Le Cercle des profileurs disparus

[robinne]

Premières images de The Tomorrow War avec Chris Pratt :

Yvonne

Yvonne ?? Voilà un prénom un peu daté
C’est qui ?

[Pale]

Yvonne ?? Voilà un prénom un peu daté
C’est qui ?

L'actrice préférée de Miamsolo

Elle a été révélée dans la série Chuck et elle joue également dans The Handmaid's Tale (la femme de Joseph Fiennes).

[Kit]

Yvonne ?? Voilà un prénom un peu daté
C’est qui ?

Yvonne Strahovski

[Pale]

Mortal Kombat plus fort que Godzilla vs Kong sur HBO Max, mais pas au box-office



L'inégalable combat des titans entre Godzilla et Kong a de quoi se méfier, puisque l'autre production Warner, Mortal Kombat a gagné son combat sur HBO Max.

Malgré les premiers avis timorés de la critique américaine sur son histoire, Mortal Kombat a tout de même de quoi miser sur ses clins d’œil à la communauté de fans de la franchise vidéo ludique, mais également sur sa grande violence. Alors qu’il va falloir attendre le 12 mai 2021 pour voir l’étendue sanglante des fatalities sur les plateformes VOD en France, une grande partie du monde a pu les découvrir.

Aux États-Unis, Warner a bien évidemment remis en place sa stratégie de diffusion simultanée, dans les salles de cinéma et sur sa plateforme de streaming HBO Max, pour son adaptation du jeu culte des années 90. Même si la major américaine se porte très bien, en grande partie grâce à son carton planétaire de son Godzilla vs. Kong, Mortal Kombat est parvenu à attirer un grand nombre de spectateurs sur la plateforme SVoD. Et ce n’est pas rien.

Selon la société de tracking des contenus télévisés Samba TV, les héros Scorpion et Sub-Zero auraient attiré, lors du premier week-end, 3,8 millions de spectateurs sur la plateforme HBO Max, dont 1,7 million rien que vendredi. Toutefois, ces chiffres ne sont effectivement pas à prendre pour argent comptant.

En effet, ces scores sont comptabilisés par Samba TV, si cinq minutes ont été visionnées. À noter aussi que l’outil de calcul de la société n’est pas présent sur l’ensemble des écrans du pays. Malgré tout, si ce bon démarrage s’avérait juste, Mortal Kombat aurait mieux marché sur HBO Max que le (très) long Zack Snyder's Justice League et ses 1,8 million de spectateurs ou les supposés 2,2 millions de Wonder Woman 1984, sur la même période. Surtout, le film de combat dépasserait son adversaire direct, Godzilla vs Kong et ses 3,6 millions de spectateurs sur la plateforme du premier week-end.

À la différence du streaming, le calcul de box-office est (souvent) plus précis. À en croire les derniers chiffres, Mortal Kombat a récolté 51 millions de dollars au box-office mondial depuis ses premières sorties dès le 8 avril 2021. Par conséquent, Mortal Kombat est encore loin du démarrage carton de Godzilla vs Kong et ses 122 millions récoltés lors de sa sortie internationale (notamment en Chine), mais la formule HBO Max permettrait peut-être de pérenniser l’ambition du studio, de réaliser une trilogie. Affaire à suivre…

Pour rappel, Mortal Kombat sortira en France le 12 mai 2021, en achat digital. En attendant la découverte des combats gores et ultra-violents à la sauce Simon McQuoid, il y a à votre disposition un article passionnant sur le personnage iconique de la franchise, Sub-Zero. Sinon, vous pouvez retrouver notre critique de Godzilla vs Kong et notre débat vidéo sur le combat des titans.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1619534360

[Pale]

Mission : Impossible 7 - le réalisateur tease une nouvelle cascade de Tom Cruise sur un train en marche



Tom Cruise s'accroche à un train en marche sur la nouvelle photo de tournage qu'a partagé Christopher McQuarrie, le réalisateur de Mission : Impossible 7.

Même si la saga Mission : Impossible n'a jamais été un parcours de santé, la production de Mission : Impossible 7 est probablement la plus compliquée à ce jour en raison de la crise sanitaire mondiale qui mine l'industrie depuis un an. Le tournage qui devait se dérouler un peu partout dans le monde a d'abord été retardé un long moment, jusqu'à ce que le blockbuster quitte l'affiche de 2020 et de 2021 pour se réfugier en mai 2022.

Heureusement, le réalisateur Christopher McQuarrie et Tom Cruise forment un duo solide depuis Mission : Impossible - Rogue Nation (ou Jack Reacher selon les préférences). La production s'était tout de même faite assez discrète depuis l'énorme pétage de plomb de l'acteur vedette, McQuarrie se contentant de partager quelques photos promotionnelles de différents personnages sur les réseaux sociaux.

Alors que le tournage semble enfin approcher de la fin, le cinéaste a de nouveau fait grimper l'excitation avec un nouvel aperçu d'une cascade de Tom Cruise, habitué à s'aggriper à tout ce qui dépasse les 100 km/h.



Après une précédente photo de tournage où Tom Cruise était sur le toit d'un train en marche (classique), l'interprète de l'espion Ethan Hunt est cette fois accroché au wagon du train, visiblement lancé à pleine vitesse. Pas le genre de chose qu'on ferait tous les matins pour aller bosser, mais cette cascade, ou du moins cette photo, reste pour l'instant moins impressionnante que ce qu'on a déjà pu voir dans la saga, notamment le fait de suspendre à un hélicoptère dans Mission : Impossible - Fallout ou à un avion qui décolle dans Mission : Impossible - Rogue Nation.

Le casting sera complété par Vanessa Kirby, Pom Klementieff, Rebecca Ferguson, Hayley Atwell, Cary Elwes, Simon Pegg, Angela Bassett ou encore Indira Varma. Mission : Impossible 7 est maintenant prévu dans les salles américaines le 27 mai 2022, mais d'ici là, notre critique de Fallout est toujours disponible de ce côté.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1619508508

[ClintReborn]

J'attends surtout de voir tom cruise dans une capsule dragon spacex faire une cascade dans l'espace à 28000kmh !

[Kit]

J'attends surtout de voir tom cruise dans une capsule dragon spacex faire une cascade dans l'espace à 28000kmh !

un space cruiser

[robinne]

Yvonne ?? Voilà un prénom un peu daté
C’est qui ?

L'actrice préférée de Miamsolo

Elle a été révélée dans la série Chuck et elle joue également dans The Handmaid's Tale (la femme de Joseph Fiennes).

Je n’ai vu ni l’un ni l’autre
Et je ne connais pas Joseph personnellement

Yvonne ?? Voilà un prénom un peu daté
C’est qui ?

Yvonne Strahovski

Ok. Je ne connais pas.
Je vais me renseigner. Peut-être l’ai-je vue dans autre chose ?

[Pale]

Je n’ai vu ni l’un ni l’autre
Et je ne connais pas Joseph personnellement

En fait je voulais dire la femme de Joseph dans The Handmaid's Tale

[ClintReborn]

Yvonne Strahovski

Ok. Je ne connais pas.
Je vais me renseigner. Peut-être l’ai-je vue dans autre chose ?
[/quote]

Ne pas connaitre yvonne strahovski une pure polonaise comme on en fait plus

[Pale]

[BoBleMexicain]

Le cinéaste Cédric Jimenez va tourner mi-mai “Novembre”, un film autour des attentats du 13 novembre 2015 en région parisienne, avec Jean Dujardin, a annoncé ce mercredi 28 avril la production.

Le film est “une plongée au cœur de l’anti-terrorisme pendant les cinq jours de traque qui ont suivi les attentats du 13-Novembre”, précise StudioCanal dans un communiqué.

Ce soir-là, des commandos jihadistes ont fait 130 morts et 350 blessés en région parisienne, à l’extérieur du Stade de France, sur des terrasses de la capitale et dans la salle de spectacle du Bataclan.

Sandrine Kiberlain et Jérémie Renier au casting
Le réalisateur, Cédric Jimenez, est un habitué du polar et de l’univers de la police, ayant déjà signé “La French” en 2014, dans lequel Jean Dujardin interprétait le juge Michel et sa lutte à mort contre le trafic de drogue

[Pale]

Superbe trailer.

[Riggs_007]

Yvonne Strahovski

Ok. Je ne connais pas.
Je vais me renseigner. Peut-être l’ai-je vue dans autre chose ?

Ne pas connaitre yvonne strahovski une pure polonaise comme on en fait plus


[/quote]

Elle a aussi joué dans la saison 7 de dexter.

[Pale]

L'affiche avec Al Pacino fait très mal aux yeux

[Pale]

[BOX OFFICE STORY]

Yvonne Strahovski fait partie de ces actrices et acteurs bien connus de ceux qui regardent beaucoup de séries.

[Riggs_007]

Et elle joue dans la servante écarlate aussi.

[robinne]

Ok. Je ne connais pas.
Je vais me renseigner. Peut-être l’ai-je vue dans autre chose ?

Ne pas connaitre yvonne strahovski une pure polonaise comme on en fait plus

Elle a aussi joué dans la saison 7 de dexter.

Ha ! Ça, j’ai vu Effectivement, j’aurais dû me souvenir d’elle

Et j’ai regardé sa filmo, et a priori, c’est la seule chose que j’ai vue avec elle.

[ClintReborn]

On dirait la jaquette d'un mauvais film sur la seconde guerre mondiale sorti directement en DTV Le film ou on prend une star comme Pacino pour le perdre dedans contre un chèque avec un "réalisateur" derrière qui est coutumier du fait Le mec doit faire ses affiches lui même sur photoshop

[Pale]

Un film extrêmement violent et redoutablement efficace, du moins durant les deux premiers tiers. Je trouve que le film s'effondre un peu par la suite et donne l'impression que la réalisatrice ne sait pas trop comment conclure son histoire, comme si elle baissait les bras à l'instar de son héroïne. Dans sa dernière partie, The Nightingale multiplie les errances scénaristiques et les scènes répétitives et inutiles. Ce qui est fort dommage au vu de tout ce qui précède, la réalisatrice a eu les yeux plus gros que le ventre et s'est perdue un peu en chemin. Bon après le film reste bien dans son ensemble mais il aurait été préférable que le film ne se disperse pas de la sorte.

[BOX OFFICE STORY]

Al Pacino Il ressemble un peu à Johnny sur la jaquette...cheveux teints, si ce n'est une perruque, paupières liftées, manque plus que le collagène dans la lèvre...Il fait un peu peur...
Mel a remis la moumoute, pardon le complément capillaire aussi... C'est toujours un peu dur de voir des superstars comme Gibson cachetonner dans des séries B (au mieux on dira) des gars comme Cage ou Willis se sont déjà recyclés dans le série B (on dira pour être gentil 2ème édition) depuis tellement de temps...

[Pale]

[Kit]

bon anniversaire à
Dominique Labourier (actr.)
André Wilms (act., metteur en scène)
Phillip Noyce (réal. austr., Calme blanc, Danger immédiat)
Zouc (humor. suisse)
Jerry Seinfeld (humor. act., Seinfeld)
Kate Mulgrew (actr., Madame Columbo, Star Trek: Voyager)
Daniel Day-Lewis
Michelle Pfeiffer
Paul Adelstein (act., Prison Break, Private Practice)
Philippe Ermenault (champ. monde cyclisme piste)
Andre Agassi (tennis)
Uma Thurman

Darby Stanfield (actr., NCIS, Mad Men, Castle, Scandal, Locke and Key, etc...) perso je l'ai adorée en ex de Castle

Anne-Sophie Lapix (journ. tv)
Anggun (chant.)
Adrien Antoine (act., vx fr. de Chris Hemsworth, Sam Worthington, Ashton Kutcher, Adrien Brody, Zachary Quinto et Brandon Routh, de Batman (animation DC Comics), Archer (animation))
Megan Boone (actr., Blacklist)
Sam Jones III (act., Smallville)

une pensée pour
Duke Ellington (jazz )
Tino Rossi
Fred Zinnemann (réal., Le train sifflera trois fois, Tant qu'il y aura des hommes)
Tom Ewell (act., 7 ans de réflexion))
Celeste Holm (actr.)
Gérard Oury (réal., La Grande vadrouille )
Toots Thielemans (jazz )
Irvin Kershner (réal., L'Empire contre-attaque)
Zizi Jeanmaire (dans., chant., actr.)
Jean Rochefort
Otis Rush (blues)

ainsi que pour les disparus un 29 avril
Leroy Carr (blues)
J.B. Lenoir (blues)
Anthony Mann (réal., Winchester '73, Les Affameurs, Je suis un aventurier, etc...)
Alfred Hitchcock
Raymond Bussières (act.)
Michael Gordon (réal.)
Mario David (act.)
Georges Aminel (act. , sacrée carrière doublage https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Aminel )
Éric Charden (chant. )
Roland Moreno (inv. de la carte à puce)
Joel Goldsmith (comp.)
Jacqueline Porel (actr.)

[Pale]

Joel Goldsmith

J'apprends son "existence", c'était le fils de Jerry Goldsmith.

Joel est décédé très jeune quand même.

[Pale]

La première partie est hilarante. Malheureusement lorsque le personnage sombre dans une folie meurtrière, j'ai trouvé ça extrêmement douteux et de mauvais gout, même sous couvert d'humour noir.

[Gku]

Apparemment les affaires vont (enfin) reprendre

La date a été officialisée par Emmanuel Macron dans son interview à la presse régionale.


C’est désormais officiel : les salles de cinéma pourront reprendre leurs activités à compter du mercredi 19 mai, en même temps que les commerces non essentiels et les terrasses des bars et restaurants, sous réserve, toujours, de l’évolution de la situation sanitaire. Cette réouverture à l’échelle nationale de l’ensemble des salles s’accompagnera d’un couvre-feu repoussé à 21 heures, et qui devrait passer à 23h le 9 juin pour être totalement levé à partir du 30 juin. Reste à savoir si, sous le régime de couvre-feu, le ticket de cinéma pourra servir de justificatif à une sortie passée l’heure autorisée.

Les réouvertures pourraient toutefois être adaptées dans les départements où le taux d’incidence serait durablement supérieur à 400 cas pour 100 000 habitants, a précisé le chef de l’État. Huit départements sont pour l’heure dans cette situation : les Bouches-du-Rhône, l’Oise, Paris, la Seine-et-Marne, l’Essonne, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne et le Val-d’Oise.

Si aucune précision supplémentaire n’a été donnée en matière de nouvelles mesures sanitaires pour les cinémas, le plan de reprise d’activité prévoit une limitation à 800 personnes des rassemblements en intérieur. Selon les modalités auparavant évoquées par les professionnels, la hausse progressive des capacités d’accueil des salles devrait suivre les différentes dates du calendrier qui vient d’être révélé, la limitation de 35 % étant rehaussé à 65 % à partir du 9 juin avant de retrouver la pleine jauge le 30 juin.

Les professionnels ont donc trois petites semaines pour se mettre en ordre de marche, avec le traumatisme de la mi-décembre sans doute encore en tête. La priorité sera bien sûr de connaître l’offre de films. Actuellement, les distributeurs discutent toujours autour du fameux calendrier concerté, dont les aboutissants sont attendus très rapidement. Une recommandation de la Médiatrice du Cinéma doit également être publiée dans les prochains jours, à l’instar de celles présentées en juin et décembre derniers.


https://www.boxofficepro.fr/les-cinemas ... le-19-mai/

[ClintReborn]

Apparemment les affaires vont (enfin) reprendre

La date a été officialisée par Emmanuel Macron dans son interview à la presse régionale.


C’est désormais officiel : les salles de cinéma pourront reprendre leurs activités à compter du mercredi 19 mai, en même temps que les commerces non essentiels et les terrasses des bars et restaurants, sous réserve, toujours, de l’évolution de la situation sanitaire. Cette réouverture à l’échelle nationale de l’ensemble des salles s’accompagnera d’un couvre-feu repoussé à 21 heures, et qui devrait passer à 23h le 9 juin pour être totalement levé à partir du 30 juin. Reste à savoir si, sous le régime de couvre-feu, le ticket de cinéma pourra servir de justificatif à une sortie passée l’heure autorisée.

Les réouvertures pourraient toutefois être adaptées dans les départements où le taux d’incidence serait durablement supérieur à 400 cas pour 100 000 habitants, a précisé le chef de l’État. Huit départements sont pour l’heure dans cette situation : les Bouches-du-Rhône, l’Oise, Paris, la Seine-et-Marne, l’Essonne, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne et le Val-d’Oise.

Si aucune précision supplémentaire n’a été donnée en matière de nouvelles mesures sanitaires pour les cinémas, le plan de reprise d’activité prévoit une limitation à 800 personnes des rassemblements en intérieur. Selon les modalités auparavant évoquées par les professionnels, la hausse progressive des capacités d’accueil des salles devrait suivre les différentes dates du calendrier qui vient d’être révélé, la limitation de 35 % étant rehaussé à 65 % à partir du 9 juin avant de retrouver la pleine jauge le 30 juin.

Les professionnels ont donc trois petites semaines pour se mettre en ordre de marche, avec le traumatisme de la mi-décembre sans doute encore en tête. La priorité sera bien sûr de connaître l’offre de films. Actuellement, les distributeurs discutent toujours autour du fameux calendrier concerté, dont les aboutissants sont attendus très rapidement. Une recommandation de la Médiatrice du Cinéma doit également être publiée dans les prochains jours, à l’instar de celles présentées en juin et décembre derniers.


https://www.boxofficepro.fr/les-cinemas ... le-19-mai/

Grande méfiance avec les effets d'annonce; le gouvernement est aux abois la déclaration télévisuelle s'est vite transformée en déclaration a la presse tellement la situation est sous réserve et la peur d'induire les Français en erreur est trop grande... Si il y a une hypothétique réouverture (la mi mai s'est déjà transformée en 19 Mai) elle pourrait bien être très temporaire au point ou nous ne verrions même pas l'été 2021 avant le quatrième reconfinement...

[Pale]

Apparemment les affaires vont (enfin) reprendre

Je me demande bien à quoi va ressembler la programmation.

[Pale]

[Pale]

Trailer d'une nouvelle série Netflix produite par Robert Downey Jr. :

[Pale]

[Pale]

Premières images pour Demonic de Neill Blomkamp :

[Gku]

Apparemment les affaires vont (enfin) reprendre

Je me demande bien à quoi va ressembler la programmation.

Un gros bordel

Après, vu les jauges, ça devrait être reprises de certains titres de l'automne dernier, et petites nouveautés ; mais vu le nombre en attente ça va être compliqué pour certains films.

[Pale]

J'avais vu le premier Insidous à l'époque et je découvre cette suite tardivement. Je me souvenais de la fin du premier épisode. Bref, cette suite est bien foutue. On retrouve la maitrise de James Wan pour instaurer de beaux moments de peur et pour sa manière d'exploiter à merveille les décors. J'ai beaucoup aimé la manière dont le film monte en puissance. La première partie est assez classique dans le genre mais au fur et à mesure le scénario devient de mieux en mieux ficelé et plein de détails prennent leur sens à la fin.

[ClintReborn]

Les Cinémas vont diffuser des films rentables et attendus surtout; beaucoup de productions passeront a la trappe ou auront une exploitation tellement courte qu'il est préférable pour eux qu'ils tentent une première vie à la télévision ou sur une plateforme

[robinne]

Premières images pour Demonic de Neill Blomkamp :

C'est Jessica Lange ?

[Pale]

C'est Jessica Lange ?

Je ne sais pas exactement de qui il s'agit mais ce n'est pas Jessica car elle n'est pas créditée.

Il doit s'agir de Nathalie Boltt (me demande pas c'est qui Je me réfère au casting ici : https://www.imdb.com/title/tt13392012/f ... t_ov_st_sm)

[robinne]

C'est Jessica Lange ?

Je ne sais pas exactement de qui il s'agit mais ce n'est pas Jessica car elle n'est pas créditée.

Il doit s'agir de Nathalie Boltt (me demande pas c'est qui Je me réfère au casting ici : https://www.imdb.com/title/tt13392012/f ... t_ov_st_sm)

On aurait pu y croire, non ?

[Pale]

On aurait pu y croire, non ?

J'avoue oui

[Kit]

30 avril bon anniversaire à
Willie Nelson (mus. country)
Perry King (act., série Riptide)
Jacques Audiard
Jane Campion
Nicolas Hulot

Lars von Trier

Charles Berling
Kirsten Dunst
Gal Gadot
Diana Agron (actr., Numéro Quatre)

une pensée pour
Percy Heath (jazz, The Modern Jazz Quartet
Corinne Calvet (actr., Je suis un aventurier )
Cloris Leachman (actr., La Dernière Séance) décédée en janvier, aurait eu 85 ans
Jill Clayburgh (actr.)

ainsi que pour les disparus un 30 avril
Inger Stevens (actr., Pendez-les haut et cour)
Agnes Moorehead (Endora dans la série Ma Sorcière bien-aimée)
Muddy Waters (blues)
David Opatoshu (act., Exodus)
Teddy Bilis (act. fr.)
Grégory Lemarchal (chant.)
Tom Poston (act.)
Gordon Scott (act. peplums)
André Valardy (act., humor. belge)
Ben E. King(chant.)
Patachou (chant.)
Anémone (actr., Le grand chemin)

[NaughtyDog]

que ça fait plaisir un film d'action d'aussi bonne tenue !

Déjà je vais commencer par mon grief : pas mal d'éléments du roman originel ont été expurgés (en particulier tout ce qui concerne la vendetta personnelle de John Kelly dans un premier temps, avant qu'il ne reprenne du service).
Cet aspect vigilante manque un tantinet, et il y avait largement moyen de proposer 20 bonnes minutes en plus (le film fait 1h40 montre en main) histoire d'aller plus loin.

Pour le reste, on a là un film sans temps mort, d'excellente tenue, et malgré un scénario qui prend des directives connus (Jason Bourne est passé par là en ce qui concerne les conspirations gouvernementales), Without Remorse jouit d'une fabrication exemplaire, d'un vrai traitement de personnages et d'un Michael B Jordan en badass absolu.

C'est simple, ce dernier n'a même plus à prouver son talent, il irradie l'écran de son charisme, son intensité de jeu et sa physicalité (il fait lui-même toutes ses cascades). L'autre gros point fort est évidemment la mise en scène de Stefano Sollima, qui a déjà prouvé à la TV et au cinéma qu'il est dans son élément : tension dramatique ou fusillades musclées, l'italien a un vrai savoir-faire et parvient à considérablement réhausser chaque scène d'un script qui aurait vraiment pu finir dans la série B.
On retiendra par ailleurs une chouette baston en prison, une impressionnante séquence de crash d'avion en haute mer, et un final sous forme d'exfiltration plutôt bien huilé.

Cela se traduit évidemment par la volonté de mettre en avant le dramatique et les personnages au premier plan, pour donner bien plus de poids à l'action.
La BO de Jonsi se veut également bien efficace (assez Zimmer-like), proposant quelques envolées émotionnelles pas piquées des ânetons.

Niveau cast secondaire c'est du bon, notamment Jodie Turner-Smith, très crédible en lieutenant et leader de l'équipe, sans jamais être sexualisée ou reléguée au second plan. Guy Pearce ou Jamie Bell sont de bons ajouts, bien qu'utilisés un peu trop chichement.

Au final, un film réussi donc, sans bout de gras, qui tease même une suite Rainbow Six dans la séquence post-générique !

7 ou 7.5/10

[Kit]

que ça fait plaisir un film d'action d'aussi bonne tenue !

Déjà je vais commencer par mon grief : pas mal d'éléments du roman originel ont été expurgés (en particulier tout ce qui concerne la vendetta personnelle de John Kelly dans un premier temps, avant qu'il ne reprenne du service).
Cet aspect vigilante manque un tantinet, et il y avait largement moyen de proposer 20 bonnes minutes en plus (le film fait 1h40 montre en main) histoire d'aller plus loin.

des fois il faudrait éviter de lire le bouquin d'ailleurs pour ça que je n'ai pas pu apprécier La mort dans la peau et ses suite avec Matt Damon parce que j'avais lu la trilogie de Ludlum (un de mes auteurs préférés avec Clancy pour ce genre de littérature)

[Wickaël]

à toutes et à tous.

Ce week-end j'ai prévu de voir Les Mitchell contre les Machines (que Ecranlarge a beaucoup aimé) et l'Ultimate Cut de Watchmen (3h30)

[Kit]

à toutes et à tous.

Ce week-end j'ai prévu de voir Les Mitchell contre les Machines (que Ecranlarge a beaucoup aimé) et l'Ultimate Cut de Watchmen (3h30)

bon John Wick-end

[Pale]

à toutes et à tous.

Ce week-end j'ai prévu de voir Les Mitchell contre les Machines (que Ecranlarge a beaucoup aimé) et l'Ultimate Cut de Watchmen (3h30)

La critique de EL (4 étoiles) :



Avec la crise sanitaire, certains studios se voient contraints de revendre leurs films à des plateformes de streaming. Si on comprend bien évidemment la démarche, on sait à quel point Netflix peut facilement bazarder une œuvre prometteuse dans la fosse aux lions sans trop chercher à la mettre en avant. Du coup, pour le dire de but en blanc, il serait criminel de passer à côté des Mitchell contre les machines, le dernier film d’animation de Sony, directement hérité des prouesses de Spider-Man : New Generation.

RoboTop

Du sympathique Tempête de boulettes géantes à La Grande Aventure LEGO et son brio insoupçonné, le cinéma de Phil Lord et Chris Miller s'impose comme un déchaînement geek revigorant. Il porte en son sein un véritable amour de la créativité, mis en avant par des personnages touchants et une animation pensée comme portail démocratique pour les crossovers les plus improbables. Depuis, le duo s'affirme en tant que producteurs essentiels d'un renouveau de l’animation, avec pour étendard le chef-d'œuvre pop-art Spider-Man : New Generation.

Maintenant que Sony s’est libéré du joug de l'ultra-réalisme qui gangrène et normalise l’animation, on ne peut qu’être heureux de voir le studio prolonger sa démarche avec Les Mitchell contre les machines (anciennement connu sous le titre Déconnectés). Il s’agit même d’un sacré pas en avant qui s’émancipe du carcan des propriétés intellectuelles définies pour s’attarder sur le récit étonnamment prégnant et banal d’une famille dysfonctionnelle.

Pour son premier long-métrage, le réalisateur Michael Rianda (surtout connu pour son travail sur Souvenirs de Gravity Falls) a non seulement la bonne idée de se baser sur sa propre expérience d’enfant et de père, mais croque surtout avec justesse un amour inconditionnel menacé par l’incompréhension de l’autre. Le character design de sa troupe de misfits, sublimé par un cel-shading (ombrage du celluloïd en français) du plus bel effet, n’est en cela que le premier coup de génie d’une œuvre "bigger than life", et pourtant si profondément humaine.

Alors qu’elle prépare son départ pour une fac de cinéma, la jeune Katie (Abbi Jacobson en VO) se voit embarquée dans un road trip familial indésiré, du moins jusqu'à ce qu’un soulèvement des machines oblige la bande à se souder pour sauver le monde. De ce pitch volontairement simpliste et enfantin, le long-métrage tisse pourtant un choc esthétique on ne peut plus logique.

Grâce à son héroïne, et sa passion pour la création de films suédés sur Internet, Les Mitchell contre les machines arbore avec ferveur une culture du mashup, et s’approprie le langage des mèmes et de YouTube pour en tirer une grammaire comique revigorante. Dès son introduction joyeusement chaotique, des effets de superposition d’images, des incrustations d’éléments 2D et des freeze-frame viennent imposer un tempo gaguesque imparable.

Sillicon Valley de la mort

À vrai dire, le métrage parvient avec un talent tout particulier à jouer sur ses ruptures de ton, notamment au travers de raccords brutaux, qui atteignent leur apogée lors d’une vidéo de présentation du plan des robots absolument parfaite. À partir de cette note d’intention formelle, le film s'emballe, et se lance dans une course effrénée vers l’absurde le plus total, ornant chaque minute une nouvelle idée improbable.

Dès lors, ce jusqu'au-boutisme permet aisément au long-métrage de transcender ses passages obligés. Tandis que la mascotte du film, le chien Mochi, est bien mieux implémentée qu’à l’accoutumée, Michael Rianda et ses équipes créent un ping-pong verbal et situationnel permanent avec toutes leurs cartes en main, qu’il s’agisse de deux robots défectueux (les sidekicks de la narration), ou de la méchante intelligence artificielle coincée dans un téléphone portable, et génialement doublée par Olivia Colman.

L’air de rien, cette pétaradante folie brouillonne ne pouvait pas mieux rendre justice à la bizarrerie de sa famille, entre un père quelque peu passéiste, une mère exprimant maladroitement son amour, et un fils timide obsédé par les dinosaures. Derrière sa dimension a priori caricaturale, le film se montre bien plus insidieux et parvient à chaque instant à creuser ses personnages, à refléter leurs doutes et les souvenirs qui semblent leur échapper. Au-delà d’être un merveilleux récit sur la parenté et l’adolescence, Les Mitchell contre les machines touche du doigt une mélancolie insoupçonnée, notamment contenue dans une simple sculpture en bois, qui porte en elle une révélation dévastatrice.

Et c’est peut-être là que réside la véritable réussite de la nouvelle production de Sony Animation. Alors qu’on baisse volontiers notre garde devant son énergie désopilante, le film de Michael Rianda en profite pour nous balancer un uppercut dans la mâchoire, qui nous laisse à peine le temps de comprendre pourquoi nos yeux se sont humidifiés.

Si le studio avait jusque-là peiné à s’imposer face à la concurrence, il semble qu’elle a su trouver sa propre identité en combinant le meilleur des deux mondes : l’humour délirant de Dreamworks (mais bien mieux dosé) et le génie mélodramatique des plus grands Pixar. C'est bien simple, au-delà d’imposer Sony dans la cour des grands, Les Mitchell contre les machines s’affirme avant tout comme une merveilleuse déclaration d’amour à un septième art fou et varié, symbolisé par sa touchante héroïne.

Les Mitchell contre les machines est disponible sur Netflix depuis le 30 avril 2021 en France

Si l'on est déjà bien content d’avoir pu découvrir Les Mitchell contre les machines sur Netflix, il faudrait clairement un grand écran pour rendre justice à ce film d’animation hilarant, inventif et bouleversant.

https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1619773872

Un autre avis positif (3,5 étoiles) :

"Malgré une direction artistique parfois un peu légère et quelques développements un peu lourdingues, le film emporte tout sur son passage grâce à une vélocité qui en décuple l'humour comme l'émotion."

[Pale]

EL a également apprécié Dans les angles morts (3,5 étoiles). Comme ils avertissent que ça spoile un peu, je poste juste la conclusion :



En refusant de s'adonner à l'horreur frontale, le film en dévoile une autre bien plus subtile, à la fois tristement triviale et quasi métaphysique, qui se cache, bien sûr, dans les angles morts.

https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1619688228

[Pale]

EL a aimé Sans aucun remords (3,5 étoiles) :



Dix ans après la mort de Tom Clancy, l’œuvre de l’écrivain demeure une des plus solides ambassadrices du récit commando-biscottos. Si on ne compte plus les jeux vidéo et blockbusters accompagnés de son nom, Sans aucun remords n’avait encore jamais eu les honneurs du cinéma, malgré de nombreuses tentatives, ayant successivement intéressé John Milius et Christopher McQuarrie. C'est sous la houlette de Stefano Sollima que nous parvient le film, un temps destiné au cinéma par Paramount, avant que le studio ne le cède à Amazon suite à l’actuelle crise sanitaire.

SON MYTHE ET SON COUTEAU

Le scénario de Will Staples, réécrit par Taylor Sheridan, n’entretient que de vagues liens avec l’intrigue originelle imaginée par Clancy, se contentant de reprendre les grandes lignes de la destinée de John Kelly, soldat d’élite un peu soupe au lait, sitôt que des malandrins s’évertuent à transformer les membres de sa famille en pinata pour kalachnikov. Au programme, un récit de vengeance balisé, où les arcanes de Washington et les forces spéciales russes ont remplacé les dealers de Baltimore et le viet-cong.

Rien d’original ni de surprenant donc. Il en va de même pour la caractérisation des personnages, peu nombreux et bien campés, mais excessivement programmatiques. Après une dizaine de minutes, chacun aura bien compris qui fait figure de traitre, d’agent trouble pas si méchant, de fidèle guerrier ou de vilain traitre visqueux.

Difficile donc de s’immerger totalement dans cette trame, qui ne feint même pas de chercher à surprendre. Néanmoins, on sent la patte de Sheridan, également scénariste de Sicario, Comancheria ou encore la série Yellowstone, tant il ramène toujours chaque situation à son point de tension, éclaircit les enjeux, et dégraisse la narration pour en préserver l’impact, un minimum syndical au vu de la résolution de l’ensemble, bien trop sage et convenue.

DU HARD ET DU COCHON

Et l’impact, c’est justement la spécialité de Stefano Sollima, qui s’évertue à nous infliger de réguliers coups de boule avec sa caméra. Réalisateur de A.C.A.B (All Cops are bastards), Suburra, ou encore la série ZeroZeroZero, il a prouvé avec Sicario : La Guerre des cartels qu’il était suffisamment maître de son art pour transcender un récit imaginé par un enfant en pleine overdose de carambars.

Et il se livre à un nouveau sauvetage de haut vol, tant son découpage et son art consommé de la dramatisation propulsent les nombreuses séquences d’action dans la stratosphère. Mais aussi les séquences faussement anodines, telles cette confrontation silencieuse entre deux maîtres d'armes, s'observant alors qu'entre eux, une lampe torche abandonnée transforme un instant suspendu en inexorable montée d'adrénaline.

Pourtant, sur le papier, le film s’inscrivant dans la traînée de John Wick et sa recette du Droopy-ne-rate-jamais-sa-cible, il prenait le risque de perdre en retentissement, le spectacle d’une machine à tuer inoxydable en guise de héros n’étant pas toujours synonyme d’identification, de suspense, ou d’investissement du spectateur quand vient l’heure de transformer les hordes du FSB en confettis à la viande.

C’est sans compter sur le sens de l’espace de Sollima, ou le soin maniaque qu’il met dans l’accompagnement de chaque geste ou la chorégraphie du moindre shrapnel propulsé par une détonation, qui transforme un amerrissage en leçon de claustrophobie, et une fusillade mouchetée en orgie de cordite suffocante.

Parce qu’il ne tourne jamais autour du pot et passe en surmultipliée, y compris lors des dialogues secs qui parsèment le récit, il renforce l’illusion d’une narration presque exclusivement constituée de morceaux de bravoure à la brutalité grisante, aux ravages étourdissants, quoique chirurgicaux. C’est bien à sa mise en scène aussi animale que racée que les comédiens doivent d’habiter leur rôle avec tant d’évidence, à l’image de Michael B. Jordan, jamais meilleur que quand il imite le silex furibard.

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Qu'importe la banalité du scénario, le réalisateur Stefano Sollima n'a pas son pareil pour transformer un récit convenu en épreuve de force aussi intense que spectaculaire.

https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1619780881

[Wickaël]

bon John Wick-end

Pas mal du tout

[Pale]