bewyder a écrit : ↑jeu. 4 nov. 2021 12:23
C'était plus une métaphore qu'une considération à donner sur cet exemple précis.
Il n'y a pas de solutions, qui soient "acceptables" et qui puissent être mises en place rapidement, il y aura toujours des "emballeurs" et des acheteurs.
La solution est l'interdiction ! (Oui, mon but est de suivre le sujet du topic

)
Je t’avoue que j’aurais plus tendance à discuter de ta métaphore et de son utilité que d’ interdictions supposées nécessaires.
D’ailleurs puisque à chaque fois tu reviens dessus (les interdictions, les sabotages ) je pourrais me demander si ta métaphore n’est pas aussi celle du topic : La fatalité a de ne parler que de fatalité.
Mes questions seraient donc, y a t’il une autre métaphore derrière tout ça ?
Faudrait il que je m’interdise de venir discuter avec toi ici alors que tu as finalement déjà tout dis dès ton premier post ?
Dans ce cas serais je dans l’incéption écologique, moins j'irais sur internet pour aller sur le topic, moins je créerais de co2 ?
Niquons internet?
[mention]Zefurin[/mention]
Oui, ça tombe sous le sens, il faut déjà faire avec ce que l’on a. Il donne un bon exemple avec les bâtiments. J’allais dire
qu’il fallait trouver un moyen pour que tout le monde aille dans le même sens mais malheureusement c’est une phrase trop couramment employer et qui ne veut plus rien dire à se niveau là puisque on s’en remets au politiques qui, pour chacune d’entre elles, suivent un cahier des charges "idéologiques" se révélant souvent en inéquation avec les enjeux climatiques.