que barré, qui dresse une critique aussi féroce qu’hilarante du futur vers lequel nous fonçons. Le film aborde, avec audace et inventivité, des thèmes aussi lourds que les fusillades scolaires, l’addiction aux réseaux sociaux et l’intelligence artificielle, le tout dans un récit de voyage temporel vivant et cohérent, qui n’a pas peur d’embrasser la bizarrerie, tant dans l’histoire que dans la mise en scène.
Sam Rockwell y est phénoménal, se glissant avec une aisance déconcertante dans un personnage et une situation complètement dingues. À ses côtés, Juno Temple et Haley Lu Richardson livrent des prestations énergiques et marquantes dans des rôles clés. Ce n’est pas un film d’horreur, mais c’est peut-être l’une des œuvres les plus effrayantes et pertinentes sur l’avenir que le cinéma contemporain ait offert ; et pourtant, le film déborde de cœur et même d’espoir. Quel bonheur de revoir Gore Verbinski derrière la caméra. » The Holo Files
« Good Luck, Have Fun, Don’t Die : la comédie d’action farouchement anti-IA de Gore Verbinski est un pur coup de tonnerre. Une énergie débordante, un propos percutant… cela faisait longtemps que je n’avais pas vu un film atteindre une telle justesse sur tous les plans. Un vrai film générationnel. » James Preston Poole – Discussing Film
Les premiers avis concernant le retour aux affaires de Gore Verbinski sont donc globalement très positifs. Certains soulignent que Verbinski semble renouer avec l’audace de ses meilleurs jours, avec un mélange d’irrévérence, d’imagination visuelle et de sens du spectacle. L’univers visuel est décrit comme dense, presque saturé, truffé de clins d’œil au genre et d’inventions audacieuses.
Reste à savoir si le public suivra. Good Luck, Have Fun, Don’t Die sortira aux États-Unis le 30 janvier 2026. Pour le moment, le film n’a aucune date de sortie en France.
https://www.ecranlarge.com/films/news/g ... ajCIIsx1bg
Après une longue interruption, Gore Verbinski revient avec Good Luck, Have Fun, Don’t Die, une proposition aussi casse-cou qu’intrigante. Les premiers avis sont arrivés : le film n’a laissé personne indifférent.
Après avoir fait flamber les compteurs du box-office avec Pirates des Caraïbes, Verbinski avait perdu de son aura. En 2013, The Lone Ranger a été un énorme flop, avec un budget estimé entre 225 et 250 millions de dollars, le film n’avait ramené que 260 millions au box-office mondial. Et comme le malheur ne vient jamais seul, son film suivant, A Cure for Life a coûté 40 millions pour des retours ridicules autour de 24 millions. Autant dire que le retour du réalisateur derrière la caméra est attendu avec une certaine tension.
Le pitch de Good Luck, Have Fun, Don’t Die raconte comment un voyageur du futur débarque dans un restaurant de Los Angeles, et doit recruter un certain nombre de clients mécontents afin de contrecarrer les plans intelligence artificielle forcément malveillante. Entre la comédie SF, le thriller ésotérique, et la satire technologique, sur le papier, le film a tout du pari ultra casse-gueule.
Côté casting, Verbinski a recruté Sam Rockwell en tête d’affiche, secondé par Haley Lu Richardson, Michael Peña, Zazie Beetz et Juno Temple. Présenté en séance surprise au Fantastic Fest, Good Luck, Have Fun, Don’t Die a été accueilli avec ferveur par les critiques. Revue de tweets.
« Good Luck, Have Fun, Don’t Die est un film à l’humour noir hilarant, qui vibre avec l’urgence du récit et par son inventivité. La fin est un peu bancale (pour moi), mais dans l’ensemble, c’est une aventure amusante avec un casting exceptionnel qui surprend constamment. » Rob Dean – Neon Splatter
« Good Luck, Have Fun, Don’t Die est l’un des films de science-fiction les plus audacieux et inventifs que j’aie vus depuis des lustres. D’une actualité brûlante et d’une créativité folle. Incroyablement fun. J’en suis resté bouche bée. Tout le monde doit voir ça. C’est exactement le genre de cinéma déjanté qu’il faut défendre. » Slasher Reviews
« J’ai vu Good Luck, Have Fun, Don’t Die et c’est une satire incroyablement divertissante sur le voyage dans le temps, l’IA, la tarte, et la triste addiction moderne à la technologie. Sam Rockwell mène un excellent casting à travers une aventure complètement folle pour sauver le monde. » Eric Vespe – The KingCast
« Good Luck, Have Fun, Don’t Die est déjanté, foutraque, hilarant – mais aussi un avertissement glaçant sur notre avenir. Imaginez Gore Verbinski revisitant Terminator à travers une satire sur notre tendance à nous réfugier dans la technologie plutôt que d’affronter la réalité. C’est, sans hésitation, mon film préféré du Fantastic Fest et une œuvre que le monde entier doit découvrir dès sa sortie en janvier. Et quel casting : ils ont littéralement tout donné ! » Seth – According To Seth
« La quatrième et dernière projection surprise du Fantastic Fest n’a pas déçu. Après neuf ans d’absence, Gore Verbinski revient avec Good Luck, Have Fun, Don’t Die, un voyage aussi original que barré, qui dresse une critique aussi féroce qu’hilarante du futur vers lequel nous fonçons. Le film aborde, avec audace et inventivité, des thèmes aussi lourds que les fusillades scolaires, l’addiction aux réseaux sociaux et l’intelligence artificielle, le tout dans un récit de voyage temporel vivant et cohérent, qui n’a pas peur d’embrasser la bizarrerie, tant dans l’histoire que dans la mise en scène.
Sam Rockwell y est phénoménal, se glissant avec une aisance déconcertante dans un personnage et une situation complètement dingues. À ses côtés, Juno Temple et Haley Lu Richardson livrent des prestations énergiques et marquantes dans des rôles clés. Ce n’est pas un film d’horreur, mais c’est peut-être l’une des œuvres les plus effrayantes et pertinentes sur l’avenir que le cinéma contemporain ait offert ; et pourtant, le film déborde de cœur et même d’espoir. Quel bonheur de revoir Gore Verbinski derrière la caméra. » The Holo Files
« Good Luck, Have Fun, Don’t Die : la comédie d’action farouchement anti-IA de Gore Verbinski est un pur coup de tonnerre. Une énergie débordante, un propos percutant… cela faisait longtemps que je n’avais pas vu un film atteindre une telle justesse sur tous les plans. Un vrai film générationnel. » James Preston Poole – Discussing Film
Les premiers avis concernant le retour aux affaires de Gore Verbinski sont donc globalement très positifs. Certains soulignent que Verbinski semble renouer avec l’audace de ses meilleurs jours, avec un mélange d’irrévérence, d’imagination visuelle et de sens du spectacle. L’univers visuel est décrit comme dense, presque saturé, truffé de clins d’œil au genre et d’inventions audacieuses.
Reste à savoir si le public suivra. Good Luck, Have Fun, Don’t Die sortira aux États-Unis le 30 janvier 2026. Pour le moment, le film n’a aucune date de sortie en France.
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