« Dans les années 1950, une femme au foyer malheureuse membre d'une communauté isolée dans le désert californien voit sa vie être chamboulée, elle découvre une vérité troublante, tandis que son mari aimant cache un sombre secret. »
Première image :
Don't Worry Darling (2022), Olivia Wilde
- PierrotDameron
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Wilde avait fait un 1er gilm sympathique, a voir ce que vaut son alléchant second
En plus Libatique a la photo et Powell a la BO
On avait eu un mini teaser l'an dernier
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Ah ben elle est déjà explicite dans le trailer je dirais.
Mais j'espère justement que tout n'est pas suggéré par cette bande-annonce et que ça ira un peu plus loin.
Sinon on dira juste que c'est un énième film post-#metoo.
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La Warner aurait assez d'argent pour ne sortir que deux films d'ici la fin de l'année, à savoir Black Adam et Don't Worry Darling.
Et comme si ce n'était pas suffisant, il y aurait des tensions entre les membres de l'équipe (principalement entre Olivia Wilde et Florence Pugh) en raison du renvoi de Shia LaBeouf, d'une scène de sexe oral et de la relation entre la réalisatrice et Harry Styles (qui aurait craché sur Chris Pine à la Mostra).
Pour tous ceux qui souhaiteraient connaître l'étendue du drama :
https://www.konbini.com/popculture/bon- ... y-darling/
Et comme si ce n'était pas suffisant, il y aurait des tensions entre les membres de l'équipe (principalement entre Olivia Wilde et Florence Pugh) en raison du renvoi de Shia LaBeouf, d'une scène de sexe oral et de la relation entre la réalisatrice et Harry Styles (qui aurait craché sur Chris Pine à la Mostra).
Pour tous ceux qui souhaiteraient connaître l'étendue du drama :
https://www.konbini.com/popculture/bon- ... y-darling/
Pourront faire un film sur le projet pour se refaire si ça se plante c'est bien. Ou un docu Netflix.Tulio a écrit : ↑mar. 6 sept. 2022 18:18La Warner aurait assez d'argent pour ne sortir que deux films d'ici la fin de l'année, à savoir Black Adam et Don't Worry Darling.
Et comme si ce n'était pas suffisant, il y aurait des tensions entre les membres de l'équipe (principalement entre Olivia Wilde et Florence Pugh) en raison du renvoi de Shia LaBeouf, d'une scène de sexe oral et de la relation entre la réalisatrice et Harry Styles (qui aurait craché sur Chris Pine à la Mostra).
Pour tous ceux qui souhaiteraient connaître l'étendue du drama :
https://www.konbini.com/popculture/bon- ... y-darling/
Olivia Wilde a l'air chiante au global en somme.
Ma réaction face à ce film :
Je m'attendais au mieux à The Truman Show au féminin, j'ai eu droit à
Le film tourne autour du pot pendant des plombes et m'a rappelé les pires heures de la carrière de Shyamalan. Le pire étant qu'il n'est pas formellement mauvais mais juste terriblement indigent en termes de scénario, alors que celui-ci se vendait comme de l'horreur "élevée" (épithète pompeux que je récuse). Déjà, la première révélation se voit venir à des kilomètres à la ronde :
Puis vient la révélation finale, qui réduit à néant tous les efforts précédemment fournis par le film pour nous investir dans sa dramaturgie, le récit s'arrêtant abruptement alors qu'il aurait gagné à abattre ses cartes plus tôt pour mieux développer son concept par la suite.
Le film contient aussi son lot d'incohérences assez flagrantes, tandis que plusieurs mystères restent sans réponse :
Davantage que la question du féminisme, le film essaie de dénoncer toute théorie réactionnaire, totalitaire et autoritaire mais il le fait de façon si superficielle que l'on a du mal à voir où il veut en venir, à moins d'analyser la moindre de ses scène à travers ce prisme. N'est pas Jordan Peele qui veut !
Je m'attendais au mieux à The Truman Show au féminin, j'ai eu droit à
Le film tourne autour du pot pendant des plombes et m'a rappelé les pires heures de la carrière de Shyamalan. Le pire étant qu'il n'est pas formellement mauvais mais juste terriblement indigent en termes de scénario, alors que celui-ci se vendait comme de l'horreur "élevée" (épithète pompeux que je récuse). Déjà, la première révélation se voit venir à des kilomètres à la ronde :
Puis vient la révélation finale, qui réduit à néant tous les efforts précédemment fournis par le film pour nous investir dans sa dramaturgie, le récit s'arrêtant abruptement alors qu'il aurait gagné à abattre ses cartes plus tôt pour mieux développer son concept par la suite.
Le film contient aussi son lot d'incohérences assez flagrantes, tandis que plusieurs mystères restent sans réponse :
Davantage que la question du féminisme, le film essaie de dénoncer toute théorie réactionnaire, totalitaire et autoritaire mais il le fait de façon si superficielle que l'on a du mal à voir où il veut en venir, à moins d'analyser la moindre de ses scène à travers ce prisme. N'est pas Jordan Peele qui veut !