Non mais c'est pas comme si d'autres studios n'avaient jamais commis d'erreurs
Le Cercle des profileurs disparus
Je réponds à tes 2 messages d’un coup (ouais, je suis comme ça moi ).
Le hic, c’est qu’ils ont attiré les grands réalisateurs avec de gros chèques, et (a priori), ce sont des échecs (au moins « artistiques »). J’ai l’impression qu’à chaque film d’un « grand » (connu) réalisateur, on entend la même chose. Que ce soit Scorsese, Fincher, les Coen, voire même Cuaron. Et là Clooney (pas non plus connu pour faire des chefs d’œuvre, j’en conviens).
Je sais bien que chaque film a sa propre histoire de production (Netflix arrivant plus ou moins tôt dans le processus), mais le résultat semble tout le temps le même.
Ou alors, ce résultat est un « bruit de fond » de ceux qui n’apprécient pas Netflix
J'avais jamais entendu que The Irishman, Mank, Buster Scruggs ou Roma étaient des échecsrobinne a écrit : ↑mer. 23 déc. 2020 20:09Le hic, c’est qu’ils ont attiré les grands réalisateurs avec de gros chèques, et (a priori), ce sont des échecs (au moins « artistiques »). J’ai l’impression qu’à chaque film d’un « grand » (connu) réalisateur, on entend la même chose. Que ce soit Scorsese, Fincher, les Coen, voire même Cuaron. Et là Clooney (pas non plus connu pour faire des chefs d’œuvre, j’en conviens).
Je sais bien que chaque film a sa propre histoire de production (Netflix arrivant plus ou moins tôt dans le processus), mais le résultat semble tout le temps le même.
Ou alors, ce résultat est un « bruit de fond » de ceux qui n’apprécient pas Netflix
Pas forcément d'accord. Pour moi Roma de Cuaron est loin d'être un échec artistique. Il est juste en décalage avec les productions Netflix habituelles. Perso c'était pas loin d'être mon film favori de son année de sortie. Et je ne crois pas avoir vu beaucoup de film de cette qualité (pour moi) depuis.robinne a écrit : ↑mer. 23 déc. 2020 20:09Le hic, c’est qu’ils ont attiré les grands réalisateurs avec de gros chèques, et (a priori), ce sont des échecs (au moins « artistiques »). J’ai l’impression qu’à chaque film d’un « grand » (connu) réalisateur, on entend la même chose. Que ce soit Scorsese, Fincher, les Coen, voire même Cuaron. Et là Clooney (pas non plus connu pour faire des chefs d’œuvre, j’en conviens).
Je sais bien que chaque film a sa propre histoire de production (Netflix arrivant plus ou moins tôt dans le processus), mais le résultat semble tout le temps le même.
Ou alors, ce résultat est un « bruit de fond » de ceux qui n’apprécient pas Netflix
Le Scorsese, que je n'ai toujours pas vu parce que autant aller au cinéma voir un film de 3h30 ne me pose aucun souci, autant rester focus chez moi c'est plus compliqué, figurait dans énormément de tops 10 l'an passé.
Le Coen est plus discutable. Mais de manière générale le meilleur de leur cinéma n'est pas forcément le plus récent.
Je verrai le Fincher pendant mes congés là dans les prochains jours je pense. Mais bon c'est pareil, on est évidemment assez loin du public moyen de Netflix.
Clooney, je ne le mettrai honnêtement pas dans une liste aux côtés des autres réals cités.
Je suis loin d'être un défenseur de Netflix de manière générale, et j'utilise d'ailleurs de moins en moins voire presque plus la plateforme.
Mais ces derniers temps quand ils vont chercher un cinéaste précis, c'est loin d'être mauvais.
Et je pense qu'avec le mastodonte Disney+ voué à progressivement phagocyter le cinéma mainstream des plateformes, c'est tout leur intérêt de réussir à fidéliser ce type de cinéastes rapidement en leur proposant un peu plus de libertés qu'à d'autres. Sachant que Amazon ne se gênera probablement pas pour le faire non plus à côté dans les années à venir.
Peut-être que je ne retiens que les avis négatifsPale a écrit : ↑mer. 23 déc. 2020 20:24J'avais jamais entendu que The Irishman, Mank, Buster Scruggs ou Roma étaient des échecsrobinne a écrit : ↑mer. 23 déc. 2020 20:09Le hic, c’est qu’ils ont attiré les grands réalisateurs avec de gros chèques, et (a priori), ce sont des échecs (au moins « artistiques »). J’ai l’impression qu’à chaque film d’un « grand » (connu) réalisateur, on entend la même chose. Que ce soit Scorsese, Fincher, les Coen, voire même Cuaron. Et là Clooney (pas non plus connu pour faire des chefs d’œuvre, j’en conviens).
Je sais bien que chaque film a sa propre histoire de production (Netflix arrivant plus ou moins tôt dans le processus), mais le résultat semble tout le temps le même.
Ou alors, ce résultat est un « bruit de fond » de ceux qui n’apprécient pas Netflix
J’ai rapidement regardé sur RottenTomatoes : Mank pas très bien noté mais The Irishman très bien.
A voir sur les autres sites.
- Skipper Mike
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J'ai les deux premières saisons en DVD, il faudrait déjà que je les regarde.
Je ne savais pas qu’une 3ème saison était prévueSkipper Mike a écrit : ↑mer. 23 déc. 2020 21:26
J'ai les deux premières saisons en DVD, il faudrait déjà que je les regarde.
J’avais vu quelques épisodes quand la série passait sur arte.
Ça commence à dater
Passez tou(te)s de bonnes et heureuses fêtes de fin d'année, en particulier Pale, je sais qu'il adore cette période
@Kit merci. Et bon courage pour demain soir
Joyeux Noël la compagnie, et big up à Next d'avoir prolongé la durée de vie des forums d'Allo
Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
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- NaughtyDog
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hello la compagnie
hier soir j'ai vu une bien belle surprise qui arrive demain sur Amazon Prime !
http://www.youtube.com/watch?v=SbjakuJZgww
en voyant l'affiche on peut se dire que ce film d'Eugene Ashe est une énième comédie romantique en cette période de fêtes. Sauf que Pour l'Amour de Sylvie (Sylvie's Love) transpire d'une vrai soin à globalement chaque niveau, dans le but de créer une belle histoire romantique old fashion.
D'entrée de jeu 1er constat : la photographie y est franchement superbe, avec un grain émulant les 60's-70's. C'est de toute beauté, comme l'OST très lounge.
Le réalisateur semble même inspiré d'In the Mood for Love (toute proportion gardée) dans l'idée de dépeindre un amour quasi impossible, entre 2 êtres de milieux sociaux différents (on retrouve même la chanson Quizas, présente dans le filmde Wong kar-wai).
La 1e heure est un vrai bonheur : romantique, plein de sensibilité voire même de sensualité par instants. Tessa Thompson brille dans le rôle titre, et son duo avec un Nnamdi Asomugha (suave et tout en retenue) est l'autre grande force du film.
D'un côté une femme désireuse de gravir les échelons et se faire un nom comme productrice à la TV (milieu misogyne et encore plus déserté par les afro-américains à cette époque), de l'autre un jazzman saxophoniste également en quête de reconnaissance dans le milieu musical.
Sylvie's Love est donc à la fois une belle et touchante histoire d'amour, mais aussi un récit d'émancipation, de quête du bonheur dans l'accomplissement de ses passions, et sur la place de le femme/homme dans la société.
La troisième partie du film suit néanmoins des rails plus attendus, nuisant à l'authenticité et à l'émotion finalement. C'est dommage, car le film jouit quand même d'un soin constant dans sa fabrication et sa direction d'acteurs.
Pas de quoi bouder son plaisir, on tient un des plus beaux films de l'année visuellement, et une vraie romance qui ne verse jamais dans l'eau de rose
Bref, c'est une vraie belle pioche dispo demain
7.5/10
hier soir j'ai vu une bien belle surprise qui arrive demain sur Amazon Prime !
http://www.youtube.com/watch?v=SbjakuJZgww
en voyant l'affiche on peut se dire que ce film d'Eugene Ashe est une énième comédie romantique en cette période de fêtes. Sauf que Pour l'Amour de Sylvie (Sylvie's Love) transpire d'une vrai soin à globalement chaque niveau, dans le but de créer une belle histoire romantique old fashion.
D'entrée de jeu 1er constat : la photographie y est franchement superbe, avec un grain émulant les 60's-70's. C'est de toute beauté, comme l'OST très lounge.
Le réalisateur semble même inspiré d'In the Mood for Love (toute proportion gardée) dans l'idée de dépeindre un amour quasi impossible, entre 2 êtres de milieux sociaux différents (on retrouve même la chanson Quizas, présente dans le filmde Wong kar-wai).
La 1e heure est un vrai bonheur : romantique, plein de sensibilité voire même de sensualité par instants. Tessa Thompson brille dans le rôle titre, et son duo avec un Nnamdi Asomugha (suave et tout en retenue) est l'autre grande force du film.
D'un côté une femme désireuse de gravir les échelons et se faire un nom comme productrice à la TV (milieu misogyne et encore plus déserté par les afro-américains à cette époque), de l'autre un jazzman saxophoniste également en quête de reconnaissance dans le milieu musical.
Sylvie's Love est donc à la fois une belle et touchante histoire d'amour, mais aussi un récit d'émancipation, de quête du bonheur dans l'accomplissement de ses passions, et sur la place de le femme/homme dans la société.
La troisième partie du film suit néanmoins des rails plus attendus, nuisant à l'authenticité et à l'émotion finalement. C'est dommage, car le film jouit quand même d'un soin constant dans sa fabrication et sa direction d'acteurs.
Pas de quoi bouder son plaisir, on tient un des plus beaux films de l'année visuellement, et une vraie romance qui ne verse jamais dans l'eau de rose
Bref, c'est une vraie belle pioche dispo demain
7.5/10
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
Cinéma vs streaming : Sony veut profiter du chaos chez Warner et Disney
Après le coup de poignard de Warner. Bros avec la stratégie HBO Max, les réalisateurs se tourneraient vers Sony Pictures pour sauver le cinéma.
Il se pourrait que la guerre entre le cinéma et le streaming devienne bénéfique pour certains studios. Pour rappel, si jamais vous viviez dans une grotte ces dernières semaines : Warner Bros. a lâché une grosse bombe qui a déclenché une réaction épidermique au sein de l’industrie hollywoodienne, en annonçant que ses gros films prévus en 2021 (notamment Dune, Matrix 4, ou encore Godzilla vs. Kong) sortiront simultanément dans les salles et sur HBO Max, aux Etats-Unis.
Une solution hybride qui a fait couler beaucoup d’encre, alors qu’elle sera expérimentée sur Wonder Woman 1984 de Patty Jenkins le 25 décembre 2020 aux Etats-Unis. Côté cinéastes, il y a eu la colère de Denis Villeneuve et Christopher Nolan, réalisateur de Tenet, qui a qualifié HBO Max de "pire service de streaming". Côté salles de cinéma, les exploitants ont exprimé leur rage.
Côté business en coulisses, Legendary Pictures (qui a financé 75% des budgets de Dune et Godzilla vs. Kong) aurait menacé d’attaquer en justice la Warner pour retirer les deux films du catalogue de la plateforme... ce qui pourrait amener Warner à changer ses plans.
Bref, globalement, c’est plutôt le chaos à Hollywood, et pour contrer la stratégie HBO Max de Warner, les réalisateurs se tourneront peut-être vers un autre studio qui pourrait sauver les salles de cinéma, à savoir Sony.
En effet, si Warner et Disney ont cédé tous les deux à la tentation du streaming, en reléguant leurs blockbusters sur leurs plateformes respectives (Mickey a suivi le mouvement et sortira Raya et le Dernier Dragon sur Disney+ et en salles, en 2021), Sony a préféré repousser directement ses blockbusters en 2021 pour une sortie exclusivement en salles. Que ce soit S.O.S. Fantômes : L'Héritage, Morbius, ou encore Venom: Let There Be Carnage - et si ce n’est l’exception Bloodshot, largué directement en VOD après un démarrage domestique catastrophique en salles.
Sony refuse donc (jusque là) de céder à la facilité du streaming, ce qui attire les cinéastes. Dans une interview pour CNBC, le PDG du studio, Tony Vinciquerra, a été interrogé sur l’impact que pourrait avoir la stratégie HBO Max dans l’industrie du cinéma. Et le patron de Sony n’hésite pas à dire que cela est apparemment bénéfique pour son studio :
« Le véritable avantage a été le nombre d’appels entrants de talents – des créateurs, des acteurs, des réalisateurs – pour nous dire ‘Nous voulons faire affaire avec vous parce que nous savons que vous êtes un distributeur et un producteur de cinéma en salles'. »
Il affirme aussi que Sony ne changera pas de sitôt sa stratégie, et ne misera pas sur le streaming.
Le PDG de Sony ne donne évidemment aucun nom, mais les spéculations tournent autour de Denis Villeneuve et Christopher Nolan, certains imaginant déjà les deux cinéastes rompre leur contrats avec Warner pour partir chez Sony. Patty Jenkins a également laissé sous-entendre que si son Wonder Woman 1984 sortait sur HBO Max, elle pourrait ne pas réaliser le troisième volet de la trilogie.
Warner. Bros pourrait-il perdre ses réalisateurs les plus fidèles à cause de sa stratégie HBO Max ? Sony va t-il saisir cette occasion pour s'imposer, en tirant un avantage de ne pas avoir de plateforme de streaming sur laquelle se reposer durant cette pandémie mondiale de Covid-19 ?
Pour rappel, les blockbusters les plus attendus de Sony, à savoir S.O.S. Fantômes : l’héritage de Jason Reitman, et Morbius de Daniel Espinosa, sont respectivement prévus pour une sortie le 9 juin 2021 et le 17 mars 2021 en France. En attendant, Wonder Woman 1984 est quant à lui attendu en simultané dans les salles et sur HBO Max le 25 décembre 2020 aux États-Unis, n’ayant plus de date de sortie pour le moment en France. Vous pouvez découvrir les premières critiques américaines du film de Patty Jenkins, disponibles par ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 6gsFPDfVS4
Après le coup de poignard de Warner. Bros avec la stratégie HBO Max, les réalisateurs se tourneraient vers Sony Pictures pour sauver le cinéma.
Il se pourrait que la guerre entre le cinéma et le streaming devienne bénéfique pour certains studios. Pour rappel, si jamais vous viviez dans une grotte ces dernières semaines : Warner Bros. a lâché une grosse bombe qui a déclenché une réaction épidermique au sein de l’industrie hollywoodienne, en annonçant que ses gros films prévus en 2021 (notamment Dune, Matrix 4, ou encore Godzilla vs. Kong) sortiront simultanément dans les salles et sur HBO Max, aux Etats-Unis.
Une solution hybride qui a fait couler beaucoup d’encre, alors qu’elle sera expérimentée sur Wonder Woman 1984 de Patty Jenkins le 25 décembre 2020 aux Etats-Unis. Côté cinéastes, il y a eu la colère de Denis Villeneuve et Christopher Nolan, réalisateur de Tenet, qui a qualifié HBO Max de "pire service de streaming". Côté salles de cinéma, les exploitants ont exprimé leur rage.
Côté business en coulisses, Legendary Pictures (qui a financé 75% des budgets de Dune et Godzilla vs. Kong) aurait menacé d’attaquer en justice la Warner pour retirer les deux films du catalogue de la plateforme... ce qui pourrait amener Warner à changer ses plans.
Bref, globalement, c’est plutôt le chaos à Hollywood, et pour contrer la stratégie HBO Max de Warner, les réalisateurs se tourneront peut-être vers un autre studio qui pourrait sauver les salles de cinéma, à savoir Sony.
En effet, si Warner et Disney ont cédé tous les deux à la tentation du streaming, en reléguant leurs blockbusters sur leurs plateformes respectives (Mickey a suivi le mouvement et sortira Raya et le Dernier Dragon sur Disney+ et en salles, en 2021), Sony a préféré repousser directement ses blockbusters en 2021 pour une sortie exclusivement en salles. Que ce soit S.O.S. Fantômes : L'Héritage, Morbius, ou encore Venom: Let There Be Carnage - et si ce n’est l’exception Bloodshot, largué directement en VOD après un démarrage domestique catastrophique en salles.
Sony refuse donc (jusque là) de céder à la facilité du streaming, ce qui attire les cinéastes. Dans une interview pour CNBC, le PDG du studio, Tony Vinciquerra, a été interrogé sur l’impact que pourrait avoir la stratégie HBO Max dans l’industrie du cinéma. Et le patron de Sony n’hésite pas à dire que cela est apparemment bénéfique pour son studio :
« Le véritable avantage a été le nombre d’appels entrants de talents – des créateurs, des acteurs, des réalisateurs – pour nous dire ‘Nous voulons faire affaire avec vous parce que nous savons que vous êtes un distributeur et un producteur de cinéma en salles'. »
Il affirme aussi que Sony ne changera pas de sitôt sa stratégie, et ne misera pas sur le streaming.
Le PDG de Sony ne donne évidemment aucun nom, mais les spéculations tournent autour de Denis Villeneuve et Christopher Nolan, certains imaginant déjà les deux cinéastes rompre leur contrats avec Warner pour partir chez Sony. Patty Jenkins a également laissé sous-entendre que si son Wonder Woman 1984 sortait sur HBO Max, elle pourrait ne pas réaliser le troisième volet de la trilogie.
Warner. Bros pourrait-il perdre ses réalisateurs les plus fidèles à cause de sa stratégie HBO Max ? Sony va t-il saisir cette occasion pour s'imposer, en tirant un avantage de ne pas avoir de plateforme de streaming sur laquelle se reposer durant cette pandémie mondiale de Covid-19 ?
Pour rappel, les blockbusters les plus attendus de Sony, à savoir S.O.S. Fantômes : l’héritage de Jason Reitman, et Morbius de Daniel Espinosa, sont respectivement prévus pour une sortie le 9 juin 2021 et le 17 mars 2021 en France. En attendant, Wonder Woman 1984 est quant à lui attendu en simultané dans les salles et sur HBO Max le 25 décembre 2020 aux États-Unis, n’ayant plus de date de sortie pour le moment en France. Vous pouvez découvrir les premières critiques américaines du film de Patty Jenkins, disponibles par ici.
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- ClintReborn
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Après le territoire des loups en 2012 !
Après sang froid en 2019 !
Liam Neeson testera un nouveau fusil scope dans the Marksman en 2021 !
Après sang froid en 2019 !
Liam Neeson testera un nouveau fusil scope dans the Marksman en 2021 !
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Mad Max : Furiosa a enfin une date de sortie... très loin
Après Mad Max : Fury Road, Furiosa arrive, avec notamment Anya Taylor-Joy et Chris Hemsworth. Et le film de George Miller sortira le...
Warner Bros. a planté la hache de guerre sur le champ de bataille cinéma et streaming, avec une stratégie 2021 qui reposera en grande partie sur HBO Max. Une décision qui a provoqué la colère des artistes, des exploitants, et risque d'être plus compliquée que prévu à appliquer. Mais le studio a certainement trop de cartouches en stock pour ne pas garder l'amour des cinéphiles. Parmi les prochains rendez-vous longtemps inespérés, aux côtés de The Matrix 4 et Dune, il y a ainsi Mad Max : Furiosa.
Evoquée avant même la sortie de Mad Max : Fury Road, ce prequel centrée sur la guerrière incarnée par Charlize Theron a finalement été officialisé il y a quelques mois, avec le retour du réalisateur George Miller et Anya Taylor-Joy pour reprendre le rôle-titre. Chris Hemsworth et Yahya Abdul-Mateen II seront aussi de la partie.
Et Warner a lancé le compte à rebours avec une date de sortie (loin) : le 23 juin 2023.
Pas de Max dans ce nouveau Mad Max, qui racontera l'histoire de Furiosa avant sa rencontre avec l'anti-héros légendaire. George Miller a co-écrit le scénario avec Nico Lathouris, déjà derrière Fury Road avec lui. La réunion de famille est bel et bien là, puisque le cinéaste se paye à nouveau les services de l'équipe déco, montage, son et maquillages du précédent film, sachant qu'ils ont tous été oscarisés pour ce film titanesque. Autre détail de taille : le coordinateur de cascade Guy Norris sera également de retour.
La question à mille points reste de savoir à quoi ressemblera le monde et le cinéma hollywoodien en 2023. Avec la tornade 2020 et la guerre du streaming déjà ouverte, la majorité des studios ont décidé de redistribuer leurs forces avec leurs plateformes SVOD (notamment Disney avec Disney+, et Warner avec HBO Max).
Warner a annoncé un plan exceptionnel pour 2021, où leurs gros films (The Suicide Squad, Conjuring 3 : Sous l'emprise du diable, Dune, The Matrix 4...) seront exploités à la fois au cinéma et sur HBO Max. Mais nul doute qu'en cas de grand succès, avec un nombre d'abonnés qui explose, le studio continuera à exploiter ce filon. Disney a déjà affirmé que le streaming était l'avenir du MCU, preuve que l'industrie évolue sous nos yeux.
Doit-on imaginer un monde où il sera possible, voire inévitable, de voir un Mad Max en streaming ? A quoi ressemblera le paysage des blockbusters en 2023 ? Et comment se positionnera Warner Bros. sur l'échiquier hollywoodien, où la bataille entre les studios devient de plus en plus spectaculaire ? Premiers éléments de réponse dans les prochains mois, avec pour commencer la sortie de Wonder Woman 1984 le 25 décembre aux Etats-Unis, au cinéma et sur HBO Max.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... -Ji2xLkIRs
Après Mad Max : Fury Road, Furiosa arrive, avec notamment Anya Taylor-Joy et Chris Hemsworth. Et le film de George Miller sortira le...
Warner Bros. a planté la hache de guerre sur le champ de bataille cinéma et streaming, avec une stratégie 2021 qui reposera en grande partie sur HBO Max. Une décision qui a provoqué la colère des artistes, des exploitants, et risque d'être plus compliquée que prévu à appliquer. Mais le studio a certainement trop de cartouches en stock pour ne pas garder l'amour des cinéphiles. Parmi les prochains rendez-vous longtemps inespérés, aux côtés de The Matrix 4 et Dune, il y a ainsi Mad Max : Furiosa.
Evoquée avant même la sortie de Mad Max : Fury Road, ce prequel centrée sur la guerrière incarnée par Charlize Theron a finalement été officialisé il y a quelques mois, avec le retour du réalisateur George Miller et Anya Taylor-Joy pour reprendre le rôle-titre. Chris Hemsworth et Yahya Abdul-Mateen II seront aussi de la partie.
Et Warner a lancé le compte à rebours avec une date de sortie (loin) : le 23 juin 2023.
Pas de Max dans ce nouveau Mad Max, qui racontera l'histoire de Furiosa avant sa rencontre avec l'anti-héros légendaire. George Miller a co-écrit le scénario avec Nico Lathouris, déjà derrière Fury Road avec lui. La réunion de famille est bel et bien là, puisque le cinéaste se paye à nouveau les services de l'équipe déco, montage, son et maquillages du précédent film, sachant qu'ils ont tous été oscarisés pour ce film titanesque. Autre détail de taille : le coordinateur de cascade Guy Norris sera également de retour.
La question à mille points reste de savoir à quoi ressemblera le monde et le cinéma hollywoodien en 2023. Avec la tornade 2020 et la guerre du streaming déjà ouverte, la majorité des studios ont décidé de redistribuer leurs forces avec leurs plateformes SVOD (notamment Disney avec Disney+, et Warner avec HBO Max).
Warner a annoncé un plan exceptionnel pour 2021, où leurs gros films (The Suicide Squad, Conjuring 3 : Sous l'emprise du diable, Dune, The Matrix 4...) seront exploités à la fois au cinéma et sur HBO Max. Mais nul doute qu'en cas de grand succès, avec un nombre d'abonnés qui explose, le studio continuera à exploiter ce filon. Disney a déjà affirmé que le streaming était l'avenir du MCU, preuve que l'industrie évolue sous nos yeux.
Doit-on imaginer un monde où il sera possible, voire inévitable, de voir un Mad Max en streaming ? A quoi ressemblera le paysage des blockbusters en 2023 ? Et comment se positionnera Warner Bros. sur l'échiquier hollywoodien, où la bataille entre les studios devient de plus en plus spectaculaire ? Premiers éléments de réponse dans les prochains mois, avec pour commencer la sortie de Wonder Woman 1984 le 25 décembre aux Etats-Unis, au cinéma et sur HBO Max.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... -Ji2xLkIRs
ClintReborn a écrit : ↑jeu. 24 déc. 2020 16:45Après le territoire des loups en 2012 !
Après sang froid en 2019 !
Liam Neeson testera un nouveau fusil scope dans the Marksman en 2021 !
Joyeux Noël à toi aussi, aux Allogéens et Allocinéens qui ne nous ont pas rejoints, Tom, Neolain, Kman, Pacomm, Valentin, Ouiche, et j'en oublie
et une pensée aux enfants qui n'ont pas un Noël heureux (chansons différentes)
Modifié en dernier par Kit le ven. 25 déc. 2020 01:11, modifié 1 fois.
Vosg'patt de cœur
ça craint et tu as raison, merci à Next (je vais me restreindre sur les messages, pas envie de le dépasser le jour de Noël)
du soleil mais ça a bien rafraichi , il neigeait sur les Vosges, ils en annonçait en plaine peut-être un Noël blanc dans la journée ?
parlé trop vite pour le soleil
Vosg'patt de cœur
- BOX OFFICE STORY
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- Enregistré le : mer. 2 sept. 2020 00:43
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Lapinus est très ordonné. Concernant les messages peut être une fois ou deux j'ai eu mon message supprimé ce qui n'est pas très grave. Comme tous les forums il a une communauté régulière et très pro super héros (of course) ce qui n'empêche pas toutefois la friture car le genre est très clivant. Parfois tu es un peu jugé comme un complotiste par certains si tu es contre l'idée que Wonder Woman est un chef d'oeuvre. D'ailleurs si je trouve que Wonder Woman 1984 est une merdouille (encore faudrait-il que j'ai la force de le voir) autant dire que de poster là bas un avis contraire est un suicide dans le genre.
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
Mais perso j'aime pas avoir l'impression d'avoir une police derrière moi qui m'explique comment posterBOX OFFICE STORY a écrit : ↑ven. 25 déc. 2020 11:08Lapinus est très ordonné. Concernant les messages peut être une fois ou deux j'ai eu mon message supprimé ce qui n'est pas très grave. Comme tous les forums il a une communauté régulière et très pro super héros (of course) ce qui n'empêche pas toutefois la friture car le genre est très clivant. Parfois tu es un peu jugé comme un complotiste par certains si tu es contre l'idée que Wonder Woman est un chef d'oeuvre. D'ailleurs si je trouve que Wonder Woman 1984 est une merdouille (encore faudrait-il que j'ai la force de le voir) autant dire que de poster là bas un avis contraire est un suicide dans le genre.