Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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La bande-annonce se fait bien démonter par les internautes.

J'avoue avoir ri à la lecture de ce commentaire : "Que dis-je, c’est un cap ! C’est une pénainsule !" :D
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Colin Firth face aux Nazis dans Operation Mincemeat : bande-annonce

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L'histoire vraie de l'imposture mise en place par les services secrets britanniques, pour cacher aux Allemands leur intention d'envahir la Sicile.

Après son diptyque Indian Palace, John Madden est de retour pour Operation Mincemeat, un grand film militaire sur la Seconde Guerre Mondiale, adapté du roman éponyme de Ben Macintyre. Le réalisateur britannique oscarisé pour Shakespeare in love en 1999 signe une grande fresque d'espionnage, qui raconte l'histoire vraie incroyable du plan fomenté par l'Armée de sa Majesté et le MI:5...

Nous sommes en 1943. Les Alliés sont déterminés à briser l'emprise d'Hitler sur l'Europe occupée et à planifier un assaut général contre la Sicile ; mais ils sont confrontés à un défi impossible : protéger leur force d'invasion d'un massacre potentiel... Il revient à deux remarquables officiers du renseignement, Ewen Montagu (Colin Firth) et Charles Cholmondeley (Matthew Macfadyen), de rêver la stratégie de désinformation la plus inspirée et la plus improbable de la guerre - centrée sur le plus improbable des agents secrets : un homme mort.

Avec aussi Jason Isaacs et Kelly McDonald, Operation Mincemeat sortira en France le 5 janvier 2022 au cinéma.




https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... EipC1kIhrw
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Titane, quatrième meilleur démarrage d'une Palme d'or au box-office US

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Seuls Fahrenheit 9/11, Pulp Fiction et Sailor & Lula ont fait mieux.

Sorti dans seulement 562 cinémas ce week-end aux Etats-Unis, Titane de Julia Ducournau, a empoché 530 000 dollars de recettes en trois jours, soit plus que son premier film, Grave, tout au long de sa carrière américaine (il avait fini sa course à 515 000). Un joli coup pour son distributeur Neon, analyse Le Film Français, car en plus d'être proposé sur peu d'écrans, le film a écopé d'une restriction R-Rated (déconseillé aux moins de 17 ans non accompagnés d'un adulte), ce qui réduisait potentiellement son public.

Titane entre ainsi dans le top 10 du week-end américain (tout juste en dernière position du classement dominé par Venom 2), mais enregistre surtout le quatrième meilleur démarrage d'une Palme d'or là-bas, derrière celles de Fahrenheit 9/11, de Michael Moore, de Pulp Fiction, de Quentin Tarantino, et de Sailor & Lula, de David Lynch.

En France, Titane est également un succès avec 300 000 entrées. "Malgré le contexte et l’instauration du pass sanitaire 4 jours seulement après sa consécration cannoise, Titane a franchi la barre des 300 000 entrées France, se félicite Didier Lacourt, à la tête de Diaphana, dans Le Film Français. Depuis 2011, seuls trois films interdits aux moins de 16 ans (toute nationalité confondue) ont pu dépasser ce score ! A titre indicatif, c’est le double des entrées du précédent film de Julia Ducournau, Grave."


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... kuLNHWbtI8
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Pale a écrit :
mer. 6 oct. 2021 23:33
Colin Firth face aux Nazis dans Operation Mincemeat : bande-annonce

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L'histoire vraie de l'imposture mise en place par les services secrets britanniques, pour cacher aux Allemands leur intention d'envahir la Sicile.

Après son diptyque Indian Palace, John Madden est de retour pour Operation Mincemeat, un grand film militaire sur la Seconde Guerre Mondiale, adapté du roman éponyme de Ben Macintyre. Le réalisateur britannique oscarisé pour Shakespeare in love en 1999 signe une grande fresque d'espionnage, qui raconte l'histoire vraie incroyable du plan fomenté par l'Armée de sa Majesté et le MI:5...

Nous sommes en 1943. Les Alliés sont déterminés à briser l'emprise d'Hitler sur l'Europe occupée et à planifier un assaut général contre la Sicile ; mais ils sont confrontés à un défi impossible : protéger leur force d'invasion d'un massacre potentiel... Il revient à deux remarquables officiers du renseignement, Ewen Montagu (Colin Firth) et Charles Cholmondeley (Matthew Macfadyen), de rêver la stratégie de désinformation la plus inspirée et la plus improbable de la guerre - centrée sur le plus improbable des agents secrets : un homme mort.

Avec aussi Jason Isaacs et Kelly McDonald, Operation Mincemeat sortira en France le 5 janvier 2022 au cinéma.




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:hello:
L'Homme qui n'a jamais existé (The Man Who Never Was) USA/GB de Ronald Neame 1956
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Kit a écrit :
jeu. 7 oct. 2021 03:13
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:hello: Ça a l'air bien !
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Je connaissais cette histoire historique assez folle et dire que le principal intéressé ne saura jamais qu'il a joué un rôle clef dans l'histoire :roll: :ouch:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Pale a écrit :
jeu. 7 oct. 2021 09:47
Kit a écrit :
jeu. 7 oct. 2021 03:13
:hello:
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:hello: Ça a l'air bien !
oui très bien, la même histoire que ton film Operation Mincemeat. il était sur Youtube mais je n'arrive plus à le retrouver
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Box-office France : avant la tornade James Bond, Dune passe un beau cap

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Dune ne laisse rien ni personne passer, renvoyant les nouveautés aux tréfonds du top 10, Candyman en tête.

Si on avoue se faire du mouron pour la sortie de Dune aux États-Unis, en simultané sur HBO Max et en salles, ce 22 octobre 2021, son maintien dans l'Hexagone a de quoi nous tirer deux ou trois sifflements d'admiration. Avec 500 000 entrées en troisième semaine d'exploitation pour un bilan de près de 2,3 millions de spectateurs, l'adaptation de la saga de Frank Herbert peut se permettre de fixer ses illustres prédécesseurs de la catégorie SF dans le bleu des yeux.

On pense bien sûr aux deux derniers Christopher Nolan dans cette catégorie : l'autre "hit" période Covid-19, Tenet, et Interstellar. Le premier achevait sa carrière à 2,3 millions d'entrées tandis que la promenade dans le temps et dans l'espace de Matthew McConaughey s'arrêtait à 2,6 millions d'entrées. Deux scores que Dune pulvérisera sans doute à la fin de sa carrière, même si le mastodonte James Bond - Mourir peut attendre risque de lui dérober les faveurs du public ainsi que la première place du classement français.

"Chute" et "échec" sont deux mots que Boîte noire a banni de son vocabulaire depuis longtemps. Après un mois d'exploitation, le thriller de Yann Gozlan n'a toujours pas quitté la deuxième place et se permet même d'enregistrer une chute de seulement 3% pour cette quatrième semaine. Un joli succès et un beau message envers l'industrie comme le public : ambition et prise de risque peuvent payer mieux que paresse et sécurité.

On n'est pas sûr que la misère soit moins pénible au soleil, mais en tout cas, le succès doit être d'autant plus doux. Pour sa septième semaine, Bac Nord chute de seulement ne perd que 14% de fréquentation et engrange 136 000 entrées pour un cumul de près de 1 951 millions d'entrées. Un nombre d'entrées qui lui permettra de tutoyer ou de dépasser les 2,181 millions d'entrées de...Les Misérables en 2019, autre succès qui abordait des thématiques voisines, quoique bien différemment, ce qui peut lui laisser espérer une belle carrière sur Netflix qui le diffusera à l'international.

Le dernier Marvel, Shang-Chi et la légende des Dix Anneaux, achève doucement mais sûrement sa carrière, en chutant de 24%, et attirant encore 107 000 spectateurs pour un total de 1,2 million d'entrées. Ce qui n'égale même pas les premières semaines de Captain Marvel (1,2 millions d'entrées) et Spider-Man : Far from Home (1,3 millions). On lui souhaite de parvenir au 1,6 millions d'entrées de Black Widow avant l'arrivée de Venom : Let There Be Carnage le 20 octobre prochain, car le film réalisé par Andy Serkis risque de ne pas faire de prisonnier.

Si Marseille a visiblement réussi à Bac Nord, la cité phocéenne n'a pas eu le même impact pour Stillwater. Les aventures de Matt Damon dans les quartiers nord, n'attirent pas grand monde pour leur deuxième semaine avec 94 000 entrées pour un total de 230 000 spectateurs. Un score qui lui permet de dépasser les 198 000 entrées de la première semaine de Spotlight, le précèdent long-métrage de Tom McCarthy, mais Stillwater se n'atteindra sûrement pas les 616 000 entrées du précédent long-métrage sur la durée.

Signalons également l'arrivée de quatre nouveautés en tête de cortège, de la huitième à la onzième position : Candyman (71 000 entrées), Eugénie Grandet (70 000), Les intranquilles (54 000), et Cette musique ne joue pour personne (52 000). Candyman réalise une performance proche de celle de son illustre aîné, et n'ira sans doute pas plus loin que les 177 000 entrées de l'original. Eugénie Grandet, adaptation du roman éponyme de Balzac, ne semble pas fédérer les foules. Un signal inquiétant avant l'arrivée d'Illusions Perdues et ses 18,7 millions d'euros de budget, ce 20 octobre 2021.

Les intranquilles réalise un score dans la moyenne des ouvertures de Joachim Lafosse, comme L'Economie du couple (59 000 entrées en 2016), A perdre la raison (55 000 entrées en 2012). Enfin, le joli casting de Cette musique ne joue pour personne (Joey Starr, François Damiens, Vanessa Paradis, Bouli Lanners, Ramzy Bedia) n'aura pas attiré beaucoup de monde même si Samuel Benchetrit réalise plus de 5 fois le score de son précèdent long-métrage, Chien, qui stoppait sa carrière à quelques 10 000 entrées.

Sinon, le dernier Sean Penn, Flag Day réalise 37 000 entrées pour son entrée en matière. Un score comparable aux 38 000 entrées de The Last Face en 2017, qui finissait sa carrière avec 43 000 spectateurs. On peut se consoler en se disant que la qualité de Flag Day risque sûrement de plomber davantage la carrière du film que la sortie de Mourir peut attendre ce 6 octobre 2021. Rendez-vous la semaine prochaine pour être sûr.


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Après Sermons de Minuit, Mike Flanagan adapte Edgar Allan Poe, toujours pour Netflix

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Le réalisateur qui vient de célébrer sa "Midnight Mass" pour le streamer, va tourner "La Chute de la Maison Usher" en mini-série.

La collaboration entre Mike Flanagan et Netflix est fructueuse, et sans surprise, la plateforme vient d'annoncer la mise en chantier d'une nouvelle mini-série horrifique du réalisateur de The Haunting of Hill House, The Haunting of Bly Manor et Sermons de Minuit. Il est en train de préparer l'adaptation d'une nouvelle culte d'Edgar Allan Poe, La Chute de la Maison Usher, publiée en 1839, qui raconte les retrouvailles glaçantes entre un narrateur et son ami d'enfance, Roderick Usher, qui l'invite dans sa maison alors qu'il semble sur le point de devenir fou. Ayant déjà inspiré des films (en 1928 réalisé par Jean Espein, en 1960 par Roger Corman et en 1982 par Jess Franco), ainsi que des opéras, La Chute de la Maison Usher sera ici décliné en série de huit épisodes. Flanagan en filmera personnellement quatre, et Michael Fimognari aussi : celui-ci a été le directeur de la photographie sur plusieurs projets du réalisateur, comme The Mirror (2013), Jessie (2017) ou Doctor Sleep (2019) et il collaborait également sur The Haunting...

Le casting de La Chute de la Maison Usher n'est pas encore connu, mais Flanagan étant fidèle à ses comédiens, on ne serait pas surpris qu'il annonce prochainement Kate Siegel, Carla Gugino, Henry Thomas ou Rahul Kohli au sein de cette nouvelle série. "J'ai tellement hâte de la tourner, a commenté le cinéaste sur Twitter. Ca ne ressemblera pas à ce qu'on a fait avant. On vous en dit plus bientôt !"


https://www.premiere.fr/Series/News-Ser ... HleBPureZE
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popcorns

Une première photo de Sylvester Stallone et Jason Statham sur le tournage de Expendables 4 qui vient de démarrer 👊💥

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Produit par James Wan et Shawn Levy, Killer Game n'en reste pas moins un slasher horriblement insipide et dénué d'originalité. De plus les personnages, les réactions et l'histoire n'ont aucun sens.
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Pale a écrit :
ven. 8 oct. 2021 11:41
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Produit par James Wan et Shawn Levy, Killer Game n'en reste pas moins un slasher horriblement insipide et dénué d'originalité. De plus les personnages, les réactions et l'histoire n'ont aucun sens.
L'affiche annonçait la couleur un réalisateur débutant et des producteurs qui sont mis en avant pour convaincre... C'est rarement bon signe :o :D - Regardez nous avons produit des bons trucs précédemment croyez nous ! Nous ne faisons pas d'erreurs... :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Cocu
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Pale a écrit :
ven. 8 oct. 2021 12:16
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On dirait Voldemort 😁
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Pale a écrit :
jeu. 7 oct. 2021 23:19
Après Sermons de Minuit, Mike Flanagan adapte Edgar Allan Poe, toujours pour Netflix

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Le réalisateur qui vient de célébrer sa "Midnight Mass" pour le streamer, va tourner "La Chute de la Maison Usher" en mini-série.

La collaboration entre Mike Flanagan et Netflix est fructueuse, et sans surprise, la plateforme vient d'annoncer la mise en chantier d'une nouvelle mini-série horrifique du réalisateur de The Haunting of Hill House, The Haunting of Bly Manor et Sermons de Minuit. Il est en train de préparer l'adaptation d'une nouvelle culte d'Edgar Allan Poe, La Chute de la Maison Usher, publiée en 1839, qui raconte les retrouvailles glaçantes entre un narrateur et son ami d'enfance, Roderick Usher, qui l'invite dans sa maison alors qu'il semble sur le point de devenir fou. Ayant déjà inspiré des films (en 1928 réalisé par Jean Espein, en 1960 par Roger Corman et en 1982 par Jess Franco), ainsi que des opéras, La Chute de la Maison Usher sera ici décliné en série de huit épisodes. Flanagan en filmera personnellement quatre, et Michael Fimognari aussi : celui-ci a été le directeur de la photographie sur plusieurs projets du réalisateur, comme The Mirror (2013), Jessie (2017) ou Doctor Sleep (2019) et il collaborait également sur The Haunting...

Le casting de La Chute de la Maison Usher n'est pas encore connu, mais Flanagan étant fidèle à ses comédiens, on ne serait pas surpris qu'il annonce prochainement Kate Siegel, Carla Gugino, Henry Thomas ou Rahul Kohli au sein de cette nouvelle série. "J'ai tellement hâte de la tourner, a commenté le cinéaste sur Twitter. Ca ne ressemblera pas à ce qu'on a fait avant. On vous en dit plus bientôt !"


https://www.premiere.fr/Series/News-Ser ... HleBPureZE
:ouch:

Là ça va être du lourd !
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yhi
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Kahled a écrit :
ven. 8 oct. 2021 15:46
Là ça va être du lourd !
Déjà sur des films d'1h15 je trouve que c'est un scénario qui patine un peu alors sur une série en 8 épisodes va falloir meubler un peu.
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Cocu a écrit :
ven. 8 oct. 2021 15:04
On dirait Voldemort 😁
Grave :lol: :lol: :lol:
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Aujourd'hui c'est l'anniversaire du topic :hot: :hot: :hot: :hot: :hot:
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ClintReborn
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yhi a écrit :
ven. 8 oct. 2021 17:10
Kahled a écrit :
ven. 8 oct. 2021 15:46
Là ça va être du lourd !
Déjà sur des films d'1h15 je trouve que c'est un scénario qui patine un peu alors sur une série en 8 épisodes va falloir meubler un peu.
Faut même meubler beaucoup c'est une nouvelle qui se lit en une heure :saint: Faut carrément réinventer l'histoire en explorant les personnages pour avoir de la matière :roll:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Cocu
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:D
Pale a écrit :
ven. 8 oct. 2021 18:17
Aujourd'hui c'est l'anniversaire du topic :hot: :hot: :hot: :hot: :hot:
Celui-ci ou l'ancien?
Bon anniversaire :bounce:
Pouet
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ClintReborn a écrit :
ven. 8 oct. 2021 18:46
Faut carrément réinventer l'histoire en explorant les personnages pour avoir de la matière :roll:
C'est la spécialité du réalisateur ça :D
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Cocu a écrit :
ven. 8 oct. 2021 18:50
Celui-ci ou l'ancien?
Bon anniversaire :bounce:
Celui-ci :D

L'ancien c'était en février 2008 mais je ne me souviens plus de la date exacte :hehe:
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yhi a écrit :
ven. 8 oct. 2021 17:10
Kahled a écrit :
ven. 8 oct. 2021 15:46
Là ça va être du lourd !
Déjà sur des films d'1h15 je trouve que c'est un scénario qui patine un peu alors sur une série en 8 épisodes va falloir meubler un peu.
J’aime beaucoup la nouvelle et Flanagan, quand il est inspiré (la S1 de The Haunting of Hill House, qui vieillit de mieux en mieux dans ma tête) sait très bien meubler.

Faut que je vois sa dernière création d’ailleurs.
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Pale a écrit :
ven. 8 oct. 2021 19:11
ClintReborn a écrit :
ven. 8 oct. 2021 18:46
Faut carrément réinventer l'histoire en explorant les personnages pour avoir de la matière :roll:
C'est la spécialité du réalisateur ça :D
Exact. Revisiter les classiques, c’est son truc clairement.
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Pour célébrer l'anniversaire du topic :

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Prophet : le réalisateur de Tyler Rake va transformer Jake Gyllenhaal en super soldat

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L'acteur Jake Gyllenhaal sera un super soldat poursuivi par le KGB en pleine guerre froide pour Sam Hargrave, le réalisateur de Tyler Rake, dans le film Prophet.

En 2011, alors que Sam Hargrave coordonnait les cascades du remake Leader Price de Conan, il ne devait pas se douter que 10 ans plus tard, il serait l’un des réalisateurs de film d’action les plus courtisés du paysage hollywoodien. En 2020, Tyler Rake, son John Wick au Bangladesh avec Chris Hemsworth sur Netflix pulvérisait tous les scores avec près de 99 millions de foyers qui l'auraient visionné en un mois, selon la plateforme.

Depuis, Hollywood lui court après pour reproduire la formule gagnante de Tyler Rake, "gros nom + gros boom partout = argent". Tyler Rake 2 évidemment, puisque ce dernier ne faisait que se reposer juste au fond d'une rivière ; Stay Frosty , son John Wick avec Idris Elba en période de noël ; et Combat Control sur une embuscade dans les montagnes afghanes en 2002 qui causa la mort du sergent Nathan Chapman, avec Jake Gyllenhaal (qui vient de sortir le remake The Guilty sur Netflix).

L'acteur et le réalisateur vont d'ailleurs en profiter pour collaborer sur un autre projet, Prophet, l'histoire d'un homme laissé pour mort sur une croix qui ressuscite pour se venger... Blague à part, Prophet n'a rien à voir avec Jesus II : le Retour, il s'agit de base d'un personnage de comics apparu pour la première fois dans la deuxième édition du comics Youngblood en 1992.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, John Prophet accepte de prendre part à une expérience élaborée par les nazis pour subvenir aux besoins de sa famille. Enterré sous les décombres pendant près de 20 ans après les bombardements, Prophet se réveille en 1965 et ce n'est pas la grande forme : sa fille lui en veut profondément et le KGB veut profondément son sang pour pouvoir fabriquer des supers-soldats.

Un scénario qui frôle le soleil tant il vole haut. Prophet sera produit par la boîte de production Studio 8 qui sera également derrière Hypnotic de Robert Rodriguez avec Ben Affleck en détective privé mêlé à une conspiration gouvernementale, ainsi que le remake de Nosferatu le vampire par Robert Eggers (The Lighthouse). Deux projets qui semblent déjà plus alléchants que Prophet qu'on verra ne serait-ce que pour expérimenter Jake en simili Captain Germany.


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Pale a écrit :
ven. 8 oct. 2021 23:02
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sam. 9 oct. 2021 11:16
Pale a écrit :
ven. 8 oct. 2021 23:02
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robinne a écrit :
sam. 9 oct. 2021 13:36
C’est qui ? :??:
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Christopher Nolan : le titre, la date de sortie et l'acteur principal de son prochain film révélés

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A peine arrivé chez Universal, le prochain film de Christopher Nolan a déjà un titre, une date de sortie et un acteur principal.

On ne chôme pas du côté de Christopher Nolan, à peine remis de sa transition brutale de Warner à Universal sur fond de conflits artistiques, d'aversion pour le streaming, et probablement aussi à cause de l'échec relatif de Tenet. Tout juste installé dans ses nouveaux quartiers, le réalisateur britannique a déjà mis son studio en ordre de bataille pour réaliser sa prochaine oeuvre, qui a déjà un nom, une date de sortie et un acteur principal attaché.

Basé sur la vie du scientifique Robert J. Oppenheimer (et le livre lauréat du prix Pulitzer qui lui est consacré) largement considéré comme le père / créateur de la bombe atomique, le film qui explorera son existence trouble sera tout simplement intitulé Oppenheimer. Universal semble mettre les bouchées doubles pour satisfaire son nouveau poulain puisque le très bien informé site Deadline révèle que le studio souhaiterait sortir le film en juillet 2023. Cela qui peut sembler lointain pour nous autres simples mortels, mais l'est beaucoup moins à l'échelle de la production d'un turbo-blockbuster, à fortiori s'il y a vraiment un essai nucléaire à organiser (on n'en revient toujours pas d'écrire ces lignes).

Deadline révèle également que Cillian Murphy, acteur bien connu des fans de Peaky Blinders, sera la star principal du casting et est d'ores et déjà investi du rôle titre. Les connaisseurs ne seront également qu'à demi-surpris : si Cillian Murphy n'a jamais exactement fait partie de la A-list hollywoodienne, il a toujours traîné dans les pattes de Nolan, d'Inception à Dunkerque en passant par la trilogie Batman. Oppenheimer sera leur sixième collaboration.

Autres fidèles parmi les fidèles, Deadline annonce aussi que le chef opérateur Hoyte Van Hoytema et le compositeur Ludwig Göransson ont été rappelés pour ce nouveau projet. Le second est un collaborateur récent, n'ayant travaillé que sur Tenet avec Christopher Nolan, mais c'est un ancien apprenti de Hans Zimmer, et donc, on imagine, quelqu'un qui a mis la main à la patte sur les autres BO des films de Chrisotpher Nolan avec Hans Zimmer.

Le premier en revanche est un collègue d'assez longue date maintenant puisqu'il a photographié tous les films du cinéaste depuis Interstellar. On lui doit également celles de Spectre, de Her et Ad Astra. Moins couru dans les loges hollywoodiennes qu'un Roger Deakins ou un Emmanuel Lubezki car plus jeune, il s'agit tout de même d'une énorme pointure dont le talent n'est plus à prouver... si ce n'est peut-être par un Oscar. Visiblement moins orienté action et plus proche du drame - genre plus apprécié par l'académie - ce projet sera peut-être celui qui moissonera les premières récompenses de toute cette équipe.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... fptdM5wk_U
Kahled
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Pale a écrit :
mar. 5 oct. 2021 22:39
Kahled a écrit :
mar. 5 oct. 2021 13:05
Salut Pale !

Dis-moi, pour le James Bond, les scènes d’action sont plus généreuses que celles du précédent (Spectre là) ?

Non parce que j’ai revu le film d’un œil dimanche soir, c’était tellement mollasson à ce niveau que je me suis demandé si je n’étais pas devant une parodie. :D

Et Léa Seydoux, elle joue toujours aussi mal ? :D
:hello:

Le film est infiniment supérieur à Spectre :D

Léa Seydoux est mieux aussi dans Mourir peut attendre :D
Bon je l’ai vu aujourd’hui du coup…
J’ai trouvé ça nul. Interminable de vide.

C’est peu généreux voir totalement plat dans son côté grand spectacle (c’est quand même un peu pour ça que je vais voir ce genre de films quand même - les Mission Impossible sont quand même bien plus ambitieux à ce niveau). Et tout le côté qui se veut progressiste est franchement pathétique…

Par contre, Ana De Armas… Euh… que dire ? :love:

C’est elle qui aurait dû être la vraie « James Bond Girl » du film. Quelle escroquerie de ne l’avoir gardé qu’une seule scène…
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Pale
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Kahled a écrit :
dim. 10 oct. 2021 01:01
Bon je l’ai vu aujourd’hui du coup…
J’ai trouvé ça nul. Interminable de vide.

C’est peu généreux voir totalement plat dans son côté grand spectacle (c’est quand même un peu pour ça que je vais voir ce genre de films quand même - les Mission Impossible sont quand même bien plus ambitieux à ce niveau). Et tout le côté qui se veut progressiste est franchement pathétique…

Par contre, Ana De Armas… Euh… que dire ? :love:

C’est elle qui aurait dû être la vraie « James Bond Girl » du film. Quelle escroquerie de ne l’avoir gardé qu’une seule scène…
Les quelques scènes d'action envoient quand même du bois je trouve. Après le film prend aussi en compte le côté brisé et vieillissant du personnage qui est moins dans l'exploit que Ethan Hunt. Outre l'action, il y a aussi de belles scènes de tension.

Par contre d'accord sur le côté progressiste mais j'essaie d'en faire abstraction car ça devient malheureusement l'apanage des gros divertissements :D
Kahled
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Pale a écrit :
dim. 10 oct. 2021 08:37
Kahled a écrit :
dim. 10 oct. 2021 01:01
Bon je l’ai vu aujourd’hui du coup…
J’ai trouvé ça nul. Interminable de vide.

C’est peu généreux voir totalement plat dans son côté grand spectacle (c’est quand même un peu pour ça que je vais voir ce genre de films quand même - les Mission Impossible sont quand même bien plus ambitieux à ce niveau). Et tout le côté qui se veut progressiste est franchement pathétique…

Par contre, Ana De Armas… Euh… que dire ? :love:

C’est elle qui aurait dû être la vraie « James Bond Girl » du film. Quelle escroquerie de ne l’avoir gardé qu’une seule scène…
Les quelques scènes d'action envoient quand même du bois je trouve. Après le film prend aussi en compte le côté brisé et vieillissant du personnage qui est moins dans l'exploit que Ethan Hunt. Outre l'action, il y a aussi de belles scènes de tension.

Par contre d'accord sur le côté progressiste mais j'essaie d'en faire abstraction car ça devient malheureusement l'apanage des gros divertissements :D
C'est rigolo parce que le dernier Mission Impossible jouait aussi sur côté vieillissant voir brisé du personnage tout en étant l'un des volets les plus intenses de la saga : McQuarrie et Cruise n'oubliaient pas de faire du cinéma. Ici walou !

Le côté "progressiste" (les guillemets sont de rigueur ici) joue même contre le film en tant qu'objet de cinéma et de divertissement : à force de vouloir à tout prix mettre en avant cet aspect le film devient boursouflé de platitudes. Les 3/4 du films c'est du non-cinéma avec toutes ces pseudo-intrigues soapesques.
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Petit mot rapide sur les films vus ce week-end :

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Sujet délicat mais admirablement traité par Bertrand Blier. C'est aussi drôle que touchant. Il s'agit peut-être de mon film préféré du réalisateur. La mise en scène et les acteurs sont formidables.

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Ça aussi c'est du lourd. Une jeune anglaise devient la proie d'une bande de chasseurs dans la campagne française. Ce survival est avant tout une plongée dans ce que la nature humaine peut offrir de pire. L'actrice est sidérante, l'ambiance et la mise en scène le sont tout autant.

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Je ne connaissais pas l'existence de ce film il y a encore 3 jours, c'est un article élogieux de Ecran Large qui m'a donné envie de m'y pencher. Il s'agit également du premier Ti West que je découvre. Le réalisateur y convie ici tout un pan du cinéma horrifique 70/80. Le film tient d'ailleurs davantage de l'exercice de style tant on a l'impression que The House of the Devil vient d'une autre époque pour son ambiance rétro parfaitement retranscrite. J'ai beaucoup aimé, notamment la première partie qui est flippante à souhait et joue énormément sur l'attente en faisant grimper la tension petit à petit. La dernière partie est malheureusement un peu trop abrupte et expéditive mais ça change un peu des Conjuring et compagnie qu'on mange ces dernières années.

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Premier long métrage de Jean-Paul Rappeneau, La Vie de château est une comédie absolument brillante et hilarante sur fond historique durant la seconde guerre mondiale.

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J'ai moyennement apprécié. La première partie est assez calamiteuse, le film aurait pu s'intituler Teleported Mens tant les personnages sont éparpillés tout le long du film dans des endroits différents. J'ai commencé à me sentir impliqué durant les 30-40 dernières minutes qui pour le coup sont pas mal du tout et relèvent le niveau de l'ensemble.
Modifié en dernier par Pale le dim. 10 oct. 2021 21:08, modifié 1 fois.
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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Peut-être :

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Sur Netflix :

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Ghostbusters : Afterlife - les premières critiques américaines sont tombées

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Depuis le naufrage du reboot, personne ne croit plus en Ghostbusters. Ce nouvel Afterlife a-t-il réussi à remotiver la critique américaine ?

Il reste encore bien des semaines à attendre avant de découvrir S.O.S. Fantômes : L'Héritage en salles, suite directe du film S.O.S. Fantômes II ayant la lourde tâche de faire oublier l'horrible reboot de 2016 et d'inspirer un nouveau souffle dans cette franchise. Et c'est bien ce dernier point qui cristallise les débats des critiques américaines qui ont pu découvrir le film au cours d'une séance surprise au New-York Comic-Con : le film vers-t-il trop dans le fan-service ou parvient-il à exister par lui-même ? Avant que vous ne trouviez votre propre réponse en salles le 1er décembre, voici celles des premiers spectateurs outre-Atlantique :

LES CONVAINCUS

Variety : Entre Stranger Things et Top Gun : Maverick, la nostalgie de la pop-culture des années 80 semble être au plus haut, mais ce film essaie de pas trop s'appuyer sur ce seul sentiment. Il est conçu pour captiver ceux qui n'ont jamais vu un seul des précédents films, et bien qu'il y a une immanquable patte à la Amblin, il n'y a pas besoin d'avoir grandi avec ces films pour apprécier la manière dont ils élèvent leurs rebuts adolescents au statut de héros.

Deadline : La vraie star ici est sûrement Jason Reitman, qui, comme Phoebe, redécouvre et réinvente son propre héritage cinématographique familial, et ce faisant, procure un retour chaleureux, amusant, nostalgique, émouvant et globalement gagnant vers la joie pure du classique de 1984 en créant quelque chose de neuf de la meilleure des manières.

Bleeding Cool : S.O.S. Fantômes : L'Héritage aurait pu être une vache à lait facle à traire pour toutes les parties incluses et s'appuyer entièrement sur les fans de l'original pour avoir un bon score au box-office. Ils ne le savaient pas, ils se sont retroussé les manches, et cela marche la plupart du temps. C'est l'un des meilleurs films de l'année et il va amener une toute nouvelle vague de nouveaux fans de Ghostbusters tout en satisfaisant les vieux fans. La fin est un uppercut, et le public devrait rester jusqu'à la fin du générique.

Inverse : S.O.S. Fantômes : L'Héritage déjoue tous les clichés de genre et devient un film émouvant et résonnant au sommet des fondations posées par la franchise. Le découpage est superbe, les personnages sont outrageusement amusants et tous les défauts du film sont outrepassés par son grand coeur. C'est un beau film.

IGN : Le réalisateur Jason Reitman rend fiers son père et ses fans avec un amusant, doux et effrayant film familial qui s'incrit fièrement dans la lignée de Ghostbusters, tout en introduisant également quelque de neuf et excitant. Le film est aidé par le talent de Mckenna Grace, le genre qui n'arrive qu'une ou deux fois par génération : charmante et authentique, le coeur battant de ce film qui n'en manquait déjà pas. Préparez vous à adorer Ghostbusters à nouveau.

LES SCEPTIQUES

The Wrap : L'aspect le plus remarquable de ce film est que, alors que les lumières se rallument, il donne le sentiment précis que son objectif était de faire table rase et de remettre la franchise sur de bons rails pour une future exploitation. Que Reitman ait fait un film sur combien les deux premiers étaient géniaux est sympa, mais renforce l'idée que, finalement, l'idée principale qui anime le film est que tout ce qui compte, c'est que le business Ghostbusters doit continuer. Pas parce que des fantômes doivent être chassés, mais parce que quelques personnes riches refusent de les laisser partir.

Forbes : S.O.S. Fantômes : L'Héritage est bon lorsqu'il se contente de n'être qu'un film. C'est très mignon et Mckenna Grace et Carrie Coon sont incroyables. Les nouveaux personnages fonctionnent et les dialogues sont forts quand ils ne font pas seulement de l'exposition. Oui, le film est amusant et léger, et je le reverrai avec plaisir avec mes enfants s'ils veulent le voir, et je soutiendrai une suite avec ce nouveau casting, une qui, on l'espère, cherchera moins obsessivement l'approbation des fans et sera moins dans le remake à la Star Wars : Le Réveil de la Force. Je déteste que S.O.S. Fantômes : L'Héritage existe pour ça, mais c'est aussi un film globalement bien fait avec suffisamment de singularités pour attirer ceux qui ne s'intéressent pas à Ghotbusters.

LES DÉTRACTEURS

IndieWire : Ce qui nous coupe l'envie d'être gentils avec le film est son final profondément enraciné dans la nostalgie des fans, dans lequel rien n'est sacré et tout culmine grâce à des mécaniques déjà vues et revues. Tous les risques pris avant cette scène pour approfondir les personnages et les thèmes aboutissent à une conclusion beaucoup trop sûre et attendue. Ajoutez à cela la longueur du film, plus de deux heures, où chaque minute est ressentie, et ce nouveau voyage paraît plus long qu'on ne l'aimerait.

The AV Club : Voir Reitman hériter de cette tâche si particulière paraît toujours un brin déplacé. Sa filmographie inégale de comédies et de drames contient quelques entrées incisives sur les plaisirs et les périls de la nostalgie. Et maintenant le voilà auteur d'un début de franchise sur ô combien le film de son riche père était génial. S.O.S. Fantômes : L'Héritage veut désespérément rappeler le fantôme du premier visionnage du film de 1984. Un rappel qui devient horrifique dans le mauvais sens du terme.

Gizmodo : Le film passe tant de fois si près d'être la suite parfaite que les fans voulaient depuis des années. Mais lorsqu'il devient trop obsédé par son passé au lieu de se concentrer sur son futur, il perd la majeure partie de ce pouvoir. C'est l'un de ces films qui semble super et fait se sentir bien au visionnage parce qu'il donne à voir tant de choses que l'on voulait voir, mais qui, lorsque l'on s'arrête une minute pour y réfléchir, pêche énormément par son manque de cohésion. Beaucoup de gens vont adorer S.O.S. Fantômes : L'Héritage et Dieu que j'ai essayé de l'adorer. C'est comme si le film avait peur de son propre fantôme : celui du film de 1984.

Entertainment Weekly : Quiconque cherche une connexion avec les films des années 80 trouvera ce qu'il est venu chercher, mais il est difficie d'imaginer que S.O.S. Fantômes : L'Héritage réussira à convaincre une nouvelle génération de fans.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 2mI-27XdmM
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Pale
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Mourir peut attendre : le dernier James Bond de Daniel Craig explose le box-office au-delà des attentes

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C'est un véritable bouquet final et une sacrée revanche sur la pandémie pour Daniel Craig : James Bond explose le box-office mondial avec Mourir peut attendre.

Finalement, c'est une belle histoire : interrompu juste avant son heure de gloire, Daniel Craig peut enfin savourer sa tournée d'adieux. Après avoir été plusieurs fois repoussé et grandement mis en danger de sortie sur plate-forme de streaming, Mourir peut attendre, son dernier film dans le costume de James Bond est enfin là, et c'est un succès au-delà des espérances, en particulier au box-office international.

Profitant d'un marché très haut (notamment grâce à Venom : Let There Be Carnage et Dune), Mourir peut attendre est parti pour récolter entre 120 et 150 millions de dollars en tout et pour tout au terme de son premier week-end d'exploitation. Cela valait le coup d'attendre donc, et c'est un excellent signal pour la fréquentation des salles de cinéma.

Dans le détail, il est estimé que le film de Cary Fukunaga lèvera environ 60 millions de dollars aux US et 90 millions dans le reste du monde, selon les projections de Deadline. A l'heure où ces lignes sont écrites, 121,3 millions de dollars ont déjà été acquis, un résultat déjà au-dessus des prédictions globales des analystes et qui confirme une tendance mondiale pour le film : il performe bien mieux que ce qui était attendu sur tous les marchés du monde... quand bien même le box-office américain se montre relativement peu clément.

Mourir peut attendre est en effet parti pour n'être que quatrième au classement des meilleurs démarrages de l'ère Daniel Craig aux US, derrière Quantum of Solace (67 millions), Spectre (70,4 millions) et l'intouchable Skyfall (88,3 millions). Cependant, il y a plusieurs éléments à garder en tête avant de noircir le tableau outre-mesure.

D'abord, et pour relativiser, rappelons que Mission : Impossible - Fallout a aussi ouvert à 61 millions aux US avant de devenir le giga-carton que l'on sait (et lui ne devait pas lutter avec un satané virus). Ensuite, James Bond a toujours été une franchise tournée vers l'international, beaucoup plus que vers la patrie de l'Oncle Sam. Bon à savoir également : avec une durée de quasiment trois heures, il y a nécessairement beaucoup moins de séances que pour un film deux fois moins long de 90 minutes (suivez notre regard)... et donc, mathématiquement, deux fois moins d'opportunités d'exploitation.

Enfin, c'est également une franchise historiquement connue pour ses exploitations au long-cours, une dynamique rare de nos jours mais qui par nature tend à donner de fausses prédictions à la baisse dans un marché privilégiant les gros succès immédiats et oblige les films à avoir un bon bouche-à-oreille. Ce qui tombe bien, puisque Mourir peut attendre reçoit un très beau A- sur CinemaScore - le plus gros agrégateur de notes du public -, soit la même note que Casino Royale et Spectre, et juste en-dessous du A maximal de Skyfall.

Bref, la fin de course est donc extrêmement prometteuse pour ce chant du cygne doublé d'une belle revanche sur la pandémie. Un magnifique dernier tour de piste pour Daniel Craig, et la preuve qu'il y a encore de la place pour le bon vieux James Bond dans ce monde.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... mkAGBN2iwc
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ClintReborn
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Pale a écrit :
dim. 10 oct. 2021 19:02
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J'ai moyennement apprécié. La première partie est assez calamiteuse, le film aurait pu s'intituler Teleported Mens tant les personnages sont éparpillés tout le long du film dans des endroits différents. J'ai commencé à me sentir impliqué durant les 30-40 dernières minutes qui pour le coup sont pas mal du tout et relèvent le niveau de l'ensemble.

Sur le même sujet des œuvres d'arts mais en bien mieux; il y a le train de John Frankenheimer film franco-américain avec un beau casting (la recette n'est pas nouvelle) :D

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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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NaughtyDog
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C'est bien

J'avais beau aimer les 2 precedents films de Bourboulon pour ce qu'ils

étaient, ici il arrive a proposer une mise en scène classieuse au sein d'une fresque historique à la française : la lumière est belle, la reconstitution d'époque exemplaire (très beaux panoramas du Paris du XIXe), et la direction d'acteurs également(survolée par un Romain Duris enfilant son costume comme un gant)

(bref sachant qu'il fera le diptyque des 3 Mousquetaires, entière

confiance à ce niveau là)


Eiffel c'est grosso modo 2 films en 1 : l'histoire de la création de la

tour Eiffel a l'expo de 1889, la bataille que Gustave Eiffel a mené pour

achever un projet décrié par la presse, ayant empli de foute la

noblesse, et véritable merveille d'ingénierie bâtie par des ouvriers.


Ensuite c'est l'histoire d'amour impossible entre Gustave et une

bourgeoise mariée (qui se révèle aussi être son amour de jeunesse, rendu

impossible de par leur différence de classe sociale)



Le 1er film est réussi, et se révèle assez passionnant d'un point de vue

historico-ludique (mention spéciale aux séquences usant de maquettes

pour visualiser le défi que l'élaboration de la Dame de Fer représentait)


Le 2nd est touchant de par le talent des comédiens, la direction globale

(camera près des corps, du toucher et captant les regards, avec

notamment une très belle scène de danse magnifiée par la musique de

Desplat) et le fait que je sois amoureux d'Emma Mackey (dont c'est le 1er role au

cinoche et dans sa langue natale)



Malgré la différence d'age un brin curieuse au début, le duo Romain Duris-Emma

Mackey fonctionne, et rehausse pas mal de scènes qui sont quand même écrites de manière assez attendues.


On est pas dans In the Mood for Love ni Sur la Route de Madison, donc

cette romance programmatique manque d'uppercut émotionnel et d'une écriture plus fine..mais ça marche quand même via les acteurs et la mise

en scène souvent assez charnelle.



Surtout mettre en symbiose cet amour avec la création de la tour est

pertinent et offre un autre regard (donc un autre niveau de lecture).



Dommage que le film soit pas un peu plus long pour peaufiner son

écriture, mais c'est un bon film, ni plus, ni moins (et voir ce type de production chez nous fait un bien fou)


3.5/5
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Kit
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@Pale :hello: j'avais aussi adoré La vie de château
@ClintReborn Le Train est en effet un très bon film
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Wickaël
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:hello:

Revu hier soir

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En plein revisionnage des films où Thor apparaît (oui les autres SH du MCU je m'en tape un peu) j'ai dû revoir cette seconde aventure des Avengers, que je n'avais pas trop aimé la première fois...
Revisionnage bénéfique car j'ai beaucoup plus apprécié cette fois-ci, surtout le méchant Ultron, et les scènes d'action dépotent bien comme il faut. Après il y a quelques baisses de rythmes ici et là et un humour un peu lourd de temps en temps, mais dans l'ensemble j'ai bien aimé. Un bon blockbuster.

7/10

À noter que j'ai également maté les 2 courts-métrages Team Thor, censés se passer après Civil War, hilarants.
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Pale
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:hot:
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