Le Cercle des profileurs disparus

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Pale
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Madonna a trouvé l'actrice qui va l'incarner dans son biopic (et on est chaud bouillant)

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La Reine de la pop, plus communément connue sous le nom de Madonna, a enfin trouvé l'actrice qui l'incarnera dans un biopic réalisé par ses propres soins.

Après le très gros succès de Bohemian Rhapsody, qui a récolté plus de 910 millions de dollars dans le monde en 2018, la folie des biopics était lancée. Ont depuis éclos Rocketman, Billie Holiday, Respect, Elvis (qui arrive le 22 juin sur nos écrans), mais aussi plusieurs films musicaux, qu'on ne peut pas vraiment considérés comme des biopics, dont Mamma Mia : Here We Go Again !, film reprenant les chansons du mythique groupe suédois ABBA, produit par Universal. Et c'est justement Universal qui va produire le biopic centré sur la Madone.

Comme son camarade Elton John, Madonna a souhaité voir adapter sa vie sur grand écran. En production depuis 2017, le projet a pris plus de temps que prévu, surement à cause d'un choix cornélien qui consiste à trouver LA bonne personne pour interpréter la pop star la plus influente de tous les temps. Depuis l'époque Like A Virgin, la Madone a eu une influence majeure sur la musique et a surtout été la première à bousculer autant des codes avant d'ouvrir la voie à ses enfants spirituels, Britney Spears ou encore Lady Gaga.

Si choisir l'acteur qui pourra endosser un rôle pareil n'est déjà pas facile, il l'est encore moins quand la personne au centre du biopic est également la réalisatrice. Car oui, ce sera bien Madonna elle-même qui dirigera le film de sa vie, épaulée à l'écriture par Erin Cressida Wilson, qui a notamment participé au scénario de La Fille du train.

Et si Madonna a mis du temps à trouver l'actrice parfaite pour son biopic, son choix serait enfin fait. Alors que Florence Pugh (Midsommar) et Sydney Sweeney (Euphoria) étaient envisagées, le rôle a finalement était confié à la magnétique Julia Garner selon Variety. Après de petits rôles, notamment dans le film Le Monde de Charlie, elle s'est fait reconnaitre grâce à son personnage de Ruth Langmore dans la série Ozark, qui lui vaut d'ailleurs deux Emmys. Récemment, elle interprétait le rôle principal de la série Netflix Inventing Anna.

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Le film racontera donc les débuts de la star qui, selon la légende, est arrivée à New York avec seulement 35 dollars en poche. Si pour le moment aucune autre information n'a été révélée, on a hâte de découvrir les premières images de Julia Garner en jeune et rebelle Madonna. Le film, qui n'a d'ailleurs pas encore de nom, n'a évidemment pas non plus de date de sortie.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... dIrCwHoj7c
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Joker 2 : Todd Phillips confirme la suite avec Joaquin Phoenix et dévoile un titre intrigant

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Après des mois de rumeurs, le réalisateur Todd Phillips a finalement confirmé le développement de la suite de Joker avec Joaquin Phoenix et même dévoilé le titre de ce second opus.

Avec plus d'un milliard de dollars au box-office mondial pour seulement 55 millions de budget, un Lion d'Or à la Mostra de Venise, un Oscar du meilleur acteur pour Joaquin Phoenix, de la meilleure musique pour Hildur Guðnadóttir et une pluie d'autres nominations, il n'est pas exagéré de dire que le Joker de Todd Phillips a été un succès triomphal, aussi bien économique que critique. Forcément, même si le réalisateur a affirmé que son film n'avait pas été conçu pour avoir une suite, l'arrivée d'un Joker 2 semblait inévitable.

Après des mois de rumeurs, de rapports publiés par la presse américaine spécialisée et de déclarations évasives de Joaquin Phoenix, un article de Puck News a tout récemment annoncé que Todd Phillips était « tout proche de lancer Joker 2 », ce qu'a finalement confirmé le principal intéressé le Instagram peu de temps après. La publication ne s'encombre d'aucune description, mais la photo fait état d'un scénario terminé et cosigné par Scott Silver (8 Mile, The Finest Hours), qui a été nommé pour l'Oscar du meilleur scénario adapté avec Todd Phillips en 2019.

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La précision n'était pas tellement nécessaire, mais le post confirme également le retour logique de Joaquin Phoenix dans la peau de Clown Prince du Crime, qui pourrait toutefois ne pas être seul à semer le chaos dans Gotham à en croire le titre du film, Joker : Folie à Deux (qui pourrait cependant n'être que provisoire). Mais plutôt qu'un complice, le titre pourrait tout aussi bien faire allusion au dédoublement de personnalité d'Arthur Fleck, un homme en apparence gentil et maladroit dont l'alter ego s'avère au contraire cruel et sadique, soit une autre façon de plonger dans la folie et les névroses du personnage.

Avant ça, Joaquin Phoenix retrouvera Ridley Scott pour son biopic sur Napoleon, et passera devant la caméra d'Ari Aster pour son prochain film Disappointment Blvd.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... v2BfiX4iyg
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EL a beaucoup aimé Men (4 étoiles) :

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Romancier de talent (La Plage), scénariste inspiré (28 jours plus tard, Sunshine) et désormais cinéaste surprenant (Ex Machina, Annihilation), Alex Garland ne cesse d’imposer ses univers avec une facilité déconcertante. Avec Men, mené par Jessie Buckley et Rory Kinnear, le bonhomme décortique une certaine idée de la masculinité toxique dans un cauchemar éveillé qui sait jouer intelligemment avec ses références issues du fantastique.

L'ATTAQUE DES CLONES


Dans la liste des adjectifs surutilisés par les critiques de cinéma (à commencer par l’auteur de ces lignes, qui plaide coupable), il y a le terme "viscéral". Alors qu’il est censé évoquer via son rapport aux entrailles le réveil d’un inconscient collectif et d’une vérité profonde de l’être humain, sa puissance d’évocation s’amoindrit à mesure qu’on l’emploie pour tout et n’importe quoi.

Pourquoi c’est embêtant ? Parce que Men est un film qui est, pour le coup, réellement viscéral, au point qu’il rappelle le sens originel du mot et sa force. Dès son introduction plastiquement bluffante, où les teintes irréelles d’un coucher de soleil baignent dans un appartement londonien, Alex Garland crée un sentiment de malaise qui chatouille l’estomac.

Avec cette lumière digne d’une toile de maître, le cinéaste fige le temps, et oblige sa caméra, tout comme Harper (géniale Jessie Buckley) à croiser le regard d’un homme en train de chuter du haut d’un immeuble. Cet homme, c’est son mari, dont elle vient d'annoncer le souhait de divorcer. L’événement est tellement rapide que l’héroïne aurait pu passer à côté. Mais non, le voilà inscrit à tout jamais dans sa rétine.

Or, tout l’intérêt de Men repose sur l’ambivalence du point de vue. Si cette scène introductive semble nous confirmer qu’on va adopter les yeux d'Harper, la suite contredit ce présupposé. Pour se ressourcer, le personnage décide de s’isoler dans la campagne anglaise. À son arrivée, elle est accueillie par Geoffrey, un propriétaire un peu lourdingue et intrusif. Mais alors qu’elle se balade dans la forêt ou dans le village du coin, il s’avère que tous les hommes ont le même visage, du pasteur local au barman en passant par un gamin mal élevé, celui du très investi Rory Kinnear.

HORREUR POST-#METOO

Le hic, c’est que cette information n’est jamais relevée par Harper. Le spectateur est-il le seul à constater cet élément étrange, ou n’est-elle juste pas plus choquée par la nouvelle ? Garland prend à bras le corps l’ambiguïté qui régit le genre du fantastique, de sorte à utiliser cette image explicite d’une masculinité uniforme en évitant le piège du pamphlet simpliste.

À l’instar de cet incompréhensible personnage d’homme nu progressivement recouvert de feuilles, Men se montre insaisissable, justement parce qu’il ne donne jamais de réponses aux diverses questions que l’on se pose au cours du visionnage. Dire du film qu'il est féministe est une évidence, mais préciser la nature de son regard sur l’homme n’est pas aussi aisé.

De la petite remarque désobligeante à l’agression physique, Harper subit dans un court laps de temps une forme de synthèse d’un quotidien malheureusement enduré par de trop nombreuses femmes. Peut-on l'expliquer par un problème profond d’éducation des hommes ? Par une société qui prône depuis trop longtemps une puissance masculine toxique et systémique ? Par les symboles d’une culture où la femme est toujours représentée comme la fautive ou le danger ? Ou tout simplement par la cruauté d'une majorité d'individus ?

Le brio de Men, c’est qu’il rend toutes ces interprétations valides, mais insuffisantes dans leur unicité. À la manière de pièces de puzzle qu’il est inutile d’isoler, Alex Garland laisse libre cours à la riche toile d’indices qu’il parsème le long du chemin, à commencer par ce pommier qui renvoie comme une ritournelle le féminin à l’image indélébile du péché originel. Le réalisateur fait confiance au pouvoir d’évocation de sa mise en scène, et évite de se retrouver coincé par des assertions prémâchées (soit tout l’inverse de l’autosatisfaction que pouvait afficher Darren Aronofsky sur des thèmes similaires avec Mother !).

FINAL GIRL PARMI D'AUTRES

En réalité, peu importe l’origine du Mal/mâle. Ce qui compte chez Garland, c’est cette suite de causes et de conséquences qui définissent l’être humain. Après tout, Ex Machina et Annihilation étaient portés par la figure du double, d’un autre à la fois similaire et différent. Qu’il s’agisse d’une intelligence artificielle fondée sur l’idée que son créateur se fait de l’Homme ou d’une énergie alien qui chamboule la constitution physique et chimique de ses hôtes, son cinéma revient toujours à une humanité qui cherche à comprendre (en vain) son essence.

C’est pourquoi Men est tout de suite magnifié par un geste de cinéma universel. Annihilation traitait déjà du poids du traumatisme, et du fait que la vie ne peut être comprise qu’à travers son impermanence, due aux influences diverses du monde qui nous entoure. Par ce postulat aussi simple que glaçant, le réalisateur développe cette inquiétante étrangeté par des inspirations horrifiques bien senties, et soutenues par un tempo incroyable. On en veut pour preuve cette tétanisante ironie dramatique lors d’une séquence de home invasion où Harper ne peut pas voir la menace qui se dirige vers elle.

Garland n’en oublie jamais de garder son expérience la plus ouverte possible, si bien qu’on accepte aisément son crescendo rapide vers son abstraction narrative et poétique. En puisant dans l’héritage du body-horror (et ce de manière vraiment crado), le cinéaste continue d’étendre son rapport à une naissance forcée, à la création d’une chair qui ne peut que devenir monstre au contact de l’autre.

Men n’en devient que plus beau, fascinant et déroutant. Alors qu’il assume de perdre joyeusement les pédales, il continue d’entretenir ce point de vue fluctuant, qui nous confronte à nos certitudes les plus profondes tout en déversant de la tripaille sur le sol. En voilà un vrai film “viscéral”, dans tous les sens du terme.

Men est bien plus que le film d'horreur aux accents féministes auquel on pourrait le réduire. Alex Garland perfectionne son approche du fantastique pour délivrer un récit puissamment dérangeant et vertigineux, dans lequel on a hâte de replonger pour en détricoter les multiples pistes de réflexion.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... iSxSSj21Hg
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mer. 8 juin 2022 13:56
Madonna a trouvé l'actrice qui va l'incarner dans son biopic (et on est chaud bouillant)

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La Reine de la pop, plus communément connue sous le nom de Madonna, a enfin trouvé l'actrice qui l'incarnera dans un biopic réalisé par ses propres soins.

Après le très gros succès de Bohemian Rhapsody, qui a récolté plus de 910 millions de dollars dans le monde en 2018, la folie des biopics était lancée. Ont depuis éclos Rocketman, Billie Holiday, Respect, Elvis (qui arrive le 22 juin sur nos écrans), mais aussi plusieurs films musicaux, qu'on ne peut pas vraiment considérés comme des biopics, dont Mamma Mia : Here We Go Again !, film reprenant les chansons du mythique groupe suédois ABBA, produit par Universal. Et c'est justement Universal qui va produire le biopic centré sur la Madone.

Comme son camarade Elton John, Madonna a souhaité voir adapter sa vie sur grand écran. En production depuis 2017, le projet a pris plus de temps que prévu, surement à cause d'un choix cornélien qui consiste à trouver LA bonne personne pour interpréter la pop star la plus influente de tous les temps. Depuis l'époque Like A Virgin, la Madone a eu une influence majeure sur la musique et a surtout été la première à bousculer autant des codes avant d'ouvrir la voie à ses enfants spirituels, Britney Spears ou encore Lady Gaga.

Si choisir l'acteur qui pourra endosser un rôle pareil n'est déjà pas facile, il l'est encore moins quand la personne au centre du biopic est également la réalisatrice. Car oui, ce sera bien Madonna elle-même qui dirigera le film de sa vie, épaulée à l'écriture par Erin Cressida Wilson, qui a notamment participé au scénario de La Fille du train.

Et si Madonna a mis du temps à trouver l'actrice parfaite pour son biopic, son choix serait enfin fait. Alors que Florence Pugh (Midsommar) et Sydney Sweeney (Euphoria) étaient envisagées, le rôle a finalement était confié à la magnétique Julia Garner selon Variety. Après de petits rôles, notamment dans le film Le Monde de Charlie, elle s'est fait reconnaitre grâce à son personnage de Ruth Langmore dans la série Ozark, qui lui vaut d'ailleurs deux Emmys. Récemment, elle interprétait le rôle principal de la série Netflix Inventing Anna.

Image

Le film racontera donc les débuts de la star qui, selon la légende, est arrivée à New York avec seulement 35 dollars en poche. Si pour le moment aucune autre information n'a été révélée, on a hâte de découvrir les premières images de Julia Garner en jeune et rebelle Madonna. Le film, qui n'a d'ailleurs pas encore de nom, n'a évidemment pas non plus de date de sortie.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... dIrCwHoj7c
Incroyable, cette coïncidence :ouch:
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ClintReborn
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Pale a écrit :
mer. 8 juin 2022 13:56
Madonna a trouvé l'actrice qui va l'incarner dans son biopic (et on est chaud bouillant)

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La Reine de la pop, plus communément connue sous le nom de Madonna, a enfin trouvé l'actrice qui l'incarnera dans un biopic réalisé par ses propres soins.

Après le très gros succès de Bohemian Rhapsody, qui a récolté plus de 910 millions de dollars dans le monde en 2018, la folie des biopics était lancée. Ont depuis éclos Rocketman, Billie Holiday, Respect, Elvis (qui arrive le 22 juin sur nos écrans), mais aussi plusieurs films musicaux, qu'on ne peut pas vraiment considérés comme des biopics, dont Mamma Mia : Here We Go Again !, film reprenant les chansons du mythique groupe suédois ABBA, produit par Universal. Et c'est justement Universal qui va produire le biopic centré sur la Madone.

Comme son camarade Elton John, Madonna a souhaité voir adapter sa vie sur grand écran. En production depuis 2017, le projet a pris plus de temps que prévu, surement à cause d'un choix cornélien qui consiste à trouver LA bonne personne pour interpréter la pop star la plus influente de tous les temps. Depuis l'époque Like A Virgin, la Madone a eu une influence majeure sur la musique et a surtout été la première à bousculer autant des codes avant d'ouvrir la voie à ses enfants spirituels, Britney Spears ou encore Lady Gaga.

Si choisir l'acteur qui pourra endosser un rôle pareil n'est déjà pas facile, il l'est encore moins quand la personne au centre du biopic est également la réalisatrice. Car oui, ce sera bien Madonna elle-même qui dirigera le film de sa vie, épaulée à l'écriture par Erin Cressida Wilson, qui a notamment participé au scénario de La Fille du train.

Et si Madonna a mis du temps à trouver l'actrice parfaite pour son biopic, son choix serait enfin fait. Alors que Florence Pugh (Midsommar) et Sydney Sweeney (Euphoria) étaient envisagées, le rôle a finalement était confié à la magnétique Julia Garner selon Variety. Après de petits rôles, notamment dans le film Le Monde de Charlie, elle s'est fait reconnaitre grâce à son personnage de Ruth Langmore dans la série Ozark, qui lui vaut d'ailleurs deux Emmys. Récemment, elle interprétait le rôle principal de la série Netflix Inventing Anna.

Image

Le film racontera donc les débuts de la star qui, selon la légende, est arrivée à New York avec seulement 35 dollars en poche. Si pour le moment aucune autre information n'a été révélée, on a hâte de découvrir les premières images de Julia Garner en jeune et rebelle Madonna. Le film, qui n'a d'ailleurs pas encore de nom, n'a évidemment pas non plus de date de sortie.


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Faust dire que son rôle dans Ozark se détache nettement pas étonnant quelle se soit faite repérée :o :D
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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robinne a écrit :
mer. 8 juin 2022 14:04
Incroyable, cette coïncidence :ouch:
C'est grâce à Clint et moi :o :D
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ClintReborn a écrit :
mer. 8 juin 2022 14:11
Faust dire que son rôle dans Ozark se détache nettement pas étonnant quelle se soit faite repérée :o :D
En regardant sa filmo, je l'avais déjà vu dans quelques trucs (Sin City 2 par exemple) mais c'est vrai qu'à cette époque j'ignorais totalement son existence.
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Wickaël
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Pas hyper convaincu par la BA de Black Adam. Ça manque d'épique.
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Pale
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... PILwLLZGTk

Une deuxième semaine fracassante pour Top Gun.
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Kit
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Wickaël a écrit :
mer. 8 juin 2022 22:11
Pas hyper convaincu par la BA de Black Adam. Ça manque d'épique.
la ba de BA ne t'a pas laissé béat :D
Modifié en dernier par Kit le jeu. 9 juin 2022 07:28, modifié 1 fois.
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9 juin
une pensée pour
Barbara 1930-1997 (chant)
Françoise Arnoul 1931-2021 (actr, French cancan)
Joe Santos 1931-2016 (act, Le Dernier Samaritain)
Francis Lemaire 1936-2013 (act, Les Aventures de Rabbi Jacob)
Luis Ocaña 1945-1994 (vainqueur du Tour de France)

bon anniversaire à
Kenny Barron 79 ans (jazz)
Patricia Cornwell 66 ans (romancière)
Michael J. Fox 61 ans
Aaron Sorkin 61 ans (scénar/product, Des hommes d'honneur, Le Président et Miss Wade, La Guerre selon Charlie Wilson, créateur série À la Maison-Blanche)
Johnny Depp 59 ans
David Koepp 59 ans (scénar, Jurassic Park (1993), The Lost World: Jurassic Park (1997), Indiana Jones et le Royaume du Crâne de cristal (2008) ; les films d'espionnage Mission: Impossible (1996) et Jack Ryan)
Sylvie Loeillet 58 ans (Caméra café)
Gloria Reuben 58 ans (Urgences)
Stéphane Plaza 52 ans (agent immob, animateur télé)
Jean Galfione 51 ans (perchiste or olymp 1996)
Sagamore Stévenin 48 ans (act, série Falco)
Michaela Conlin 44 ans (série Bones)
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Wickaël
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Kit a écrit :
jeu. 9 juin 2022 00:57
la ba de BA ne t'as pas laissé béat :D
Joli, tu es toujours en forme :D
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Wickaël a écrit :
jeu. 9 juin 2022 06:31
Kit a écrit :
jeu. 9 juin 2022 00:57
la ba de BA ne t'as pas laissé béat :D
Joli, tu es toujours en forme :D
ba BA au rabais (les qui?)
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Je découvre seulement ce Paul Thomas Anderson et c'est une belle petite claque. L'ambiance seventies, la mise en scène, le casting et la bande-originale, tout est vraiment excellent. Il règne un gros sentiment de liberté dans Boogie Nights et ça fait du bien. On se croirait parfois dans Once Upon a Time… in Hollywood de Tarantino. Un de mes films préférés du réalisateur aux côtés de Punch-drunk love.
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Wickaël a écrit :
mer. 8 juin 2022 22:11
Pas hyper convaincu par la BA de Black Adam. Ça manque d'épique.
Tu as vu celle de Prey ?
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Pale a écrit :
jeu. 9 juin 2022 08:41
Tu as vu celle de Prey ?
Oui, et j'ai été pleinement conquis !
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NaughtyDog a écrit :
jeu. 9 juin 2022 11:35
On perd quand même une grosse part de mystère.
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Oui mdr ^^
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NaughtyDog a écrit :
jeu. 9 juin 2022 15:05
Oui mdr ^^
tu as été gâté côté cinéma pour ton anniv ? :)
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Le concept est sympa : 2 femmes restent coincées au sommet d'une tour de transmission à très haute altitude au milieu de nulle part.

Le souci c'est que visuellement le teaser est très moche :D En espérant que ça passe mieux dans le film.
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ClintReborn
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Pale a écrit :
jeu. 9 juin 2022 18:13
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Le concept est sympa : 2 femmes restent coincées au sommet d'une tour de transmission à très haute altitude au milieu de nulle part.

Le souci c'est que visuellement le teaser est très moche :D En espérant que ça passe mieux dans le film.
:lol: Ils ont fait un teaser sur une tour en 3d moche digne d'une cinématique d'un jeu vidéo de 2005 :saint: Même la colorimétrie ne rattrape pas le sentiment d'un film complètement bidon sans budget :lol:
Le producteur a décidé que vu qu'il n'avait rien couté que c'était mieux de le sortir en salle plutôt qu'en DTV ? :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ClintReborn a écrit :
jeu. 9 juin 2022 18:36
:lol: Ils ont fait un teaser sur une tour en 3d moche digne d'une cinématique d'un jeu vidéo de 2005 :saint: Même la colorimétrie ne rattrape pas le sentiment d'un film complètement bidon sans budget :lol:
Le producteur a décidé que vu qu'il n'avait rien couté que c'était mieux de le sortir en salle plutôt qu'en DTV ? :lol:
Après je pense que cette scène en CGI c'est juste pour le teaser, c'est pour ça que j'espère que le rendu sera meilleur dans le film :D
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Pale a écrit :
jeu. 9 juin 2022 19:31
ClintReborn a écrit :
jeu. 9 juin 2022 18:36
:lol: Ils ont fait un teaser sur une tour en 3d moche digne d'une cinématique d'un jeu vidéo de 2005 :saint: Même la colorimétrie ne rattrape pas le sentiment d'un film complètement bidon sans budget :lol:
Le producteur a décidé que vu qu'il n'avait rien couté que c'était mieux de le sortir en salle plutôt qu'en DTV ? :lol:
Après je pense que cette scène en CGI c'est juste pour le teaser, c'est pour ça que j'espère que le rendu sera meilleur dans le film :D
Vu le palmarès du réalisateur j'ai pas vraiment confiance :lol: s'il a balancé le truc comme ça cela signifie beaucoup sur ses ambitions :saint:
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Hier soir j'ai revu un peu par hasard des scènes de Peur primale, film qui m'avait beaucoup marqué à l'époque. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant Laura Linney dedans :

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Du coup j'ai regardé sa filmo et j'ai halluciné car je l'ai déjà vu dans plusieurs films sans que je me rappelle d'elle. Par exemple elle joue la femme de Jim Carrey dans The Truman Show :

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C'est également l'héroïne du film Congo que j'ai vu plusieurs fois en VHS durant mon adolescence :D

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Bref, je l'avais déjà vu plusieurs fois mais sans que je m'intéresse davantage à elle. C'est vraiment dans Ozark qu'elle m'a interpellée et je ne l'oublierai jamais.
Modifié en dernier par Pale le jeu. 9 juin 2022 21:54, modifié 1 fois.
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Le trailer en VOST de Nope qui possède pas mal de différences :

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The Last of Us : la série HBO balance enfin une nouvelle photo avec Ellie et Joel

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Pedro Pascal et Bella Ramsey se révèlent en Ellie et Joel dans une nouvelle photo de la future série HBO The Last of Us.

C'est à l'occasion de la première soirée du Summer Game Fest que de fraîches annonces ont été faites à propos de la licence The Last of Us. Les plus fans des jeux vidéo auront immédiatement reconnu Neil Druckmann, producteur et scénariste de ceux-ci, alors qu'il apparaissait sur scène pour clore les festivités aux côtés de Geoff Keighley. Interrogé sur les différents projets autour de The Last of Us, il a évidemment commencé par donner quelques nouvelles à propos de futurs jeux, notamment avec un concept-art inédit.

Plus inattendu, le co-président de Naughty Dog évoqua également la série en cours de production chez HBO, et donc adaptant le jeu. Se montrant particulièrement enthousiaste à propos du projet (ne tarissant évidemment pas de compliments) Neil Druckmann promet une fin de tournage imminente : le dernier jour de celui-ci serait le 10 juin, aujourd'hui. Afin de célébrer l'arrivée prochaine de la série, il a dévoilé une nouvelle photo de celle-ci, nous laissant voir le duo bien connu des protagonistes du jeu original.

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Un deuxième visuel de Joel et Ellie, incarné par Pedro Pascal (The Mandalorian, Game of Thrones) et Bella Ramsey (Game of Thrones), qui nous en montre un peu plus sur leur apparence. Les héros de la licence apparaissant en alerte et vigilants, tout connaisseur des jeux saura à quoi ils tentent probablement d'échapper en se tenant ainsi. Pour les autres, ils auront l'occasion de découvrir la mystérieuse menace grâce à la série.

Également invités sur la même scène que Neil Druckmann, les doubleurs de Joel et Ellie dans les jeux ont pu annoncer qu'ils étaient au casting. La production étant donc sur le point de s'achever bientôt, on pourrait d'ores et déjà imaginer d'autres nouvelles images bientôt ainsi qu'une bande-annonce, et une éventuelle sortie de la série pour courant 2023.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... Hd57LBw3CE
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Pale
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Buzz l'éclair : les premiers avis sur le spin-off de Toy Story sont tombés

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Les premiers spectateurs de Buzz l'éclair, spin-off centré sur les aventures du célèbre ranger de l'espace, sont tombés. Le pari Pixar a-t-il été relevé ?

Fort du succès de son iconique franchise Toy Story, la filiale Disney-Pixar a décidé de capitaliser un peu plus sur le potentiel nostalgique des jouets animés au moyen d’un spin-off centré sur le célèbre astronaute de la Star Command. Un projet très attendu par les fans de la première heure dont la promotion aura toutefois souffert de quelques désagréments. En effet, Disney aurait essayé de supprimer du métrage un baiser lesbien, entre autres choses. Une tentative de censure qui aura causé une polémique retentissante, tant auprès du public que des employés Pixar. Excédés par les méthodes de Mickey, Pixar et ses employés s'étaient empressés de rédiger une lettre ouverte exigeant le rétablissement de la scène.

Le baiser réintégré, les spectateurs sont désormais censés pouvoir allègrement profiter du film signé par Angus MacLane. Annoncé pour la première fois courant 2020, le Starman made in Pixar fera donc le récit du célèbre astronaute qui a inspiré le jouet que ramène Woody sur Terre dans le premier volet de la franchise. Un choix narratif très méta qui aura eu le mérite de soulever quelques sourcils inquisiteurs, et que les premiers spectateurs américains se sont empressés de commenter. On a donc regroupé quelques tweets représentatifs d'avis pour le moins... composites.

« Est-ce que Buzz l’éclair mérite réellement d’exister ? Pas vraiment. Est-ce que le film est très bon malgré tout ? Ouaip. Un retour à l’aventure SF simultanément malin, émotionnel, et visuellement saisissant, porté par une bande originale majestueuse de Michael Giacchino. Du reste, préparez-vous à tomber amoureux de Socks. » Ian Sandwell – Digital Spy

« Socks est TOUT CE QUI COMPTE. J’ADORE Socks. Socks est l’un des meilleurs personnages jamais créés par Pixar. Voilà mon avis sur Buzz l’éclair. Je suis obsédée. » Perri Nemiroff - Collider

« Le Buzz l’éclair de Pixar est génialissime et plus encore. Un métrage SF ambitieux, excitant, émotionnel, et drôle qui n’est pas sans rappeler Star Wars ou encore L’Excellente aventure de Bill et Ted. Sincèrement, le métrage repose sur un récit superbement exécuté. J’ai adoré chaque seconde. Du grand Pixar selon moi. Je recommande VIVEMENT. » Erik Davis – Fandango

« Buzz l’éclair est une grande lettre d’amour à la science-fiction et tout son potentiel imaginatif et attractif. Le métrage dépeint à la perfection un monde à l’esthétique chatoyante, et un récit héroïque simultanément exaltant, immersif, et poignant. Chris Evans livre une performance formidable et donne à Buzz des couleurs qui ont du cœur. » Courtney Howard – Variety

« J’ai adoré Buzz l’éclair, le métrage est parvenu à suivre plusieurs filons (la SF pure, le voyage temporel, un hommage affectueux à la franchise Toy Story) avec succès sans jamais donner la sensation de trop forcer. C’est d'ailleurs fou que le résultat fonctionne. Que le film soit aussi efficace représente un accomplissement titanesque. Quelle aventure. » Drew Taylor – The Wrap

« Buzz l’éclair est globalement plaisant mais trop coincé dans le passé pour justifier son existence. Chris Evans apporte au personnage de Buzz une profondeur nouvelle, et Socks est un compagnon hilarant. L’action rythmée et frénétique, l’humour, et le capital sympathie des personnages sont tous au rendez-vous, toutefois, la médiocrité du récit témoigne d’un effort minimal de la part de Pixar. » Matt Neglia – Next Best Picture

« Buzz l’éclair est le premier film des studios Pixar à profiter d’une sortie en salle depuis la pandémie, et le premier métrage qui aurait dû ne sortir que sur Disney+. » David Ehrlich – IndieWire

Un nouveau métrage globalement bien reçu qui accuse toutefois quelques retours plus en demi-teinte. Si la grande majorité des critiques s’accordent à souligner l’attention bienvenue portée aux codes de la science-fiction, ainsi que la justesse dont Chris Evans semble faire preuve, certains journalistes dénoncent néanmoins une trame narrative pauvre et trop prisonnière de sa propre mythologie pour se réinventer réellement.

Interrogeant jusqu'au bien-fondé de la nécessité du métrage, entité supplémentaire à ajouter aux multiples volets, mini-séries, et courts-métrages constituant déjà la franchise, ces premiers retours relèvent malgré tout la qualité plastique, émotionnelle, voire attachante, dont profite cette nouvelle aventure. À noter par ailleurs, il se pourrait bien que Buzz l'éclair soit le dernier métrage du studio à connaître une sortie en salles sur l'Hexagone, Disney ayant vivement contesté la chronologie des médias française en annulant la sortie cinéma de son prochain film d'animation original, Avalonia, l'étrange voyage. L'odyssée spatiale sera donc à découvrir, sur grand écran, à compter du 22 juin.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 3ZGbjREBrE
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EL a modérément apprécié Le Haut du panier (3 étoiles) :

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Produit par LeBron James et Adam Sandler lui-même, avec plusieurs joueurs de la NBA au casting, Le Haut du panier réalisé par Jeremiah Zagar (We the Animals) ramène l'acteur dans le monde du basketball pour un drame sportif terriblement classique, mais tout de même prenant, sorti le 8 juin sur Netflix.

HE GOT GAME


Adam Sandler est un grand acteur, et aussi un fan invétéré des New York Knicks. Il ne manque pas une occasion d'aller voir un match au Madison Square Garden. Si le parieur excentrique qu'il incarnait dans Uncut Gems lui avait déjà permis d'illustrer la frénésie qu'il pouvait ressentir pour la balle orange (ce qui explique peut-être pourquoi c'est une des meilleures performances de sa carrière), Le Haut du Panier semble être un projet taillé pour le laisser exprimer tout son amour pour le basketball, en même temps que son talent.

C'est d'ailleurs ce qu'il fait, dans un monologue au milieu du film, lorsque son personnage de recruteur fatigué des Sixers de Philadelphie, Stanley Sugarman, essaie de raviver la flamme qu'il a perçue chez son prodige espagnol, Bo Cruz, joué par le joueur professionnel Juancho Hernangómez.

Avec ses vêtements trop larges et sa barbe grisonnante qui fait ressortir son sourire et ses traits usés, le comédien délaisse à nouveau les bouffonneries humoristiques qui l'ont fait connaître pour continuer d'explorer son versant plus dramatique dans un rôle de type moyen et désabusé, qu'il incarne comme si c'était lui-même. Son implication et sa passion se ressentent à chaque prise de parole, à chaque geste, et permettent au film de marquer des points malgré toutes les fautes qu'il commet.

Le Haut du Panier s'en tient au plan de jeu et reprend bêtement tous les clichés d'un film du genre : les traditionnels discours d'encouragement aux moments difficiles, les entraînements répétés, les obstacles à franchir et d'autres rebondissements attendus jusqu'au match final. Cependant, la mise en scène rugueuse et immersive de Jeremiah Zagar, sa capacité à capturer les mouvements des corps sur le terrain, les expressions et l'essence même du jeu, donnent de la personnalité et du corps à ce qui n'aurait pu être qu'un énième drame sportif dans le catalogue de Netflix.

Caméra à l'épaule, le réalisateur et son directeur de la photographie Zak Mulligan tentent constamment de donner du style, du dynamisme et de l'originalité à l'image pour transformer et élever chaque élément de base d'un récit déjà connu. Comme une évidence, la séquence d'entraînement où Bo court dans les rues de Philadelphie rappelle d'abord Rocky, puis gagne en intensité et trouve son propre tempo quand la musique hip-hop se mêle à la partition électronique de Dan Deacon et aux cris de motivation d'Adam Sandler dans un montage électrisant en deux parties.

Face à l'acteur, Juancho Hernangómez s'avère étonnement crédible pour son premier rôle à l'écran dans la peau de ce garçon taciturne qui affiche une mine de chien battu. Outre ses prouesses athlétiques et son physique magnétique, le joueur des Utah Jazz laisse transparaître un naturel qui le rend aussitôt attachant. Et la douce alchimie entre lui et Adam Sandler apporte une touchante sincérité qui donne envie de suivre ce duo jusqu'au bout de leur quête de gloire et de reconnaissance, même si la fin est écrite d'avance.

NEVER BACK DOWN

À travers le récit de ce recruteur chevronné qui s'accroche désespérément à ce jeune talent espagnol pour espérer devenir coach, Le Haut du Panier aurait pu aborder la reconnaissance du basket étranger aux États-Unis, le processus de recrutement compliqué de la NBA, le changement de vie soudain d'un candidat à la Draft, les coulisses d'une équipe du banc jusqu'aux joueurs ou les rouages financiers, politiques et économiques complexes derrière les parquets et les paillettes.

Autant de sujets que le film traite de façon succincte ou délaisse délibérément, préférant plutôt raconter la même histoire patente et simpliste de rêves brisés et de rédemption, entre Jerry Maguire et The Way Back.

En substance, le scénario donne l'impression que Taylor Materne s'est contenté de reprendre l'histoire qu'il a écrite pour NBA 2K19 ou 2K20 en demandant à Will Fetters d'y apporter un tant soit peu de profondeur et d'enjeux grâce à son expérience sur Remember Me, The Lucky One et A Star Is Born.

Tous les éléments constitutifs du mode carrière de NBA 2K se retrouvent dans le film, et les joueurs sauront les reconnaître du premier coup d'oeil : la découverte d'un jeune talent inconnu dans un quartier miteux d'une ville lui offrant une chance de sortir de la misère et d'atteindre ses rêves ; le rival qui provoque le joueur à chacune de leurs rencontres (interprété ici par Anthony Edwards) ; la réputation à entretenir sur les réseaux sociaux avec des partenariats ou des publicités et même les différents exercices sur le terrain d'entraînement pour améliorer sa vitesse, sa détente ou son agilité.

La plupart des rôles secondaires tenus par Queen Latifah, Robert Duvall, Ben Foster ou Heidi Gardner ne se limitent donc qu'à des apparitions anecdotiques, quand ils ne tombent pas directement dans la caricature, et le film suit le même déroulé programmatique et générique que le jeu vidéo, jusqu'aux apparitions de vrais joueurs au sein du récit.

À ce niveau, le nom de Lebron James à la production est certainement ce qui a permis de réunir une telle myriade de stars et de légendes de la NBA et du streetball sur le terrain et en dehors (Julius Erving, Dirk Nowitzki, Allen Iverson, Boban Marjanović, José Calderón, Kyle Lowry, Trae Young, Grayson "The Professor" Scott Boucher ou encore Shaquille O'Neal, pour ne citer qu'eux). Kenny Smith, l'ancien joueur et actuel commentateur pour TNT, donne une performance assez solide en tant qu'ami et ancien coéquipier d'Adam Sandler. Les autres, eux, servent essentiellement à faire de la figuration et apporter encore un peu plus d'authenticité à cette déclaration d'amour qui prend parfois des airs de spot publicitaire pour la NBA.

N'importe quel fan de basketball devrait être comblé, ne serait-ce que pour toutes les séquences de match qu'il offre et son impressionnant casting, mais ceux qui attendent autre chose qu'un film sportif qui raconte la même histoire que d'habitude devraient plutôt se rabattre sur l'excellent High Flying Bird de Steven Soderbergh.

Le Haut du panier est disponible depuis le 8 juin sur Netflix

Entre promotion pour la NBA et ode au basket-ball, Le Haut du panier compense son scénario prévisible et simpliste récupéré d'un jeu vidéo par son parterre de stars, son savoir-faire technique et sa passion, qu'Adam Sandler insuffle comme si chaque action était la dernière.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... KYJdCKh9vk
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Cocu
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Pale a écrit :
jeu. 9 juin 2022 21:18
Hier soir j'ai revu un peu par hasard des scènes de Peur primale, film qui m'avait beaucoup marqué à l'époque. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant Laura Linney dedans :

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Du coup j'ai regardé sa filmo et j'ai halluciné car je l'ai déjà vu dans plusieurs films sans que je me rappelle d'elle. Par exemple elle joue la femme de Jim Carrey dans The Truman Show :

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C'est également l'héroïne du film Congo que j'ai vu plusieurs fois en VHS durant mon adolescence :D

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Bref, je l'avais déjà vu plusieurs fois mais sans que je m'intéresse davantage à elle. C'est vraiment dans Ozark qu'elle m'a interpellée et je ne l'oublierai jamais.
Ça m'avait fait ça pour Mark Ruffalo 🤣
Pouet
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Pale
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:hello:

Hier j'ai vu :

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Un peu réticent au début mais j'ai trouvé ça très bien. L'énergie déployée et le rythme font qu'on n'a pas le temps de s'ennuyer même si on n'est pas fan de basket. Adam Sandler prouve encore une fois qu'il peut être un immense acteur, il joue avec un naturel déconcertant. Après voilà le déroulement est assez convenu mais ça reste un très bon moment.
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Wickaël
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:hello:

Pour ma part j'ai revu 28 jours plus tard hier soir, toujours excellent, ça vieillit bien.

Ce soir Monster Hunter :D

Et la semaine je continue GoT, j'en suis à la moitié de la saison 2.

Et pour finir, j'ai passé un test avec une psychologue pour savoir si j'étais HPI fin avril, et j'ai eu les résultats cette semaine. Je ne le suis pas (en fait le seul critère qui coince c'est le vocabulaire, j'ai énormément de mal à trouver des mots pour m'exprimer oralement).
Mais le test m'a également permis de connaître mon QI, qui est de 136.
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Propre le QI @Wickaël ! :o

Question, qu'est-ce qui t'a poussé à faire le test pour le HPI ?
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ClintReborn
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Wickaël a écrit :
dim. 12 juin 2022 10:05
:hello:

Pour ma part j'ai revu 28 jours plus tard hier soir, toujours excellent, ça vieillit bien.

Ce soir Monster Hunter :D

Et la semaine je continue GoT, j'en suis à la moitié de la saison 2.

Et pour finir, j'ai passé un test avec une psychologue pour savoir si j'étais HPI fin avril, et j'ai eu les résultats cette semaine. Je ne le suis pas (en fait le seul critère qui coince c'est le vocabulaire, j'ai énormément de mal à trouver des mots pour m'exprimer oralement).
Mais le test m'a également permis de connaître mon QI, qui est de 136.
Vu les symptômes de l'hpi j'ai même pas besoin de faire un test je coche tous les critères :lol: :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Wickaël
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Next a écrit :
dim. 12 juin 2022 12:00
Propre le QI @Wickaël ! :o

Question, qu'est-ce qui t'a poussé à faire le test pour le HPI ?
Merci.

C'est ma psychiatre qui a voulu que j'en fasse un (le WAIS-IV) par rapport à mon suivi suite au décès de mon fils l'année dernière. De fil en aiguille elle m'a proposé de le passer et j'ai accepté. J'ai de base beaucoup de facilité pour apprendre des choses, la mémoire etc. Et comme je remplis en ce moment un dossier MDPH ça pouvait aussi aider, ne pouvant plus assumer un poste à plein temps.
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Wickaël a écrit :
dim. 12 juin 2022 12:14
Next a écrit :
dim. 12 juin 2022 12:00
Propre le QI @Wickaël ! :o

Question, qu'est-ce qui t'a poussé à faire le test pour le HPI ?
Merci.

C'est ma psychiatre qui a voulu que j'en fasse un (le WAIS-IV) par rapport à mon suivi suite au décès de mon fils l'année dernière. De fil en aiguille elle m'a proposé de le passer et j'ai accepté. J'ai de base beaucoup de facilité pour apprendre des choses, la mémoire etc. Et comme je remplis en ce moment un dossier MDPH ça pouvait aussi aider, ne pouvant plus assumer un poste à plein temps.
Ok intéressant. :jap:
A plusieurs reprises dans ma vie, on m'a conseillé de faire ce genre de test, mais je n'ai jamais pris le temps.
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robinne
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weird

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dim. 12 juin 2022 12:43
Wickaël a écrit :
dim. 12 juin 2022 12:14
Next a écrit :
dim. 12 juin 2022 12:00
Propre le QI @Wickaël ! :o

Question, qu'est-ce qui t'a poussé à faire le test pour le HPI ?
Merci.

C'est ma psychiatre qui a voulu que j'en fasse un (le WAIS-IV) par rapport à mon suivi suite au décès de mon fils l'année dernière. De fil en aiguille elle m'a proposé de le passer et j'ai accepté. J'ai de base beaucoup de facilité pour apprendre des choses, la mémoire etc. Et comme je remplis en ce moment un dossier MDPH ça pouvait aussi aider, ne pouvant plus assumer un poste à plein temps.
Ok intéressant. :jap:
A plusieurs reprises dans ma vie, on m'a conseillé de faire ce genre de test, mais je n'ai jamais pris le temps.
pourquoi on te l’a conseillé ? :??:
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ClintReborn
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robinne a écrit :
dim. 12 juin 2022 13:24
Next a écrit :
dim. 12 juin 2022 12:43
Wickaël a écrit :
dim. 12 juin 2022 12:14


Merci.

C'est ma psychiatre qui a voulu que j'en fasse un (le WAIS-IV) par rapport à mon suivi suite au décès de mon fils l'année dernière. De fil en aiguille elle m'a proposé de le passer et j'ai accepté. J'ai de base beaucoup de facilité pour apprendre des choses, la mémoire etc. Et comme je remplis en ce moment un dossier MDPH ça pouvait aussi aider, ne pouvant plus assumer un poste à plein temps.
Ok intéressant. :jap:
A plusieurs reprises dans ma vie, on m'a conseillé de faire ce genre de test, mais je n'ai jamais pris le temps.
pourquoi on te l’a conseillé ? :??:
Bonne question :o
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Ca découlait souvent de discussion sur le sujet, et plus pour vérifier parce que j'ai toujours rempli certains critères comme Wickael (mémoire, facilités d'apprentissage, curiosité exacerbée, créativité, stabilité émotionnelle, etc...).

Dans un cas c'était par une personne elle-même diagnostiquée HPI d'ailleurs.

Mais bon je n'ai jamais vraiment suffisamment ressenti le besoin de savoir pour le faire. :D
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Cocu
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Wickaël a écrit :
dim. 12 juin 2022 10:05
:hello:
Et pour finir, j'ai passé un test avec une psychologue pour savoir si j'étais HPI fin avril, et j'ai eu les résultats cette semaine. Je ne le suis pas (en fait le seul critère qui coince c'est le vocabulaire, j'ai énormément de mal à trouver des mots pour m'exprimer oralement).
Mais le test m'a également permis de connaître mon QI, qui est de 136.
Comment elle peut conclure que tu n'es pas hpi avec un QI à 136? A partir de 130 c'est hpi. Même si hétérogène avec des items plus bas.. si ça ne t'ennuie pas de me donner tes scores dans les différents items?
Pouet
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Et du coup, qui regarde la série HPI ? :D

Vu :

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La première heure est excellente et d'une maitrise incroyable. Malheureusement la suite ça passe ou ça casse mais perso je n'ai pas adhéré. Le film se transforme en un espèce de trip métaphorique d'une lourdeur incommensurable qui a tendance à plomber l'ensemble.
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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Sur Netflix :

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Wickaël
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Cocu a écrit :
dim. 12 juin 2022 16:21
Comment elle peut conclure que tu n'es pas hpi avec un QI à 136? A partir de 130 c'est hpi. Même si hétérogène avec des items plus bas.. si ça ne t'ennuie pas de me donner tes scores dans les différents items?
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Et @Pale, je ne regarde pas la série :D
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weird

Next a écrit :
dim. 12 juin 2022 16:07
Ca découlait souvent de discussion sur le sujet, et plus pour vérifier parce que j'ai toujours rempli certains critères comme Wickael (mémoire, facilités d'apprentissage, curiosité exacerbée, créativité, stabilité émotionnelle, etc...).

Dans un cas c'était par une personne elle-même diagnostiquée HPI d'ailleurs.

Mais bon je n'ai jamais vraiment suffisamment ressenti le besoin de savoir pour le faire. :D
Ok :jap:

En fait, la question que je me pose est : à quoi ça sert de le savoir ?
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Pour moi tu es largement hpi 😅 un profil un peu hétérogène mais beaucoup de point dans les THPI! J'avais lu que parfois quand un des items est très en décalé comme ici (même si pour toi ça reste dans la norme c'est pas catastrophique !) ça pouvait montrer un "trouble Dys" (dyslexie, dysphasie, etc..).
Je lis pas mal sur les hpi car ma fille a passé le test en novembre, elle est hpi homogène à 130. J'ai passé moi aussi le test il y a quelques années en tant qu'adulte mais il n'a pas été très révélateur. Je l'avais passé enfant, vers 4 ans, on m'a fait sauter une classe. Je n'ai pas le compte rendu mais il était autour de 130 apparemment. Là adulte on n'a pas retrouvé de chiffre très haut, à part l'IVT (indice de vitesse de traitement), la psychologue s'est surtout concentrée sur mes problèmes dépressifs 😅
Du coup tu prends comment les résultats ?
Je ne regarde pas non plus la série.
Pouet
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Cocu a écrit :
dim. 12 juin 2022 19:30
Pour moi tu es largement hpi 😅 un profil un peu hétérogène mais beaucoup de point dans les THPI! J'avais lu que parfois quand un des items est très en décalé comme ici (même si pour toi ça reste dans la norme c'est pas catastrophique !) ça pouvait montrer un "trouble Dys" (dyslexie, dysphasie, etc..).
Je lis pas mal sur les hpi car ma fille a passé le test en novembre, elle est hpi homogène à 130. J'ai passé moi aussi le test il y a quelques années en tant qu'adulte mais il n'a pas été très révélateur. Je l'avais passé enfant, vers 4 ans, on m'a fait sauter une classe. Je n'ai pas le compte rendu mais il était autour de 130 apparemment. Là adulte on n'a pas retrouvé de chiffre très haut, à part l'IVT (indice de vitesse de traitement), la psychologue s'est surtout concentrée sur mes problèmes dépressifs 😅
Du coup tu prends comment les résultats ?
Je ne regarde pas non plus la série.
J'ai tout un dossier à donner à ma psychiatre, c'est avec elle qu'on déterminera vraiment le résultat.
Perso je le prends plutôt bien, je savais que j'avais de bonnes capacités d'apprentissage mais je me sous-estimais. Le test a duré 2h et j'en étais ressorti complètement rincé. Mais ça me fait du bien de le savoir, je vais pouvoir en apprendre plus sur moi-même et surtout pouvoir exercer un nouveau métier où mes compétences serviront vraiment à quelque chose.
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Wickaël a écrit :
dim. 12 juin 2022 19:40
Perso je le prends plutôt bien, je savais que j'avais de bonnes capacités d'apprentissage mais je me sous-estimais. Le test a duré 2h et j'en étais ressorti complètement rincé. Mais ça me fait du bien de le savoir, je vais pouvoir en apprendre plus sur moi-même et surtout pouvoir exercer un nouveau métier où mes compétences serviront vraiment à quelque chose.
👍 Tu fais quoi actuellement ? Quel domaine t'intéresse ?
Pouet
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