« Dans les années 1950, une femme au foyer malheureuse membre d'une communauté isolée dans le désert californien voit sa vie être chamboulée, elle découvre une vérité troublante, tandis que son mari aimant cache un sombre secret. »
Première image :
Don't Worry Darling (2022), Olivia Wilde
Posté : jeu. 28 avr. 2022 16:43
par NaughtyDog
Wilde avait fait un 1er gilm sympathique, a voir ce que vaut son alléchant second
Ca m'a intrigué, même si ça sent le quitte ou double.
Je sens venir gros comme une maison la métaphore du patriarcat. En espérant que ça aille un peu plus loin qu'un Midsommar dans le désert.
Ah ben elle est déjà explicite dans le trailer je dirais.
Mais j'espère justement que tout n'est pas suggéré par cette bande-annonce et que ça ira un peu plus loin.
Sinon on dira juste que c'est un énième film post-#metoo.
Sinon on dira juste que c'est un énième film post-#metoo.
C'était le sens de mon précédent commentaire.
Don't Worry Darling (2022), Olivia Wilde
Posté : jeu. 21 juil. 2022 19:10
par PierrotDameron
Don't Worry Darling (2022), Olivia Wilde
Posté : jeu. 18 août 2022 13:10
par PierrotDameron
Don't Worry Darling (2022), Olivia Wilde
Posté : jeu. 18 août 2022 13:14
par robinne
J’ai vu (plutôt entendu) la bande-annonce, et ce n’est pas ce à quoi je m’attendais. Ça m’a fait penser à The Truman Show
On verra bien si mon intuition était bonne
Don't Worry Darling (2022), Olivia Wilde
Posté : jeu. 18 août 2022 14:15
par Redzing
J'ai vu la bande-annonce au ciné avant Nope... avec 4 autres bandes-annonces à thème Halloween.
Sera-ce vraiment un film d'horreur ?
En tout cas, cela permettra peut-être à Chris Pine de retrouver le succès au box office ?
Smile, Esther 2, celui-ci ; et donc un autre ? Vesper ?
Non c'était pas ceux là.
Il y a avait Don't Worry Darling, Halloween Ends, et Prey for The Devil. Je ne me rappelle plus des autres (c'est dire si elles m'ont fait de l'effet ).
Don't Worry Darling (2022), Olivia Wilde
Posté : jeu. 18 août 2022 15:56
par robinne
J'avais eu Halloween Ends aussi. Ainsi que Smile et Esther 2.
Je ne connaissais pas Prey for The Devil.
On sent qu'ils ont catalogué le public de Nope
Don't Worry Darling (2022), Olivia Wilde
Posté : ven. 19 août 2022 10:44
par Next
J'ai eu "Le Bal de l'Enfer" moi. Qui a l'air sacrément mauvais.
Don't Worry Darling (2022), Olivia Wilde
Posté : mar. 6 sept. 2022 18:18
par Tulio
La Warner aurait assez d'argent pour ne sortir que deux films d'ici la fin de l'année, à savoir Black Adam et Don't Worry Darling.
Et comme si ce n'était pas suffisant, il y aurait des tensions entre les membres de l'équipe (principalement entre Olivia Wilde et Florence Pugh) en raison du renvoi de Shia LaBeouf, d'une scène de sexe oral et de la relation entre la réalisatrice et Harry Styles (qui aurait craché sur Chris Pine à la Mostra).
Pour tous ceux qui souhaiteraient connaître l'étendue du drama :
La Warner aurait assez d'argent pour ne sortir que deux films d'ici la fin de l'année, à savoir Black Adam et Don't Worry Darling.
Et comme si ce n'était pas suffisant, il y aurait des tensions entre les membres de l'équipe (principalement entre Olivia Wilde et Florence Pugh) en raison du renvoi de Shia LaBeouf, d'une scène de sexe oral et de la relation entre la réalisatrice et Harry Styles (qui aurait craché sur Chris Pine à la Mostra).
Pour tous ceux qui souhaiteraient connaître l'étendue du drama :
Ca m'a intrigué, même si ça sent le quitte ou double.
Je sens venir gros comme une maison la métaphore du patriarcat
Oui ça a l’air sans intérêt quoi.
A tous !
Don't Worry Darling (2022), Olivia Wilde
Posté : mar. 6 sept. 2022 20:28
par Redzing
La Warner a décidément du bol !
Mais bon, c'est du petit bad buzz, tout le monde aura oublié demain. Et puis un bad buzz de nos jours, c'est toujours mieux que rien pour vendre un film !
Don't Worry Darling (2022), Olivia Wilde
Posté : dim. 9 oct. 2022 14:40
par Tulio
Ma réaction face à ce film :
Je m'attendais au mieux à The Truman Show au féminin, j'ai eu droit à un émule de Matrix, réalisé vingt plus tard et infiniment moins réussi.
Le film tourne autour du pot pendant des plombes et m'a rappelé les pires heures de la carrière de Shyamalan. Le pire étant qu'il n'est pas formellement mauvais mais juste terriblement indigent en termes de scénario, alors que celui-ci se vendait comme de l'horreur "élevée" (épithète pompeux que je récuse). Déjà, la première révélation se voit venir à des kilomètres à la ronde : le fait que les tenants et aboutissants du Victory Project soient si vagues éveille de suite les suspicions quant à l'ancrage du film dans les années 1950, sans compter que The Village est déjà passé par là en 2004.
Puis vient la révélation finale, qui réduit à néant tous les efforts précédemment fournis par le film pour nous investir dans sa dramaturgie, le récit s'arrêtant abruptement alors qu'il aurait gagné à abattre ses cartes plus tôt pour mieux développer son concept par la suite. Ce serait comme si l'action du premier Matrix s'arrêtait après le réveil de Neo dans le monde réel : on ne m'enlèvera pas l'idée qu'il y a quelque chose qui cloche avec ce scénario ! Mention spéciale au cliché du chômeur radicalisé sur Internet, mal rasé et boutonneux, tel qu'on ne l'avait plus vu depuis les années 2000.
Le film contient aussi son lot d'incohérences assez flagrantes, tandis que plusieurs mystères restent sans réponse : pourquoi y a-t-il des tremblements de terre réguliers ? Pourquoi l'avion qui s'écrase dans le désert ? Pourquoi simuler une communauté isolée dans le désert californien plutôt que de directement reproduire les années 1950 ? Pourquoi les hommes meurent dans une simulation conçue spécialement pour eux mais pas les femmes qui s'y trouvent contre leur gré et sans le savoir ? Pourquoi la femme de Frank poignarde ce dernier en disant "À mon tour maintenant" ?
Davantage que la question du féminisme, le film essaie de dénoncer toute théorie réactionnaire, totalitaire et autoritaire mais il le fait de façon si superficielle que l'on a du mal à voir où il veut en venir, à moins d'analyser la moindre de ses scène à travers ce prisme. N'est pas Jordan Peele qui veut !