BoBleMexicain a écrit : ↑mer. 26 mai 2021 15:41
Amazon qui achète MGM pour $8,45 milliards (somme qui a étonné certains experts, car élevée) c'est bien sûr Rocky et James Bond, mais surtout une confirmation des grosses ambitions du géant dans le streaming et la création de films et séries, si on avait encore un doute.
Tant qu'ils font de la qualité ils peuvent bien racheter un pays
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Cocu a écrit : ↑mar. 25 mai 2021 21:04
C'est ta fille? Comment va Bebe?
Mot totalement mal employé je l'ai adoptée d'un point de vue cinématographique
Ca roule et toi ?
J'attends de retourner au ciné mais avec un couvre feu, c'est trop compliqué pour moi encore...
J'avais bien compris le sens, c'était pour la blague
Ça va je sors de mon 1er resto post confinement bon c'était court quand j'ai vu 20h3 qu'il fallait rentrer déjà le ciné ça ne m'emballe pas + que ça pour le moment, surtout le non port du masque par les autres.. j'irai quand même voir Kaamelott en juillet
Fast & Furious 9 : les critiques américaines annoncent du gros ridicule régressif
La saga increvable Fast & Furious est de retour avec F9 et les critiques américaines sont plutôt enthousiastes.
Si on dit types baraqués en marcel et grosses cylindrées, on pense directement à la franchise Fast and Furious. Et la famille de Vin Diesel revient rouler des mécaniques avec Fast & Furious 9 de Justin Lin. Un film hautement attendu qui envoyé la troupe de gros durs et l’élégance sans faille d’Helen Mirren dans l’espace. Si Elon Musk l’a fait, pourquoi Dominic Toretto ne pourrait pas envoyer une voiture dans les étoiles d’abord ?
Ne manquant jamais d’aller un cran plus loin, la saga semble réserver encore une fois son lot d’actions insolites parfum huile de moteur. Ayant réussi à évoluer de la simple course de voitures bien bourrine au film d’espionnage à la James Bond sous stéroïdes, la franchise Fast and Furious n’a peur de rien et surtout pas du ridicule.
La joyeuse troupe accueille désormais dans ses rangs John Cena qui est le nouveau grand méchant, mais également le frère du héros (l'air de famille est criant). Alors que les twittos avaient déjà donné leurs avis sur le neuvième opus des aventures de cette équipe super rapide et très fâchée, c’est au tour des critiques américaines de s’exprimer plus en détail sur le retour des adeptes du tuning. Revue de presse.
"Les héros sont déterminés. Les méchants se la pètent. Rien n'est réaliste. [...] Et tant que ces films gardent leur sincérité, leur fun, leur ton de film d'action des années 90, il n'y a pas de point d'intrigue ridicule que ces films pourraient inventer que je ne croirais pas. À ce stade, ils l'ont mérité. C'est une famille." Uproxx
"Fast & Furious 9 de Lin est comme une cure de jouvence. Ce ne sont pas seulement les vapeurs qui parlent (c'est un plaisir de se retrouver devant quelque chose de lourd et de bruyant). Le film est un retour aux principes, et s'il dérape vers la bêtise pure - presque irrémédiablement à un moment donné - il a au moins une ligne de conduite." Empire
"Si les idées de la grande scène d'action du troisième acte de F9 sont plus importantes que celles de n'importe quel autre film Fast & Furious, la séquence elle-même ne semble pas aussi épique que les films précédents. Ce n'est pas nécessairement au détriment du film, car cela permet aux histoires des personnages de passer au premier plan. En conséquence, F9 trouve un bon équilibre entre le cœur, l'humour et l'action, ce qui permet au film de ne pas ressembler à un film d'action superficiel tout en restant frais." Screenrant
"La déférence du film à l'égard des caprices, de la sincérité et de l'ego de Diesel tout à la fois fait partie de son charme - bien qu'elle soit peut-être moins importante ici que par le passé." AV Club
"Glorieusement ridicule et résolument mélodramatique, F9 est alimenté par sa propre énergie loufoque, offrant des séquences de poursuite comiquement grandioses et un fan service éhonté, tout cela au nom de la volonté de faire passer un bon moment au public. [...] Aussi rapide et furieux que soit F9, il ne peut échapper à l'impression que ces films perdent de leur fraîcheur." Screen Daily
"Dans le meilleur des cas, ces derniers films de type "sauver le monde" ont permis aux spectateurs de s'enthousiasmer pour les cascades tout en s'amusant de leur absurdité. Mais dans le film F9, les sensations sont souvent absentes ou les exploits sont tout simplement trop idiots pour être acceptés, même avec culpabilité." The Hollywood Reporter
"Les enjeux sont de plus en plus élevés et les cascades de plus en plus absurdes à chaque épisode, mais même si l'histoire s'est transformée en une sorte de feuilleton à grand spectacle comme le suggère le titre de la série on a toujours l'impression que ces spectacles bien bourrins s'étendaient exagérément d'une manière qui leur permettait également de tourner autour de l'essence même des personnages." Indiewire
"Enrobée de nostalgie pour les moments passés de la franchise tout en introduisant des histoires entièrement nouvelles, cette antépénultième aventure ennuyeuse nous laisse convaincus que ceux qui dirigent la série ne savent pas vraiment où elle va." The Film Stage
Si vous êtes impatients de retrouver les fous du volant de Fast & Furious 9, il faudra patienter jusqu'au 14 juillet 2021 afin de vivre au cinéma une fête nationale bien musclée. En attendant, vous pouvez toujours découvrir l'explosion de F9 au box-office.
Marvel : Sony a trouvé son Kraven le chasseur du côté du MCU
Le film Kraven le chasseur de Sony a enfin trouvé qui incarnera l'ennemi de Spider-Man et c'est une tête qu'on a déjà croisée dans le MCU.
Lancé avec Venom en 2018, l'univers étendu de Sony autour du personnage de Spider-Man n'a pas bougé d'un fil depuis. La pandémie a forcé le report de Venom : Let There Be Carnage à octobre 2021 et de Morbius à janvier 2022, tandis que Kraven le chasseur n'a plus donné de nouvelles après l'annonce de son réalisateur, J.C. Chandor (Triple frontière, A Most Violent Year). C'est donc un grand pas en avant qu'a fait ce dernier spin-off en trouvant enfin son acteur principal, même si ce n'est pas forcément un nom auquel on s'attendait.
D'après The Wrap, le vieil ennemi de l'Homme-Araignée sera ainsi incarné par Aaron Taylor-Johnson (Tenet, Nocturnal Animals, Kick-Ass, Godzilla) qui aurait signé pour apparaître dans plusieurs films, ce qui peut paraître surprenant étant donné que l'acteur a aussi joué Pietro Maximoff dans Avengers : L'Ère d'Ultron avant d'être "recasté" par sa jumelle dans WandaVision avec le Vif-Argent d'Evan Peters.
Aaron Taylor-Johnson jouera donc Sergei Kravinoff alias Kraven, un Russe amateur de gros gibiers dont les sens se sont décuplés après avoir avalé la potion d'un sorcier africain. Il se met alors en tête de faire de Spider-Man son trophée de chasse ultime. On ne sait cependant pas encore ce que gardera ou modifiera le scénario d'Art Marcum, Matt Holloway et Richard Wenk pour ce qui s'annonce comme l'origin story du super-vilain.
Comme on a pu le voir dans Tenet, l'acteur a passé du temps à la salle et avec la barbe qu'il exhibait dans le film de Christopher Nolan, le rôle du musculeux chasseur de l'Est semble plutôt bien taillé pour lui, si on parvient à oublier son doppelgänger du MCU. Il faudra de toute façon se montrer patient puisque Kraven le chasseur ne devrait pas débarquer avant 2023 au cinéma. D'ici là, on pourra retrouver Aaron Taylor-Johnson dans The King’s Man : Première Mission le 22 décembre prochain, mais aussi dans Bullet Train de David Leitch, qui devrait sortir courant 2022.
En attendant, notre critique du dernier Spider-Man : Far from Home est toujours disponible de ce côté. Pour revoir la bande-annonce de Venom : Let There Be Carnage, c'est par là.
Les films James Bond continueront à sortir en salle partout dans le monde
Non, Mourir peut attendre ne sera pas un "direct to Prime Video".
Avec l’annonce du rachat de la MGM par Amazon, officialisé ce mercredi pour 8,45 milliards de dollars, c’est la question qui était sur toutes les lèvres : que va-t-il advenir des films James Bond, en particulier le dernier de la saga, Mourir peut attendre ? Daniel Craig va-t-il tirer sa révérence dans le rôle de 007 en streaming ? Qu’on se rassure, la réponse est non.
Dans un communiqué adressé à Variety, les producteurs Barbara Broccoli et Michael G. Wilson, qui dirigent la société Eon, ont en effet fait savoir que l’avenir du célèbre espion se ferait toujours sur grand écran : "Nous sommes engagés à continuer à faire des films James Bond qui soient vus au cinéma par les spectateurs dans le monde entier". Le prochain James Bond sortira donc bien en salle, le 8 octobre 2021 en Angleterre et aux Etats-Unis, et dès le 6 octobre en France.
Comme le rappelle Variety, la MGM a le droit de financer et distribuer les films James Bond, et partagent les profits avec Eon Productions. La compagnie garde toutefois le contrôle créatif total des adaptations du héros de Ian Fleming. C’est donc Barbara Broccoli, la fille du fondateur de Eon, et son demi-frère Michael G. Wilson qui ont le dernier mot, y compris sur les questions de marketing et de distributions des films de la franchise.
Dune de Denis Villeneuve sera projeté au Festival de Venise, mais pas à Cannes
Alors quel sera le "gros blockbuster américain" promis par Thierry Frémaux sur la Croisette ?
Le site Deadline, habituellement bien renseigné, annonce que Dune sera bien projeté en avant-première au Festival de Venise, et pas au Festival de Cannes. La Mostra aura lieu du 1er au 11 septembre prochains, et le très attendu film de SF de Denis Villeneuve avec Timothée Chalamet sortira sur toute la planète à partir du 15 septembre (et en commençant par la France, mais oui).
Pas de Cannes pour Dune, donc, alors que Thierry Frémaux, pour l’édition 2021 qui aura lieu du 6 au 17 juillet, a déjà confirmé la présence de Benedetta de Paul Verhoeven avec Virginie Efira et de The French Dispatch de Wes Anderson… et a promis la semaine dernière "un gros blockbuster américain (…) un blockbuster planétaire qui ravira tous les festivaliers". Alors lequel ? Fast & Furious 9 ? Black Widow ? Réponse le 3 juin prochain, quand sera annoncée la sélection complète du 74ème Festival de Cannes, présidé par Spike Lee.
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
robinne a écrit : ↑sam. 22 mai 2021 10:40
Merci.
Ça veut dire qu’il est diffusé à la télé ? Pas d’étape ciné ?
Normalement non vu qu'il a été financé dès le départ comme un téléfilm. Apparemment Brac négocie quand même une sortie ciné, mais il me semble que Arte a fortement limité les diffusions en salles des films qu'elle produit (Dumont avait réussi à sortir Jeannette au ciné en même temps qu'à la télé, mais il n'avait eu droit qu'à très peu de séances).
D’ailleurs, le téléfilm passe demain soir sur Arte vers 20h50
De mon côté, je l’ai vu sur l’application de la chaîne : ça donne envie de partir en vacances et de retrouver l’insouciance pré-Covid
que s'est-il passé Joe ?
on se retrouve avec une caricature de Fenêtre sur Cour, avec un thriller en huis-clos ultra prévisible et enchaînant les poncifs comme pas permis
seule la photo de Delbonnel et les acteurs ont réussi à tenir mon intérêt
on peut garder une scène par ci ou là, mais au final le tout est franchement impersonnel et oubliable !
Ils ont prit la recette de fenêtre sur cour pour faire un truc beaucoup moins bien ... Aucune surprise donc j'avais annoncer le triste résultat dés la genèse du projet il y a 5 ans; l'auteur du bouquin était en plus douteux
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Box-office France : Adieu les cons reprend la tête pour la réouverture des cinémas
Adieu les cons triomphe pour la réouverture des salles, tandis que Demon Slayer et Tom & Jerry entament un bon démarrage.
La réouverture des cinémas a été une véritable joie pour tout le monde. En effet, l’attachement pour la salle est plus que jamais dans l’air du temps et les spectateurs l’ont parfaitement rendu en cette première semaine d’exploitation. Les 2 270 000 tickets vendus entre le 19 et 25 mai 2021 matérialisent parfaitement l’empressement des fans de la salle de cinéma. Surtout qu’en comparaison aux années précédentes, à la même période, on comptabilisait 2 440 000 de tickets vendus la semaine du 15 mai 2019, et 2 795 000 la semaine du 16 mai 2018.
La proximité des chiffres est assez étonnante, d’autant plus que l’obligation pour les cinémas de respecter la jauge à 35% ne peut que confirmer le constat d’un public qui a répondu présent. Dans ce large choix qu’il était donné aux spectateurs, on notera que plusieurs nouveautés se sont glissées dans le top 5 de la semaine.
Néanmoins, le numéro un de notre classement est bien Adieu les cons, déjà connu du public et dont notre critique disait déjà le plus grand bien en octobre dernier. Après avoir effectué le meilleur démarrage pour un film du réalisateur Albert Dupontel (600 444 entrées pour 623 copies la semaine du 21 octobre 2020) et avoir reçu 7 Césars dont celui du meilleur film, Adieu les cons poursuit sa lancée avec 513 607 entrées pour une distribution à 854 copies. Ainsi, le long-métrage a cumulé 1 232 972 entrées en seulement 16 jours d’exploitation. Une bien belle réussite qui aurait très bien pu se décupler sans les restrictions sanitaires des cinémas.
En deuxième position arrive le flamboyant Demon Slayer : Le Train de l'infini d’Haruo Sotozaki (notre critique). Avec 350 000 entrées pour 438 copies, Le film d’animation japonais a démarré en trombe son exploitation en France, alors que ce dernier continue à fonctionner dans le reste du globe avec un total de 495 056 487 dollars récoltés au box-office mondial. Les fans de la série Demon Slayer et des animés en général n’ont effectivement pas manqué le rendez-vous.
Arrive en troisième position du podium un autre film d’animation, mais cette fois américain. Il s’agit de l’iconique duo Tom & Jerry. Pour sa première semaine d’exploitation en France, l’aventure du chat et de la petite souris issus, à l’origine, des studios MGM, comptabilise 249 620 entrées pour une distribution à 502 copies. Après son beau démarrage en mars 2021 aux États-Unis, le film de Tim Story a attiré les familles françaises qui ont succombé au cartoon et à l’intelligence de Jerry (même si en vrai, c'est pas fou fou).
Au pied du podium, c’est bien un drame français qui s’est arrêté à cette marche. Envole-moi (à ne pas confondre avec le titre musical de Jean-Jacques Goldman) est la nouvelle comédie dramatique de Christophe Barratier, réalisateur des Choristes et de Faubourg 36. L’histoire d’une rencontre entre un jeune homme fêtard et un pré-ado atteint d’une maladie grave, dont le quotidien est rythmé par les séjours à l’hôpital a effectué un démarrage honorable avec un score de 158 495 entrées pour 589 copies. Le long-métrage rassembleur avec le message de tolérance à la clé est parvenu à se glisser dans le haut du classement de cette semaine historique.
Enfin, le numéro 5 de ce box-office hebdomadaire est un autre film français, mais où le rire est roi : Mandibules (dont vous pouvez aussi lire notre critique). Le dernier film de Quentin Dupieux est enfin visible pour les amateurs de l’absurde. Malgré sa sortie avortée en décembre 2020, Mandibules a su remonter la pente et attirer pas moins de 130 505 spectateurs avec 382 copies. La présence dans le classement du nouveau film de Dupieux avec le duo du Palmashow : David Marsais et Grégoire Ludig, mais également la très impressionnante d’Adèle Exarchopoulos fait plaisir et peut donner envie de laisser les mouches en paix.
À noter en sixième et septième position, la présence des laissés pour compte du confinement d’octobre : ADN (notre critique) et Drunk. Si le film sur les amateurs d’alcool récompensé aux oscars et réalisé par Thomas Vinterberg a attiré 105 758 spectateurs pour 834 copies (pour cumuler 327 859 entrées en France), la quête d’identité de Maïwenn a bien commencé son (vrai) démarrage avec 114 178 entrées pour 548 copies. Et si vous hésitez vous pouvez toujours vous rabattre sur nos critiques du film danois et du film français.
La semaine prochaine, d’autres candidats sérieux du box-office pourraient faire leur apparition dans le top 5, notamment l’oscarisé The Father du réalisateur Florian Zeller (notre critique), le thriller féminin Promising Young Woman d'Emerald Fennell (notre critique), le stressant Méandre de Mathieu Turi (notre critique), voire l’autre mastodonte de l’animé japonais Detective Conan : The Scarlet Bullet (notre critique).
En espérant que le public continue de répondre à l’appel de phare des cinémas, le plaisir de découvrir des films au cinéma reste entier. Profitez des fauteuils rouges et de grands écrans projecteurs d'émotions sont en fin de compte les plus beaux lots de consolation en ces temps bien troubles...
Une première image pour Lost City of D réalisé par Aaron Nee et Adam Nee avec Sandra Bullock, Channing Tatum, Daniel Radcliffe, Brad Pitt,
Une auteure à succès de romans à l'eau de rose doit faire la tournée de promotion de son dernier ouvrage avec le modèle de la couverture. A la suite d'un enlèvement, ils se retrouvent tous les deux coincés dans la jungle...
Une affiche qui ne rend aucunement justice à l'immense chef d’œuvre qu'est The Father. Il s'agit d'une expérience stupéfiante, une plongée vertigineuse et bouleversante dans le dédale mental de son personnage principal, brillamment interprété par Anthony Hopkins qui n'a pas volé son Oscar. C'est également incroyable de se dire que c'est le premier film du réalisateur tant la mise en scène est d'une maitrise exceptionnelle.
Wickaël a écrit : ↑sam. 29 mai 2021 10:17
Je crois pas en avoir parler ici mais j'ai revu Sunshine le week-end dernier, j'avais oublié à quel point le film était intense
Comme souvent avec les films de Argento, ça alterne entre le très bon et le grand-guignol même si ici c'est un peu le second point qui prédomine. Il y a bien sûr de bonnes choses comme la construction de certaines scènes mais ça reste hyper tiré par les cheveux.
Wickaël a écrit : ↑sam. 29 mai 2021 10:17
Je crois pas en avoir parler ici mais j'ai revu Sunshine le week-end dernier, j'avais oublié à quel point le film était intense
J'ai revu un replay Jennifer 8 un thriller de 1992 avec Uma Thurman et Andy Garcia que j'avais trouvé sympatoche à l'époque. Uma était tout simplement splendide. Le pire c'est que cet aimable thriller est bien meilleur que le nouveau Snyder sur Netflix et la merdouille d'Angelina Jolie. C'est préoccupant de voir que le niveau moyen des films et téléfilms à Hollywood est bas.
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
BOX OFFICE STORY a écrit : ↑dim. 30 mai 2021 09:08
J'ai revu un replay Jennifer 8 un thriller de 1992 avec Uma Thurman et Andy Garcia que j'avais trouvé sympatoche à l'époque. Uma était tout simplement splendide. Le pire c'est que cet aimable thriller est bien meilleur que le nouveau Snyder sur Netflix et la merdouille d'Angelina Jolie. C'est préoccupant de voir que le niveau moyen des films et téléfilms à Hollywood est bas.
Ah je l'ai jamais vu celui-là. Mais c'est vrai que les années 80/90 ont offert de bons thrillers.
je sors de mon 1er resto post confinement 
le ciné ça ne m'emballe pas + que ça pour le moment, surtout le non port du masque par les autres.. j'irai quand même voir Kaamelott en juillet 
