Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Charlie et la Chocolaterie : premier aperçu de Timothée Chalamet dans le costume de Willy Wonka

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L'acteur Timothée Chalamet a dévoilé un aperçu de son prochain personnage, l'excentrique Willy Wonka, au coeur du spin-off de Charlie et la Chocolaterie.

Avant qu'il renfile l'armure de Paul Atréides dans la suite de Dune (qui n'a cependant pas encore été officialisée, malgré l'assurance du réalisateur Denis Villeneuve),Timothée Chalamet (Un jour de pluie à New York, Les Filles du Docteur March, Call Me by Your Name) devra une fois de plus sortir de sa zone de confort en incarnant un personnage bien éloigné de ses rôles habituellement plus dramatiques et posés. Le jeune acteur en vogue a ainsi décroché le rôle-titre du prochain Wonka, un prequel sur l'excentrique Willy Wonka de Charlie et la Chocolaterie, le célèbre roman du tout aussi célèbre écrivain Roald Dahl, déjà adapté en 1971 par Mel Stuart et en 2005 par Tim Burton.

Le Franco-Américain succédera ainsi aux acteurs Gene Wilder, Johnny Depp, et plus brièvement Blair Dunlop, qui ont prêté leur visage au personnage. Une occasion pour lui d'interpréter un personnage beaucoup plus énergique, voire hyperactif, et de révéler ses talents en chant et en danse dans les séquences musicales qui ponctueront le film, actuellement en tournage. Mais même s'il va encore falloir attendre un peu pour voir l'acteur desserrer la mâchoire et l'écouter faire ses vocalises, ce dernier a dévoilé un premier aperçu plutôt engageant du jeune confiseur sur Instagram.

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On retrouve ainsi l'apparence soignée et toute l'élégance aristocratique du personnage haut en couleur, qui n'a pas troqué sa fameuse veste prune en velours, ni son haut-de-forme. Ce prequel en développement se déroulera donc plusieurs années avant l'ouverture de l'emblématique chocolaterie, avec Olivia Colman, Sally Hawkins et Rowan Atkinson pour mener le casting, qui sera complété par Keegan-Michael Key, Tom Davis, Kobna Holdbrook-Smith, Mathew Baynton, Jim Carter et Rich Fulcher. Le film est réalisé par Paul King (Paddington, Paddington 2) et co-écrit avec Simon Farnaby (également au casting).

Avant Wonka, qui devrait débarquer en salles en mars 2023, Timothée Chalamet sera sur Netflix, au casting de la comédie Don't Look Up, attendue le 24 décembre prochain sur la plateforme. Après Call Me by Your Name, l'acteur retrouvera également le réalisateur Luca Guadagnino pour Bones And All, qui n'a pas encore dévoilé de date de sortie.

De son côté, le géant du streaming prévoit également de réactualiser l'oeuvre de Roald Dahl (dont il a racheté une large partie des droits) avec une série première chapeautée par Taika Waititi, annoncée en mars 2006.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1633936589
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ClintReborn
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Pale a écrit :
lun. 11 oct. 2021 14:57
On retrouve ainsi l'apparence soignée et toute l'élégance aristocratique du personnage haut en couleur, qui n'a pas troqué sa fameuse veste prune en velours, ni son haut-de-forme. Ce prequel en développement se déroulera donc plusieurs années avant l'ouverture de l'emblématique chocolaterie,
C'est plusieurs années avant donc parce que pour le moment Wonka ne ressemble pas a un aristocrate bien soignée... :lol: C'est la première version de son costume mais cela reste un costume fauché ! :o
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Pas vu posté ici, même si je n'ai pas tout lu :

https://popcorn-syfy.com/

Une nouvelle version sortie il y a quelques jours :)
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Kahled
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Hello ! La BA de Scream c’est aujourd’hui non ?
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Kahled a écrit :
mar. 12 oct. 2021 12:01
Hello ! La BA de Scream c’est aujourd’hui non ?
Yep
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robinne
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weird

Next a écrit :
lun. 11 oct. 2021 17:26
Pas vu posté ici, même si je n'ai pas tout lu :

https://popcorn-syfy.com/

Une nouvelle version sortie il y a quelques jours :)
J’ai tout perdu en 3 mauvaises réponses :cry:
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robinne a écrit :
mar. 12 oct. 2021 12:41
Next a écrit :
lun. 11 oct. 2021 17:26
Pas vu posté ici, même si je n'ai pas tout lu :

https://popcorn-syfy.com/

Une nouvelle version sortie il y a quelques jours :)
J’ai tout perdu en 3 mauvaises réponses :cry:
Je suis resté bloqué à 40/42 et avec une erreur. J'ai save, mais les deux derniers je ne vois pas du tout.
Je suppose que ça concerne deux séries que je n'ai pas vues.
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:hello:

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Next a écrit :
mar. 12 oct. 2021 14:21
robinne a écrit :
mar. 12 oct. 2021 12:41
Next a écrit :
lun. 11 oct. 2021 17:26
Pas vu posté ici, même si je n'ai pas tout lu :

https://popcorn-syfy.com/

Une nouvelle version sortie il y a quelques jours :)
J’ai tout perdu en 3 mauvaises réponses :cry:
Je suis resté bloqué à 40/42 et avec une erreur. J'ai save, mais les deux derniers je ne vois pas du tout.
Je suppose que ça concerne deux séries que je n'ai pas vues.
40/42 ? :eek:
Chapeau :jap:
Je ne veux pas m'inscrire, donc je ne sauvegarde pas :lol:
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Disney : après Halloween Kills, David Gordon Green va réaliser un film sur Disneyland

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Changement d'ambiance pour le réalisateur David Gordon Green qui après Halloween Kills va réaliser un film pour Disney sur Disneyland et son créateur.

Disney a toujours entretenu une forme d'autophagie, se nourrissant de ses propres franchises et propriétés pour étendre son influence. Et il ne s'agit pas que des films ou séries du catalogue, mais aussi de des parcs à thèmes et attractions, qui continuent d'être adaptées sur les écrans, avec les prochains Pirates des Caraïbes 6, Jungle Cruise 2, Tower of Terror ou The Haunted Mansion.

Si le studio a commencé à explorer son héritage dans les documentaires The Imagineering Story et Behind the Attraction sur Disney+, ou dans le film Dans l'ombre de Mary, qui revient sur l'écriture compliquée de Mary Poppins avec Tom Hanks dans la peau du créateur, la compagnie aux grandes oreilles compte encore sur feu Walter Elias Disney, plus communément appelé Walt Disney, pour inspirer du contenu sur la plateforme de streaming.

Le studio a donc prévu un nouveau film à destination de Disney+, qui racontera comment Walt Disney a créé Disneyland en Californie, le premier parc à avoir ouvert ses portes en juillet 1955. Il a en effet fallu des années pour transformer une partie des orangeraies d'Anaheim en un parc à thème emblématique connu dans le monde entier.

D'après Deadline, Disney a fait appel au réalisateur David Gordon Green pour mettre en scène un scénario écrit par Evan Spiliotopoulos, un habitué de Disney après le remake de La Belle et la Bête et son travail sur plusieurs suites de classiques DTV, qui a plus récemment co-écrit Snake Eyes, La chapelle du diable et Charlie's Angels (c'est-à-dire rien de bien rassurant). Le producteur Jason Reed a tout de même passé un an à développer le pitch avant de le présenter à Disney. Au-delà du scénariste, le choix d'engager David Gordon Green peut également poser question.

D'abord parce qu'il ne verse pas habituellement dans les productions familiales, ne serait-ce qu'avec la nouvelle trilogie Halloween, dont le deuxième volet, Halloween Kills, doit sortir le 20 octobre prochain. Mais surtout parce que le cinéaste s'est ensuite engagé à réaliser le dernier Halloween Ends pour 2022, en plus de la prochaine trilogie The Exorcist, développée par Jason Blum et Universal Pictures, dont le premier opus est prévu pour 2023. Reste donc à savoir quand le film prévoit d'atterrir sur Disney+ et quel sera son casting, en particulier l'interprète de Walt Disney.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1634023101
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The Killer : le thriller Netflix de David Fincher avec Michael Fassbender agrandit son casting

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Après la série Mindhunter et le film Mank, le réalisateur David Fincher sera de retour sur Netflix avec The Killer, un nouveau thriller qui a agrandi son casting.

Après le film cinéphile Mank, sorti en novembre 2020 il ne faudra - heureusement - pas attendre aussi longtemps qu'après le Gone Girl de 2014 pour que David Fincher repasse derrière la caméra. Malgré tout, on risque de mettre un moment à revoir le travail du cinéaste sur grand écran, étant donné son contrat d'exclusivité avec Netflix, qui hébergera ses futures productions pour les quatre prochaines années à venir. Si on retient donc notre respiration en attendant la validation d'une saison 3 de Mindhunter, Fincher prépare en ce moment un autre thriller, plus proche de ses précédents films que son dernier-né consacré à l'écriture belliqueuse du Citizen Kane.

Ce prochain film s'appelle The Killer et il s'agit de l'adaptation d'une série de bande-dessinées, Le Tueur (The Killer en anglais) de l'auteur français Matz (Alexis Nolent de son vrai nom) et du dessinateur Luc Jacamon. Fincher travaille sur ce projet depuis de nombreuses années et le réservait initialement à la Paramount, jusqu'à ce que le géant du streaming se rapproche du réalisateur. Le film se concentrera donc sur Le Tueur, un tueur à gages anonyme, méthodique et solitaire incarné par Michael Fassbender (Assassin's Creed, 300, X-Men : Dark Phoenix). Ce dernier honore ses contrats de sang-froid jusqu'à ce qu'il plonge dans une crise existentielle et se découvre une conscience dans un monde sans morale.

Plus récemment, l'actrice Tilda Swinton (Narnia, Constantine, The Dead Don't Die), qui faisait l'objet de plusieurs rumeurs depuis quelques mois, a confirmé sa présente au casting lors d'un entretien avec The Playlist, sans pour autant donner de détails sur ce prochain rôle. Si le film devrait toujours poser ses caméras à Paris, le tournage qui devait commencer en novembre prochain a cependant été reporté à l'année prochaine, à une date encore inconnue, probablement parce que l'actrice est occupée par le tournage du prochain film de Wes Anderson en Espagne.

Pour ce prochain thriller, Fincher a de nouveau fait appel au directeur de la photographie Erik Messerschmidt, déjà à l'oeuvre sur Mindhunter et Mank, pour lequel il a d'ailleurs décroché son premier Oscar. Mais également au scénariste Andrew Kevin Walker qui a notamment écrit l'excellent Seven de 1995, en plus de Sleepy Hollow, La légende du cavalier sans tête ou Wolfman.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1633940166
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Florian Zeller a fini le tournage de The Son avec Hugh Jackman, Laura Dern et... Anthony Hopkins

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L'acteur oscarisé pour The Father revient dans cette suite du même réalisateur.

The Father fut l'un des gros succès de ce début d'année. Son réalisateur Florian Zeller, qui a reçu l'Oscar du meilleur scénario adapté (partagé avec Christopher Hampton) en s'inspirant de sa propre pièce à succès, a rapidement annoncé qu'il comptait lui donner une suite, en portant à l'écran une autre de ses pièces, The Son. Dans la continuité de The Father, ce drame familial a été filmé entre la France, les Etats-Unis et l'Angleterre, et son créateur vient d'annoncer sur Instagram que son tournage était terminé. Surprise, il ajoute qu'il sera porté par Anthony Hopkins, qui incarnait le personnage principal de The Father, un père vieillissant souffrant de démence, un rôle qui lui a valu l'Oscar du meilleur acteur.

"A la fin d'un voyage intense et prenant, le tournage de The Son est fini, écrit Zeller. Ce fut une joie extraordinaire de travailler avec les merveilleux Hugh Jackman, Laura Dern, Vanessa Kirby, Zen McGrath... et Anthony Hopkins." Il remercie ensuite ses producteurs et ajoute qu'il a hâte de démarrer le montage de son film, qui devrait sortir l'année prochaine au cinéma.

A propos de ses retrouvailles avec Anthony Hopkins, c'est au sein d'un communiqué relayé par le Hollywood Reporter qu'il détaille que le comédien de 83 ans jouera un personnage qui n'existait pas dans la pièce d'origine : "Après l'aventure que représentait The Father, je ne pouvais pas refaire un film sans Anthony. Il a été le premier à lire le scénario de The Son, puisque l'un des personnages a été écrit spécialement pour lui. L'avoir à nos côtés pour raconter cette nouvelle histoire fut un honneur, une joie profonde et beaucoup d'émotion."

Hugh Jackman a lui aussi partagé quelques photos des coulisses de la création de The Son, en compagnie du réalisateur et de Laura Dern. Lui a terminé ses scènes il y a trois jours, et il remercie Florian Zeller pour sa "capacité à être si clair dans sa direction d'acteurs, ce qui nous permet de nous sentir libres de créer". Il salue ensuite ses partenaires féminines ("travailler avec vous fut un vrai plaisir"), puis conclut : "De Londres à Marseille en passant par les rues de New York... Jusqu'à la prochaine fois !"


https://premiere.fr/Cinema/News-Cinema/ ... ZFdzS3sjNE

Ayant adoré The Father, j'attends impatiemment ce nouveau film de Florian Zeller.
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weird

Pale a écrit :
mar. 12 oct. 2021 15:14
Disney : après Halloween Kills, David Gordon Green va réaliser un film sur Disneyland
C'est quand qu'il refait un film qui ne rapportera pas un rond ? :o
Comme Prince of Texas
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robinne a écrit :
mar. 12 oct. 2021 17:46
Pale a écrit :
mar. 12 oct. 2021 15:14
Disney : après Halloween Kills, David Gordon Green va réaliser un film sur Disneyland
C'est quand qu'il refait un film qui ne rapportera pas un rond ? :o
Comme Prince of Texas
Je ne sais pas :D

L'Autre Rive et Snow Angels sont pas mal aussi.
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weird

Pale a écrit :
mar. 12 oct. 2021 18:04
robinne a écrit :
mar. 12 oct. 2021 17:46
Pale a écrit :
mar. 12 oct. 2021 15:14
Disney : après Halloween Kills, David Gordon Green va réaliser un film sur Disneyland
C'est quand qu'il refait un film qui ne rapportera pas un rond ? :o
Comme Prince of Texas
Je ne sais pas :D

L'Autre Rive et Snow Angels sont pas mal aussi.
Pas vu Snow Angels :sweat:
J'avais bien aimé Joe aussi, avec Nicolas Cage : https://www.imdb.com/title/tt2382396
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robinne a écrit :
mar. 12 oct. 2021 18:07
J'avais bien aimé Joe aussi, avec Nicolas Cage : https://www.imdb.com/title/tt2382396
Et Votre Majesté ? :D

Il me fait délirer ce film.
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Pale a écrit :
mar. 12 oct. 2021 18:35
Et Votre Majesté ? :D

Il me fait délirer ce film.
Oh ce film est juste énorme :lol:
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C'est tres reussi The Last Duel (meilleur Scott depuis 2007 si on enlève le très sous-estimé Cartel) !
Le debut est un peu brinquebalant, où la presentation des persos et du contexte est un chouilla entaché par un rythme hachuré (et un montage perfectible)
Mais à mesure que le film avance le recit se revele plus passionnant, prenant, pertinant et subtil qu'il en a l'air (on peut aussi faire un parallèle avec Benedetta)
C'est bien bien ecrit (influence marquée du Rashomon de Kurosawa en montrant la meme intrigue via plusieurs points de vue) et si la real dd Scott aurait pu etre plus flamboyante, le coté austere et plus terre a terre sied bien au métrage
Point de grandiloquence a la Gladiator ou Kingdom of Heaven : il y a certes une tres belle production design
Qqes plans de reconstitution d'epoque tres reussis mais on est dans un drame a hauteur d'hommes
Un recit non binaire, montrant la vanité d'hommes gangrenés par un systeme monarchique masculiniste
Meme la mise en scene offre de subtils changements selon le point de vue du recit (Matt Damon montré initialement comme le chevalier blanc en prend pour son grade ensuite, vice versa pour Adam Driver, qui roule sur tout le cast encore une fois)
Jodie Comer est comme d'hab tres boen (dzns un registre plus classique que dans ses precedentes perf
Et Matt Damon malgré sa moumoute et son bouc peroxydé est delicieusement detestable
On est aussi sur un film carré, une superproductuon qui m'a étonné par sa violence graphique, et ça fait du bien de voir Scott là dedans sans retenue (meme si qqes plans de bataille assez anecdotiques et sans doute filmés en 2nde equipe arrivent au debut)
La musique est sympa bien que ça manque de themes

Bref, c'est vraiment bien


7.5 ou 8/10
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weird

Pale a écrit :
mar. 12 oct. 2021 18:35
robinne a écrit :
mar. 12 oct. 2021 18:07
J'avais bien aimé Joe aussi, avec Nicolas Cage : https://www.imdb.com/title/tt2382396
Et Votre Majesté ? :D

Il me fait délirer ce film.
Pas vu.
C'est pourtant un film qui pourrait me toucher en plein coeur :saint:
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Pale a écrit :
mar. 12 oct. 2021 18:36
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La présence de Carrie Coon attise... ma curiosité :D
Pale a écrit :
mar. 12 oct. 2021 20:11
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Benedict Cumberbatch :bounce:
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robinne a écrit :
mer. 13 oct. 2021 09:29
Pas vu.
C'est pourtant un film qui pourrait me toucher en plein coeur :saint:
Faut pas que tu sois allergique à l'humour trop WTF :D
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Squid Game : la série Netflix explose les scores et le record du meilleur démarrage

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Netflix a révélé que Squid Game était la série ayant réalisé le meilleur démarrage de l'histoire de la plateforme, pulvérisant le précédent record.

Squid Game, le drame dystopique sud-coréen resté longtemps dans les cartons de son créateur Hwang Dong-hyuk et devenu un phénomène instantané lors de son arrivée sur la plateforme Netflix n'en finit pas de battre des records et de générer de l'audience. Si récemment Netflix avait partagé les plus gros succès de la plateforme, Squid Game n'avait pas encore terminé ses 28 premiers jours d'exploitation et n'était donc pas éligible à une présence sur les graphiques de Ted Sarandos.

La question brûlait alors déjà nos lèvres : où atterrirait Squid Game dans ce classement alors largement dominé par La Chronique des Bridgerton ? La réponse vient de nous parvenir grâce à Netflix, qui a révélé que Squid Game avait été visionné durant ses 17 premiers jours d'exploitation par 111 millions de foyers abonnés. Si aucun programme n'était parvenu à atteindre la barre des 100 millions en 28 jours, Squid Game a pulvérisé ce nombre en seulement 17. Pour rappel, un visionnage correspond au lancement d'au moins 2 minutes de la série, excluant de fait les erreurs ou clics accidentels sur le programme.

La série sud-coréenne n'a pas seulement conquis le record du programme avec le meilleur lancement, elle l'a explosé. Si La Chronique des Bridgerton avait comptabilisé 82 millions de visionnages en 28 jours, Squid Game en a charmé plus de 111 en 17 jours seulement avec sa vision froide de la société sud-coréenne et du sort qu'elle réserve à ses citoyens les plus marginaux. Jusqu'où la série parviendra-t-elle à monter à l'issue de ces fameux 28 premiers jours ?

Le succès de Squid Game ne tient-il que dans son casting riche et sa direction artistique léchée ? Si le programme est indiscutablement d'une grande qualité, il semblerait qu'il ait bénéficié de nombreux coups de pouce. D'abord, il arpente une voie pavée d'or par le gouvernement sud-coréen, qui s'est attelé à rendre le divertissement du Pays du matin calme le plus attractif possible depuis des décennies. Après les dramas ou la k-pop (qui avait déjà conquis le public mondial grâce, entre autres, au phénomène BTS), ce sont les films et séries sud-coréennes qui ont reçu un franc soutien des gouvernants.

Ensuite, Squid Game a bénéficié de l'excellente forme du cinéma coréen, qui s'était déjà mis au centre de la pièce grâce à Parasite, succès qui avait valu quatre oscars à Bong Joon-ho, réalisateur iconique du cinéma sud-coréen contemporain. Comme Parasite, Squid Game explore le côté sombre des inégalités sociales du point de vue des marginaux de la société (de l'honnête réfugié clandestin pakistanais à la mystérieuse transfuge nord-coréenne), et de la violence qu'ils subissent, mais aussi qu'ils sont capables d'infliger en retour.

Enfin, les thématiques de la série à succès de Netflix, si elles n'ont rien d'original malgré leur excellente mise en scène, ont peut-être profité de l'algorithme qui a su les recommander aux spectateurs d'un autre programme similaire, Alice In Borderland. Le moyen de constituer une base solide de spectateurs et commencer à faire monter la sauce, ce qui a justifié les termes de "succès d'algorithme" qu'on a pu entendre à propos de la série.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... 1634119427
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weird

Pale a écrit :
mer. 13 oct. 2021 14:51
robinne a écrit :
mer. 13 oct. 2021 09:29
Pas vu.
C'est pourtant un film qui pourrait me toucher en plein coeur :saint:
Faut pas que tu sois allergique à l'humour trop WTF :D
J'ai vu Zombieland avant-hier, et j'ai supporté. Ca irait ? :D
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EL a adoré Le Dernier Duel (4,5 étoiles) :

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Quatre ans après Alien : Covenant et Tout l'argent du monde, et quelques semaines seulement avant la sortie de son House of Gucci, l'immense Ridley Scott revient sur le grand écran avec Le Dernier Duel. Un retour en grâce pour le Britannique de 83 ans, livrant un morceau de bravoure passionnant en plus d'une réflexion sociétale moderne percutante.

KINGDOM OF HELL


Adapté du roman Le Dernier Duel : Paris, 29 décembre 1386 d'Eric Jager, le long-métrage de Ridley Scott avait tout du projet un peu casse-gueule ou de la fausse bonne idée. Raconter une énième histoire médiévale et un duel historique (le dernier connu en France) en plus de 2h30 aurait rapidement pu devenir lassant, surtout si l'ensemble avait été narré de manière chronologique en mêlant les points de vue dans un seul et même arc. Sauf que très vite, les a priori tombent devant Le Dernier Duel grâce à une entrée en matière d'une efficacité affolante qui vient pleinement chambouler le spectateur.

S'ouvrant sur les premières secondes de la joute à mort qui va voir s'affronter Jean de Carrouges (Matt Damon) et Jacques Le Gris (Adam Driver), le film dépeint immédiatement la brutalité à venir. La vie de ces deux hommes va se jouer à coups de lances, glaives et poings dans une arène scrutée par un public prêt à assister à une confrontation sauvage et surtout devant une femme, Lady Marguerite (Jodie Comer), victime livrée à la volonté de Dieu.

Cette femme, Ridley Scott la filme ouvertement comme la troisième participante de ce duel à mort grâce au montage parallèle de cette introduction. Alors même que les hommes se parent de leur armure, elle enfile de son côté une robe. Tout un symbole, sa tenue de tous les jours est donc, en même temps, son armure quotidienne, prouvant en quelques secondes que sa vie est un combat permanent (plus particulièrement contre les hommes).

Car derrière cette brutalité physique au coeur de ce duel masculin, se cachent une brutalité et une cruauté sociétale envers une femme (visage de nombreuses autres), subissant les lois en vigueur et engluée dans un trio dont elle ne maîtrise pas le sort. Et alors que le duel s'annonce, le film choisit avec intelligence de revenir en arrière, pour mieux développer les tenants et aboutissants de ce conflit, et surtout en comprendre les vrais enjeux.

BATTLE OF THE SEXES

Là réside la grande force de Le Dernier Duel : sa narration. Les trois scénaristes Matt Damon, Ben Affleck et Nicole Holofcener ont décidé de raconter le récit à travers le regard des trois personnages concernés par cette affaire, à savoir Jean de Carrouges dans un premier temps, Jacques Le Gris dans un deuxième temps et finalement Lady Marguerite.

Loin de la simple reconstitution d'un événement historique, Le Dernier Duel se la joue donc Rashomon, le grand film d'Akira Kurosawa. À première vue, suivre les trois points de vue du trio, à travers trois chapitres différents se mettant pleinement à leur place, semble un peu facile, voire mollasson. Mais au contraire, cet effet est l'origine d'un joyau d'écriture plein de nuances et de subtilités.

Un moyen habile de mieux confronter les regards et perceptions de chacun sur l'accusation portée par Lady Marguerite, à savoir son viol par Jacques le Gris, alors même qu'elle est mariée à Jean de Carrouges.

Cette triple analyse de l'affaire confère au récit une puissance remarquable. Durant les différents chapitres (d'environ 40 minutes chacun), les versions changent, les perspectives varient et les regards des personnages (ainsi que des spectateurs sur les personnages) évoluent en fonction des découvertes, des discordances, des ressentis de chacun. Avec érudition, les personnages sont donc développés à merveille, prenant de plus en plus de poids et complexité au fil des minutes, la manière dont ils se décrivent ne correspondant pas forcément à la réalité de l'autre et inversement.

Le scénario est d'ailleurs suffisamment malin pour éviter de trop différencier les différents points de vue. Cela pourra potentiellement rendre le procédé un peu superflu pour certains (les versions étant vraiment très proches, certains pourront trouver l'ensemble redondant), mais cela montre un peu plus la finesse du récit, préférant déployer les versions différentes à travers la seule perception (réelle) des personnages (et non leur possible mensonge).

Ainsi, sans chercher à mentir, le personnage de Matt Damon se voit bien plus juste et aimable qu'il ne l'est réellement, quand celui d'Adam Driver nie les faits en connaissance de cause, pensant légitimement être dans son bon droit et ne pas avoir violé Marguerite (alors même que son arc est sans équivoque). Pire, les deux hommes se pensent les héros victimisés de ce conflit alors même qu'ils en sont, finalement, les bourreaux oppresseurs. Cette nuance très fine des versions vient alors appuyer tout le propos du long-métrage : seul le regard de Marguerite compte en vérité.

PROMISING STRONG WOMAN

Avec ce concept narratif audacieux, Lady Marguerite a enfin le droit à la parole qu'elle mérite. Dans ce conflit historique, il aura souvent (uniquement) été question du duel entre les deux chevaliers (et de l'honneur bafoué de Jean de Carrouges) et de leur opinion-regard-perspective sur la situation, mais jamais vraiment de Marguerite, véritable victime de ce viol. Et pourtant, ce duel de couilles dissimule en réalité celui d'une femme contre le patriarcat, et tristement, il s'agit du dernier... avant le prochain.

Dans une société patriarcale et viriliste, remettre l'histoire en avant avec ce point de vue féminin offre enfin la possibilité à Lady Marguerite de dire sa vérité (considérée comme LA vérité par les scénaristes) et de donner au duel épique et violent qui en découlera, une saveur bien différente. La prise de parole de Lady Marguerite est en effet un véritable cataclysme et une prise de risque bien plus importante que son silence éternel.

En dénonçant l'acte publiquement, elle confie son destin entre les mains de son mari dont la potentielle défaite la guiderait vers une mort atroce et douloureuse, subissant jusqu'au bout la situation. Et évidemment, si la condition des femmes a évolué depuis le 14e siècle, le long-métrage résonne particulièrement avec notre époque, le rôle des femmes, leur place, leur statut, leur voix... rendant l'ensemble plus émouvant et pertinent.

Du reste, au-delà de ce scénario très moderne et des réflexions toujours passionnantes sur la religion, on ne l'aura pas assez dit, le chevalier Ridley Scott fait un retour éclatant sur grand écran. De la reconstitution minutieuse de la France du 14e (un Paris en pleine construction) aux batailles chevaleresques impressionnantes (quelle énergie et quel souffle) en passant par tous les petits détails artistiques qui jalonnent son récit savamment construit, sa mise en scène est divine, preuve de la maîtrise absolue de son art (bien aidé par le montage précieux de Claire Simpson et son fidèle chef opérateur Dariusz Wolski).

Le découpage en trois parties distinctes narrant des versions opposées impose aux acteurs une palette de jeux bien plus larges qu'à l'accoutumée, les poussant dans leurs retranchements émotionnels et physiques. Le trio principal impressionne ainsi à tous les niveaux, tant il est obligé, à cause du scénario, de changer d'attitudes, de tons, de gestuelles... en fonction du point de vue mis en avant par le récit.

À ce jeu-là, Matt Damon et Adam Driver s'élèvent l'un et l'autre à tour de rôle jusqu'à un duel final mémorable à la beauté glaçante et la férocité frappante. De son côté, Ben Affleck est superbe en enfoiré de comte d'Alençon, complètement en roue libre en parfait partouzard. Mais sans grande surprise, c'est bien Jodie Comer, en Lady Marguerite, qui vient voler la vedette dans la peau de ce personnage humilié, sincère et donc attachant.

Après avoir marqué les esprits dans Killing Eve, la comédienne s'érige un peu plus comme l'une des grandes actrices de sa génération. Pas étonnant que Ridley Scott l'ait déjà choisi pour incarner Joséphine de Beauharnais dans son futur biopic napoléonien Kitbag, où elle endossera, sans doute encore à merveille, le poids d'une figure également effacée par la mégalomanie de son époux. La routine d'une Histoire qu'il est temps de dégommer.

Le Dernier Duel enflamme tout. Un pur joyau d'écriture modernisant et féminisant avec érudition ce conflit historique grâce à l'effet Rashomon, et sublimer par la mise en scène d'un Ridley Scott divin. Impactant, pertinent et captivant.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1634115916
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Blonde : le film Netflix sur Marilyn Monroe devrait garder ses scènes de sexe explicites

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Après la polémique, Netflix devrait finalement conserver les scènes de sexe explicites de Blonde, le prochain biopic sur Marilyn Monroe avec Ana de Armas.

Le réalisateur Andrew Dominik (L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford) caresse enfin du bout des doigts le rêve de concrétiser son biopic sur Marilyn Monroe, plus d'une décennie après le début de son développement. Pourtant, après avoir trouvé l'actrice Ana de Armas (Blade Runner 2049, Mourir peut attendre) pour incarner Norma Jeane - de son vrai nom - et terminé le tournage, le projet est resté plus longtemps que prévu en post-production.

Le film Blonde est adapté du roman et best-seller biographique fictionnel éponyme écrit par Joyce Carol Oates et retracera la vie de l'icône et sex-symbol du 20e siècle, mais sans le voile glamour et pailleté qui enveloppe d'ordinaire la figure idéalisée de la star hollywoodienne. En août dernier, les médias ont ainsi rapporté que Netflix aurait été "horrifié" par les scènes graphiques et explicites à caractère sexuel, en particulier une séquence de viol et un cunnilingus menstruel sanglant.

La plateforme aurait ainsi entamé un bras de fer avec le réalisateur pour qu’il change son montage final, ce qui serait lié au report du film en 2022 et son absence à la dernière Mostra de Venise. Si Netflix n'a bien évidemment jamais confirmé ou nié ces rumeurs, aucune raison officielle n'a été donnée pour justifier ce retard de sortie.

Si querelle il y avait, le géant du streaming aurait donc cédé face à l'intransigeance du cinéaste, puisque d'après Slash Film, la plateforme aurait accorder à Blonde une classification NC-17 (interdit aux moins de 18 ans aux États-Unis), soit un classificiation déjà rare en salles et encore moins présente sur les plateformes de streaming, mais qui devrait assurer l'authenticité du montage d'origine - un des arguments de la plateforme pour attirer les créateurs - et la radicalité du long-métrage, qui n'aura apparemment rien d'un gentil film à Oscars.

Même si elle risque d'accaparer la caméra, on pourra retrouver aux côtés d'Ana de Armas les acteurs Adrien Brody, Bobby Cannavale, Sara Paxton, Julianne Nicholson, Rebecca Wisocky et Toby Huss. Aucune nouvelle date de sortie n'a encore été annoncée, mais la polémique autour du film pourrait finalement être un bon coup de promo pour Netflix et le prochain biopic, qui ne manquera pas de faire du bruit à sa sortie.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1634106073
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robinne a écrit :
mer. 13 oct. 2021 14:55
J'ai vu Zombieland avant-hier, et j'ai supporté. Ca irait ? :D
C'est carrément pire, je ne sais pas si tu as déjà testé des comédies avec Danny McBride et James Franco ? :D
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Pour Squid Game je fais partie du panel Netflix, j'en ai vu deux minutes.

Concernant Marilyn il faut savoir que la belle a fait son chemin à Hollywood à la force du poignet si je puis dire et selon Marlon Brando un de ses meilleurs amis elle lui aurait confié qu'elle savait que coucher était une obligation pour faire un film.
Dans Feud la série il est aussi question des débuts de Joan Crawford qui a pas mal roulé sa bosse à ses débuts.
Concernant Grace Kelly sa réputation n'était plus à faire à Hollywood, selon des témoignages elle se serait enfilé des poignées de porte pour dénicher un riche producteur....
Les actrices prêtes à sucer un pot d'échappement pour tourner un bout de film étaient légion. D'un côté il est normal que Marilyn en ait fait roter plus d'un avec ses caprices et ses retards....Hollywood l'a tuée...
Il est tout à fait normal qu'aujourd'hui les actrices fassent cracher les producteurs au bassinet et mettent en tôle les mecs qui les ont fait se déssaper devant eux puis une turlute pour finir.
Les scènes de sexe explicites sont donc une composante indispensable dans l'histoire de Marilyn pour témoigner de la violence sexuelle et morale dont elle a été la victime.
J'adore Marilyn elle a été la plus grande icône du cinéma Mondial
Edit : Avec Ana de Armas cela va le faire même si Marilyn est inégalable bien sûr.
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BOX OFFICE STORY a écrit :
mer. 13 oct. 2021 15:05
Pour Squid Game je fais partie du panel Netflix, j'en ai vu deux minutes.

Concernant Marilyn il faut savoir que la belle a fait son chemin à Hollywood à la force du poignet si je puis dire et selon Marlon Brando un de ses meilleurs amis elle lui aurait confié qu'elle savait que coucher était une obligation pour faire un film.
Dans Feud la série il est aussi question des débuts de Joan Crawford qui a pas mal roulé sa bosse à ses débuts.
Concernant Grace Kelly sa réputation n'était plus à faire à Hollywood, selon des témoignages elle se serait enfilé des poignées de porte pour dénicher un riche producteur....
Les actrices prêtes à sucer un pot d'échappement pour tourner un bout de film étaient légion. D'un côté il est normal que Marilyn en ait fait roter plus d'un avec ses caprices et ses retards....Hollywood l'a tuée...
Il est tout à fait normal qu'aujourd'hui les actrices fassent cracher les producteurs au bassinet et mettent en tôle les mecs qui les ont fait se déssaper devant eux puis une turlute pour finir.
Les scènes de sexe explicites sont donc une composante indispensable dans l'histoire de Marilyn pour témoigner de la violence sexuelle et morale dont elle a été la victime.
J'adore Marilyn elle a été la plus grande icône du cinéma Mondial
Edit : Avec Ana de Armas cela va le faire même si Marilyn est inégalable bien sûr.
Un film n'a pas besoin de scènes de sexe explicites pour exister :lol: Ou alors faut vraiment avoir un certain gout pour le voyeurisme.... Et un réalisateur sans talent sauf pour faire du porno :roll:
Faut quand même se méfier de ce genre dé témoignages ou sont les sources ? C'est souvent vraiment douteux et malsain :saint: Kelly avait surtout un bon réseau pour débuter par exemple comme son oncle George Kelly :o
Bref je n'aime pas non plus la vulgarité évidemment que des systèmes weinstein il y en avait par le passé mais ces personnes étaient avant tout des victimes dominées par des producteurs peu scrupuleux et toutes n'ont pas percées dans le milieu pour autant... :roll:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ClintReborn a écrit :
mer. 13 oct. 2021 16:48
Un film n'a pas besoin de scènes de sexe explicites pour exister :lol: Ou alors faut vraiment avoir un certain gout pour le voyeurisme.... Et un réalisateur sans talent sauf pour faire du porno :roll:
Tout dépend du propos du film.
Et explicite ne veut pas dire pornographique ni non plus nécessairement "non simulé".

Je considère la scène de viol de Irréversible "explicite" et nécessaire pour l'ambition et la puissance du film, sans pour autant qu'elle sombre dans la pornographie.
Comme tout autre forme de violence parfois crue au cinéma.
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mer. 13 oct. 2021 17:14
ClintReborn a écrit :
mer. 13 oct. 2021 16:48
Un film n'a pas besoin de scènes de sexe explicites pour exister :lol: Ou alors faut vraiment avoir un certain gout pour le voyeurisme.... Et un réalisateur sans talent sauf pour faire du porno :roll:
Tout dépend du propos du film.
Et explicite ne veut pas dire pornographique ni non plus nécessairement "non simulé".

Je considère la scène de viol de Irréversible "explicite" et nécessaire pour l'ambition et la puissance du film, sans pour autant qu'elle sombre dans la pornographie.
Comme tout autre forme de violence parfois crue au cinéma.
Je n'ai pas vu irréversible :saint: Mais je pense qu'on peut suggérer une scène de sexe d'une façon marquante sans pour autant faire étalage de corps et de positions; rien qu'en filmant des yeux par exemple... :roll: Surtout que la on ne parle pas de personnages mais de personnes réelles qui n'auraient sans doute pas donner leur accord pour qu'on les mettent en scène de cette façon et que par l’intermédiaire d'un film on dégrade leur image en poussant le voyeurisme aussi loin. Bref je n'ai pas besoin de voir les seins de Marilyn en 4K pour me sentir concerné par ses difficultés... :o :D
Modifié en dernier par ClintReborn le mer. 13 oct. 2021 17:45, modifié 2 fois.
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J'ai beaucoup aimé malgré quelques réserves. C'est une série très riche et profonde abordant des sujets tels que la mort, le deuil ou le fanatisme. Les personnages sont très bien écrits et c'est du pain béni pour les acteurs qui livrent des performances incroyables. C'est un des points forts de la série, son casting irréprochable et ses dialogues. Le rythme est également très bon même si il est lancinant, la série opère une belle montée en puissance jusqu'à l'épisode 6 qui est un peu le climax. J'avoue avoir été un peu déçu par le dernier épisode malgré la beauté des 10 dernières minutes. Hormis cela, le déroulement des événements dans ce dernier épisode m'a moyennement convaincu. Mais dans l'ensemble ça reste une série maitrisée et encore un coup de maître de Mike Flanagan.
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Top des séries vues en 2021 :

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1. Norsemen - Saison 3
2. Norsemen - Saison 1
3. Norsemen - Saison 2
4. Cobra Kai - Saison 2
5. Cobra Kai - Saison 1

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6. Cobra Kai - Saison 3
7. Sermons de minuit - Saison 1
8. Invincible - Saison 1

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9. WandaVision - Saison 1
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Ça en dévoile beaucoup mais l'ambiance a de la gueule.
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ClintReborn
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Pale a écrit :
mer. 13 oct. 2021 17:53


Ça en dévoile beaucoup mais l'ambiance a de la gueule.
Avec cette miniature j'ai vraiment cru que c'était "The Mask 3 Ultimatum" un truc du genre :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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L'ambiance du trailer m'a fait penser un peu à Ça :D
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mer. 13 oct. 2021 15:00
robinne a écrit :
mer. 13 oct. 2021 14:55
J'ai vu Zombieland avant-hier, et j'ai supporté. Ca irait ? :D
C'est carrément pire, je ne sais pas si tu as déjà testé des comédies avec Danny McBride et James Franco ? :D
Je ne pense pas avoir eu cette chance :o
Pale a écrit :
mer. 13 oct. 2021 17:42
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J'ai beaucoup aimé malgré quelques réserves. C'est une série très riche et profonde abordant des sujets tels que la mort, le deuil ou le fanatisme. Les personnages sont très bien écrits et c'est du pain béni pour les acteurs qui livrent des performances incroyables. C'est un des points forts de la série, son casting irréprochable et ses dialogues. Le rythme est également très bon même si il est lancinant, la série opère une belle montée en puissance jusqu'à l'épisode 6 qui est un peu le climax. J'avoue avoir été un peu déçu par le dernier épisode malgré la beauté des 10 dernières minutes. Hormis cela, le déroulement des événements dans ce dernier épisode m'a moyennement convaincu. Mais dans l'ensemble ça reste une série maitrisée et encore un coup de maître de Mike Flanagan.
C’est l’affiche québécoise ?
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Pale
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robinne a écrit :
mer. 13 oct. 2021 19:52
C’est l’affiche québécoise ?
Oui mais le titre est le même chez nous.
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mer. 13 oct. 2021 20:08
robinne a écrit :
mer. 13 oct. 2021 19:52
C’est l’affiche québécoise ?
Oui mais le titre est le même chez nous.
C’est La dernière demeure des Hill qui m’a fait tiquer.
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robinne a écrit :
mer. 13 oct. 2021 20:16
C’est La dernière demeure des Hill qui m’a fait tiquer.
Indeed :D
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ClintReborn
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Petite immortalisation cinématographique de deux grands disparus à Martigues :love2:

Statues de Bronze Fernandel et Bourvil
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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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