http://www.youtube.com/watch?v=olXYZOsXw_o&t=92s
Je crois que le plus choquant après avoir vu ce trailer est encore le fait que le film ne se déroule toujours pas dans l'espace.
Space Jam : Nouvelle ère
Autant j'avais de l'affection pour Jordan, autant ce basketteur ne me fait ni chaud ni froid.Tulio a écrit : ↑ven. 16 avr. 2021 11:49 Ou Ready Player Two pour les intimes :
http://www.youtube.com/watch?v=olXYZOsXw_o&t=92s
Je crois que le plus choquant après avoir vu ce trailer est encore le fait que le film ne se déroule toujours pas dans l'espace.
Mettez y un peu de synthèse pour faire actuel, du bien pensant en enlevant des perso et retouchant la gente féminine et on a pour un dessin animé que je verrais sûrement en diffusion TV ou autre mais aucun achat ciné ou stream pour ça.
Signature
J'ai hésité à le dire dans mon premier message, mais LeBron James est à mille lieues de l'icône culturelle qu'incarnait Jordan dans les années 1990.
Tant qu'à faire une suite, celle-ci aurait au moins pu se concentrer un autre sport que le basket, qui n'a jamais été une composante essentielle de cette licence inspirée d'une série de publicités où Michael Jordan et Bugs Bunny combattent des extra-terrestres.
Je resterai sur mon idée d'un Speed Jam avec Usain Bolt dans le rôle-titre.
Une belle daube !
C'est ultra référencé pour pas grand chose, le script est d'une nullité sans nom, Lebron James joue aussi mal que Michael Jordan, mais il n'a pas le charisme de ce dernier.
La seule chose à sauver de ce désastre, ce sont les effets spéciaux.
C'est ultra référencé pour pas grand chose, le script est d'une nullité sans nom, Lebron James joue aussi mal que Michael Jordan, mais il n'a pas le charisme de ce dernier.
La seule chose à sauver de ce désastre, ce sont les effets spéciaux.
"On peut manger tous les champignons !
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
Vu dans l'avion hier. 
C'est plutôt marrant de se dire que ce film est sorti la même année que Matrix Resurrections vu que la Warner elle-même s'y met de nouveau en scène comme "grand méchant" du film et de l'industrie cinématographique et du divertissement finalement. Le tout en parlant d'IA, même si évidemment la tonalité (et la qualité) des deux films n'ont absolument rien à voir. Matrix étant nécessairement largement cité tout du long ici.
Pour le reste, c'est ultra balisé dans sa volonté de toucher les familles, ça fait des références à tout va qui, au départ, sont relativement ok même si facultatives (j'ai trouvé fun le passage chez DC par exemple), mais qui dans le climax se transforment en des cosplays dans le public du match à 90% ratés/ridicules. On est loin de l'insertion des centaines de références de Ready Player One, ne serait-ce qu'un point de vue visuel.
LeBron fait ce qu'il peut. Sa prestation ne m'a pas dérangé plus que ça dans ce contexte et je m'attendais à bien pire en fait.
C'est plutôt marrant de se dire que ce film est sorti la même année que Matrix Resurrections vu que la Warner elle-même s'y met de nouveau en scène comme "grand méchant" du film et de l'industrie cinématographique et du divertissement finalement. Le tout en parlant d'IA, même si évidemment la tonalité (et la qualité) des deux films n'ont absolument rien à voir. Matrix étant nécessairement largement cité tout du long ici.
Pour le reste, c'est ultra balisé dans sa volonté de toucher les familles, ça fait des références à tout va qui, au départ, sont relativement ok même si facultatives (j'ai trouvé fun le passage chez DC par exemple), mais qui dans le climax se transforment en des cosplays dans le public du match à 90% ratés/ridicules. On est loin de l'insertion des centaines de références de Ready Player One, ne serait-ce qu'un point de vue visuel.
LeBron fait ce qu'il peut. Sa prestation ne m'a pas dérangé plus que ça dans ce contexte et je m'attendais à bien pire en fait.
La troisième fois en comptant Ready Player One (même si sa société maléfique pourrait correspondre à n'importe quel studio hollywoodien).
Disney a plus ou moins fait la même chose avec les séquences de Dumbo et Pinocchio se déroulant dans des parcs d'attractions totalitaires.
