Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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EL a aimé Affamés (3,5 étoiles) :

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Il était temps ! Attendu pour avril 2020, Affamés aura mis plus d'un an et demi à nous parvenir, la faute, bien sûr, à une certaine pandémie. Et pourtant, la réputation bâtie par son réalisateur Scott Cooper, plus convoité que jamais au sortir du sublime western classique Hostiles, a suffi à préserver l'excitation autour de ce film d'épouvante avec Keri Russell et Jesse Plemons, produit par Guillermo del Toro. Quoique, cette aura pourrait se retourner contre lui.

CHÔMAGE MONSTRE


Dans le collimateur des amoureux de fantastique grâce à l'implication de Guillermo del Toro, longtemps fantasmé par les admirateurs de Scott Cooper, ralliés à sa cause depuis Crazy Heart, Les Brasiers de la Colère ou évidemment Hostiles, Antlers (titre original) n'a pas séduit tous ses publics à l'issue de ses projections américaines. Si les premiers spectateurs étaient pour la plupart ravis, les seconds, inconditionnels du cinéaste, en sont sortis déçus, eux qui voyaient dans les bribes de scénario révélées un détournement habile des codes horrifiques.

En effet, l'intrigue se déroule en Oregon, au coeur d'une bourgade sinistrée, dévastée par l'agonie de l'industrie dont elle dépendait. C'est dans un monde où se morfond une population gangrénée par la pauvreté et la toxicomanie qui va avec que Julia (impeccable Keri Russel) et son frère Paul (Jesse Plemons, toujours aussi impressionnant) enquêtent sur les blessures d'un enfant taiseux. Les thèmes développés par Nick Antosca dans sa nouvelle, adaptée par Cooper et Henry Chaisson, semblaient s'accorder parfaitement à la vision d'un cinéaste qui ausculte à travers le 7e art de petites fractions des États-Unis.

C'est oublier que le metteur en scène n'omet jamais d'embrasser avant tout un genre. Lorsqu'Hostiles évoquait avec beaucoup de sensibilité la face sombre de la conquête de l'Ouest, c'était à l'occasion d'un retour aux sources du western. Fier, il assumait ses relents fordiens perdus au milieu d'une culture populaire se repaissant encore des restes stylistiques et des excès de violence pop du western spaghetti.

La réaffirmation quasi chirurgicale du genre, c'est exactement l'objectif d'Affamés qui, entre deux productions post-Conjuring de plus en plus empêtrées dans des formules interchangeables et détachées des peurs contemporaines, revient à un geste cinématographique beaucoup plus épuré, soigné et intime.

Forcément, la métaphore filée ne fait pas dans la subtilité et les personnages se dévoilent de manière très mécanique. Mais ils permettent surtout au long-métrage de viser une expérience horrifique dépouillée, une expérience qui représente très littéralement le mal d'une époque - en l'occurrence ici d'un lieu - et enserre son spectateur dans des nappes de malaise, lesquelles peuvent abriter des visions cauchemardesques révélatrices des monstres se terrant dans les entrailles humaines. Ni train fantôme vide de sens ni film à thèse envahissant, Antlers met le contexte social au service de l'horreur et pas l'inverse. D'où sa réception, elle aussi calée dans un entre-deux.

SCOTT FAIT BEAUCOUP PEUR

À travers cet exercice, il parvient à toucher du doigt une viscéralité qui se révélera être justement liée aux thématiques de Hostiles. L'horreur se dégageant du film provient avant tout des surcouches de noirceur sur lesquelles s'est construite cette petite parcelle de société. Elle s'immisce au moment où les strates de vernis se craquèlent et infectent les innocents, ici représentés par le personnage de Lucas, interprété par la véritable révélation du casting : le jeune comédien Jeremy Thomas, dirigé à la perfection dans un rôle extrêmement complexe pour son âge.

Cette idée d'une épouvante en embuscade, qui se terre, Cooper et ses co-scénaristes la développent explicitement dès la sublime scène d'introduction. Une note d'attention absolument glaçante où les ténèbres d'un sol américain trop longtemps souillé par l'industrie et ses conséquences envahissent le cadre. Trêve de sursauts artificiels : le cinéaste mise tout sur l'atmosphère de sa ville rongée de l'intérieur, terreau fertile pour quelques visions d'horreur remarquablement dévoilées et de rares éruptions de violence spectaculaires.

À force de petits travellings inquiétants et de plans rigides laissant au hors champ son mystère, il cherche surtout à capter l'émergence d'un monstre, et toutes ses étapes. Et malgré le rythme binaire de la première partie, la dévotion de sa mise en scène s'avère très rafraichissante. En faisant glisser progressivement les thématiques sociales de son récit en arrière-plan, il traite sa bestiole en devenir avec un soin tout particulier.

Le matériel promotionnel a eu le bon goût de ne rien révéler des derniers actes et tant mieux. Ces ultimes minutes, magnifiées par des effets spéciaux non seulement solides, mais également éclairées avec ingéniosité accomplissent l'objectif du film : un retour à une forme de franchise horrifique, thématiquement et esthétiquement.

Peu étonnant qu'il se soit attiré la bienveillance de del Toro, admirateur des monstres devant l'éternel : Antlers se voue corps et âme à ses amours monstrueux, prolonge son interprétation des créatures fantastiques, rattachées pour le meilleur ou pour le pire aux parias de notre monde, quitte à laisser transparaitre quelques défauts (une écriture très artificielle) et à irriter une partie de son public. Comme beaucoup des productions du maître, Affamés ne révolutionne rien, mais arbore la sincérité nécessaire à une reconnaissance par les amateurs du genre. Et ça lui suffit amplement.

Au risque de décontenancer, Affamés met son passionnant contexte au service de l'horreur plutôt que l'inverse. En résultent un très beau film de monstre et un modeste retour aux sources horrifique.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1637166149
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Pale
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Netflix balance un site avec tous les chiffres d'audience de ses films et séries

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Netflix va désormais dévoiler les chiffres d'audience de film et séries grâce à un site spécifique.

En janvier 2021, Netflix dépassait les 200 millions d'abonnés revendiqués dans le monde. Une sacrée horde de fidèles qui permet à la plateforme de se placer devant la concurrence, Amazon Prime Video et ses 200 millions d'abonnés (chiffre biaisé par les abonnements fournis avec des produits) ou Disney+ qui pouvait se targuer d'avoir attiré près de 116 millions d'abonnés en septembre 2021, et ce, depuis son lancement en novembre 2019.

Forcément, une telle place, ça se défend, particulièrement à coup de chiffres d'audience diffusés comme on urine sur un arbre pour marquer son territoire (ne reproduisez pas ça chez vous). La plateforme communique donc au compte-goutte sur certains de ses succès, mais généralement, on ignore comment fonctionne une majorité des productions originales comme des oeuvres extérieures diffusées sur Netflix. Et ce ne sont pas les tweets inutilement dithyrambiques de Dwayne Johnson qui vont changer quelque chose.

Mais ce Netflix appartient désormais au passé, la plateforme cramoisie fait peau neuve avec la création du site Top10.Netflix.com (https://top10.netflix.com/), un site qui réactualisera le Top 10 de la plateforme chaque mardi, en se basant sur une durée de sept jours (du lundi au dimanche inclus). Un Top 10 qui sera calculé à partir du nombre total d'heures visionnées, et plus à partir du système antérieur de comptabilisation qui comptabilisait tout visionnage dépassant 2 minutes, comme un spectateur.

Le calcul ne sera pas fait uniquement selon les oeuvres, mais également selon les saisons. Deux saisons d'une série peuvent donc se côtoyer dans le Top 10. Un Top 10 qui sera dupliqué sur 4 catégories : films anglophones, films étrangers, télévision (séries + émissions, etc.) anglophone et télévision étrangère. Au-delà de classement hebdomadaire, il sera possible de connaître les plus gros succès de la plateforme toutes périodes confondues, côté cinéma et séries à travers un bilan se basant sur le nombre d'heures visionnées lors des 28 premiers jours de diffusion.

Un bon moyen mis en place (même si évidemment pas optimal) pour enfin avoir une idée des rapports de force entre les créations originales de Netflix à travers le monde, et donc leur impact immédiat ou leur éclosion au fil des semaines en fonction des tendances...

Netflix va encore plus loin en proposant de connaître la longévité de tel film ou telle série, émission... au sein du Top 10, mais également dans quel pays ces oeuvres sont les plus populaires. Si vous êtes vraiment obsédés à l'idée de savoir ce que regarde le monde ou si La Casa del papel passionne la Mongolie, Netflix propose même de pouvoir voyager entre les Top 10 de plus de 90 pays, histoire de connaître les habitudes de consommation de vos voisins frontaliers (ou à l'autre bout du monde).

La plateforme a lancé le site dans la journée du mardi 16 novembre 2021, et ses premiers chiffres seront publiés en partant du 28 juin dernier. Netflix n'a toutefois pas précisé si le site allait connaître une déclinaison en français en plus des versions anglaises et espagnoles. Donc à vos langues de Shakespeare si vous voulez en savoir plus sur les succès du N sanglant.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1637147619
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NaughtyDog
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J'étais certain que ça se planterait et en fait pas du tout ! Audrey Estrougo signe avec Suprêmes un superbe "biopic" sur les débuts de NTM, de manière bien moins aseptisée que Straight Outta Compton !
En chroniquant les balbutiements du mouvement hip hop en France en 88, en faisant la peinture d'une banlieue encore ostracisée par l'opinion publique et en nous présentant la montée vers le succès de Joey Starr et Kool Shen, le film se veut exhaustif, sans fioritures et terriblement respectueux.

Evidemment on évite pas une certaine romantisation, en particulier via la relation de Joey Starr et son père (le coeur émotionnel du film !), mais le tout se révèle des plus honnêtes et réaliste. En résulte au final un métrage qui coche un peu toutes les cases (les phases de graffeurs, les heurts face aux maisons de prod', les tensions dans le groupe, les périodes de galère, le succès...) mais avec sincérité et authenticité !
Le tout se suit donc avec un grand plaisir, via une mise en scène solide qui amène quelques sursauts de réalisation (du plan-séquence en plein air sur le morceau Authentik, du plan-fixe lors de l'enregistrement de Le Monde de demain...) et un regard toujours porté au plus près de la troupe de comédiens, qui s'est entrainée plus d'un an.

Un an pour devenir de vrais rappeurs, et il faut le dire, l'interprétation de Theo Christine et Sandor Funtek est tout simplement impressionnante. Les types assurent à absolument tous les niveaux, et transcendent finalement leur rôle si bien qu'ils ne font qu'un avec leurs modèles.
On tient un Kool Shen plus vrai que nature, et un Joey Starr certes sans le timbre et l'animalité du vrai, mais avec les mêmes mimiques et la même fougue.
Un très grand point positif que la direction d'acteurs (le film se veut également très drôle, et aussi intéressant du fait qu'on voit les acteurs composer les lyrics au fur et à mesure à certains moments-clés).

Au niveau sonore c'est également du lourd, vu que DJ Cut Killer a tout remixé et recomposé les morceaux d'époque dans un master qui envoie du très très lourd.

Bref, c'est vraiment du bon, et ça fait plaisir de voir ça au sein du cinoche français

4/5
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Pale
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Le nouveau chef d’œuvre de Bruce :

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Box-office français du 16 novembre : Aline passe devant Les Eternels

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Cry Macho et Haute couture intègrent eux aussi le top 10 cette semaine. (Source : Le Film Français)

Précédé de bonne critiques, le "vrai-faux" biopic de Céline Dion réalisé par Valérie Lemercier, Aline, démarre en tête du box-office hebdomadaire français, fort de 595 211 entrées enregistrées dans 692 salles, avant-premières comprises. C'est assez pour déloger Les Eternels de la première position, qui, avec 470 598 billets supplémentaires, tombe à la deuxième place. Le dernier Marvel cumule ainsi 1,2 million de tickets en quinze jours. Aline représente le deuxième meilleur démarrage de la réalisatrice derrière celui de Palais Royal !, vu par 800 000 curieux dès sa première semaine d'exploitation, en 2005, puis 2,7 millions en tout.

Deux autres nouveautés intègrent le classement : Cry Macho, de Clint Eastwood, est cinquième grâce à 126 797 contremarques écoulées pour 460 copies, et Haute couture démarre à la neuvième position, mais en dessous des 100 000 entrées. 92 692 personnes ont vu ce film porté par Nathalie Baye et Lyna Khoudri dans 315 cinémas.

Les films déjà à l'affiche perdent entre 16% (Illusions perdues) et 58% (Le Loup et le lion) de fréquentation. On peut noter le maintien de Mourir peut attendre sur le podium en sixième semaine, le dernier James Bond ayant battu cette semaine le score de Quantum of Solace en étant vu par 3,8 millions de curieux. Parmi les films de la saga portés par Daniel Craig, Spectre (2015) et Skyfall (2012) ont fait mieux, avec respectivement 4,9 millions et 6,9 millions d'entrées.

Box-office hebdomadaire français du 10 au 16 novembre 2021 :


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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... j7Kxd3b3dM
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weird

Pale a écrit :
jeu. 18 nov. 2021 10:07
Box-office français du 16 novembre : Aline passe devant Les Eternels

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Cry Macho et Haute couture intègrent eux aussi le top 10 cette semaine. (Source : Le Film Français)

Précédé de bonne critiques, le "vrai-faux" biopic de Céline Dion réalisé par Valérie Lemercier, Aline, démarre en tête du box-office hebdomadaire français, fort de 595 211 entrées enregistrées dans 692 salles, avant-premières comprises. C'est assez pour déloger Les Eternels de la première position, qui, avec 470 598 billets supplémentaires, tombe à la deuxième place. Le dernier Marvel cumule ainsi 1,2 million de tickets en quinze jours. Aline représente le deuxième meilleur démarrage de la réalisatrice derrière celui de Palais Royal !, vu par 800 000 curieux dès sa première semaine d'exploitation, en 2005, puis 2,7 millions en tout.

Deux autres nouveautés intègrent le classement : Cry Macho, de Clint Eastwood, est cinquième grâce à 126 797 contremarques écoulées pour 460 copies, et Haute couture démarre à la neuvième position, mais en dessous des 100 000 entrées. 92 692 personnes ont vu ce film porté par Nathalie Baye et Lyna Khoudri dans 315 cinémas.

Les films déjà à l'affiche perdent entre 16% (Illusions perdues) et 58% (Le Loup et le lion) de fréquentation. On peut noter le maintien de Mourir peut attendre sur le podium en sixième semaine, le dernier James Bond ayant battu cette semaine le score de Quantum of Solace en étant vu par 3,8 millions de curieux. Parmi les films de la saga portés par Daniel Craig, Spectre (2015) et Skyfall (2012) ont fait mieux, avec respectivement 4,9 millions et 6,9 millions d'entrées.

Box-office hebdomadaire français du 10 au 16 novembre 2021 :


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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... j7Kxd3b3dM
Ca me tente bien, Aline.
J'aime beaucoup Valérie Lemercier, et j'étais intrigué dès le début du projet.
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Pale
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robinne a écrit :
jeu. 18 nov. 2021 10:20
Ca me tente bien, Aline.
J'aime beaucoup Valérie Lemercier, et j'étais intrigué dès le début du projet.
Je ne peux que te le conseiller alors :jap:
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robinne
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weird

Pale a écrit :
jeu. 18 nov. 2021 10:44
robinne a écrit :
jeu. 18 nov. 2021 10:20
Ca me tente bien, Aline.
J'aime beaucoup Valérie Lemercier, et j'étais intrigué dès le début du projet.
Je ne peux que te le conseiller alors :jap:
J'aimerais bien, mais je n'ai pas le temps :sweat: :cry:
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robinne a écrit :
jeu. 18 nov. 2021 11:09
J'aimerais bien, mais je n'ai pas le temps :sweat: :cry:
Très important de s'octroyer du temps :o :D
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ClintReborn
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robinne a écrit :
jeu. 18 nov. 2021 11:09
Pale a écrit :
jeu. 18 nov. 2021 10:44
robinne a écrit :
jeu. 18 nov. 2021 10:20
Ca me tente bien, Aline.
J'aime beaucoup Valérie Lemercier, et j'étais intrigué dès le début du projet.
Je ne peux que te le conseiller alors :jap:
J'aimerais bien, mais je n'ai pas le temps :sweat: :cry:
Ton esprit glisse ailleurs ? :o :D
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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BoBleMexicain
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Le nouveau film des Bodin's cartonnent pour son 1er jour d'exploitation, aidé par un très grand nombre d'avant-premières qui ont fait salle comble. "On est fait pour s'entendre" et "Amants" de Nicole Garcia complètent le podium.

Les Bodin's en Thaïlande réalise le 3ème meilleur démarrage 1er Jour France de 2021, en tenant compte de ses avant-premières qui ont été nombreuses (107 181 entrées réalisées en avant-premières) sur un total de 152 495 entrées.
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ClintReborn
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C'est de la comédie purement franchouillarde les Bodins mais se déplacer au cinéma pour ça... :saint:
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Pale
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Modifié en dernier par Pale le jeu. 18 nov. 2021 23:15, modifié 1 fois.
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Pam & Tommy : une bande-annonce trash pour la série sur la sextape de Pamela Anderson

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La mini-série sur la sextape de Pamela Anderson, Pam & Tommy se précise avec une bande-annonce trash livrée par la plateforme Hulu.

Quand on vous dit sextape, vous pensez évidemment à Kim Kardashian ou Paris Hilton, et pourtant, ces histoires ne sont rien en comparaison de celle qui a indubitablement été la première sextape de célébrité : celle entre Pamela Anderson et Tommy Lee.

D'un côté, Pamela Anderson, star incontestée d'Alerte à Malibu, et probablement l'une des femmes les plus désirées sur la planète à ce moment-là dans son maillot une pièce rouge. À ses côtés, Tommy Lee, batteur nerveux et tatoué des Mötley Crüe, groupe réputé tant par la qualité de ses morceaux de glam métal que pour les démêlés judiciaires de ses membres, cumulant toutes les addictions possibles.

C'est cette histoire que Hulu et Robert D. Siegel ont souhaité raconter avec Lily James et Sebastian Stan en Pamela et Tom. La plateforme a ainsi publié une première bande-annonce pour nous donner l'eau à la bouche de sa mini-série Pam & Tommy, sur l'une des histoires les plus scandaleuses des années 90.



Avant tout, il convient d'apprécier le travail incroyable de maquillage et des costumes, qui transforme la bouille de chérubin de Lily James en une copie presque parfaite du visage de Pamela Anderson. Il est presque impossible de reconnaître l'actrice de Baby Driver, et l'impression dans son maillot une pièce rouge est saisissante. Du côté de Sebastian Stan, on retrouve les larges tatouages de Tommy Lee, et nombreux sont les internautes à avoir fait des montages pour exprimer leur enthousiasme face à la ressemblance de Sebastian Stan au batteur sulfureux de Mötley Crüe.

On retrouve par ailleurs Seth Rogen (L'interview qui tue, SuperGrave) et Nick Offerman (l'homme derrière la légende Ron Swanson). Ils camperont les électriciens chassés de la demeure du couple star à Malibu lors de travaux et qui, avides de vengeance, décident de voler le coffre-fort de Tommy Lee après qu'il les a braqués avec un fusil à pompe. Lorsqu'ils découvrent qu'il contient la sextape du couple, tournée pendant leur lune de miel, ils décident de la vendre pour faire du fric. Taylor Schilling (Orange is the New Black) fera également une apparition dans le rôle de Erica Boyer, une actrice porno.

Et pour donner encore plus dans l'ambiance des années 90, on retrouve le tube planétaire de Lenny Kravitz, Are You Gonna Go My Way. Et ça donne envie. Si le matériau de base est déjà excitant, le caractère rocambolesque de l'anecdote est magnifié par un casting de qualité et un énorme travail de maquillage pour reproduire les physiques du couple sulfureux.

Pam & Tommy débutera le 2 février 2022 sur la plateforme Hulu.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... 1637230934
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Pale a écrit :
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Ils ont utilisé la même image de l'agneau sur les deux affiches, s'emmerdent pas :D
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ClintReborn a écrit :
jeu. 18 nov. 2021 18:15
C'est de la comédie purement franchouillarde les Bodins mais se déplacer au cinéma pour ça... :saint:
Sans doute un besoin de franche poilade sans prise de tète , on est en plein dans le créneau, j avoue , suis client les soirs de déprime ))
même si le ciné n est pas forcément un besoin sur ce genre de produit .
les chiffres tendent a prouver que on se trompe
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BoBleMexicain a écrit :
ven. 19 nov. 2021 10:14
ClintReborn a écrit :
jeu. 18 nov. 2021 18:15
C'est de la comédie purement franchouillarde les Bodins mais se déplacer au cinéma pour ça... :saint:
Sans doute un besoin de franche poilade sans prise de tète , on est en plein dans le créneau, j avoue , suis client les soirs de déprime ))
même si le ciné n est pas forcément un besoin sur ce genre de produit .
les chiffres tendent a prouver que on se trompe
Il suffirait de ressortir au cinéma avec une distribution sur toutes les salles les plus grand succès de Louis de Funès pour faire un carton plein sur des mois pourtant... :saint: Celui qui mettra en œuvre cette idée aura un ticket gagnant il faudra refaire des affiches et une promo bien sûr... :D
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ClintReborn a écrit :
ven. 19 nov. 2021 11:14
BoBleMexicain a écrit :
ven. 19 nov. 2021 10:14
ClintReborn a écrit :
jeu. 18 nov. 2021 18:15
C'est de la comédie purement franchouillarde les Bodins mais se déplacer au cinéma pour ça... :saint:
Sans doute un besoin de franche poilade sans prise de tète , on est en plein dans le créneau, j avoue , suis client les soirs de déprime ))
même si le ciné n est pas forcément un besoin sur ce genre de produit .
les chiffres tendent a prouver que on se trompe
Il suffirait de ressortir au cinéma avec une distribution sur toutes les salles les plus grand succès de Louis de Funès pour faire un carton plein sur des mois pourtant... :saint: Celui qui mettra en œuvre cette idée aura un ticket gagnant il faudra refaire des affiches et une promo bien sûr... :D
indirectement tu met un peu le doigt sur la disparition des ciné club , antre les films peu distribués et les anciens classiques
ça manque , grave , les gros complexes ont eu raison de ces petites salles de quartiers
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J'ai failli oublier Bon anniversaire @Pale :D
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Wickaël a écrit :
ven. 19 nov. 2021 11:56
J'ai failli oublier Bon anniversaire @Pale :D
Merci :love2: :jap:
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Pale a écrit :
ven. 19 nov. 2021 15:21
Wickaël a écrit :
ven. 19 nov. 2021 11:56
J'ai failli oublier Bon anniversaire @Pale :D
Merci :love2: :jap:
Bon anniversaire ! :)

Merci @Wickaël :jap:
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Bon anniv alors !!! :o :bounce:
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Merci à tous :hot: :hot: :hot:
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Don't Look Up : les premiers avis sur la fin du monde de Netflix sont tombés

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Les premiers avis de la critique sont tombés pour Don't Look Up, satire au casting 5 étoiles d'Adam McKay sur Netflix, et ils sont très positifs.

Leonardo DiCaprio et Jennifer Lawrence qui forment un duo de piètres scientifiques bizarres chargé d'annoncer aux États-Unis d'Amérique qu'un météore va s'écraser si personne ne fait rien, on dit oui. Mais quand ils se heurtent à un mur de stupidité et de scepticisme de la part d'un casting astronomique composé de Meryl Streep, Jonah Hill, Cate Blanchett, Timothée Chalamet, Ariana Grande ou encore de très nombreux autres grands noms du cinéma et du petit écran américains, on a envie de crier un grand oui.

Vendu comme une satire décomplexée et drôlement déprimante sur la plateforme Netflix, Don't Look Up : Déni Cosmique d'Adam McKay sent la critique tranchante des gouvernements, des complotistes et les médias et réseaux sociaux, incapables de donner une idée claire et précise des évènements auxquels la population devra faire face. Le long-métrage est probablement arrivé dans une excellente période pour lui (à défaut d'une excellente période pour nous) puisque la pandémie et l'éco-inquiétude ambiante devraient lui donner une pertinence toute particulière.

Et si le film arrivera pile à Noël pour animer les débats de famille, certains chanceux ont déjà pu le découvrir. Alors, le résultat est-il à la hauteur du casting XXL. Revue de tweets.

"C'est un peu difficile de dire que Don't Look Up était amusant et drôle quand il est en même temps si réaliste qu'il en est terrifiant. Le film a du punch et vous accroche... pas pour l'humour, mais pour sa véracité. A+ [on pourrait dire 20/20 chez nous, ndlr] pour tout le casting, mais Meryl Streep, Jennifer Lawrence et Leonardo DiCaprio sont mortels." Yolanda Machado - TheWrap

"C'est Armageddon en comédie, Don't Look Up est un commentaire cinglant et souvent hilarant sur la culture des réseaux sociaux et les géants du web, Leonardo DiCaprio, Jennifer Lawrence et Mark Rylance déchirent, c'est la meilleure réalisation d'Adam McKay et de loin. Le film sera un des poids lourds pour le prix du Screen Actors Guild Award de la meilleure distribution, et c'est le film de Netflix le plus divertissant et accessible capable d'aller chercher des oscars." Erick Weber - CriticsOfChoice

"Don't Look Up est un Docteur Folamour au présent - un rappel brillant, maladif et amusant d'à quel point le monde est foutu si on ne se reprend pas et qu'on n’agit pas rapidement. Belle performance de l'un des meilleurs castings jamais rassemblés. Chanson hilarante d'Ariana Grande et Kid Cudi. Restez jusqu'à la fin du générique !" Scott Feinberg - The Hollywood Reporter

"On a déjà vu comment les États-Unis réagiraient à un désastre apocalyptique dans d'autres films, mais comment réagiraient-ils VRAIMENT ? Don't Look Up est une satire hilarante et horrifiante sur à quel point ce serait douloureusement difficile pour nous de vraiment assurer. C'est ce à quoi vous vous attendez, mais c'est super divertissant." Erik Davis - Fandango

"Don't Look Up est EXCELLENT. C'est sporadiquement idiot autant que sérieux, et si ça ne fait pas toujours pouffer de rire, l'émotion et l'humanité qu'il contient le rendent vraiment rafraîchissant. Le casting entier est dément. Sans aucun doute l'un des meilleurs films de l'année." Germain Lussier - Gizmodo

"Don't Look Up est un film déprimant... dans le BON sens du terme. Il ouvre les yeux sur notre chute inévitable à moins que quelque chose ne change. Leonardo DiCaprio est spectaculaire. La chanson originale d'Ariana Grande est une autre concurrente pour la compétition aux récompenses. Fake Teeth sera mémorable pour beaucoup." Clayton Davis - Variety

"Don't Look Up est absolument hilarant, plutôt déprimant et définitivement brillant. Une parfaite satire aussi bien sociale que politique à propos de notre époque, comme un Docteur Folamour qui rencontre Idiocracy. Leonardo DiCaprio et Jennifer Lawrence sont si bons, mais j'ai aussi adoré Cate Blanchett, Timothee Chalamet et Ariana Grande." Kevin Polowy - Yahoo

"Don't Look Up d'Adam McKay est outrageusement drôle tout en étant une satire au poil. Leonardo DiCaprio, Jennifer Lavrance et Meryl Streep sont fabuleux. Timothée Chalamet est le MVP [expression tirée du sport qui signifie 'Most Valuable Player', joueur de la rencontre, ndlr]. La musique de Nicholas Britell marque des points, elle est parfaite. Le montage d'Hank Corwin est magistral, donnant de la hauteur comique." Courtney Howard - Variety

"Don't Look Up est une satire politique brillante et Adam McKay est à son meilleur niveau. C'est facilement le film le plus drôle que j'ai vu cette année. Leonardo DiCaprio, Jennifer Lawrence et Mark Rylance sont incroyablement bons dans l'exercice. Oh, et la chanson d'Ariana Grande Just Look Up doit être nommée aux oscars." Scott Menzel - We Live Entertainment

On pouvait s'y attendre, le casting de Don't Look Up a apparemment une force de frappe nucléaire. Il reste des acteurs excellents à citer même après une douzaine de mentions, et le désespoir des deux scientifiques face à une galerie de mastodontes du divertissement américain portant des perruques et étant le plus stupide possible semble une jouissance absolue.

Les mentions spéciales à la musique, où on retrouve Nicholas Britell, et aux chansons de Kid Cudi et Ariana Grande, semblent d'ailleurs démontrer l'étendue comique du film, mais aussi l'accomplissement général de l'oeuvre dans tous les domaines. Don't Look Up semble donc réunir toutes les qualités qui pourraient lui apporter des Oscars (objectif évident de Netflix). En France, Don't Look Up atterrira sur la plateforme Netflix depuis l'espace le 24 décembre 2021.


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Dernier train pour Busan : le remake américain a trouvé son titre et un super réalisateur

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On connaît enfin le titre et le futur réalisateur derrière le remake américain du Dernier train pour Busan.

Voir des films sous-titrés, ça fait mal à la tête, il faut toujours suivre l'action et le texte en même temps...bref, c'est plein d'inconvénients. Les Américains ont trouvé la solution, un peu radicale, mais plutôt efficace, de remaker le moindre film étrange qui leur plaisait un minimum. Quitte à effacer tout l'intérêt du film originel, ancré dans un cadre national bien spécifique. On a quand même failli avoir un remake de Bienvenue chez les Ch'tis avec Will Smith.

L'un des gros soucis de cette technique, c'est la quantité de mauvais films oubliables en déca de l'original que ça produit. Récemment, la bonne surprise Un homme en colère fonctionnait en prenant l'idée de base de Le Convoyeur pour totalement changer de direction, mais un Brick Mansions se contentait de décalquer Banlieue 13 en moins bien (c'est dire). Et depuis quelques années, Hollywood s'échine à vouloir remaker The Raid avec Patrick Hughes (Expendables 3), puis Joe Carnahan à la barre du projet qui ne donne plus signe de vie.

Et dans cette industrie qui s'auto-remake tous les deux jours, c'est un film sud-coréen zombiesque qui s'apprête à connaître les joies du remake à l'américaine. La claque zombiesque de 2016 Dernier train pour Busan va en effet connaître sa déclinaison yankee sous le titre de Last Train to New York, produit par Gaumont et Atomic Monster Productions, la société de James Wan.

On connaît également qui sera chargé de redonner vie aux morts-vivants en terre new-yorkaise. Et non, il ne s'agit pas de Paul W.S. Anderson ou d'un tâcheron quelconque, mais de Timo Tjahjanto, réalisateur indonésien derrière The Night Comes For Us (disponible sur Netflix), démonstration de force digne du The Raid de Gareth Evans, dont Tjahjanto est un vieux compagnon de route. Les deux réalisateurs ont d'ailleurs co-réalisé un segment de V/H/S/2, l'anthologie de courts métrages d'horreur.

Un adepte de l'action qui laisse les ossatures en pièces détachées et de l'horreur qui tâche, ça aurait presque de quoi rassurer sur le destin de ce remake qui reste inutile, mais pourrait devenir amusant. Le réalisateur est également rattaché au remake de Piège en haute mer, le Die Hard-like de Steven Seagal, qui sera produit par Warner Bros. pour une sortie sur HBO Max. On ne sait pas encore si le panda grassouillet compte revenir fragmenter des clavicules, mais il s'entendrait sûrement comme poing et visage avec Tjahjanto.


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EL n'a pas aimé la série Cowboy Bebop, voici 2 avis :

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2 étoiles : Rappeler Shin'ichirō Watanabe et Yoko Kanno pour un ersatz de Cowboy Bebop sans groove était déjà provoquant. Ne pas offrir de direction artistique cohérente à l'une des oeuvres les plus authentiques de l'animation japonaise est insultant. En résulte un divertissement moyen et sans âme.

1 étoile : Coincé entre cosplay stérile et saillies indignes d'un Max Pecas en apesanteur, Cowboy Bebop est un objet aussi étrange que déplaisant, voué à se perdre dans une galaxie de produits désincarnés.

https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... 1637316161
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Après Le Loup de Wall Street, Jonah Hill retrouvera Martin Scorsese pour son nouveau film Apple TV+

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Après avoir joué dans Le Loup de Wall Street de Martin Scorsese, l'acteur Jonah Hill va repasser devant la caméra du réalisateur pour son nouveau film AppleTV+.

Après son passage remarqué sur Netflix avec The Irishman en 2019, le réalisateur de légende Martin Scorsese va croquer la pomme d'Apple TV+ avec le prochain Killers of the Flower Moon - à l'occasion duquel il a recollaboré avec Leonardo DiCaprio -, mais aussi un autre projet en chantier. Deadline a récemment annoncé que le cinéaste était en train de développer un biopic centré sur le groupe de rock psychédélique américain Grateful Dead, qu'il réalisera et produira dans le cadre de son deal avec la plateforme de streaming.

Scorsese avait déjà montré son intérêt pour ce groupe emblématique en étant producteur exécutif du documentaire Long Strange Trip de 2017 leur étant consacré. Le scénario, qui n'a dévoilé aucun détail pour l'instant, sera écrit par Scott Alexander et Larry Karaszewski, qui ont notamment écrit Man on the Moon, Big Eyes, Chambre 1408 et American Crime Story. On ne sait donc pas si le film reviendra sur leurs 30 ans de carrière ou sur une période bien particulière, que ce soit la formation du groupe dans les années 60 ou ses dernières années sur scène.

En revanche, le casting a déjà dévoilé un premier nom. L'acteur Jonah Hill (21 Jump Street, SuperGrave) a été choisi pour incarner Jerry Garcia, le leader, compositeur et guitariste du groupe qui s'est séparé en 1995 après sa mort. Il coproduira également le film sous sa bannière Strong Baby, avec son partenaire de production Matt Dines. L'acteur retrouvera ainsi le cinéaste avec qui il a déjà travaillé pour Le Loup de Wall Street, dans lequel il a donné la réplique à Leonardo DiCaprio, ce qui lui a d'ailleurs valu une seconde nomination aux Oscars après celle pour Le stratège.

Depuis Le Loup de Wall Street, l'acteur et le réalisateur auraient cherché un projet sur lequel recollaborer et l'opportunité pour Jonah Hill d'incarner une légende du rock était trop belle pour la refuser. Toujours d'après Variety, tous les membres du groupe encore en vie travailleront avec Martin Scorsese sur le film et lui donneront tous les droits sur la discographie de Grateful Dead. Aucune autre information concernant le tournage, le titre ou la date de sortie n'a encore été communiquée.


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angel2510
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Ca va comment ici? C'est quoi les news ? :sol:
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angel2510 a écrit :
ven. 19 nov. 2021 20:56
Ca va comment ici? C'est quoi les news ? :sol:
:love2: :hello:

C'est assez calme :D
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NaughtyDog
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En 3 jours j'ai vu de bien belles choses !

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and the Oscar goes to...Will Smith !

alors je connaissais déjà l'histoire des soeurs Williams et de leur père, et en voyant le film on se rend compte que c'est une histoire complètement folle qui méritait d'être contée (car oui, tout est vrai).
Richard Williams, un type qui a jamais pratiqué de tennis de sa vie, vivant dans un quartier défavorisé de Compton, concevra un plan sur 15 ans pour faire de ses filles les plus grandes joueuses de tennis de tous les temps.
Considéré comme un fou (même par les médias), le gus arrivera tant bien que mal à accomplir son dessein : en collectionnant toutes les revues sportives, étudiant chaque match, entraînant ses filles sous la pluie, contactant plusieurs coachs, etc

A ce titre, King Richard est dans la grande tradition des films sportifs populaires (dont le blueprint est évidemment Rocky), le drame familial inspirant, et le biopic dont raffole l'académie.
C'est bien réalisé (on aurait quand même aimé plus de virtuosité lors des séquences de tennis), fabuleusement rythmé sur les 2H20, très bien narré, et porté par un Will Smith impérial qui prouve que le gars est aussi un vrai acteur (toujours très bon dans les biopics d'ailleurs).

Le rôle est complètement taillé pour lui, et se mue aisément en ce vieil homme acariâtre, égoïste, mais également roublard et jovial. Le film ne tombe pas dans l'écueil d'édulcorer le personnage, et le montre sous ses bons et mauvais côtés.
A savoir un père qui souhaite protéger ses enfants de la drogue, la pauvreté et la violence de leur quotidien, qui prône le mérité, l'humilité et le respect d'autrui. Mais qui se veut aussi une personnalité toxique envers ses propres enfants, et selon ses humeurs.
Will porte vraiment le film, tant dans l'humour que l'émotion, et le reste du cast est aussi très bon (notamment Jon Bernthal pour une perf complètemennnt différente des durs à cuir qu'il a l'habitude de jouer).
Même la musique de Kris Bowers (Green Book) est bonne

Bref un bien beau film que voilà !

7 voire 7.5

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un bien beau film que voilà (qui partage des thèmes avec le précédent), en simili-biopic de Jonathan Larson (créateur culte de comédie musicale, notamment Rent), qui se veut également une vraie ode à la créativité, les rêves brisés et la passion alors que le temps passe.
Lin Manuel-Miranda sait de quoi il parle (son premier film en plus, et on pourra même noter quelques caméos des membres d'Hamilton), et il le fait avec brio.

L'histoire suit des sentiers attendus évidemment, à base de succes story semée d'embûches, mais est toujours fort et sincère à chaque fois.
Mieux, le film se veut aussi une comédie musicale avec des saillies de mise en scène parfois extrêmement bien trouvées.
Et Andrew Garfield trouve ici son tout meilleur rôle (oui, au-delà de Silence ou Hacksaw Ridge, ici il peut montrer toute l'étendue de son talent) et est taillé pour le rôle comme il faut, en apportant son côté juvénile.

Dommage que quelques persos secondaires passent un peu à la trappe en cours de route (ce qui diminue un tantinet les émotions convoquées lors du final), ou qu'on passe très rapidement sur la suite de sa vie (et notamment sa fin prématurée).

Pas de quoi bouder le plaisir, c'est un très beau film de passionné (et un des meilleurs films de la plate-forme depuis un ptit moment mine de rien)

Même note/5

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très très bon !
Avec ce second film, Audrey Diwan livre un film fort et poignant, en adaptant le roman éponyme d'Annie Ernaux.
Soit l'histoire d'Anne Duchene, jeune étudiante en lettres qui va tomber enceinte et décidera de trouver un moyen d'avorter (chose illégale dans les années 60).
Au-delà de la question puérile de savoir ce qui est bien ou mal, L’Évènement conte avant tout l'histoire d'une femme qui souhaite prendre son destin en main (tomber enceinte signifie abandonner toute carrière ou velléité universitaire), à une époque où la femme ne peut disposer de son corps.
On se rend donc que le sujet est la condition de la femme, enfermée via des diktats obsolètes, et la réalisatrice aborde ça à merveille rien que par le format carré de l'image.
La mise en scène se veut toujours au plus près de son héroïne, comme enfermée même en plein air.
D'une histoire relativement classique (on va essayer de cacher sa grossesse, les notes dégringolent, aucun médecin n'accepte de l'aider, etc), Diwan conte le tout comme un film de résistance lorgnant presque vers le thriller politique. Et c'est làa une des réussites du film, tant il captive et nous lâche pour ainsi dire jamais (malgré quelques respirations).
L'autre grand atout est Anamaria Vartolomei, une actrice principale arrivant en quelques secondes à incarner la douceur, la fragilité, la persévérance et la détermination féroce d'une femme prête à tout pour être maître de son destin.
Les quelques minutes finales sont également plutot viscérales (certains se cachaient les yeux !).

Bref un Lion d'Or qui s'apparente à un film politique (il l'est), mais qui est avant tout un très bon film tout court, prenant et pertinent !

8/10

PS : lors de la projo, la réalisatrice et l'actrice étaient présentes pour un Q&A à la fin. Sauf qu'à ce moment, un type 2 places à ma gauche fait un gros malaise (type vagal ou hypotension). Et comme je suis interne, c'est moi qui ai joué le médecin en attendant les pompiers (le gars allait bien!) et ai été remercié par la famille, la réal et Anamaria (très mignonne, j'aurai dû demandé le 06 lol)
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@NaughtyDog merci pour ces 3 retours qui donnent envie! Et bravo pour ton intervention 👍
Pouet
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NaughtyDog a écrit :
sam. 20 nov. 2021 03:07
PS : lors de la projo, la réalisatrice et l'actrice étaient présentes pour un Q&A à la fin. Sauf qu'à ce moment, un type 2 places à ma gauche fait un gros malaise (type vagal ou hypotension). Et comme je suis interne, c'est moi qui ai joué le médecin en attendant les pompiers (le gars allait bien!) et ai été remercié par la famille, la réal et Anamaria (très mignonne, j'aurai dû demandé le 06 lol)
Beau gosse :D
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J'ai adoré même si le film ne fait pas toujours dans la subtilité. C'est beau et très intense émotionnellement, certaines scènes ne laissent pas insensible. Le film date de 2013 et c'est assez drôle de voir certains visages qui n'étaient pas encore hyper connus à l'époque. Je songe à Rami Malek, Stephanie Beatriz (Rosa dans Brooklyn Nine-Nine) et surtout Lakeith Stanfield qui m'avait impressionné récemment dans The Harder They Fall.

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Voici le nouveau ̶s̶o̶m̶n̶i̶f̶è̶r̶e̶ film de Jane Campion que j'ai donc découvert en salle. C'est la définition même du film très beau mais chiant :D Le point de départ est accrocheur et Benedict Cumberbatch nous prend directement sous son emprise. Une fois les éléments mis en place, le film ne décolle jamais vraiment et bénéficie d'un rythme assez mortifère. La musique n'arrange rien. J'avoue quand même que la mise en scène est de toute beauté et la fin rehausse un tantinet l'ensemble.

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Superbe film de Arthur Penn. On va suivre Gene Heckman qui joue un privé qui va plonger dans une affaire qui le dépasse et nous aussi par la même occasion. Au début l'histoire est très désordonnée et alambiquée mais c'est pour mieux nous surprendre. J'ai également adoré cette sensation de liberté qui règne dans ce film, c'était ça aussi les années 70.
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EL a modérément apprécié Foundation (2,5 étoiles) :

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Inévitablement, Foundation et ses impératifs se débattent piteusement avec l'oeuvre d'Asimov. Pour peu qu'on fasse le deuil de son ambition et de ses thématiques, il reste un space opera bancal, mais pas désagréable à suivre.

https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... yJeXEKSId8
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EL a surkiffé Arcane (4,5 étoiles) :

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Arcane est un divertissement somptueux dont les enjeux sont prenants, à échelle humaine comme à celle d'un pays. La série se dote d'une direction artistique brillantissime qui fait resplendir son casting, dont la performance rend l'animation plus réelle qu'elle ne l'a jamais été. Vite, une suite !

https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... AkJ8cGY5qA

La série a des notes absolument dantesques (9,4/10 sur IMDB, 100% sur RT). J'ai donc commencé. Pour l'instant j'ai vu que les deux premiers épisodes et même si je n'y connais rien au jeu League of Legends, j'avoue que ça claque bien. Visuellement c'est juste ouf.
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yhi
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Oui on m'a survendu Arcane hier (de la part d'un pote qui s'interesse aussi à l'animation, donc j'ai fait confiance) et j'ai regardé 3 épisodes pour le moment. Effectivement, techniquement ça claque. Après l'univers est ok, mais j'accroche pas trop au scénario et aux personnages.
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@Pale j'avais beaucoup aimé State of Grace aussi!
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:hot:
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