Le Cercle des profileurs disparus
Découverte dans DuneNext a écrit : ↑jeu. 11 avr. 2024 18:52Comme dit @Pale Zendaya a accompagné une partie de ses fans durant leur enfance via Disney Channel.BOX OFFICE STORY a écrit : ↑jeu. 11 avr. 2024 18:41Je pense pas, je suis ultra fan de Anna Taylor Joy par exemple que je suis depuis Split et Peaky BlindersClintReborn a écrit : ↑jeu. 11 avr. 2024 18:02
Attention tu glisses rapidement dans la catégorie boomer
Puis leur adolescence et début d'âge adulte avec l'excellente série Euphoria. (c'est là que je l'ai connu même si mon adolescence était déjà lointaine)
Ca aide à forger un attachement disons.
Sans parler évidemment de son rôle dans le MCU aux côtés du super-héros le plus populaire de la culture Pop actuelle.
Nosferatu : on a les détails de la bande-annonce du film de vampire du réalisateur de The Northman
Nosferatu, le nouveau Robert Eggers avec Bill Skarsgård et Lily Rose Depp, s’est dévoilé dans une bande-annonce terrifiante.
Si Warner a envoyé le paquet à la CinemaCon, notamment en dévoilant une bande-annonce pour l’horrifique Trap de Shyamalan, et aussi un trailer pour Mickey 17 avec Robert Pattinson, les autres studios n’ont pas dit leur dernier mot dans cette conférence. Dans la nuit du 10 au 11 avril, c’est Universal qui a sorti l’artillerie lourde en dévoilant quelques images de son line-up.
Si le studio s’est fait plaisir en officialisant la date de sortie de Five Nights at Freddy’s 2 pour 2025 et a dévoilé des trailers plus conséquents de Wicked et Twisters, la sensation est venue de la bande-annonce de Nosferatu. En effet, le vampire va bien faire son retour au cinéma grâce à Robert Eggers, réalisateur de The Northman et The Lighthouse. Si elle n’est pas encore disponible sur Internet, les chanceux présents à la conférence ont pu découvrir des images du film et leurs descriptions promettent une petite terreur sanglante.
Selon DiscussingFilm, la bande-annonce s’ouvre avec Lily-Rose Depp, qui joue Anna Harding, disant : "Viens à moi, entends mon appel", juste avant qu’une main ne se tende pour l’attraper à la gorge. Elle poursuit en disant : "Le mal vient de l’au-delà". Elle s’adresse ensuite à Willem Dafoe, qui joue le Professeur Van Franz, grimé d’une grande barbe blanche, et lui tient ces mots '"Professeur, est-ce qu’il vient ?". Alors qu’il est allongé dans un lit d’hôpital en proie à une maladie, il lui répond : "Il arrive".
Ensuite, la bande-annonce passe à des plans atmosphériques de l’Allemagne du 19e siècle, on aperçoit un château gothique, un cimetière terrifiant, puis la ville locale et ses nombreux citoyens portant tous des cercueils. ScreenRant décrit les derniers instants du trailer comme une succession de personnes hurlant, avant un plan de Nosferatu, en cape noire, se tournant doucement. La bande-annonce se conclurait avec le personnage de Dafoe qui se retrouve face à cette créature, d’un ton effrayé, disant "Nosferatu".
Le retour d’Eggers à l'horreur après The Northman est grandement attendu par ses fans, et selon les différentes sources, le réalisateur ne semble pas s’être raté. Le Comte Orlok, autrement dit Nosferatu sera campé par Bill Skarsgård. Le cinéaste avait déjà collaboré avec son frère, Alexander Skarsgård pour The Northman.
Espérons que cette nouvelle association soit plus fructueuse que pour le film épique de vikings, qui n'avait malheureusement pas connu un franc succès malgré ses belles qualités. Au reste du casting, on retrouve Nicholas Hoult, Emma Corrin et Aaron Taylor-Johnson. Pour voir le terrifiant Nosferatu, il faudra attendre le 1er janvier 2025 en France.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... tXzBXiN0Ti
Nosferatu, le nouveau Robert Eggers avec Bill Skarsgård et Lily Rose Depp, s’est dévoilé dans une bande-annonce terrifiante.
Si Warner a envoyé le paquet à la CinemaCon, notamment en dévoilant une bande-annonce pour l’horrifique Trap de Shyamalan, et aussi un trailer pour Mickey 17 avec Robert Pattinson, les autres studios n’ont pas dit leur dernier mot dans cette conférence. Dans la nuit du 10 au 11 avril, c’est Universal qui a sorti l’artillerie lourde en dévoilant quelques images de son line-up.
Si le studio s’est fait plaisir en officialisant la date de sortie de Five Nights at Freddy’s 2 pour 2025 et a dévoilé des trailers plus conséquents de Wicked et Twisters, la sensation est venue de la bande-annonce de Nosferatu. En effet, le vampire va bien faire son retour au cinéma grâce à Robert Eggers, réalisateur de The Northman et The Lighthouse. Si elle n’est pas encore disponible sur Internet, les chanceux présents à la conférence ont pu découvrir des images du film et leurs descriptions promettent une petite terreur sanglante.
Selon DiscussingFilm, la bande-annonce s’ouvre avec Lily-Rose Depp, qui joue Anna Harding, disant : "Viens à moi, entends mon appel", juste avant qu’une main ne se tende pour l’attraper à la gorge. Elle poursuit en disant : "Le mal vient de l’au-delà". Elle s’adresse ensuite à Willem Dafoe, qui joue le Professeur Van Franz, grimé d’une grande barbe blanche, et lui tient ces mots '"Professeur, est-ce qu’il vient ?". Alors qu’il est allongé dans un lit d’hôpital en proie à une maladie, il lui répond : "Il arrive".
Ensuite, la bande-annonce passe à des plans atmosphériques de l’Allemagne du 19e siècle, on aperçoit un château gothique, un cimetière terrifiant, puis la ville locale et ses nombreux citoyens portant tous des cercueils. ScreenRant décrit les derniers instants du trailer comme une succession de personnes hurlant, avant un plan de Nosferatu, en cape noire, se tournant doucement. La bande-annonce se conclurait avec le personnage de Dafoe qui se retrouve face à cette créature, d’un ton effrayé, disant "Nosferatu".
Le retour d’Eggers à l'horreur après The Northman est grandement attendu par ses fans, et selon les différentes sources, le réalisateur ne semble pas s’être raté. Le Comte Orlok, autrement dit Nosferatu sera campé par Bill Skarsgård. Le cinéaste avait déjà collaboré avec son frère, Alexander Skarsgård pour The Northman.
Espérons que cette nouvelle association soit plus fructueuse que pour le film épique de vikings, qui n'avait malheureusement pas connu un franc succès malgré ses belles qualités. Au reste du casting, on retrouve Nicholas Hoult, Emma Corrin et Aaron Taylor-Johnson. Pour voir le terrifiant Nosferatu, il faudra attendre le 1er janvier 2025 en France.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... tXzBXiN0Ti
Edgar Wright va réaliser un remake de Running Man avec Glen Powell
L'acteur de Top Gun : Maverick va prendre la place de Arnold Schwarzenegger, 40 ans plus tard.
C'est un film culte des années 1980 qui a marqué toute une génération. Running Man - oui, ce film de SF qui fait exploser des têtes de prisonniers tentant de s'enfuir - va avoir droit à son remake. Cela fait quelques années que l'idée circule à Hollywood et Paramount Pictures annonce aujourd'hui que le réalisateur anglais Edgar Wright s'occupera de cette nouvelle version, presque 40 ans après le long-métrage de Paul Michael Glaser (Starsky dans Starsky & Hutch), qui mettait Arnold Schwarzenegger en mode Hunger Games.
Et pour cause, l'histoire imaginée par Stephen King dans son roman de 1982 raconte une Amérique devenue État totalitaire, où le programme télévisé préféré des gens s'appelle The Running Man, un jeu dans lequel les prisonniers doivent courir vers la liberté pour éviter une mort brutale. Piégé et emprisonné par le gouvernement, le rebelle Ben Richards (Schwarzy) a l'opportunité de recouvrer la liberté en participant à l'émission meurtrière. Même si l'animateur tordu Damon Killian (Richard Dawson) n’a pas l’intention de le laisser y arriver...
À l'origine, l'histoire se déroule en 2019 et on imagine que le remake se passera plus tard. Michael Bacall écrit le scénario en ce moment. Surtout, c'est Glen Powell qui a été choisi pour reprendre le rôle culte. L'acteur qui monte à Hollywood s'est révélé dans Top Gun Maverick, puis dans la comédie romantique événement, Anyone but You.
Le remake de Running Man n'a pas encore de date de sortie.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... LrHrzQt_d1
L'acteur de Top Gun : Maverick va prendre la place de Arnold Schwarzenegger, 40 ans plus tard.
C'est un film culte des années 1980 qui a marqué toute une génération. Running Man - oui, ce film de SF qui fait exploser des têtes de prisonniers tentant de s'enfuir - va avoir droit à son remake. Cela fait quelques années que l'idée circule à Hollywood et Paramount Pictures annonce aujourd'hui que le réalisateur anglais Edgar Wright s'occupera de cette nouvelle version, presque 40 ans après le long-métrage de Paul Michael Glaser (Starsky dans Starsky & Hutch), qui mettait Arnold Schwarzenegger en mode Hunger Games.
Et pour cause, l'histoire imaginée par Stephen King dans son roman de 1982 raconte une Amérique devenue État totalitaire, où le programme télévisé préféré des gens s'appelle The Running Man, un jeu dans lequel les prisonniers doivent courir vers la liberté pour éviter une mort brutale. Piégé et emprisonné par le gouvernement, le rebelle Ben Richards (Schwarzy) a l'opportunité de recouvrer la liberté en participant à l'émission meurtrière. Même si l'animateur tordu Damon Killian (Richard Dawson) n’a pas l’intention de le laisser y arriver...
À l'origine, l'histoire se déroule en 2019 et on imagine que le remake se passera plus tard. Michael Bacall écrit le scénario en ce moment. Surtout, c'est Glen Powell qui a été choisi pour reprendre le rôle culte. L'acteur qui monte à Hollywood s'est révélé dans Top Gun Maverick, puis dans la comédie romantique événement, Anyone but You.
Le remake de Running Man n'a pas encore de date de sortie.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... LrHrzQt_d1
Les premières images de Gladiator 2 frappent fort au CinemaCon
Dans l’arène, des requins, des singes mangeurs d’hommes, Paul Mescal et Pedro Pascal !
2024, l’année du requin ou du singe ? Choisissez votre camp selon ce qui vous excite (a bande-annonce de Sous la Seine, Godzilla X Kong, La Planète des singes : Le Nouveau Royaume…), mais dans tous les cas c’est l’année de Gladiator 2 et d’après ses premières images, il y a du requin ET du singe dedans.
Les journalistes présents au CinemaCon de Las Vegas, où les gros studios dévoilaient aux exploitants de salles américains des tonnes d’images des blockbusters les plus attendus de l’année, ont pu ainsi voir le premier trailer de la suite de Gladiator. Qui est "un putain de film de requin. Il y a des requins, des singes complètement fous, des rhinos assoiffés de sang dans l’arène cette fois… Je ne me fous pas de vous", tweete ainsi Jeff Bock du site d’analyse de box-office Exhibitor Relations devant l’extrait (non finalisé) présenté par Ridley Scott lui-même. "Vous devez voir ce trailer pour le croire", continue Jeff. "A un moment ils transforment l’arène en une espèce de SeaWorld avec des requins et des navires… et ils jettent des malheureux gars dans ces eaux infestées de requins. Miam. C’est merveilleux."
Ces images (présentées à l’hôtel-casino Caesars Palace, évidemment) montraient également le nouveau héros joué par Paul Mescal combattre dans l’arène Pedro Pascal, tandis que Denzel Washington complote dans l’ombre pour faire chuter Rome -l’Empire étant dirigé par non pas un mais DEUX empereurs, joués par Fred Hechiger (The White Lotus) et Joseph Quinn (Stranger Things)… Connie Nielsen et Derek Jacobi sont aussi de retour, XXIV ans après le triomphe public du premier Gladiator avec Russell Crowe (absent de la suite pour d'évidentes raisons scénaristiques), qui a remporté cinq Oscars. Il faut donc que le film soit un évènement -c'est déjà le cas, puisque The Hollywood Reporter avait signalé le mois dernier que le budget du film avait explosé, dépassant les 300 millions de dollars notamment à cause de la grève des acteurs de 2023.
Gladiator II (il semble que l’on doive l’écrire en chiffres romains) sortira le 20 novembre prochain en salles françaises.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... A9G_s7FYKy
Dans l’arène, des requins, des singes mangeurs d’hommes, Paul Mescal et Pedro Pascal !
2024, l’année du requin ou du singe ? Choisissez votre camp selon ce qui vous excite (a bande-annonce de Sous la Seine, Godzilla X Kong, La Planète des singes : Le Nouveau Royaume…), mais dans tous les cas c’est l’année de Gladiator 2 et d’après ses premières images, il y a du requin ET du singe dedans.
Les journalistes présents au CinemaCon de Las Vegas, où les gros studios dévoilaient aux exploitants de salles américains des tonnes d’images des blockbusters les plus attendus de l’année, ont pu ainsi voir le premier trailer de la suite de Gladiator. Qui est "un putain de film de requin. Il y a des requins, des singes complètement fous, des rhinos assoiffés de sang dans l’arène cette fois… Je ne me fous pas de vous", tweete ainsi Jeff Bock du site d’analyse de box-office Exhibitor Relations devant l’extrait (non finalisé) présenté par Ridley Scott lui-même. "Vous devez voir ce trailer pour le croire", continue Jeff. "A un moment ils transforment l’arène en une espèce de SeaWorld avec des requins et des navires… et ils jettent des malheureux gars dans ces eaux infestées de requins. Miam. C’est merveilleux."
Ces images (présentées à l’hôtel-casino Caesars Palace, évidemment) montraient également le nouveau héros joué par Paul Mescal combattre dans l’arène Pedro Pascal, tandis que Denzel Washington complote dans l’ombre pour faire chuter Rome -l’Empire étant dirigé par non pas un mais DEUX empereurs, joués par Fred Hechiger (The White Lotus) et Joseph Quinn (Stranger Things)… Connie Nielsen et Derek Jacobi sont aussi de retour, XXIV ans après le triomphe public du premier Gladiator avec Russell Crowe (absent de la suite pour d'évidentes raisons scénaristiques), qui a remporté cinq Oscars. Il faut donc que le film soit un évènement -c'est déjà le cas, puisque The Hollywood Reporter avait signalé le mois dernier que le budget du film avait explosé, dépassant les 300 millions de dollars notamment à cause de la grève des acteurs de 2023.
Gladiator II (il semble que l’on doive l’écrire en chiffres romains) sortira le 20 novembre prochain en salles françaises.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... A9G_s7FYKy
- NaughtyDog
- Messages : 2252
- Enregistré le : lun. 26 oct. 2020 12:34
- Localisation : Paris
Hate de voir le trailerPale a écrit : ↑ven. 12 avr. 2024 16:11Les premières images de Gladiator 2 frappent fort au CinemaCon
Dans l’arène, des requins, des singes mangeurs d’hommes, Paul Mescal et Pedro Pascal !
2024, l’année du requin ou du singe ? Choisissez votre camp selon ce qui vous excite (a bande-annonce de Sous la Seine, Godzilla X Kong, La Planète des singes : Le Nouveau Royaume…), mais dans tous les cas c’est l’année de Gladiator 2 et d’après ses premières images, il y a du requin ET du singe dedans.
Les journalistes présents au CinemaCon de Las Vegas, où les gros studios dévoilaient aux exploitants de salles américains des tonnes d’images des blockbusters les plus attendus de l’année, ont pu ainsi voir le premier trailer de la suite de Gladiator. Qui est "un putain de film de requin. Il y a des requins, des singes complètement fous, des rhinos assoiffés de sang dans l’arène cette fois… Je ne me fous pas de vous", tweete ainsi Jeff Bock du site d’analyse de box-office Exhibitor Relations devant l’extrait (non finalisé) présenté par Ridley Scott lui-même. "Vous devez voir ce trailer pour le croire", continue Jeff. "A un moment ils transforment l’arène en une espèce de SeaWorld avec des requins et des navires… et ils jettent des malheureux gars dans ces eaux infestées de requins. Miam. C’est merveilleux."
Ces images (présentées à l’hôtel-casino Caesars Palace, évidemment) montraient également le nouveau héros joué par Paul Mescal combattre dans l’arène Pedro Pascal, tandis que Denzel Washington complote dans l’ombre pour faire chuter Rome -l’Empire étant dirigé par non pas un mais DEUX empereurs, joués par Fred Hechiger (The White Lotus) et Joseph Quinn (Stranger Things)… Connie Nielsen et Derek Jacobi sont aussi de retour, XXIV ans après le triomphe public du premier Gladiator avec Russell Crowe (absent de la suite pour d'évidentes raisons scénaristiques), qui a remporté cinq Oscars. Il faut donc que le film soit un évènement -c'est déjà le cas, puisque The Hollywood Reporter avait signalé le mois dernier que le budget du film avait explosé, dépassant les 300 millions de dollars notamment à cause de la grève des acteurs de 2023.
Gladiator II (il semble que l’on doive l’écrire en chiffres romains) sortira le 20 novembre prochain en salles françaises.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... A9G_s7FYKy
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
- ClintReborn
- Messages : 4063
- Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
- Localisation : Avalon
NaughtyDog a écrit : ↑ven. 12 avr. 2024 17:06Hate de voir le trailerPale a écrit : ↑ven. 12 avr. 2024 16:11Les premières images de Gladiator 2 frappent fort au CinemaCon
Dans l’arène, des requins, des singes mangeurs d’hommes, Paul Mescal et Pedro Pascal !
2024, l’année du requin ou du singe ? Choisissez votre camp selon ce qui vous excite (a bande-annonce de Sous la Seine, Godzilla X Kong, La Planète des singes : Le Nouveau Royaume…), mais dans tous les cas c’est l’année de Gladiator 2 et d’après ses premières images, il y a du requin ET du singe dedans.
Les journalistes présents au CinemaCon de Las Vegas, où les gros studios dévoilaient aux exploitants de salles américains des tonnes d’images des blockbusters les plus attendus de l’année, ont pu ainsi voir le premier trailer de la suite de Gladiator. Qui est "un putain de film de requin. Il y a des requins, des singes complètement fous, des rhinos assoiffés de sang dans l’arène cette fois… Je ne me fous pas de vous", tweete ainsi Jeff Bock du site d’analyse de box-office Exhibitor Relations devant l’extrait (non finalisé) présenté par Ridley Scott lui-même. "Vous devez voir ce trailer pour le croire", continue Jeff. "A un moment ils transforment l’arène en une espèce de SeaWorld avec des requins et des navires… et ils jettent des malheureux gars dans ces eaux infestées de requins. Miam. C’est merveilleux."
Ces images (présentées à l’hôtel-casino Caesars Palace, évidemment) montraient également le nouveau héros joué par Paul Mescal combattre dans l’arène Pedro Pascal, tandis que Denzel Washington complote dans l’ombre pour faire chuter Rome -l’Empire étant dirigé par non pas un mais DEUX empereurs, joués par Fred Hechiger (The White Lotus) et Joseph Quinn (Stranger Things)… Connie Nielsen et Derek Jacobi sont aussi de retour, XXIV ans après le triomphe public du premier Gladiator avec Russell Crowe (absent de la suite pour d'évidentes raisons scénaristiques), qui a remporté cinq Oscars. Il faut donc que le film soit un évènement -c'est déjà le cas, puisque The Hollywood Reporter avait signalé le mois dernier que le budget du film avait explosé, dépassant les 300 millions de dollars notamment à cause de la grève des acteurs de 2023.
Gladiator II (il semble que l’on doive l’écrire en chiffres romains) sortira le 20 novembre prochain en salles françaises.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... A9G_s7FYKy
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
un entretien avec le réalisateur américain Andrew Davis
https://www.lepoint.fr/pop-culture/andr ... 5_2920.php
Vosg'patt de cœur
13 avril
une pensée pour
Howard Keel 1919-2004 (act/chant, Show Boat, Rose-Marie, série Dallas)
Jean Topart 1922-2012 (act,)
Stanley Donen 1924-2019 (réal., Chantons sous la pluie)
Maurice Ronet 1927-1983 (act., Ascenseur pour l'échafaud, Plein Soleil, La Piscine, Raphaël ou le Débauché)
Michel Deville 1931-2023 (réal., Benjamin ou les Mémoires d'un puceau, Raphaël ou le Débauché)
Robert Enrico 1931-2001 (réal., Les Grandes Gueules, Les Aventuriers, Le Vieux Fusil)
Lyle Waggoner 1935-2020 (act., série Wonder Woman)
Paul Sorvino 1939-2022 (act., Les Affranchis, série New York, police judiciaire)
Jonathan Brandis 1976-2003 (act., L'Histoire sans fin 2 : Un nouveau chapitre, série SeaQuest, police des mers)
bon anniversaire à
Edward Fox 87 ans (act., La Bataille d'Angleterre, Chacal, Un pont trop loin, L'Ouragan vient de Navarone)
Vladimir Cosma 84 ans (compos. mus. films)
Charles Burnett 80 ans (réal., Devil's Fire)
Agostina Belli 77 ans (actr., Parfum de femme, Le Grand Escogriffe, Un taxi mauve)
Ron Perlman 74 ans (act., La Guerre du feu, Le nom de la rose, Hellboy, séries La Belle et la Bête, Sons of Anarchy)
Peter Davison 73 ans (act., Doctor Who le 5ème docteur)
Saundra Santiago 67 ans (actr., série Deux flics à Miami)
Nick Gomez 61 ans (réal. séries)
Jeanne Balibar 56 ans (actr., César meilleure actr. pour Barbara)
Rick Schroder 54 ans (act., Le Petit Lord Fauntleroy, USS Alabama, séries Ricky ou la Belle Vie, New York Police Blues, Scrubs)
une pensée pour les disparus un 13 avril
Nicole Berger en 1967 (1934 ou 35) actr.
Miloš Forman, en 2018 (1932) réal. (Vol au-dessus d'un nid de coucou, Hair, Amadeus)
Michel Bouquet en 2022 (1925) act.
une pensée pour
Howard Keel 1919-2004 (act/chant, Show Boat, Rose-Marie, série Dallas)
Jean Topart 1922-2012 (act,)
Stanley Donen 1924-2019 (réal., Chantons sous la pluie)
Maurice Ronet 1927-1983 (act., Ascenseur pour l'échafaud, Plein Soleil, La Piscine, Raphaël ou le Débauché)
Michel Deville 1931-2023 (réal., Benjamin ou les Mémoires d'un puceau, Raphaël ou le Débauché)
Robert Enrico 1931-2001 (réal., Les Grandes Gueules, Les Aventuriers, Le Vieux Fusil)
Lyle Waggoner 1935-2020 (act., série Wonder Woman)
Paul Sorvino 1939-2022 (act., Les Affranchis, série New York, police judiciaire)
Jonathan Brandis 1976-2003 (act., L'Histoire sans fin 2 : Un nouveau chapitre, série SeaQuest, police des mers)
bon anniversaire à
Edward Fox 87 ans (act., La Bataille d'Angleterre, Chacal, Un pont trop loin, L'Ouragan vient de Navarone)
Vladimir Cosma 84 ans (compos. mus. films)
Charles Burnett 80 ans (réal., Devil's Fire)
Agostina Belli 77 ans (actr., Parfum de femme, Le Grand Escogriffe, Un taxi mauve)
Ron Perlman 74 ans (act., La Guerre du feu, Le nom de la rose, Hellboy, séries La Belle et la Bête, Sons of Anarchy)
Peter Davison 73 ans (act., Doctor Who le 5ème docteur)
Saundra Santiago 67 ans (actr., série Deux flics à Miami)
Nick Gomez 61 ans (réal. séries)
Jeanne Balibar 56 ans (actr., César meilleure actr. pour Barbara)
Rick Schroder 54 ans (act., Le Petit Lord Fauntleroy, USS Alabama, séries Ricky ou la Belle Vie, New York Police Blues, Scrubs)
une pensée pour les disparus un 13 avril
Nicole Berger en 1967 (1934 ou 35) actr.
Miloš Forman, en 2018 (1932) réal. (Vol au-dessus d'un nid de coucou, Hair, Amadeus)
Michel Bouquet en 2022 (1925) act.
Vosg'patt de cœur
tout le monde
J'ai commencé la série Fallout sur Prime Video, j'en attendais pas grand chose et étant fan de l'univers du JV j'étais réticent. Eh bien au bout de 4 épisodes je suis plutôt conquis, ça brasse plusieurs genres et respecte assez bien le matériau de base. Mention spéciale à l'actrice principale Elle Purnell qui se révèle être une très bonne protagoniste.
Je terminerai la première saison probablement demain, hâte.
Et je rejouerai bientôt au jeu vidéo Fallout 4, la série m'a vraiment donné envie de replonger dans cet univers
J'ai commencé la série Fallout sur Prime Video, j'en attendais pas grand chose et étant fan de l'univers du JV j'étais réticent. Eh bien au bout de 4 épisodes je suis plutôt conquis, ça brasse plusieurs genres et respecte assez bien le matériau de base. Mention spéciale à l'actrice principale Elle Purnell qui se révèle être une très bonne protagoniste.
Je terminerai la première saison probablement demain, hâte.
Et je rejouerai bientôt au jeu vidéo Fallout 4, la série m'a vraiment donné envie de replonger dans cet univers
Vu :
Un drame conjugal assez puissant servi par une Virginie Efira et un Melvil Poupaud qui confèrent beaucoup d'intensité à l'ensemble.
Pour commencer, quand j'étais gamin je collectionnais les jaquettes et je me souviens que je kiffais celle de ce film. Bref, j'ai découvert le premier il y a peu et je l'avais beaucoup apprécié, cette suite est beaucoup moins bien. Pourtant ça commence très bien et on a également le droit à une scène d'action très créative et réjouissante durant la première partie. Mais petit à petit on se tape une intrigue de plus en plus farfelue et ensuite ça devient une redite du premier en beaucoup moins bien.
Même si j'ai une préférence pour le premier, cette suite est vraiment très bonne. En 1h17 chrono, Disney nous offre une aventure riche en péripéties. Même si cette suite est sortie directement en vidéo, c'est infiniment mieux que toutes les merdes idéologiques que nous sort la firme aux grandes oreilles depuis quelques années
Eh ben figure-toi que cette suite est sortie au cinéma C'est même la toute première suite d'un film d'animation Disney! Et au final, peu de suites auront eu la chance de sortir sur grand écran (Peter Pan 2, Bambi 2, Le Livre de la Jungle 2, Fantasia 2000)Pale a écrit : ↑dim. 14 avr. 2024 21:40
Même si j'ai une préférence pour le premier, cette suite est vraiment très bonne. En 1h17 chrono, Disney nous offre une aventure riche en péripéties. Même si cette suite est sortie directement en vidéo, c'est infiniment mieux que toutes les merdes idéologiques que nous sort la firme aux grandes oreilles depuis quelques années
Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
https://www.youtube.com/@teambarjow
La reine des neiges 2 ?Miamsolo a écrit : ↑lun. 15 avr. 2024 15:54Eh ben figure-toi que cette suite est sortie au cinéma C'est même la toute première suite d'un film d'animation Disney! Et au final, peu de suites auront eu la chance de sortir sur grand écran (Peter Pan 2, Bambi 2, Le Livre de la Jungle 2, Fantasia 2000)Pale a écrit : ↑dim. 14 avr. 2024 21:40
Même si j'ai une préférence pour le premier, cette suite est vraiment très bonne. En 1h17 chrono, Disney nous offre une aventure riche en péripéties. Même si cette suite est sortie directement en vidéo, c'est infiniment mieux que toutes les merdes idéologiques que nous sort la firme aux grandes oreilles depuis quelques années
Merci pour l'infoMiamsolo a écrit : ↑lun. 15 avr. 2024 15:54Eh ben figure-toi que cette suite est sortie au cinéma C'est même la toute première suite d'un film d'animation Disney! Et au final, peu de suites auront eu la chance de sortir sur grand écran (Peter Pan 2, Bambi 2, Le Livre de la Jungle 2, Fantasia 2000)Pale a écrit : ↑dim. 14 avr. 2024 21:40
Même si j'ai une préférence pour le premier, cette suite est vraiment très bonne. En 1h17 chrono, Disney nous offre une aventure riche en péripéties. Même si cette suite est sortie directement en vidéo, c'est infiniment mieux que toutes les merdes idéologiques que nous sort la firme aux grandes oreilles depuis quelques années
- ClintReborn
- Messages : 4063
- Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
- Localisation : Avalon
A l'époque la promotion du disney sur TF1 était massive ce clip passait tous les jours Attention nostalgie le film est sorti en salle fin 91 en FrancePale a écrit : ↑dim. 14 avr. 2024 21:40
Même si j'ai une préférence pour le premier, cette suite est vraiment très bonne. En 1h17 chrono, Disney nous offre une aventure riche en péripéties. Même si cette suite est sortie directement en vidéo, c'est infiniment mieux que toutes les merdes idéologiques que nous sort la firme aux grandes oreilles depuis quelques années
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Oui aussirobinne a écrit : ↑lun. 15 avr. 2024 16:11La reine des neiges 2 ?Miamsolo a écrit : ↑lun. 15 avr. 2024 15:54Eh ben figure-toi que cette suite est sortie au cinéma C'est même la toute première suite d'un film d'animation Disney! Et au final, peu de suites auront eu la chance de sortir sur grand écran (Peter Pan 2, Bambi 2, Le Livre de la Jungle 2, Fantasia 2000)Pale a écrit : ↑dim. 14 avr. 2024 21:40
Même si j'ai une préférence pour le premier, cette suite est vraiment très bonne. En 1h17 chrono, Disney nous offre une aventure riche en péripéties. Même si cette suite est sortie directement en vidéo, c'est infiniment mieux que toutes les merdes idéologiques que nous sort la firme aux grandes oreilles depuis quelques années
Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
https://www.youtube.com/@teambarjow
J'ai débuté hier une série pas trop connue, ça s'appelle Twin Peaks. Bon je n'ai regardé que le pilote mais je suis très pressé de découvrir la suite. Le personnage de l'agent Dale Cooper est déjà mon préféré
EL a beaucoup aimé Civil War (4 étoiles) :
Il a marqué les esprits avec son thriller sur l'intelligence artificielle Ex Machina, son film de science-fiction psychologique Annihilation et son délire horrifique sur la toxicité masculine Men, Alex Garland devrait encore frapper un grand coup dans l'esprit des spectateurs avec Civil War. Porté par Kirsten Dunst, Cailee Spaeny (Priscilla), Wagner Moura et Stephen McKinley Henderson, ce road trip dans une Amérique à feu et à sang mêle le grand spectacle explosif, la terreur autoritaire et une réflexion passionnante sur l'éthique de nos images. Un grand cru.
VOYAGE AU BOUT DE LA GUERRE
Observer rétrospectivement comment un film a été promu avant sa sortie en salles est souvent passionnant et c'est le cas de Civil War. Dès sa première affiche avec ses snipers dissimulés sous la flamme de la statue de la Liberté new-yorkaise, le film d'Alex Garland se présentait en pur film de guerre au pays de l'Oncle Sam, faisant resurgir les lointains souvenirs de la guerre de Sécession. Les bandes-annonces suivantes se sont, elles, justement appuyées sur le conflit armé entre le gouvernement et l'alliance inattendue Californie-Texas pour teaser une Amérique profondément divisée, a priori au coeur du récit.
Enfin, ce sont les grosses scènes de batailles dans les rues de Washington DC concluant les différents trailers qui ont promis un spectacle pyrotechnique impressionnant. Et c'est sans parler de l'affiche finale à la Apocalypse Now où New York est cerné par des hélicoptères et autres porte-avions, entérinant la guerre civile brutale qui devrait se jouer sous les yeux des spectateurs. Ce film de guerre, il est bel et bien dans Civil War, on ne peut pas le nier.
Durant 1h49, le quatrième film d'Alex Garland propose une ribambelle de scènes d'action et tension à la fois anxiogènes et volcaniques. Qu'il s'agisse d'un attentat dans les rues new-yorkaises, d'une pause torturée à une station essence de fortune, d'un violent affrontement au coeur d'un bâtiment en ruine ou d'une embuscade au milieu de nulle part, Civil War offre un spectacle explosif. Avec une mise en scène viscérale, le Britannique nous plonge même au coeur d'une bataille complètement folle à Washington DC, où les rues sont envahies de blindés et la Maison-Blanche prise d'assaut.
Malgré un budget aussi restreint (50 millions de dollars), rarement aura-t-on vu une scène de guerre aussi réaliste et immersive dans les rues de la capitale américaine mêlant avancée au sol et vue aérienne avec une fluidité déconcertante. Il faut dire qu'encore une fois, Alex Garland est bien aidé par le découpage savant de Jake Roberts (fidèle monteur déjà derrière Men et la série Devs). Autant dire que les spectateurs venus découvrir une Amérique à feu et à sang en auront pour leur argent rien qu'avec ce climax.
LE CHOC D'UNE NATION
Toutefois, ce thriller d'action tant vendu par la promotion n'est pas vraiment ce qui intéresse Alex Garland avec Civil War, pas plus que les raisons de la guerre en cours. Pourquoi l'Amérique a implosé ? Comment la Californie progressiste et le Texas conservateur ont pu s'allier malgré leur division politique ? On n'en saura jamais vraiment plus. Le film nous apprendra juste discrètement que le président a démantelé le FBI, bombardé des civils et est en poste pour un 3e mandat anti-constitutionnel, ce qui semble trois des nombreuses raisons ayant conduit le pays à s'enflammer.
Alex Garland aurait pu établir une guerre entre "gentils" et "méchants", progressistes et conservateurs, démocrates et républicains, protectionnistes et libéraux... mais il décide de faire de cette lutte armée une toile de fond plus abstraite. Ainsi, plus le film avance, plus il est difficile d'identifier ou matérialiser les différents camps et d'entendre les tenants et aboutissants du conflit. Bien sûr, en restant assez flou, le film divisera vu les profondes divergences de l'Amérique contemporaine et tant il semble (parfois) nécessaire de rappeler frontalement les dérives tragiques de la récente administration Trump. Pourtant, ce choix scénaristique (et politique en soi) est extrêmement pertinent.
Avec ce brouillard délibéré, Civil War déstabilise en permanence les spectateurs, les oblige à se questionner sur leur boussole morale et à voir plus loin que leurs préjugés. Il rend ainsi plus tangibles les réflexions du groupe de reporters au coeur du récit et en route pour Washington DC afin d'interviewer le président. Alors que leur road trip de New York jusqu'à la Maison-Blanche est semé d'embûches dans un paysage post-apocalyptique plus vrai que nature (la direction artistique est phénoménale), les situations auxquelles ils sont confrontés sont plus angoissantes et il est impossible de se rassurer sur leurs possibles sorts.
C'est toute la force de la terrible séquence où les journalistes rencontrent le personnage de Jesse Plemons leur demandant : "Quel genre d'Américains êtes-vous ?". Alex Garland joue habilement avec l'identité de ce soldat et reste mystérieux sur le clan qu'il soutient. La parano envahit l'écran, les reporters ne savent plus à qui ils ont affaire et les spectateurs suivent abasourdi, impuissant, cette altercation. La simple question suffit à déceler l'acuité de Civil War, pointant du doigt l'horreur de la guerre où quiconque peut devenir un ennemi, même par erreur, et nous plongeant dans un monde terrifiant, car dépourvu de repère.
PROFESSION : REPORTER
C'est avant tout ce sujet qui semble motiver Alex Garland : la quête de sens dans un monde qui n'en a plus (ou de moins en moins). Ce n'est pas anodin si Civil War est surtout un road movie sur des journalistes tentant de capturer au mieux la réalité qui les entoure, de relater ce qui les entoure, qui, quoi, comment et pourquoi. Avec son quatrième film, Alex Garland s'intéresse aux rôles des médias, à leur intégrité, à leur pouvoir, à l'importance de l'information et de la recherche de la vérité.
Dans cette droite lignée, le film est assez limpide avec l'évolution de Lee (Kirsten Dunst), clin d'oeil évident à la célèbre photographe de guerre Lee Miller (jusqu'au prénom). Au début du film, Lee photographie le président sur sa télévision, mais son objectif sera bel et bien de traverser l'écran, de devenir une protagoniste de l'histoire et de photographier en chair et en os ledit président pour immortaliser la réalité (et non celle qu'une propagande veut vendre aux spectateurs-électeurs-citoyens). Cette ambition demande toutefois du courage et que se passerait-il si plus personne n'avait envie de défier les balles, les explosions avec pour seule arme son appareil photo ou son crayon ?
En posant un regard aussi solide sur l'effondrement à la fois politique, philosophique et éthique de l'Amérique (et de la société occidentale in fine), Civil War rend évidemment hommage à tous les reporters de guerre qui ont risqué, risquent et risqueront leur vie pour raconter l'Histoire. Ce n'est pas franchement subtil ni même très original, mais il en ressort un besoin urgent de transmettre ce savoir-faire, cette volonté d'informer, cette soif de vérité. La passation progressive entre Lee et Jessie, l'aspirante photographe incarnée par l'excellente Cailee Spaeny, est d'ailleurs particulièrement touchante malgré une énorme bévue scénaristique en toute fin de métrage.
Cela dit, Garland questionne aussi ce travail de reporter et notamment cette difficulté à capter les événements sans les transformer, les saisir sans les biaiser, afin de ne pas contaminer une information dans un sens ou dans l'autre. D'où toute l'ambiguïté se jouant devant nos yeux et l'horreur psychologique torturant les esprits des journalistes : ils observent, retranscrivent, photographient, racontent... pour nous interpeller ("We record so other people ask") et espérer qu'on réagisse, mais ils n'interviennent jamais. Ils subissent ce qu'ils expérimentent, mais vivent aussi de cette adrénaline, exulte presque d'être aux premières loges de la déliquescence d'une nation (ce sourire de Jessie en plein assaut).
D'une certaine manière, l'information est une forme d'art où l'artiste ne doit jamais se mettre plus en valeur que sa peinture et où sa peinture ne doit jamais surpasser le message qu'elle veut diffuser. C'est là qu'Alex Garland frappe d'autant plus fort saisissant parfaitement le pouvoir de l'image en jouant lui-même de ce paradoxe. Son Civil War repose sur un grand spectacle flamboyant, une photographie léchée, un sound-design envoûtant, une bande-originale fascinante... ce qui pourrait sembler inapproprié – ou opportuniste – vu le sujet Sauf qu'il n'en oublie jamais de donner une vraie valeur à ses images pour proposer un point de vue plus nuancé, une perspective plus sagace car affranchie d'un partisianisme devenu tristement contre-productif au fil du temps.
C'est ce qui donne à Civil War sa pertinence politique, sociale et existentielle. Une denrée précieuse, voire rarissime, à cette échelle hollywoodienne actuellement et dont le cinéaste semble bien avoir conscience. Alors qu'il a révélé que Civil War serait probablement son dernier film en tant que réalisateur (en partie par fatigue du système), on peut presque supposer qu'Alex Garland souhaite incarner à son tour un messager ici. Un lanceur d'alerte craignant que cette forme de cinéma disparaisse, ce qui n'annoncerait rien de bon pour l'avenir du 7e art. Espérons qu'il soit entendu.
Sur fond de thriller d'action explosif, Civil War s'interroge avant tout sur le sens de l'information, le pouvoir de l'image et l'absolue nécessité de préserver un journalisme de terrain tentant de capturer le réel, exposer la vérité. Passionnant de bout en bout.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... d8RtYBi2SY
Il a marqué les esprits avec son thriller sur l'intelligence artificielle Ex Machina, son film de science-fiction psychologique Annihilation et son délire horrifique sur la toxicité masculine Men, Alex Garland devrait encore frapper un grand coup dans l'esprit des spectateurs avec Civil War. Porté par Kirsten Dunst, Cailee Spaeny (Priscilla), Wagner Moura et Stephen McKinley Henderson, ce road trip dans une Amérique à feu et à sang mêle le grand spectacle explosif, la terreur autoritaire et une réflexion passionnante sur l'éthique de nos images. Un grand cru.
VOYAGE AU BOUT DE LA GUERRE
Observer rétrospectivement comment un film a été promu avant sa sortie en salles est souvent passionnant et c'est le cas de Civil War. Dès sa première affiche avec ses snipers dissimulés sous la flamme de la statue de la Liberté new-yorkaise, le film d'Alex Garland se présentait en pur film de guerre au pays de l'Oncle Sam, faisant resurgir les lointains souvenirs de la guerre de Sécession. Les bandes-annonces suivantes se sont, elles, justement appuyées sur le conflit armé entre le gouvernement et l'alliance inattendue Californie-Texas pour teaser une Amérique profondément divisée, a priori au coeur du récit.
Enfin, ce sont les grosses scènes de batailles dans les rues de Washington DC concluant les différents trailers qui ont promis un spectacle pyrotechnique impressionnant. Et c'est sans parler de l'affiche finale à la Apocalypse Now où New York est cerné par des hélicoptères et autres porte-avions, entérinant la guerre civile brutale qui devrait se jouer sous les yeux des spectateurs. Ce film de guerre, il est bel et bien dans Civil War, on ne peut pas le nier.
Durant 1h49, le quatrième film d'Alex Garland propose une ribambelle de scènes d'action et tension à la fois anxiogènes et volcaniques. Qu'il s'agisse d'un attentat dans les rues new-yorkaises, d'une pause torturée à une station essence de fortune, d'un violent affrontement au coeur d'un bâtiment en ruine ou d'une embuscade au milieu de nulle part, Civil War offre un spectacle explosif. Avec une mise en scène viscérale, le Britannique nous plonge même au coeur d'une bataille complètement folle à Washington DC, où les rues sont envahies de blindés et la Maison-Blanche prise d'assaut.
Malgré un budget aussi restreint (50 millions de dollars), rarement aura-t-on vu une scène de guerre aussi réaliste et immersive dans les rues de la capitale américaine mêlant avancée au sol et vue aérienne avec une fluidité déconcertante. Il faut dire qu'encore une fois, Alex Garland est bien aidé par le découpage savant de Jake Roberts (fidèle monteur déjà derrière Men et la série Devs). Autant dire que les spectateurs venus découvrir une Amérique à feu et à sang en auront pour leur argent rien qu'avec ce climax.
LE CHOC D'UNE NATION
Toutefois, ce thriller d'action tant vendu par la promotion n'est pas vraiment ce qui intéresse Alex Garland avec Civil War, pas plus que les raisons de la guerre en cours. Pourquoi l'Amérique a implosé ? Comment la Californie progressiste et le Texas conservateur ont pu s'allier malgré leur division politique ? On n'en saura jamais vraiment plus. Le film nous apprendra juste discrètement que le président a démantelé le FBI, bombardé des civils et est en poste pour un 3e mandat anti-constitutionnel, ce qui semble trois des nombreuses raisons ayant conduit le pays à s'enflammer.
Alex Garland aurait pu établir une guerre entre "gentils" et "méchants", progressistes et conservateurs, démocrates et républicains, protectionnistes et libéraux... mais il décide de faire de cette lutte armée une toile de fond plus abstraite. Ainsi, plus le film avance, plus il est difficile d'identifier ou matérialiser les différents camps et d'entendre les tenants et aboutissants du conflit. Bien sûr, en restant assez flou, le film divisera vu les profondes divergences de l'Amérique contemporaine et tant il semble (parfois) nécessaire de rappeler frontalement les dérives tragiques de la récente administration Trump. Pourtant, ce choix scénaristique (et politique en soi) est extrêmement pertinent.
Avec ce brouillard délibéré, Civil War déstabilise en permanence les spectateurs, les oblige à se questionner sur leur boussole morale et à voir plus loin que leurs préjugés. Il rend ainsi plus tangibles les réflexions du groupe de reporters au coeur du récit et en route pour Washington DC afin d'interviewer le président. Alors que leur road trip de New York jusqu'à la Maison-Blanche est semé d'embûches dans un paysage post-apocalyptique plus vrai que nature (la direction artistique est phénoménale), les situations auxquelles ils sont confrontés sont plus angoissantes et il est impossible de se rassurer sur leurs possibles sorts.
C'est toute la force de la terrible séquence où les journalistes rencontrent le personnage de Jesse Plemons leur demandant : "Quel genre d'Américains êtes-vous ?". Alex Garland joue habilement avec l'identité de ce soldat et reste mystérieux sur le clan qu'il soutient. La parano envahit l'écran, les reporters ne savent plus à qui ils ont affaire et les spectateurs suivent abasourdi, impuissant, cette altercation. La simple question suffit à déceler l'acuité de Civil War, pointant du doigt l'horreur de la guerre où quiconque peut devenir un ennemi, même par erreur, et nous plongeant dans un monde terrifiant, car dépourvu de repère.
PROFESSION : REPORTER
C'est avant tout ce sujet qui semble motiver Alex Garland : la quête de sens dans un monde qui n'en a plus (ou de moins en moins). Ce n'est pas anodin si Civil War est surtout un road movie sur des journalistes tentant de capturer au mieux la réalité qui les entoure, de relater ce qui les entoure, qui, quoi, comment et pourquoi. Avec son quatrième film, Alex Garland s'intéresse aux rôles des médias, à leur intégrité, à leur pouvoir, à l'importance de l'information et de la recherche de la vérité.
Dans cette droite lignée, le film est assez limpide avec l'évolution de Lee (Kirsten Dunst), clin d'oeil évident à la célèbre photographe de guerre Lee Miller (jusqu'au prénom). Au début du film, Lee photographie le président sur sa télévision, mais son objectif sera bel et bien de traverser l'écran, de devenir une protagoniste de l'histoire et de photographier en chair et en os ledit président pour immortaliser la réalité (et non celle qu'une propagande veut vendre aux spectateurs-électeurs-citoyens). Cette ambition demande toutefois du courage et que se passerait-il si plus personne n'avait envie de défier les balles, les explosions avec pour seule arme son appareil photo ou son crayon ?
En posant un regard aussi solide sur l'effondrement à la fois politique, philosophique et éthique de l'Amérique (et de la société occidentale in fine), Civil War rend évidemment hommage à tous les reporters de guerre qui ont risqué, risquent et risqueront leur vie pour raconter l'Histoire. Ce n'est pas franchement subtil ni même très original, mais il en ressort un besoin urgent de transmettre ce savoir-faire, cette volonté d'informer, cette soif de vérité. La passation progressive entre Lee et Jessie, l'aspirante photographe incarnée par l'excellente Cailee Spaeny, est d'ailleurs particulièrement touchante malgré une énorme bévue scénaristique en toute fin de métrage.
Cela dit, Garland questionne aussi ce travail de reporter et notamment cette difficulté à capter les événements sans les transformer, les saisir sans les biaiser, afin de ne pas contaminer une information dans un sens ou dans l'autre. D'où toute l'ambiguïté se jouant devant nos yeux et l'horreur psychologique torturant les esprits des journalistes : ils observent, retranscrivent, photographient, racontent... pour nous interpeller ("We record so other people ask") et espérer qu'on réagisse, mais ils n'interviennent jamais. Ils subissent ce qu'ils expérimentent, mais vivent aussi de cette adrénaline, exulte presque d'être aux premières loges de la déliquescence d'une nation (ce sourire de Jessie en plein assaut).
D'une certaine manière, l'information est une forme d'art où l'artiste ne doit jamais se mettre plus en valeur que sa peinture et où sa peinture ne doit jamais surpasser le message qu'elle veut diffuser. C'est là qu'Alex Garland frappe d'autant plus fort saisissant parfaitement le pouvoir de l'image en jouant lui-même de ce paradoxe. Son Civil War repose sur un grand spectacle flamboyant, une photographie léchée, un sound-design envoûtant, une bande-originale fascinante... ce qui pourrait sembler inapproprié – ou opportuniste – vu le sujet Sauf qu'il n'en oublie jamais de donner une vraie valeur à ses images pour proposer un point de vue plus nuancé, une perspective plus sagace car affranchie d'un partisianisme devenu tristement contre-productif au fil du temps.
C'est ce qui donne à Civil War sa pertinence politique, sociale et existentielle. Une denrée précieuse, voire rarissime, à cette échelle hollywoodienne actuellement et dont le cinéaste semble bien avoir conscience. Alors qu'il a révélé que Civil War serait probablement son dernier film en tant que réalisateur (en partie par fatigue du système), on peut presque supposer qu'Alex Garland souhaite incarner à son tour un messager ici. Un lanceur d'alerte craignant que cette forme de cinéma disparaisse, ce qui n'annoncerait rien de bon pour l'avenir du 7e art. Espérons qu'il soit entendu.
Sur fond de thriller d'action explosif, Civil War s'interroge avant tout sur le sens de l'information, le pouvoir de l'image et l'absolue nécessité de préserver un journalisme de terrain tentant de capturer le réel, exposer la vérité. Passionnant de bout en bout.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... d8RtYBi2SY
Ma série préférée!
Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
https://www.youtube.com/@teambarjow
J'ai commencé cette mini-série sur Netflix :
"Inspirée du one man show de Richard Gadd, crée à Edinburgh Fringe 2019, qui suit sa relation tordue avec une harceleuse et l'impact qu'elle a sur lui alors qu'il est finalement obligé de faire face à un traumatisme profond et sombre enfoui…"
J'ai vu les trois premiers épisodes et je dois dire que c'est assez intense
"Inspirée du one man show de Richard Gadd, crée à Edinburgh Fringe 2019, qui suit sa relation tordue avec une harceleuse et l'impact qu'elle a sur lui alors qu'il est finalement obligé de faire face à un traumatisme profond et sombre enfoui…"
J'ai vu les trois premiers épisodes et je dois dire que c'est assez intense
Je ne connaissais pas! T'as finis la 1è saison de From?Pale a écrit : ↑mar. 16 avr. 2024 20:30J'ai commencé cette mini-série sur Netflix :
"Inspirée du one man show de Richard Gadd, crée à Edinburgh Fringe 2019, qui suit sa relation tordue avec une harceleuse et l'impact qu'elle a sur lui alors qu'il est finalement obligé de faire face à un traumatisme profond et sombre enfoui…"
J'ai vu les trois premiers épisodes et je dois dire que c'est assez intense
Pouet
The Ministry of Ungentlemanly Warfare : les premiers avis pour le nouveau Guy Ritchie sont là
Les premiers avis viennent de tomber pour The Ministry of Ungentlemanly Warfare, le nouveau film réalisé par Guy Ritchie avec Henry Cavill.
Après le sympathique The Gentlemen en 2020 et la série Netflix The Gentlemen de 2024 un peu plus en demi-teinte, Guy Ritchie a décidé de changer la formule pour son prochain film et d'aller à l'opposé de ses gansters distingués, du moins si on en croit le titre : The Ministry of Ungentlemanly Warfare
Après cinq films et une série en cinq ans, le réalisateur surproductif (qui a encore un autre projet prévu pour 2025), nous plongera au milieu de la Seconde Guerre mondiale, pour suivre une escouade crée par Churchill et Ian Fleming eux-mêmes. Inspiré d’une histoire vraie, le film devrait raconter les opérations de sabotage contre les nazis de cette escouade sans règles ni distinction, façon Inglourious Basterds à la britannique. Cette comédie d’action portée par Henry Cavill, Alan Ritchson et Eiza González promet ainsi un cocktail détonnant, et comme l’embargo vient de sauter aux États-Unis, c'est le moment de prendre la température. Revue de presse.
"Il y a tout ce qu’il vous faut dans The Ministry of Ungentlemanly Warfare : des scènes de combats sanglantes et dynamiques, des dialogues impertinents, des blagues qui fonctionnent, et pas un acteur qui n’est pas à sa place." - Arizona Republic
"Une fois que la fumée de son final explosif se dissipe, on se rend compte que The Ministry of Ungentlemanly Warfare est étrangement aseptisé, édulcoré, et même un peu raté." - Slashfilm
"Si vous êtes soucieux d’Histoire, les lacunes en logique, le matériel anachronique et les pistolets qui ne ratent jamais leur cible pourraient vous faire grimacer. Mais si vous aimez les raids de commando sanglants et (parfois) amusants, The Ministry of Ungentlemanly Warfare répondra plus ou moins à vos attentes." - Movie Nation
"Ces gars sont si bons dans ce qu’ils font que Ritchie a du mal à maintenir la tension attendue. Au lieu de ressentir le suspense, le public se réjouit de les voir réussir, quels que soient les obstacles." - Variety
"C’est un thriller flamboyant sur la Seconde Guerre mondiale, dans le style de Guy Ritchie. Ce dernier trouve un équilibre fin et amusant entre la menace que représentent les nazis et le plaisir de voir des héros virils les massacrer minutieusement, avant de glousser, de fumer des cigarettes et de s’appeler les uns les autres "vieux père" environ 50 millions de fois." - TheWrap
"Autant, j’adorerais voir ces personnages dans un autre film, autant j’aurais aussi aimé les voir davantage dans celui-là. Oh, et une petite remarque pour tous les réalisateurs de films d’action : les silencieux, c’est top pour les séquences d’infiltrations, mais ça enlève le fun d’une séquence de siège." - IndieWire
"The Ministry of Ungentlemanly Warfare est une comédie d’action désinvolte et superficielle - un échec total de sa mission." - Screen Daily
"Chronique d’une mission secrète de la Seconde Guerre mondiale menée par une bande de renégats, le film est divertissant, mais reste maladroitement coincé entre une joyeuse cabriole et un thriller d’action plus captivant." - The Hollywood Reporter
"Même si ce n’est pas le meilleur film de Guy Ritchie, The Ministry of Ungentlemanly Warfare a assez de style et de tension haletante pour être une aventure incroyablement amusante." - ScreenRant
La presse américaine note une chose peu étonnante pour un film de Guy Ritchie : si le film est bancal, on passe tout de même un bon moment devant. Le savoir-faire du réalisateur en termes d’action explosive et de dialogues sans filtre ne semble pas trop manquer à l’appel ici. Cependant, plusieurs journalistes remarquent que le film ne sait pas totalement sur quel pied danser, et que, par conséquent, la tension recherchée dans certaines scènes en pâtirait.
Pour vous faire votre propre avis sur The Ministry of Ungentlemanly Warfare, il faudra patienter, et peut-être un bout de temps. En effet, s'il doit sortir le 19 avril aux États-Unis, le film n’a toujours pas de date annoncée en France.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... S_W2oyW_7D
Les premiers avis viennent de tomber pour The Ministry of Ungentlemanly Warfare, le nouveau film réalisé par Guy Ritchie avec Henry Cavill.
Après le sympathique The Gentlemen en 2020 et la série Netflix The Gentlemen de 2024 un peu plus en demi-teinte, Guy Ritchie a décidé de changer la formule pour son prochain film et d'aller à l'opposé de ses gansters distingués, du moins si on en croit le titre : The Ministry of Ungentlemanly Warfare
Après cinq films et une série en cinq ans, le réalisateur surproductif (qui a encore un autre projet prévu pour 2025), nous plongera au milieu de la Seconde Guerre mondiale, pour suivre une escouade crée par Churchill et Ian Fleming eux-mêmes. Inspiré d’une histoire vraie, le film devrait raconter les opérations de sabotage contre les nazis de cette escouade sans règles ni distinction, façon Inglourious Basterds à la britannique. Cette comédie d’action portée par Henry Cavill, Alan Ritchson et Eiza González promet ainsi un cocktail détonnant, et comme l’embargo vient de sauter aux États-Unis, c'est le moment de prendre la température. Revue de presse.
"Il y a tout ce qu’il vous faut dans The Ministry of Ungentlemanly Warfare : des scènes de combats sanglantes et dynamiques, des dialogues impertinents, des blagues qui fonctionnent, et pas un acteur qui n’est pas à sa place." - Arizona Republic
"Une fois que la fumée de son final explosif se dissipe, on se rend compte que The Ministry of Ungentlemanly Warfare est étrangement aseptisé, édulcoré, et même un peu raté." - Slashfilm
"Si vous êtes soucieux d’Histoire, les lacunes en logique, le matériel anachronique et les pistolets qui ne ratent jamais leur cible pourraient vous faire grimacer. Mais si vous aimez les raids de commando sanglants et (parfois) amusants, The Ministry of Ungentlemanly Warfare répondra plus ou moins à vos attentes." - Movie Nation
"Ces gars sont si bons dans ce qu’ils font que Ritchie a du mal à maintenir la tension attendue. Au lieu de ressentir le suspense, le public se réjouit de les voir réussir, quels que soient les obstacles." - Variety
"C’est un thriller flamboyant sur la Seconde Guerre mondiale, dans le style de Guy Ritchie. Ce dernier trouve un équilibre fin et amusant entre la menace que représentent les nazis et le plaisir de voir des héros virils les massacrer minutieusement, avant de glousser, de fumer des cigarettes et de s’appeler les uns les autres "vieux père" environ 50 millions de fois." - TheWrap
"Autant, j’adorerais voir ces personnages dans un autre film, autant j’aurais aussi aimé les voir davantage dans celui-là. Oh, et une petite remarque pour tous les réalisateurs de films d’action : les silencieux, c’est top pour les séquences d’infiltrations, mais ça enlève le fun d’une séquence de siège." - IndieWire
"The Ministry of Ungentlemanly Warfare est une comédie d’action désinvolte et superficielle - un échec total de sa mission." - Screen Daily
"Chronique d’une mission secrète de la Seconde Guerre mondiale menée par une bande de renégats, le film est divertissant, mais reste maladroitement coincé entre une joyeuse cabriole et un thriller d’action plus captivant." - The Hollywood Reporter
"Même si ce n’est pas le meilleur film de Guy Ritchie, The Ministry of Ungentlemanly Warfare a assez de style et de tension haletante pour être une aventure incroyablement amusante." - ScreenRant
La presse américaine note une chose peu étonnante pour un film de Guy Ritchie : si le film est bancal, on passe tout de même un bon moment devant. Le savoir-faire du réalisateur en termes d’action explosive et de dialogues sans filtre ne semble pas trop manquer à l’appel ici. Cependant, plusieurs journalistes remarquent que le film ne sait pas totalement sur quel pied danser, et que, par conséquent, la tension recherchée dans certaines scènes en pâtirait.
Pour vous faire votre propre avis sur The Ministry of Ungentlemanly Warfare, il faudra patienter, et peut-être un bout de temps. En effet, s'il doit sortir le 19 avril aux États-Unis, le film n’a toujours pas de date annoncée en France.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... S_W2oyW_7D
Yes :Cocu a écrit : ↑mar. 16 avr. 2024 22:03Je ne connaissais pas! T'as finis la 1è saison de From?Pale a écrit : ↑mar. 16 avr. 2024 20:30J'ai commencé cette mini-série sur Netflix :
"Inspirée du one man show de Richard Gadd, crée à Edinburgh Fringe 2019, qui suit sa relation tordue avec une harceleuse et l'impact qu'elle a sur lui alors qu'il est finalement obligé de faire face à un traumatisme profond et sombre enfoui…"
J'ai vu les trois premiers épisodes et je dois dire que c'est assez intense
Fin de la première saison. J'ai été extrêmement emballé par une grosse partie de cette première saison, c'est mystérieux et intrigant à souhait, du moins pendant les deux tiers. J'avoue que mon enthousiasme/intérêt ont un peu décliné durant les 2-3 derniers épisodes où par moments j'ai l'impression que la série montre un peu ses limites. Il y a des facilités scénaristiques mais c'est surtout les personnages qui ont commencé un peu à m'énerver vers la fin. Il y a parfois un tel manque de substance dans leur background (à ce niveau on est à des années-lumière de Lost) que ça rend parfois leurs réactions/comportements irritables et la série cherche à créer des petits conflits entre certains personnages mais là aussi ça repose parfois tellement sur rien que c'est un poil énervant. Bon ça ne m'a pas coupé l'envie de découvrir la suite pour autant.
Modifié en dernier par Pale le mer. 17 avr. 2024 18:51, modifié 1 fois.
- NaughtyDog
- Messages : 2252
- Enregistré le : lun. 26 oct. 2020 12:34
- Localisation : Paris
Petite déception que ce Abigail de la team Radio Silence (Ready Or Not, Scream 5 et 6).
La faute à un concept parfois tenu, mais ensuite régulièrement mis de côté au profit de retournements de situation plus ou moins gratuits.
Cela commence efficacement (concept à la Don't Breathe, où une bande de malfrats se retrouve finalement pourchassée et piégée par leur cible en apparence inoffensive) en présentant proprement son trombinoscope de personnages, son setting unique puis son high-concept vampirique.
La mise en place délaye quand même un tantinet, avant de bazarder quelques personnages, mais rapidement le fun et le gore arrivent, boostés par le caractère jouissivement juvénile (en apparence) de la menace.
Malheureusement, comme peu enclin d'aller vers une approche jusqu'au-bputiste, les réals vont peu à peu faire un pas de côté niveau antagonisme, quitte à amener des incogérences ou facilités assez grossières. Le tout jusqu'à une résolution ultra fastoche (avec sans doute volonté de faire une suite).
Le cast est bien, notamment Barrera (comme d'hab c'est elle qui a le perso le plus incarné) ou bien Dan Stevens (comme d'hab c'est lui le plus charismatique), mais au final ce Abigail demeure un résultat pas nécessairement déplaisant, bien que mitigé vu le concept.
2.5/5
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
Pour l'ordre, je te conseille de regarder d'abord les 2 premières saisons, puis le film, et enfin la saison 3. (Et si jamais t'es vraiment à fond dedans, je te conseille de voir "Twin Peaks - The Missing Pieces" entre le film et la saison 3. En gros, ce sont toutes les scènes coupées / alternatives du film mises bout à bout, et ça donne pas mal de pistes pour la saison 3).
Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
https://www.youtube.com/@teambarjow
Surprise : Tarantino abandonne son film avec Brad Pitt, The Movie Critic (sauf si...?)
The Movie Critic, qui devait être le dixième et dernier film de Quentin Tarantino, n'est plus.
Quentin Tarantino le dit depuis longtemps : il terminera sa carrière après avoir fait dix films, et ce dixième film devait être l'alléchant The Movie Critic. En quelques mois, plusieurs informations sont tombées concernant l’ultime projet du cinéaste derrière Django Unchained et Once Upon a Time... in Hollywood, qui devait commencer son tournage cette année.
On a notamment appris que Brad Pitt était au casting et que Tom Cruise pourrait jouer pour la première fois dans un Tarantino. Et bien tout ça est désormais de l’histoire ancienne. En effet, selon différentes sources Quentin Tarantino aurait complètement changé ses plans.
La nouvelle a été relayée en premier par Deadline : The Movie Critic n’est plus, et la raison est si simple qu’elle peut paraitre folle, puisque le metteur en scène aurait tout simplement changé d’avis. Le réalisateur repart donc de zéro, alors que le projet était bien avancé et que Sony, qui avait produit Once Upon a Time... in Hollywood, était en bonne position pour être derrière The Movie Critic.
Alors qu'il avait réécrit son scénario et retardé le démarrage de la production par la même occasion, la rumeur voudrait qu'il ait décidé que The Movie Critic ne sera finalement pas dernier film. Désormais, le cinéaste cherche un autre projet pour conclure son impressionnante filmographie.
Pour rappel, le film devait s’axer autour d’un critique cinématographique nommé Jim Sheldon, officiant pour un magazine pornographique à la fin des années 70. L’inspiration pour l’histoire remonte à un boulot que Tarantino a fait quand il était adolescent. Il était chargé de remplir un distributeur de magazine pornographique et de vider les pièces de celui-ci.
Cependant, dans ces revues "trop vulgaires pour être lues", l’une d’elles contenait une page dédiée au cinéma avec un critique qu’appréciait le cinéaste. De plus, Brad Pitt devait reprendre, selon The Hollywood Reporter son rôle de Cliff Booth, particulièrement aimé des fans dans Once Upon a Time.
Ce n’est pas la première fois que le réalisateur modifie ses plans pour un de ses films. À l’origine, Les 8 Salopards a été annulé suite à une fuite du scénario en ligne, avant que le cinéaste ne change de nouveau d’avis. Reste à savoir s'il rechangera aussi d'avis pour son Star Trek, qui a longtemps été dans les tuyaux, mais qu'il a fini par lâcher en 2023.
L’espoir n’est donc pas entièrement mort pour The Movie Critic. Dans tous les cas, on a hâte de voir ce que nous réserve Tarantino pour son grand final.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... rRjcnM85k_
The Movie Critic, qui devait être le dixième et dernier film de Quentin Tarantino, n'est plus.
Quentin Tarantino le dit depuis longtemps : il terminera sa carrière après avoir fait dix films, et ce dixième film devait être l'alléchant The Movie Critic. En quelques mois, plusieurs informations sont tombées concernant l’ultime projet du cinéaste derrière Django Unchained et Once Upon a Time... in Hollywood, qui devait commencer son tournage cette année.
On a notamment appris que Brad Pitt était au casting et que Tom Cruise pourrait jouer pour la première fois dans un Tarantino. Et bien tout ça est désormais de l’histoire ancienne. En effet, selon différentes sources Quentin Tarantino aurait complètement changé ses plans.
La nouvelle a été relayée en premier par Deadline : The Movie Critic n’est plus, et la raison est si simple qu’elle peut paraitre folle, puisque le metteur en scène aurait tout simplement changé d’avis. Le réalisateur repart donc de zéro, alors que le projet était bien avancé et que Sony, qui avait produit Once Upon a Time... in Hollywood, était en bonne position pour être derrière The Movie Critic.
Alors qu'il avait réécrit son scénario et retardé le démarrage de la production par la même occasion, la rumeur voudrait qu'il ait décidé que The Movie Critic ne sera finalement pas dernier film. Désormais, le cinéaste cherche un autre projet pour conclure son impressionnante filmographie.
Pour rappel, le film devait s’axer autour d’un critique cinématographique nommé Jim Sheldon, officiant pour un magazine pornographique à la fin des années 70. L’inspiration pour l’histoire remonte à un boulot que Tarantino a fait quand il était adolescent. Il était chargé de remplir un distributeur de magazine pornographique et de vider les pièces de celui-ci.
Cependant, dans ces revues "trop vulgaires pour être lues", l’une d’elles contenait une page dédiée au cinéma avec un critique qu’appréciait le cinéaste. De plus, Brad Pitt devait reprendre, selon The Hollywood Reporter son rôle de Cliff Booth, particulièrement aimé des fans dans Once Upon a Time.
Ce n’est pas la première fois que le réalisateur modifie ses plans pour un de ses films. À l’origine, Les 8 Salopards a été annulé suite à une fuite du scénario en ligne, avant que le cinéaste ne change de nouveau d’avis. Reste à savoir s'il rechangera aussi d'avis pour son Star Trek, qui a longtemps été dans les tuyaux, mais qu'il a fini par lâcher en 2023.
L’espoir n’est donc pas entièrement mort pour The Movie Critic. Dans tous les cas, on a hâte de voir ce que nous réserve Tarantino pour son grand final.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... rRjcnM85k_
Mercredi saison 2 : un super acteur rejoint le casting de la série Netflix
Mercredi aurait intégré un nouvel acteur à son casting, et ce serait une super nouvelle pour la saison 2 de la série phénomène de Netflix.
Mercredi a été une énorme réussite pour Netflix, au point de même battre plusieurs records sur la plateforme. Le N rouge ne s'est donc pas fait prier pour annoncer une saison 2, tandis qu'une autre série sur un personnage iconique de la Famille Addams serait également en préparation.
Et alors que Jenna Ortega a promis de l'action et de l'horreur pour la saison 2 de Mercredi, on attend évidemment avec impatience de savoir ce que la série de Netflix va nous réserver pour la suite. Et justement, un nouvel acteur aurait rejoint le casting, et il pourrait parfaitement coller au style et à l'esthétique de Mercredi.
Cet acteur, ce serait Steve Buscemi. Selon Variety, il aurait intégré le casting de Mercredi pour interpréter un personnage encore inconnu, bien que certaines sources affirment qu'il pourrait s'agir du nouveau directeur de Nevermore Academy. Ces informations sont toutefois à prendre avec des pincettes, puisque les représentants respectifs de Netflix et Buscemi ont pour le moment refusé de commenter cette annonce.
Steve Buscemi est principalement connu pour avoir joué dans des films comme Reservoir Dogs, Fargo, La mort de Staline et de nombreuses productions d'Adam Sandler. Il s'est aussi illustré dans le doublage, notamment avec Monstres & Cie, Hôtel Transylvanie ou encore Baby Boss. C'est donc un acteur capable d'assumer des rôles plus dramatiques, mais également d'exceller dans le comique.
En plus de ses qualités d'acteur, on pourrait également dire que le physique de Buscemi, avec son visage et ses traits fins, irait extrêmement bien avec le style gothique de la série. Attendons néanmoins que Netflix ou l'acteur confirme ses rumeurs avant de trop nous enthousiasmer. Concernant le reste du casting, Jenna Ortega reprendra évidemment son rôle, tout comme Catherine Zeta-Jones (Morticia), Luis Guzmán (Gomez), Fred Armisen (Oncle Fétide) et Isaac Ordonez (Pugsley).
Quoi qu'il en soit, il nous reste encore un peu d'attente avant de pouvoir retrouver Mercredi, le tournage de la saison 2 ayant été retardé en raison des grèves des scénaristes et des acteurs à Hollywood en 2023. La suite de la série devrait donc arriver courant 2025.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... wck5kpjclZ
Mercredi aurait intégré un nouvel acteur à son casting, et ce serait une super nouvelle pour la saison 2 de la série phénomène de Netflix.
Mercredi a été une énorme réussite pour Netflix, au point de même battre plusieurs records sur la plateforme. Le N rouge ne s'est donc pas fait prier pour annoncer une saison 2, tandis qu'une autre série sur un personnage iconique de la Famille Addams serait également en préparation.
Et alors que Jenna Ortega a promis de l'action et de l'horreur pour la saison 2 de Mercredi, on attend évidemment avec impatience de savoir ce que la série de Netflix va nous réserver pour la suite. Et justement, un nouvel acteur aurait rejoint le casting, et il pourrait parfaitement coller au style et à l'esthétique de Mercredi.
Cet acteur, ce serait Steve Buscemi. Selon Variety, il aurait intégré le casting de Mercredi pour interpréter un personnage encore inconnu, bien que certaines sources affirment qu'il pourrait s'agir du nouveau directeur de Nevermore Academy. Ces informations sont toutefois à prendre avec des pincettes, puisque les représentants respectifs de Netflix et Buscemi ont pour le moment refusé de commenter cette annonce.
Steve Buscemi est principalement connu pour avoir joué dans des films comme Reservoir Dogs, Fargo, La mort de Staline et de nombreuses productions d'Adam Sandler. Il s'est aussi illustré dans le doublage, notamment avec Monstres & Cie, Hôtel Transylvanie ou encore Baby Boss. C'est donc un acteur capable d'assumer des rôles plus dramatiques, mais également d'exceller dans le comique.
En plus de ses qualités d'acteur, on pourrait également dire que le physique de Buscemi, avec son visage et ses traits fins, irait extrêmement bien avec le style gothique de la série. Attendons néanmoins que Netflix ou l'acteur confirme ses rumeurs avant de trop nous enthousiasmer. Concernant le reste du casting, Jenna Ortega reprendra évidemment son rôle, tout comme Catherine Zeta-Jones (Morticia), Luis Guzmán (Gomez), Fred Armisen (Oncle Fétide) et Isaac Ordonez (Pugsley).
Quoi qu'il en soit, il nous reste encore un peu d'attente avant de pouvoir retrouver Mercredi, le tournage de la saison 2 ayant été retardé en raison des grèves des scénaristes et des acteurs à Hollywood en 2023. La suite de la série devrait donc arriver courant 2025.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... wck5kpjclZ
Modifié en dernier par Pale le ven. 19 avr. 2024 18:41, modifié 1 fois.
Steven Spielberg prépare un nouveau film sur les Ovnis
Un long métrage qui sera écrit par David Koepp, scénariste de Jurassic Park.
Deux ans après son quasi autobiopic, The Fabelmans, Steven Spielberg travaillerait sur un nouveau long métrage. Et visiblement, il reviendrait à ses premières amours, à savoir les extraterrestres...
Selon Variety, le réalisateur de E.T. et Rencontres du troisième type serait sur le point de diriger un film sur les Ovnis basé sur une idée originale à lui. Steven Spielberg s'associerait avec son scénariste de Jurassic Park, David Koepp, qui aurait en charge le scénario de ce film Ovni encore sans titre.
Pour l’instant, on ne sait rien d’autre sur ce projet mystère.
Steven Spielberg a récemment plutôt tourné son regard vers la télévision, produisant Masters of the Air pour Apple. Il travaille actuellement sur une série adaptée des films Cape Fear alias Les Nerfs à vifs (le remake de 1991 de Scorsese et l'original de 1962).
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... -les-Ovnis
Un long métrage qui sera écrit par David Koepp, scénariste de Jurassic Park.
Deux ans après son quasi autobiopic, The Fabelmans, Steven Spielberg travaillerait sur un nouveau long métrage. Et visiblement, il reviendrait à ses premières amours, à savoir les extraterrestres...
Selon Variety, le réalisateur de E.T. et Rencontres du troisième type serait sur le point de diriger un film sur les Ovnis basé sur une idée originale à lui. Steven Spielberg s'associerait avec son scénariste de Jurassic Park, David Koepp, qui aurait en charge le scénario de ce film Ovni encore sans titre.
Pour l’instant, on ne sait rien d’autre sur ce projet mystère.
Steven Spielberg a récemment plutôt tourné son regard vers la télévision, produisant Masters of the Air pour Apple. Il travaille actuellement sur une série adaptée des films Cape Fear alias Les Nerfs à vifs (le remake de 1991 de Scorsese et l'original de 1962).
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... -les-Ovnis
Pale a écrit : ↑jeu. 18 avr. 2024 16:25Steven Spielberg prépare un nouveau film sur les Ovnis
Un long métrage qui sera écrit par David Koepp, scénariste de Jurassic Park.
Deux ans après son quasi autobiopic, The Fabelmans, Steven Spielberg travaillerait sur un nouveau long métrage. Et visiblement, il reviendrait à ses premières amours, à savoir les extraterrestres...
Selon Variety, le réalisateur de E.T. et Rencontres du troisième type serait sur le point de diriger un film sur les Ovnis basé sur une idée originale à lui. Steven Spielberg s'associerait avec son scénariste de Jurassic Park, David Koepp, qui aurait en charge le scénario de ce film Ovni encore sans titre.
Pour l’instant, on ne sait rien d’autre sur ce projet mystère.
Steven Spielberg a récemment plutôt tourné son regard vers la télévision, produisant Masters of the Air pour Apple. Il travaille actuellement sur une série adaptée des films Cape Fear alias Les Nerfs à vifs (le remake de 1991 de Scorsese et l'original de 1962).
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... -les-Ovnis
Le hic c'est que le film n'est dispo qu'en VOD donc ça m'ennuie de devoir le louer.Miamsolo a écrit : ↑jeu. 18 avr. 2024 10:21Pour l'ordre, je te conseille de regarder d'abord les 2 premières saisons, puis le film, et enfin la saison 3. (Et si jamais t'es vraiment à fond dedans, je te conseille de voir "Twin Peaks - The Missing Pieces" entre le film et la saison 3. En gros, ce sont toutes les scènes coupées / alternatives du film mises bout à bout, et ça donne pas mal de pistes pour la saison 3).
Oui mais tu feras bien une exceptionWickaël a écrit : ↑jeu. 18 avr. 2024 19:21Le hic c'est que le film n'est dispo qu'en VOD donc ça m'ennuie de devoir le louer.Miamsolo a écrit : ↑jeu. 18 avr. 2024 10:21Pour l'ordre, je te conseille de regarder d'abord les 2 premières saisons, puis le film, et enfin la saison 3. (Et si jamais t'es vraiment à fond dedans, je te conseille de voir "Twin Peaks - The Missing Pieces" entre le film et la saison 3. En gros, ce sont toutes les scènes coupées / alternatives du film mises bout à bout, et ça donne pas mal de pistes pour la saison 3).
Au pire tu commandes le DVD ou BR ou alors tu peux avoir recours à une autre méthode