Le bar à series
J'avoue que j'avais un doute sur la java bleue, enfin peu importe, ça m'avait marqué, c'est juste que je ne savais plus ou la situer
- ConFucKamus
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Commencé The Bear.
J'en suis à 4 épisodes et c'est plutôt bien.
J'aime beaucoup la mise en scène, très proche de ce qu'un Danny Boyle propose : quelque chose de punchy et de mouvementé.
30 min par épisode, et les 4 passent tout seuls.
On rentre dedans à vitesse grand V, et tout de suite l'attachement à Jeremy Allen White (Carmen), puis Ayo Edebiri (Sidney).
Pour les autres, ça se construit au fur et à mesure.
Ebon Moss-Bachrach est le chien fou, il fait ça très bien. À l'extrême opposé, Lionel Boyce est un nounours.
J'en suis à 4 épisodes et c'est plutôt bien.
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30 min par épisode, et les 4 passent tout seuls.
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Pour les autres, ça se construit au fur et à mesure.
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"Bloodshot est la meilleure chose qui soit arrivée au cinéma en 2020 " - ©MisterM
Un évènement va avoir lieu début 2023 à la télé française...Amour gloire et beauté va passer de France 2 à TF1 après + de 30 ans passée sur le service public
Un Village Français - Saison 7
Effectivement on a 2 moitiés de saison très différentes. J'ai beaucoup aimé la 1ere, très juste dans les émotions, avec des flashbacks qui s'intègrent très bien à l'histoire. Ils ont même réussis à me faire avoir de la peine pour Marchetti, alors que c'était loin d'être gagné.
J'ai eu plus de mal avec la 2eme partie. Dans l'absolu je n'ai pas de problème avec les flash forward (même si je trouve les maquillages rarement réussis), mais là ils cassent vraiment le rythme et prennent trop de place par rapport à l'époque initiale. Et tout est globalement hyper déprimant, je ne demandais pas un happy end généralisé, mais un peu de mesure aurait été bienvenu, là tout le monde m'a semblé misérable même 30 ans après. La fin de l'histoire de Schwartz est bizarre aussi, comme s'ils n'avaient pas eu le temps de filmer la fin. Y'a quand même de bonnes choses comme la partie à l'hôpital, bien horrible, mais à choisir j'aurais préféré que la série se termine sur le 7x06.
Je pense tout l'inverse
La P1 est l'un des segments avec lequel j'ai eu le + de mal dans UVF alors que je trouve la P2 très solide. Les sauts dans le temps auraient pu être casse gueule mais je trouve ça plutôt bien fait (c'est peut-être pas la partie la + subtile de la série c'est possible). J'étais content de voir ce que les personnages devenaient et dans l'ensemble, ça marche plutôt bien pour moi. Je n'ai aucun souvenir concernant raymond mais j'aime la fin de daniel, marchetti et lucienne/bériot
et sur l'ensemble de la série, je la trouve cohérente et bien ficelée...
La P1 est l'un des segments avec lequel j'ai eu le + de mal dans UVF alors que je trouve la P2 très solide. Les sauts dans le temps auraient pu être casse gueule mais je trouve ça plutôt bien fait (c'est peut-être pas la partie la + subtile de la série c'est possible). J'étais content de voir ce que les personnages devenaient et dans l'ensemble, ça marche plutôt bien pour moi. Je n'ai aucun souvenir concernant raymond mais j'aime la fin de daniel, marchetti et lucienne/bériot
et sur l'ensemble de la série, je la trouve cohérente et bien ficelée...
- Tamponn Destartinn
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Team max sur ce coup : je préfère largement la partie 2 de la saison 7
La partie 1 ne m'a pas laissé un souvenir impérissable.
La partie 2 en revanche, quelle baffe ! Rien qu'en terme de mise en scène, ce qui n'a jamais été le fort de la série, je trouve qu'il y a un gap étonnant, ça m'a paru très inspiré. Je trouve que y a plein d'idées incroyables, aussi. Par exemple, le destin des deux personnages juifs rescapés, qui se retrouvent dans une guerre en Israël, c'est assez couillu et malin. Et je trouve la toute fin très belle.
Bon, par contre, je confirme que l'intrigue de Raymond c'est n'importe quoi.
La partie 1 ne m'a pas laissé un souvenir impérissable.
La partie 2 en revanche, quelle baffe ! Rien qu'en terme de mise en scène, ce qui n'a jamais été le fort de la série, je trouve qu'il y a un gap étonnant, ça m'a paru très inspiré. Je trouve que y a plein d'idées incroyables, aussi. Par exemple, le destin des deux personnages juifs rescapés, qui se retrouvent dans une guerre en Israël, c'est assez couillu et malin. Et je trouve la toute fin très belle.
Bon, par contre, je confirme que l'intrigue de Raymond c'est n'importe quoi.
- lockeledisparu
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Le site Américain Tvline l'a mis n1 des saisons diffusés en 2022. J'aimerai bien la testerConFucKamus a écrit : ↑mar. 13 déc. 2022 10:57Commencé The Bear.
J'en suis à 4 épisodes et c'est plutôt bien.
J'aime beaucoup la mise en scène, très proche de ce qu'un Danny Boyle propose : quelque chose de punchy et de mouvementé.
30 min par épisode, et les 4 passent tout seuls.
On rentre dedans à vitesse grand V, et tout de suite l'attachement à Jeremy Allen White (Carmen), puis Ayo Edebiri (Sidney).
Pour les autres, ça se construit au fur et à mesure.
Ebon Moss-Bachrach est le chien fou, il fait ça très bien. À l'extrême opposé, Lionel Boyce est un nounours.
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J'en suis à 6 épisodes; Je finirai ce week end.lockeledisparu a écrit : ↑jeu. 15 déc. 2022 15:28Le site Américain Tvline l'a mis n1 des saisons diffusés en 2022. J'aimerai bien la testerConFucKamus a écrit : ↑mar. 13 déc. 2022 10:57Commencé The Bear.
J'en suis à 4 épisodes et c'est plutôt bien.
J'aime beaucoup la mise en scène, très proche de ce qu'un Danny Boyle propose : quelque chose de punchy et de mouvementé.
30 min par épisode, et les 4 passent tout seuls.
On rentre dedans à vitesse grand V, et tout de suite l'attachement à Jeremy Allen White (Carmen), puis Ayo Edebiri (Sidney).
Pour les autres, ça se construit au fur et à mesure.
Ebon Moss-Bachrach est le chien fou, il fait ça très bien. À l'extrême opposé, Lionel Boyce est un nounours.
n°1 ? Non. Severance, Better Call Saul et Andor m'ont plus emballé.
Là, je perçois déjà quelques petits problèmes. Mais c'est tout de même bon, voire très bon.
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- lockeledisparu
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Better Call Saul 2ème
Andor 3ème
Severance 6ème
Andor 3ème
Severance 6ème
maxwell39 a écrit : ↑mer. 14 déc. 2022 23:17Je pense tout l'inverse
La P1 est l'un des segments avec lequel j'ai eu le + de mal dans UVF alors que je trouve la P2 très solide. Les sauts dans le temps auraient pu être casse gueule mais je trouve ça plutôt bien fait (c'est peut-être pas la partie la + subtile de la série c'est possible). J'étais content de voir ce que les personnages devenaient et dans l'ensemble, ça marche plutôt bien pour moi. Je n'ai aucun souvenir concernant raymond mais j'aime la fin de daniel, marchetti et lucienne/bériot
et sur l'ensemble de la série, je la trouve cohérente et bien ficelée...
Je savais qu'on ne serait pas d'accordTamponn Destartinn a écrit : ↑jeu. 15 déc. 2022 14:31Team max sur ce coup : je préfère largement la partie 2 de la saison 7
La partie 1 ne m'a pas laissé un souvenir impérissable.
La partie 2 en revanche, quelle baffe ! Rien qu'en terme de mise en scène, ce qui n'a jamais été le fort de la série, je trouve qu'il y a un gap étonnant, ça m'a paru très inspiré. Je trouve que y a plein d'idées incroyables, aussi. Par exemple, le destin des deux personnages juifs rescapés, qui se retrouvent dans une guerre en Israël, c'est assez couillu et malin. Et je trouve la toute fin très belle.
Bon, par contre, je confirme que l'intrigue de Raymond c'est n'importe quoi.
Pas accroché aux sauts dans le temps, probablement pas aidée par les persos choisis (Lucienne surtout, mais aussi une légère overdose d'Hortense). Et j'ai surtout eu l'impression que les persos étaient exactement au même endroit qu'en 45, du coup quel intérêt ? La toute fin est plutôt bien réussie, mais je trouve qu'avant ça il y a pas mal de longueurs (faut dire que les épisodes fleurtent avec les 60 min). Et c'est un détail mais la réutilisation des persos était un peu tirée par les cheveux (la femme qui témoigne au procès au sujet des listes de prisonnier à fusiller qui se retrouve à travailler à la scierie, la femme juive qui prévient Hortense de la mort de Sarah qui se retrouve en Israël avec Rita...)
Par contre Marchetti c'était dans la 1ère partie (difficile de faire un flash forward )
Mais dans l'ensemble ça reste une très bonne série, inégale mais avec des moments forts et un sujet passionnants. Et très bien interprétée dans l'ensemble.
De toute façon, j'étais pas, inquiet pour ton avis global sur Un village français, tu t'es fait les 72 épisodes en moins d'un mois...c'est bien que tu devais y trouver quelque chose de pas trop désagréable
J'ai vu les 2 émissions des 15 ans de N'oubliez pas les paroles diffusées hier jeudi. En P1, Magali vs Fabien, un match que j'attendais depuis longtemps (avec une finale d'anthologie ), et en P2, Jeff Panacloc vs Vincent Dedienne, j'aime bien les 2 (et en + ils chantent bien). J'ai passé un excellent moment devant ces 2 émissions
En tout cas, 15 ans, c'est monstrueux comme longévité. Pour ma part, ça fait 8 ans que je regarde NOPLP, pareil, c'est rare que je me lasse pas d'une émissions après tout ce temps. Faut dire que le changement de concept, le feuilleton des maestros, la mise en avant des musiciens (dont le nombre a doublé), des ambianceurs, la diversités des chansons (qu'il n'y avait pas au début), bref, une jolie évolution pour l'émission
En tout cas, 15 ans, c'est monstrueux comme longévité. Pour ma part, ça fait 8 ans que je regarde NOPLP, pareil, c'est rare que je me lasse pas d'une émissions après tout ce temps. Faut dire que le changement de concept, le feuilleton des maestros, la mise en avant des musiciens (dont le nombre a doublé), des ambianceurs, la diversités des chansons (qu'il n'y avait pas au début), bref, une jolie évolution pour l'émission
A la Maison Blanche - Saison 1
It is not because you are, I love you because I do (Renaud / "It is not because you are").
Je savais que je n'étais pas Nelson Monfort mais le fait que je viens tout juste de comprendre la signification du titre original d'A la Maison Blanche (The West Wing) me fait penser que l'anglais n'est pas plus mon fort (encore lui) que Renaud dans cette chanson
J'avoue être assez ambivalent concernant The West Wing. D'un côté, elle me fait beaucoup penser à Urgences. L'intelligence de la série qui retranscrit avec brio les maux de son époque, son rythme effréné, la qualité de son casting, franchement, j'ai pas grand chose à redire.
D'un autre côté, la différence est que pour l'instant je n'ai pas eu le même coup coeur que pour la drama médical (même si j'aimerai l'avoir). C'est d'autant plus dommage qu'avec les qualités que j'ai cité tantôt, elle pourrait être bien + haut dans mon estime. Mais voilà, par moment, il m'arrive de m'ennuyer, ce que j'ai du mal à m'expliquer.
Série trop dense ? Trop verbeuse ? Des sujets/situations politiques trop américaines qui ne me parlent pas ? That is the question
En tout cas, si y'a une chose que je retiens de cette première saison, ce sont les personnages. Ils sont presque tous bien caractérisés et intéressants. J'apprécie quasi tous les principaux mais je crois que c'est mon chouchou est le président Bartlet. Faut dire que son apparition tel un ouragan (coucou Stéphanie) à la fin du pilot a de quoi marquer le téléspectateur et de l'identifier direct
Sinon, y'a quelques chose que j'aime dans ces anciennes séries, c'est guetter les acteurs connus dans des rôles pour lesquels vous les avez connus ultérieurement (et dont vous vous rendez compte qu'ils ont eu une carrière avant ). Ici, on retrouve Rob Lowe et Allison Janney pour les principaux, Jorja Fox et Robert David Hall (Les Experts), CCH Pounder, Elisabeth Moss et Kathryn Joosten (Desperate Housewives) pour les secondaires.
Bref, A la Maison Blanche est très bien fichue sans aucun doute mais je ne suis pas encore rentré totalement dedans. Peut-être en saison 2.
Notes : entre 13.5 et 15
Moyenne : 14.20/20
Synopsis : Cette série met en scène la vie quotidienne d'un Président démocrate des États-Unis et de son équipe de collaborateurs, installés dans l'aile Ouest (The West Wing) de la Maison-Blanche.
It is not because you are, I love you because I do (Renaud / "It is not because you are").
Je savais que je n'étais pas Nelson Monfort mais le fait que je viens tout juste de comprendre la signification du titre original d'A la Maison Blanche (The West Wing) me fait penser que l'anglais n'est pas plus mon fort (encore lui) que Renaud dans cette chanson
J'avoue être assez ambivalent concernant The West Wing. D'un côté, elle me fait beaucoup penser à Urgences. L'intelligence de la série qui retranscrit avec brio les maux de son époque, son rythme effréné, la qualité de son casting, franchement, j'ai pas grand chose à redire.
D'un autre côté, la différence est que pour l'instant je n'ai pas eu le même coup coeur que pour la drama médical (même si j'aimerai l'avoir). C'est d'autant plus dommage qu'avec les qualités que j'ai cité tantôt, elle pourrait être bien + haut dans mon estime. Mais voilà, par moment, il m'arrive de m'ennuyer, ce que j'ai du mal à m'expliquer.
Série trop dense ? Trop verbeuse ? Des sujets/situations politiques trop américaines qui ne me parlent pas ? That is the question
En tout cas, si y'a une chose que je retiens de cette première saison, ce sont les personnages. Ils sont presque tous bien caractérisés et intéressants. J'apprécie quasi tous les principaux mais je crois que c'est mon chouchou est le président Bartlet. Faut dire que son apparition tel un ouragan (coucou Stéphanie) à la fin du pilot a de quoi marquer le téléspectateur et de l'identifier direct
Sinon, y'a quelques chose que j'aime dans ces anciennes séries, c'est guetter les acteurs connus dans des rôles pour lesquels vous les avez connus ultérieurement (et dont vous vous rendez compte qu'ils ont eu une carrière avant ). Ici, on retrouve Rob Lowe et Allison Janney pour les principaux, Jorja Fox et Robert David Hall (Les Experts), CCH Pounder, Elisabeth Moss et Kathryn Joosten (Desperate Housewives) pour les secondaires.
Bref, A la Maison Blanche est très bien fichue sans aucun doute mais je ne suis pas encore rentré totalement dedans. Peut-être en saison 2.
Notes : entre 13.5 et 15
Moyenne : 14.20/20
Synopsis : Cette série met en scène la vie quotidienne d'un Président démocrate des États-Unis et de son équipe de collaborateurs, installés dans l'aile Ouest (The West Wing) de la Maison-Blanche.
Oh mais j'ai vu juste la fin de la 2è émission, j'avais pas vu que c'était Magali vs Fabien dans la 1è!! Je vais regarder le replaymaxwell39 a écrit : ↑ven. 16 déc. 2022 11:08J'ai vu les 2 émissions des 15 ans de N'oubliez pas les paroles diffusées hier jeudi. En P1, Magali vs Fabien, un match que j'attendais depuis longtemps (avec une finale d'anthologie ), et en P2, Jeff Panacloc vs Vincent Dedienne, j'aime bien les 2 (et en + ils chantent bien). J'ai passé un excellent moment devant ces 2 émissions
En tout cas, 15 ans, c'est monstrueux comme longévité. Pour ma part, ça fait 8 ans que je regarde NOPLP, pareil, c'est rare que je me lasse pas d'une émissions après tout ce temps. Faut dire que le changement de concept, le feuilleton des maestros, la mise en avant des musiciens (dont le nombre a doublé), des ambianceurs, la diversités des chansons (qu'il n'y avait pas au début), bref, une jolie évolution pour l'émission
Pouet
C'est une de mes séries préférées donc je ne vais pas être objective. J'ai trouvé la série hyper efficace dès le début, mais effectivement faut pas être allergique à la politique américaine et aux persos qui parlent beaucoup et très vite
Concernant ta comparaison avec Urgences, c'est d'ailleurs le showrunner d'Urgences qui prend le relais à partir de la saison 5 je crois.
Et oui il y a pas mal de têtes connues au fil des épisodes, c'est toujours sympa
J'crois pas être allergique aux propos politiques (j'ai bien adoré Borgen alors qu'il explore le système politique danois que je maitrise pas sur le bout des doigts ) mais je crois que c'est le fait que c'est jumelé au rythme et au débit de paroles des personnages qu'il ne m'a pas aidé à rentrer dedans direct. Y'a pas à dire, c'est très dense comme série (et sans doute pas accessible facilement à un public français...je comprends mieux la diffusion de France 2 à 1h du matin
maintenant, je sais ce que veut dire POTUS
à tout moment, je pensais qu'ils allaient sortir la boule noire...bravo tu as deviné la vraie raison de ma déception concernant la série...
je pensais que t'allais enchainer avec la suite d'un village français, la saison ou Villeneuve est envahie par le Luxembourg, une uchronie passionnante
et pourtant, quel commerce est le + présent au luxembourg ? les banques
- lockeledisparu
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House of Dragon Saison 1
Pas aussi emballé que l'ensemble des critiques. J'ai beaucoup aimé le début de saison, moins après l'ellipse. Mettre des ados au premier plan n'a jamais été ma tasse de thé . Tout comme, il est dommage de ne pas avoir recasté Matt Smith, bien que j'en comprend les raisons.
Par contre, rien à redire sur l'efficacité du final qui est quasiment un sans faute.
Note saison : 7/10
Pas aussi emballé que l'ensemble des critiques. J'ai beaucoup aimé le début de saison, moins après l'ellipse. Mettre des ados au premier plan n'a jamais été ma tasse de thé . Tout comme, il est dommage de ne pas avoir recasté Matt Smith, bien que j'en comprend les raisons.
Par contre, rien à redire sur l'efficacité du final qui est quasiment un sans faute.
Note saison : 7/10
des ados, même au second plan, c'est rarement gagnant
sinon, malgré cette quasi unanimité, sans surprise, je passe mon tour pour house of dragon
sinon, malgré cette quasi unanimité, sans surprise, je passe mon tour pour house of dragon
- ConFucKamus
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Bon, avec un peu de retard j'ai enfin regardé l'épisode 7 de The Bear.
On en a un peu parlé parce qu'il comporte un plan-séquence.
Alors certes c'est nerveux et très fluide. Par contre, c'est peut-être l'épisode le plus bizarre pour le moment. Et le moins réussi.
D'un coup, il y a une cassure sur plusieurs points et personnellement, ça m'a pas mal perturbé.
Bref, très étrange.
On en a un peu parlé parce qu'il comporte un plan-séquence.
Alors certes c'est nerveux et très fluide. Par contre, c'est peut-être l'épisode le plus bizarre pour le moment. Et le moins réussi.
D'un coup, il y a une cassure sur plusieurs points et personnellement, ça m'a pas mal perturbé.
Bref, très étrange.
"Bloodshot est la meilleure chose qui soit arrivée au cinéma en 2020 " - ©MisterM
His Dark Material - Saison 3
C'est pas mauvais mais cette dernière saison ne m'a pas passionnée. Le fait de déjà connaitre la fin n'aide pas, mais même sans ça, quand je m'endors presque systématiquement devant les épisodes sur tout le début de saison ça n'est pas bon signe.Deux enfants se lancent dans une aventure magique à travers des univers parallèles.
Litvinenko - Mini-série
C'était pas mal, rien de révolutionnaire mais les acteurs sont bons et ça se regarde sans trop de problème, d'autant que cela ne dure que 4 épisodes. Le dernier sur le procès était un peu moins prenant, mais rien de grave.L'histoire des agents de Scotland Yard déterminés à prouver qui était responsable de la mort d'Alexandre Litvinenko, un ancien agent des services secrets russes empoisonné au polonium 210.
Modifié en dernier par 4meli le ven. 23 déc. 2022 18:22, modifié 1 fois.
c'est bon t'as tout dit, enfants, magique et univers parallèles, le combo parfait pour que je regarde jamaisDeux enfants se lancent dans une aventure magique à travers des univers parallèles.
là c'est mieuxL'histoire des agents de Scotland Yard déterminés à prouver qui était responsable de la mort d'Alexandre Litvinenko, un ancien agent des services secrets russes empoisonné au polonium 210.
I Hate Suzie - Saison 2
C'est un peu bizarre et légèrement hystérique par moment, mais j'ai bien aimé, le perso alterne entre touchant et détestable, sa vie est un gros bordel et et ça part totalement en vrille à la fin.Suzie Pickles voit sa vie bouleversée lorsque son téléphone est piraté et compromet les photos de sa surface en ligne ; elle a du mal à garder le cap avec l'aide de sa meilleure amie et manager Naomi.
Papa Noël a été généreux avec vous cette année encore ? Pour ma part, il a bien reçu ma commande sérielle (qui était très limitée cette année)...juste la saison 1 des Experts
Cela dit, à part de rares séries qui ne sortent pas en dvd (et ce qui n'arrivera jamais), je crois avoir tout ce qui me plait. Bon dans quelques années, une intégrales de The Good Fight est à prévoir mais j'ai largement le temps
Cela dit, à part de rares séries qui ne sortent pas en dvd (et ce qui n'arrivera jamais), je crois avoir tout ce qui me plait. Bon dans quelques années, une intégrales de The Good Fight est à prévoir mais j'ai largement le temps
Dolly Parton's heartstrings - Saison 1
Ne (Dolly) partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine tu sais (Raphaël / "Ne partons pas fâchés").
Une série Netflix ? J'en reviens pas moi même, ça fait 3 ans que je n'ai rien vu qui provenait de la plateforme...et sans surprise c'est pas ouf (c'est gratuit je sais)
Bon, j'm'attendais pas à un truc de dingue et au final, j'ai trouvé dans la série exactement ce que je venais y chercher, une sorte de conte de Noël (je trouve ça + vendeur que téléfilm de Noël ).
Dolly Parton's heartstrings (qu'on doit pouvoir traduire par le coeur du string de Dolly Parton ) est une anthologie tout ce qu'il y a de + simple. Des petites histoires d'hommes et de femmes à qui il arrive des choses (+ ou - graves) mais pour lesquels ça se termine toujours bien. Le genre qui fonctionne bien durant les fêtes de fin d'années.
Comme toutes séries avec des épisodes indépendants, y'a à boire et à manger. Ici, les époques sont différentes, les sujets assez variés (même si l'amour au sens large est quelque chose qui revient), y'en a que vous trouverez cool et d'autres qui vous parleront moins. Cela dit, j'ai détesté aucun opus.
Les intrigues étant ce qu'elles sont, l'intérêt principal du drama me concernant a été la découverte de chansons de Dolly Parton (dont je ne connaissais que 4-5 morceaux avant). Ca et le cast. En effet, on retrouve pas mal de têtes et de noms connus. J'étais ravi de retrouver Dallas Roberts, Kimberly Williams-Paisley, Sarah Shahi, Camryn Manheim, Patricia Wettig et Ginnifer Goodwin. Colin O'Donoghue, Brooke Eliott et Melissa Leo sont également au casting. Tout comme Dolly Parton elle-même, qui, en + d'être l'hôtesse du show (ou elle nous explique l'intrigue et pourquoi elle a écrit une chanson sur ce thème) joue dans les 2 premiers épisodes. C'est d'ailleurs ce deuxième opus qui est mon préféré (le seul qui tire vraiment sur la comédie)
Bref, Dolly Parton's heartstrings est-elle une grande série ? La réponse est non. Mérite t'elle qu'on s'y attarde ? Uniquement si on accepte le postulat de base. C'est un conte de Noël avec tous les défauts que ça peut comporter. C'est mignon mais faut rien en attendre de +. Disons que ça se regarde.
Notes ; entre 12 et 14.5
Moyenne : 12.94/20
Synopsis : Huit chansons. Huit histoires. Dolly Parton’s Heartstrings est une série d'anthologie qui revient sur les plus grands succès de la chanteuse country et évoque ses sources d'inspiration à travers des anecdotes et des souvenirs.
Ne (Dolly) partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine tu sais (Raphaël / "Ne partons pas fâchés").
Une série Netflix ? J'en reviens pas moi même, ça fait 3 ans que je n'ai rien vu qui provenait de la plateforme...et sans surprise c'est pas ouf (c'est gratuit je sais)
Bon, j'm'attendais pas à un truc de dingue et au final, j'ai trouvé dans la série exactement ce que je venais y chercher, une sorte de conte de Noël (je trouve ça + vendeur que téléfilm de Noël ).
Dolly Parton's heartstrings (qu'on doit pouvoir traduire par le coeur du string de Dolly Parton ) est une anthologie tout ce qu'il y a de + simple. Des petites histoires d'hommes et de femmes à qui il arrive des choses (+ ou - graves) mais pour lesquels ça se termine toujours bien. Le genre qui fonctionne bien durant les fêtes de fin d'années.
Comme toutes séries avec des épisodes indépendants, y'a à boire et à manger. Ici, les époques sont différentes, les sujets assez variés (même si l'amour au sens large est quelque chose qui revient), y'en a que vous trouverez cool et d'autres qui vous parleront moins. Cela dit, j'ai détesté aucun opus.
Les intrigues étant ce qu'elles sont, l'intérêt principal du drama me concernant a été la découverte de chansons de Dolly Parton (dont je ne connaissais que 4-5 morceaux avant). Ca et le cast. En effet, on retrouve pas mal de têtes et de noms connus. J'étais ravi de retrouver Dallas Roberts, Kimberly Williams-Paisley, Sarah Shahi, Camryn Manheim, Patricia Wettig et Ginnifer Goodwin. Colin O'Donoghue, Brooke Eliott et Melissa Leo sont également au casting. Tout comme Dolly Parton elle-même, qui, en + d'être l'hôtesse du show (ou elle nous explique l'intrigue et pourquoi elle a écrit une chanson sur ce thème) joue dans les 2 premiers épisodes. C'est d'ailleurs ce deuxième opus qui est mon préféré (le seul qui tire vraiment sur la comédie)
Bref, Dolly Parton's heartstrings est-elle une grande série ? La réponse est non. Mérite t'elle qu'on s'y attarde ? Uniquement si on accepte le postulat de base. C'est un conte de Noël avec tous les défauts que ça peut comporter. C'est mignon mais faut rien en attendre de +. Disons que ça se regarde.
Notes ; entre 12 et 14.5
Moyenne : 12.94/20
Synopsis : Huit chansons. Huit histoires. Dolly Parton’s Heartstrings est une série d'anthologie qui revient sur les plus grands succès de la chanteuse country et évoque ses sources d'inspiration à travers des anecdotes et des souvenirs.
c'est pas trop ma cam non plus mais je trouve que ça passe mieux avec cette série (il arrive quand même de grosses galères aux personnages, des trucs très durs), après je comprends que ça ne convienne pas à tout le monde.
De toute façon, tu rates pas grand chose
De toute façon, tu rates pas grand chose
Fleishman Is In Trouble - Mini-Série
C'était sympa, y'a un léger changement de direction en 2ème partie de saison auquel je ne m'attendais pas trop, mais ça fonctionne bien. Faut pas être allergique aux voix off par contre. Mais le cast est très sympathique, même les 2 gamins sont bien, et ça se regarde facilement.Toby Fleishman, un divorcé de 41 ans, s'inscrit sur des applications de rencontre. Alors qu'il doit tout concilier dans sa vie, son ex-femme, Rachel, disparaît, le laissant avec les enfants sans savoir où elle est ni si elle compte revenir.
Tiens, ça m'intéresse, ce sera peut-être ma première série de Hulu
Perso, ces sous plateformes, je vais les ranger dans celle de la plateforme mère, comme Star sur disney+...quand j'ai démarré mes tableux y'a 10 ans, je pensais qu'il deviendrait aussi compliquer de ranger des séries
A la Maison Blanche - Saison 2
Born in the U.S.A., born in the U.S.A. (Bruce Springsteen / "Born in the U.S.A.").
De part son sujet, The West Wing fait très américaine forcément. Cela dit, je ressens beaucoup moins ce côté patriotique dans le drama d'Aaron Sorkin que dans d'autres séries. Y'a peu de côté donneur de leçons et pas ce repli sur soi concernant les sujets sociétaux...oui ils sont démocrates l'honneur est sauf
J'ai peu de choses nouvelles à dire depuis la saison 1. Ca parle toujours beaucoup, c'est hyper rythmé et bien fichu. Après, je ne sais pas si c'est moi qui me suis habitué aux personnages et aux sujets (parfois ardus) mais j'ai légèrement préféré cette salve d'épisodes à la précédente. Je me suis même pris à aimer le générique c'est dire (alors que j'avais du mal jusqu'ici)
J'ai envie de mettre l'accent sur les acteurs qu'on a connu + tard...mais dont on se rend compte qu'ils ont eu une carrière bien avant
Lors de ces 22 opus, j'ai remarqué Rocky Carroll (NCIS), Oliver Platt (The Big C, Chicago Med) l'avocat de la Maison Blanche et puis surtout Emily Procter.
En + d'avoir un personnage plutôt intéressant, l'interprète d'Ainsley Hayes m'a fait une agréable impression. J'en étais d'autant + surpris qu'en 10 saisons d'Experts Miami, à aucun moment je soupçonnais une telle capacité de jeu chez l'actrice (à croire que les personnages de CSI Miami n'offrent pas grand chose à jouer aux comédiens)
En tout cas, elle doit être ravi de ce rôle secondaire puisque c'est sans doute grâce à ce dernier qu'elle s'est faite remarquer et qu'elle a pu enchainer la saison suivante pour 10 ans d'aventures floridiennes
Bref, pas grand chose à dire de +. The West Wing reste cool et de bonne facture même si je ne suis pas aussi emballé que j'aimerais l'être.
Notes : entre 13.5 et 15
Moyenne : 14.32/20 (+0.12 sur un an)
Synopsis : Cette série met en scène la vie quotidienne d'un Président démocrate des États-Unis et de son équipe de collaborateurs, installés dans l'aile Ouest (The West Wing) de la Maison-Blanche.
Born in the U.S.A., born in the U.S.A. (Bruce Springsteen / "Born in the U.S.A.").
De part son sujet, The West Wing fait très américaine forcément. Cela dit, je ressens beaucoup moins ce côté patriotique dans le drama d'Aaron Sorkin que dans d'autres séries. Y'a peu de côté donneur de leçons et pas ce repli sur soi concernant les sujets sociétaux...oui ils sont démocrates l'honneur est sauf
J'ai peu de choses nouvelles à dire depuis la saison 1. Ca parle toujours beaucoup, c'est hyper rythmé et bien fichu. Après, je ne sais pas si c'est moi qui me suis habitué aux personnages et aux sujets (parfois ardus) mais j'ai légèrement préféré cette salve d'épisodes à la précédente. Je me suis même pris à aimer le générique c'est dire (alors que j'avais du mal jusqu'ici)
J'ai envie de mettre l'accent sur les acteurs qu'on a connu + tard...mais dont on se rend compte qu'ils ont eu une carrière bien avant
Lors de ces 22 opus, j'ai remarqué Rocky Carroll (NCIS), Oliver Platt (The Big C, Chicago Med) l'avocat de la Maison Blanche et puis surtout Emily Procter.
En + d'avoir un personnage plutôt intéressant, l'interprète d'Ainsley Hayes m'a fait une agréable impression. J'en étais d'autant + surpris qu'en 10 saisons d'Experts Miami, à aucun moment je soupçonnais une telle capacité de jeu chez l'actrice (à croire que les personnages de CSI Miami n'offrent pas grand chose à jouer aux comédiens)
En tout cas, elle doit être ravi de ce rôle secondaire puisque c'est sans doute grâce à ce dernier qu'elle s'est faite remarquer et qu'elle a pu enchainer la saison suivante pour 10 ans d'aventures floridiennes
Bref, pas grand chose à dire de +. The West Wing reste cool et de bonne facture même si je ne suis pas aussi emballé que j'aimerais l'être.
Notes : entre 13.5 et 15
Moyenne : 14.32/20 (+0.12 sur un an)
Synopsis : Cette série met en scène la vie quotidienne d'un Président démocrate des États-Unis et de son équipe de collaborateurs, installés dans l'aile Ouest (The West Wing) de la Maison-Blanche.
Slow Horses - Saison 2
C'est dans la continuité de la saison précédente, une bonne série policière anglaise qui ne se prend pas trop au sérieux, même s'ils n'hésitent pas à tuer un perso récurent. Pour des espions au rabais ils ne s'en sortent globalement pas si mal face à cette affaire renvoyant à la guerre froide. Gary Oldman est toujours excellent, et le reste du cast est à la hauteur. C'est déjà renouvelé pour une saison 3, y'a même déjà une bande annonce. Si ça pouvait être comme ça pour toutes les séries...
Je ne sais pas si tu as choisi la chanson pour cette raison mais "Born In The USA" n'est pas patriotique non plusmaxwell39 a écrit : ↑sam. 31 déc. 2022 07:15A la Maison Blanche - Saison 2
Born in the U.S.A., born in the U.S.A. (Bruce Springsteen / "Born in the U.S.A.").
De part son sujet, The West Wing fait très américaine forcément. Cela dit, je ressens beaucoup moins ce côté patriotique dans le drama d'Aaron Sorkin que dans d'autres séries. Y'a peu de côté donneur de leçons et pas ce repli sur soi concernant les sujets sociétaux...oui ils sont démocrates l'honneur est sauf
j'avoue ne pas DU TOUT connaitre l'histoire (ni le sens vu que je ne parle pas anglais sauf le titre que je comprends) de cette chanson (mais bon, je voulais un titre qui m'aiderait à parler du côté très américain de la série)
- ConFucKamus
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Sûrement avec quelques années de retard, je commence Parks and Recreation
Pas la peine de lancer les recherches ADN ou de fureter sur Wikipedia, c'est évidemment la petite sœur de The Office, peut-être un poil plus déjantée.
Première saison de chauffe, mais Amy Poehler s'ajoute à la liste des personnages irrésistibles. Gaffeuse, immature et imprenable, elle est formidable. Tout comme Rashida Jones ( ).
Et Nick Offerman ! Pro dans l'humour pince-sans-rire, l'acteur peut ne rien faire, son visage à lui-seul est un effet spécial.
La série aide également à regarder C. Pratt avec plaisir; Je vous cache pas que depuis Jurassic World, c'était devenu compliqué.
Il devra peut-être faire le point après le dernier Gardiens de la Galaxie, histoire de recharger les batteries
Pas la peine de lancer les recherches ADN ou de fureter sur Wikipedia, c'est évidemment la petite sœur de The Office, peut-être un poil plus déjantée.
Première saison de chauffe, mais Amy Poehler s'ajoute à la liste des personnages irrésistibles. Gaffeuse, immature et imprenable, elle est formidable. Tout comme Rashida Jones ( ).
Et Nick Offerman ! Pro dans l'humour pince-sans-rire, l'acteur peut ne rien faire, son visage à lui-seul est un effet spécial.
La série aide également à regarder C. Pratt avec plaisir; Je vous cache pas que depuis Jurassic World, c'était devenu compliqué.
Il devra peut-être faire le point après le dernier Gardiens de la Galaxie, histoire de recharger les batteries
"Bloodshot est la meilleure chose qui soit arrivée au cinéma en 2020 " - ©MisterM
C'était pas nécessaire, Parks & Rec n'est pas drôle...même si j'ai bien conscience d'être en total décalage avec les téléspectateurs de la série (même si ils sont rares)
- Tamponn Destartinn
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Bonne année !!
(et Parks and rec est très drôle, non mais oh)
(et Parks and rec est très drôle, non mais oh)