Top des Films sortis en 2022
1. Vitalina Varela – Pedro Costa
2. Licorice Pizza – Paul Thomas Anderson
Bon, pour ma part on peut directement passer à 2023.
2. Licorice Pizza – Paul Thomas Anderson
Bon, pour ma part on peut directement passer à 2023.
« j’aurais voulu t’offrir cent mille cigarettes blondes, douze robes des grands couturiers, l’appartement de la rue de Seine, une automobile, la petite maison de la forêt de Compiègne, celle de Belle-Isle et un petit bouquet à quatre sous »
1. La Légende du Roi Crabe – Re Granchio – Alessio Rigo de Righi et Matteo Zoppis
2. Red Rocket – Sean Baker
3. Licorice Pizza – Paul Thomas Anderson
4. L'Histoire de ma femme – A feleségem története – Ildikó Enyedi
5. Rien à foutre – Emmanuel Marre
6. Hit the Road – Jadde khaki – Panah Panahi
7. Les Poings desserrés – Razzhimaja kulaki – Kira Kovalenko
8. Ali & Ava – Clio Barnard
9. Piccolo Corpo – Laura Samani
En attente :
1. Mektoub My Love : Intermezzo – Abdellatif Kechiche
2. Întregalde – Radu Muntean
3. In Front of Your Face – Hong Sang-soo
4. Futura – Pietro Marcello, Francesco Munzi et Alice Rohrwacher
5. Evolution – Kornél Mundruczó
6. Marx peut attendre – Marx può aspettare – Marco Bellocchio
7. The Year of the Everlasting Storm – Anthony Chen, David Lowery, Jafar Panahi, Laura Poitras, Dominga Sotomayor, Malik Vitthal, Apichatpong Weerasethakul
8. Vortex – Gaspar Noé
2. Red Rocket – Sean Baker
3. Licorice Pizza – Paul Thomas Anderson
4. L'Histoire de ma femme – A feleségem története – Ildikó Enyedi
5. Rien à foutre – Emmanuel Marre
6. Hit the Road – Jadde khaki – Panah Panahi
7. Les Poings desserrés – Razzhimaja kulaki – Kira Kovalenko
8. Ali & Ava – Clio Barnard
9. Piccolo Corpo – Laura Samani
En attente :
1. Mektoub My Love : Intermezzo – Abdellatif Kechiche
2. Întregalde – Radu Muntean
3. In Front of Your Face – Hong Sang-soo
4. Futura – Pietro Marcello, Francesco Munzi et Alice Rohrwacher
5. Evolution – Kornél Mundruczó
6. Marx peut attendre – Marx può aspettare – Marco Bellocchio
7. The Year of the Everlasting Storm – Anthony Chen, David Lowery, Jafar Panahi, Laura Poitras, Dominga Sotomayor, Malik Vitthal, Apichatpong Weerasethakul
8. Vortex – Gaspar Noé
- groil_groil
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topic déjà créé par Teklow
I like your hair.
tu l'as vu quand le PTA ?
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
Jean-Marie Straub
wesh j'ai dégainé le premier !
« j’aurais voulu t’offrir cent mille cigarettes blondes, douze robes des grands couturiers, l’appartement de la rue de Seine, une automobile, la petite maison de la forêt de Compiègne, celle de Belle-Isle et un petit bouquet à quatre sous »
hier le jour de sa sortie
c'est hilarant et magnifique fonce, ça va te plaire
(groil aussi je pense)
« j’aurais voulu t’offrir cent mille cigarettes blondes, douze robes des grands couturiers, l’appartement de la rue de Seine, une automobile, la petite maison de la forêt de Compiègne, celle de Belle-Isle et un petit bouquet à quatre sous »
- groil_groil
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1. Licorice Pizza – Paul Thomas Anderson
I like your hair.
Tu n'aimes pas Phantom Thread ?groil_groil a écrit : ↑jeu. 6 janv. 2022 18:53yes je veux le voir, je suis sur que c'est son premier vrai bon film
- groil_groil
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c'est pas mal...Tyra a écrit : ↑ven. 7 janv. 2022 16:16Tu n'aimes pas Phantom Thread ?groil_groil a écrit : ↑jeu. 6 janv. 2022 18:53yes je veux le voir, je suis sur que c'est son premier vrai bon film
I like your hair.
Je pensais que le Alice Diop était sorti l'année dernière !
1. Vitalina Varela – Pedro Costa
2. Licorice Pizza – Paul Thomas Anderson
3. Nous – Alice Diop
1. Vitalina Varela – Pedro Costa
2. Licorice Pizza – Paul Thomas Anderson
3. Nous – Alice Diop
« j’aurais voulu t’offrir cent mille cigarettes blondes, douze robes des grands couturiers, l’appartement de la rue de Seine, une automobile, la petite maison de la forêt de Compiègne, celle de Belle-Isle et un petit bouquet à quatre sous »
Je les reverrais bien un jour :
-
Une fois ça suffit :
1. Licorice Pizza (Paul Thomas Anderson, USA) 9.0 - Vous avez aimé 2021 ? Vous aller adorer 2022
Donc, l'année commence très bien. Avec le meilleur film d'un cinéaste qui avait fait, à mon avis, avec un des pires comédie romantique de l'histoire du cinéma : Punch Drunk Love.
C'est un film sur la naissance d'un autre (d'un nouveau ?) monde, celui post-'70 (ce n'est pas un hasard que le film se place au milieux de ces années) : on connait déjà ma conviction selon laquelle, les années 70 étaient une période charnière dans l’histoire de l'humanité, autant à l'Est qu'à l'Ouest, autant dans les pays du 'tiers-monde' que du 'premier' et 'second' monde. Même la différence d'age des deux héros principaux fait référence à ça (lui, c'est le monde qui arrive (1975- 2020), elle, le monde qu'on laisse derrière (1945-1975).
Je sais, on peut me prendre pour un illuminé mais, à mon avis, la crise épidémique des années '20 de notre siècle représente le même basculement que celui du milieu des années '70 : un autre (nouveau ?) monde est en train de naitre. Pour le meilleur ou pour le pire, je n'en sais rien mais les meilleurs films de 2021 commencent déjà à sentir ce changement .
De toute façon, PTA, 50 ans après les années '70, à l'age de 50 ans, nous le montre bien (puisqu'il a fait un film qui parle de ça). Et il nous dit : les changements c'est toujours pour le meilleur et pour le pire (sans doute, cette dialectique interne du film constitue une de ses forces majeures).
Je n'aurais pas dû aller les voir :
-
-
Une fois ça suffit :
1. Licorice Pizza (Paul Thomas Anderson, USA) 9.0 - Vous avez aimé 2021 ? Vous aller adorer 2022
Donc, l'année commence très bien. Avec le meilleur film d'un cinéaste qui avait fait, à mon avis, avec un des pires comédie romantique de l'histoire du cinéma : Punch Drunk Love.
C'est un film sur la naissance d'un autre (d'un nouveau ?) monde, celui post-'70 (ce n'est pas un hasard que le film se place au milieux de ces années) : on connait déjà ma conviction selon laquelle, les années 70 étaient une période charnière dans l’histoire de l'humanité, autant à l'Est qu'à l'Ouest, autant dans les pays du 'tiers-monde' que du 'premier' et 'second' monde. Même la différence d'age des deux héros principaux fait référence à ça (lui, c'est le monde qui arrive (1975- 2020), elle, le monde qu'on laisse derrière (1945-1975).
Je sais, on peut me prendre pour un illuminé mais, à mon avis, la crise épidémique des années '20 de notre siècle représente le même basculement que celui du milieu des années '70 : un autre (nouveau ?) monde est en train de naitre. Pour le meilleur ou pour le pire, je n'en sais rien mais les meilleurs films de 2021 commencent déjà à sentir ce changement .
De toute façon, PTA, 50 ans après les années '70, à l'age de 50 ans, nous le montre bien (puisqu'il a fait un film qui parle de ça). Et il nous dit : les changements c'est toujours pour le meilleur et pour le pire (sans doute, cette dialectique interne du film constitue une de ses forces majeures).
Je n'aurais pas dû aller les voir :
-
Modifié en dernier par sokol le lun. 10 janv. 2022 14:14, modifié 1 fois.
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
Jean-Marie Straub
Magnifique !! Et très juste ce que tu dis, c'est une des raisons majeures pour lesquelles j'adore le film, mais il faut que je trouve le temps d'écrire un truc dessus.sokol a écrit : ↑lun. 10 janv. 2022 09:58Je les reverrais bien un jour :
-
Une fois ça suffit :
1. Licorice Pizza (Paul Thomas Anderson, USA) 9.0 - Vous avez aimé 2021 ? Vous aller adorer 2022
Donc, l'année commence très bien. Avec le meilleur film d'un cinéaste qui avait fait, à mon avis, avec un des pires comédie romantique de l'histoire du cinéma : Punch Drunk Love.
C'est un film sur la naissance d'un autre (d'un nouveau ?) monde, celui post-'70 (ce n'est pas un hasard que le film se place au milieux de ces années) : on connait déjà ma conviction selon laquelle, les années 70 étaient une période charnière pour l’histoire de l'humanité, autant à l'Est qu'à l'Ouest, autant dans les pays du 'tiers-monde' que du 'premier' et 'second' monde. Même la différence d'age des deux héros principaux fait référence à ça (lui, c'est le monde qui arrive (1975- 2020), elle, le monde qu'on laisse derrière (1945-1975).
Je sais, on peut me prendre pour un illuminé mais, à mon avis, la crise épidémique des années '20 de notre siècle représente le même basculement que celui du milieu des années '70 : un autre (nouveau ?) monde est en train de naitre. Pour le meilleur ou pour le pire, je n'en sais rien mais les meilleurs films de 2021 commencent déjà à sentir ce changement .
De toute façon, PTA, 50 ans après les années '70, à l'age de 50 ans, nous le montre bien (puisqu'il a fait un film qui parle de ça). Et il nous dit : les changements c'est toujours pour le meilleur et pour le pire (sans doute, cette dialectique interne du film constitue une de ses forces majeures).
Je n'aurais pas dû aller les voir :
-
Perso je l'aurai mis dans la catégorie du dessus : je t'assure, je l'ai déjà vu trois fois, ça se revoit très très bien !
« j’aurais voulu t’offrir cent mille cigarettes blondes, douze robes des grands couturiers, l’appartement de la rue de Seine, une automobile, la petite maison de la forêt de Compiègne, celle de Belle-Isle et un petit bouquet à quatre sous »
Ça, c'est tout sauf un problème : ça se règle au cours de l'année.
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
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1. Licorice Pizza – Paul Thomas Anderson
2. La Légende du Roi Crabe – Re Granchio – Alessio Rigo de Righi et Matteo Zoppis
3. Red Rocket – Sean Baker
4. Mes frères et moi – Yohan Manca
5. L'Histoire de ma femme – A feleségem története – Ildikó Enyedi
6. Rien à foutre – Emmanuel Marre
7. Hit the Road – Jadde khaki – Panah Panahi
8. Les Poings desserrés – Razzhimaja kulaki – Kira Kovalenko
9. Ali & Ava – Clio Barnard
10. Piccolo Corpo – Laura Samani
2. La Légende du Roi Crabe – Re Granchio – Alessio Rigo de Righi et Matteo Zoppis
3. Red Rocket – Sean Baker
4. Mes frères et moi – Yohan Manca
5. L'Histoire de ma femme – A feleségem története – Ildikó Enyedi
6. Rien à foutre – Emmanuel Marre
7. Hit the Road – Jadde khaki – Panah Panahi
8. Les Poings desserrés – Razzhimaja kulaki – Kira Kovalenko
9. Ali & Ava – Clio Barnard
10. Piccolo Corpo – Laura Samani
ah, le film de Schanelec a eu une sortie nationale (je crois que les Cahiers en avait parlé du film il y a quelques mois, mais juste après, si ma mémoire est bonne, les cinémas ont été fermé).
Bon, tu ne l'as pas aimé...
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Jean-Marie Straub
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Mais pourquoi tu t'isoles ?? à 500 mille cas positifs par jour, les tests n'ont plus de sens (à quoi bon se faire tester, sauf si t'as 80 ans, 4 maladies et pas vacciné) : fous un masque sur la gueule et trace au ciné (ça y est, les espagnols vont considérer la pandémie comme une grippe : [url]https://www.ladepeche.fr/amp/2022/01/11 ... 81Ea8cMkLY] et ils ont bien raisons !!).
Cela me fait penser à une histoire dans les Balkans : après que ces pays obtiennent l'indépendance vis à vis de l'Empire Ottoman, ils se sont tous mis à parler de libération après 5 siècle d'occupation (effectivement, l'empire ottoman a duré du XV jusqu'à la fin du XIX). Mais comment peut-on parler d’occupation quand ça dure 5 siècles ?? Bon, une occupation peut durer 50 ans, d'accord. 100 ans... allez, pourquoi pas. Mais 500 ans d'occupation ??? On peut parler de cohabitation (de coexistence), ok, mais d'occupation ??? Ca n'a pas de sens.
C'est pareil avec les tests et l’épidémie ( coexister avec le virus, ok, cohabiter avec ok, mais : s'isoler du virus ?? à quoi bon dans une telle situation ??)
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
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- groil_groil
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Mais enfin Sokol, en plus d'être totalement irresponsable, ta remarque est con car le ciné te demande ton pass sanitaire, qui indique donc que tu es positif au covid et t'empêche d'y rentrersokol a écrit : ↑mer. 12 janv. 2022 15:28Mais pourquoi tu t'isoles ?? à 500 mille cas positifs par jour, les tests n'ont plus de sens (à quoi bon se faire tester, sauf si t'as 80 ans, 4 maladies et pas vacciné) : fous un masque sur la gueule et trace au ciné (ça y est, les espagnols vont considérer la pandémie comme une grippe : [url]https://www.ladepeche.fr/amp/2022/01/11 ... 81Ea8cMkLY] et ils ont bien raisons !!).
Cela me fait penser à une histoire dans les Balkans : après que ces pays obtiennent l'indépendance vis à vis de l'Empire Ottoman, ils se sont tous mis à parler de libération après 5 siècle d'occupation (effectivement, l'empire ottoman a duré du XV jusqu'à la fin du XIX). Mais comment peut-on parler d’occupation quand ça dure 5 siècles ?? Bon, une occupation peut durer 50 ans, d'accord. 100 ans... allez, pourquoi pas. Mais 500 ans d'occupation ??? On peut parler de cohabitation (de coexistence), ok, mais d'occupation ??? Ca n'a pas de sens.
C'est pareil avec les tests et l’épidémie ( coexister avec le virus, ok, cohabiter avec ok, mais : s'isoler du virus ?? à quoi bon dans une telle situation ??)
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Oui, mon passe est inactif jusqu'à mercredi prochain de toute façon, donc pas possible de rentrer dans un cinéma même si je suis négatif et sans symptôme avant cela.
De plus toute la famille est pas mal fiévreuse, y compris mon fils d'un mois qu'on a emmené aux urgences. C'est sans gravité certes, mais si on peut éviter aux autres de choper un virus, COVID ou pas...
De plus toute la famille est pas mal fiévreuse, y compris mon fils d'un mois qu'on a emmené aux urgences. C'est sans gravité certes, mais si on peut éviter aux autres de choper un virus, COVID ou pas...
Excuse, j'ai oublié ça. Mais c'est un lapsus révélateur car, le pass ne sert à rien quand tu as 500 mille infection par jour (donc 3 millions par semaine donc, 10 millions par mois !!).
Si on va par là, ce n'est pas moi l'irresponsable, mais le chef du gouvernement espagnol qui dit (très justement à mon opinion), je le cite : "Plus question donc de continuer à "compter tous les cas" et de "tester au moindre symptôme"
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Jean-Marie Straub
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Je veux bien mais avec 500 mille cas par jour... (1 million, dit le ministre https://www.lindependant.fr/2022/01/12/ ... 41283.php
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- Tamponn Destartinn
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1. Viens je t'emmène - Alain Guiraudie
Ca sort le 2 mars.
J'en parlerais peut-être plus à ce moment là, mais il y a fort moyen qu'il soit dans le top 10 d'ici la fin de l'année. Du Guiraudie pas dans sa forme la plus expérimentale, mais en grande forme quoiqu'il en soit. Ca parle de la France d'aujourd'hui, de terrorisme, des délaissés, avec une Noémie Lvovsky comme on ne l'a jamais vu, très sexualisée, un Jean-Charles Clichet parfait en héros Guiraudien aussi médiocre qu'étonnant et des tonnes de seconds rôles tous parfaitement castés.
Ca sort le 2 mars.
J'en parlerais peut-être plus à ce moment là, mais il y a fort moyen qu'il soit dans le top 10 d'ici la fin de l'année. Du Guiraudie pas dans sa forme la plus expérimentale, mais en grande forme quoiqu'il en soit. Ca parle de la France d'aujourd'hui, de terrorisme, des délaissés, avec une Noémie Lvovsky comme on ne l'a jamais vu, très sexualisée, un Jean-Charles Clichet parfait en héros Guiraudien aussi médiocre qu'étonnant et des tonnes de seconds rôles tous parfaitement castés.
1. Nous - Alice Diop
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- groil_groil
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Tamponn Destartinn a écrit : ↑jeu. 13 janv. 2022 18:46avec une Noémie Lvovsky comme on ne l'a jamais vu, très sexualisée
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2. Twist à Bamako – Robert Guédiguian
2. Twist à Bamako – Robert Guédiguian
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Je devais y aller cette semaine mais 2 covidés dans ma famille ont bouleversé le programme. Je fais tout pour trouver une séance dans la semaine qui débute demain, je les adore ces deux-là.asketoner a écrit : ↑dim. 23 janv. 2022 00:471. Vitalina Varela - Pedro Costa
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6. Little Palestine, journal d'un siège - Abdallah al Khatib
7. Residue - Merawi Gerima
8. J'étais à la maison, mais... - Angela Schanelec
I like your hair.
Je les reverrais bien un jour :
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Une fois ça suffit :
1. Licorice Pizza (Paul Thomas Anderson, USA) 9.0 -.
Je n'aurais pas dû aller les voir :
- Vitalina Varela (Pedro Costa, Portugal) 4.0 - Et le rythme monsieur Costa ?
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Une fois ça suffit :
1. Licorice Pizza (Paul Thomas Anderson, USA) 9.0 -.
Je n'aurais pas dû aller les voir :
- Vitalina Varela (Pedro Costa, Portugal) 4.0 - Et le rythme monsieur Costa ?
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
Jean-Marie Straub
Alors là pour le coup je ne comprends pas !
« j’aurais voulu t’offrir cent mille cigarettes blondes, douze robes des grands couturiers, l’appartement de la rue de Seine, une automobile, la petite maison de la forêt de Compiègne, celle de Belle-Isle et un petit bouquet à quatre sous »
- Tamponn Destartinn
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Je pense que c'est un de ses films les mieux rythmés justement (sinon le plus accompli dans sa narration, sa gestion des espaces et des séquences, le soin apporté aux détails), avec le regard bien plus posé sur chaque action, chaque geste et chaque personnage. Et puis que dire de Vitalina, juste la plus grande femme jamais filmée au cinéma.
- groil_groil
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Tamponn Destartinn a écrit : ↑dim. 23 janv. 2022 23:32
Vu comment ça a l'air chiant comme la mort, je comprends facilement perso
(je vais tenter, je vais tenter... parce que ça a l'air aussi très beau, évidemment)
I like your hair.
Pour moi, rythme veut dire : intensité temporelle dans un plan et à travers les plans. Ça, je ne l'ai pas vu. Puis, à te lire, tu parle d'un autre "rythme", celui de la succession des plans. Pour moi, ce n'est pas ça.Narval a écrit : ↑lun. 24 janv. 2022 00:23
Je pense que c'est un de ses films les mieux rythmés justement (sinon le plus accompli dans sa narration, sa gestion des espaces et des séquences, le soin apporté aux détails), avec le regard bien plus posé sur chaque action, chaque geste et chaque personnage.
Comme quoi ! Non, la plus grande femme jamais filmée au cinéma c'est Vanda, filmée exactement par le même cinéaste.
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
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Bon,
partons du principe Godardien que, le mieux, pour parler d'un film, c'est de parler d'un autre.
Je crois que tu ne l'as pas vu mais prenons l'exemple de "Ham on rye", un très beau récent film. Toute personne qui l'a vu et aimé te dira que, chaque scène de "Ham on rye" est un film en soit et, le tout est un film également. Ce n'est pas le cas dans le dernier Costa. C'est un film de montage, soyons honnête. Ce n'est pas "En avant jeunesse" (d'ailleurs, je dirais : c'est un peu son remake esthétisé).
Faisons simple : son idole (JM Starub) disait très justement que le cinéma ne doit pas être une fin en soit. C'est exactement le contraire que j'ai ressenti en voyant "Vitalina Varela": une fin en soit
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
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ah oui, c'est vraiment très bien !groil_groil a écrit : ↑dim. 23 janv. 2022 17:17Je devais y aller cette semaine mais 2 covidés dans ma famille ont bouleversé le programme. Je fais tout pour trouver une séance dans la semaine qui débute demain, je les adore ces deux-là.
Sur la question du rythme, je suis en partie d'accord avec Sokol, c'est ce que j'essayais d'exprimer avec mon histoire de délitement. Disons que le montage alterné entre Vitalina et Ventura au début est vraiment très artificiel, et franchement le film n'avait pas besoin de ça.Narval a écrit : ↑lun. 24 janv. 2022 00:23Je pense que c'est un de ses films les mieux rythmés justement (sinon le plus accompli dans sa narration, sa gestion des espaces et des séquences, le soin apporté aux détails), avec le regard bien plus posé sur chaque action, chaque geste et chaque personnage. Et puis que dire de Vitalina, juste la plus grande femme jamais filmée au cinéma.
1. Vitalina Varela - Pedro Costa
2. Memory Box - Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
3. Nous - Alice Diop
4. Guanzhou, nouvelle ère - Boris Svartzman
5. Mes Frères et moi - Yohan Manca
6. Little Palestine, journal d'un siège - Abdallah al Khatib
7. Nightmare alley - Guillermo del Toro
8. Residue - Merawi Gerima
9. J'étais à la maison, mais... - Angela Schanelec
2. Memory Box - Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
3. Nous - Alice Diop
4. Guanzhou, nouvelle ère - Boris Svartzman
5. Mes Frères et moi - Yohan Manca
6. Little Palestine, journal d'un siège - Abdallah al Khatib
7. Nightmare alley - Guillermo del Toro
8. Residue - Merawi Gerima
9. J'étais à la maison, mais... - Angela Schanelec
C'est ce qui m'a tué. Et quand ça part mal... perso, j'ai vraiment du mal (j'ai failli partir, je suis honnête), même si je suis resté jusqu'à la fin
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
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Ça aussi : Cavalo Dinheiro (que je n'avais pas adoré) c'était vachement mieux ! Beaucoup beaucoup mieux
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Jean-Marie Straub
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