3 juin, hélas les plus grands noms du jours sont morts
une pensée pour
Joséphine Baker 1906-1975
Paulette Goddard 1910-1990
Ellen Corby 1911-1999 (série La famille des collines)
Daniel Ivernel 1918-1999 (Le Comte de Monte-Cristo, Borsalino)
Alain Resnais 1922-2014 (réal)
Colleen Dewhurst 1924-1991 (actr)
Jimmy Rogers 1924-1997 (blues)
Tony Curtis 1925-2010
Jean Bouise 1929-1989 (act, Tintin et les Oranges bleues, Z, Dupont Lajoie, Le Vieux Fusil)
Melissa Mathison 1950-2015 (scénar, E.T., l'extra-terrestre (1982), L'Indien du placard (1995) et Kundun (1997))
Dominique Laffin 1952-1985 (actr)
bon anniversaire à
Penelope Wilton 76 ans (Downton Abbey)
Frédéric François 72 ans (chant)
Benedict Wong 51 ans (act, Doctor Strange et Avengers)
Julie Gayet 50 ans (actr)
Rafael Nadal 36 ans (tennis)
Masami Nagasawa 35 ans
une pensée pour les disparus un 3 juin
Jane Sourza 1902-1969 (actr, La famille Duraton, Sur le banc)
Roberto Rossellini 1906-1977 (réal)
Robert Morley 1908-1992 (act)
Anthony Quinn 1915-2001 (act)
Koko Taylor 1928-2009 (chant blues)
David Carradine 1936-2009 (act)
Rue McClanahan 1934-2010 (actr, Les craquantes)
James Arness 1923-2011 (act) frère de Peter Graves
Mohamed Ali 1942-2016 (boxe)
Christophe Otzenberger 1961-2017 (act/réal)
Le Cercle des profileurs disparus
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NaughtyDog
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Pire opus de la saga avec JP3
Un mauvais Mission Impossible en plus d'un mauvais Jurassic Park
D'entrée de jeu le bas blesse :on a plus Bayona à la ral et ça se ressent.
Non pas que le film soit laid,mais on reste sur du quelconque et une mise en scène fonctionnelle (à part deux-trois soubresauts), dans un opus quipasse complètement àcôté de son sujet.
Pour rappel : à la fin de Fallen Kingdom, on nous promettait un postulat totalement inédit avec cette cohabitation entre humains et dinosaures. Profession de foi qui était d'ailleurs plutot réussie dans le court-métrage réalisé par Trevorrow, filmé caméra à l'épaule avec des plans longs et lisibles, où le danger se ressentait.
Ici que nenni ! Et si dans la 1e partie on a des éléments intéressants (Maisie qui est cachée, braconnage de dinos, marché noir...) mais finalement rapidement expédiés pour revenir à un "parc" (ou plutôt un complexe scientifique) avec une réserve naturelle.
Une unité de lieu qui va être cruellement sous-exploitée, expurgée de tout réel danger (à très peu de moments on ressent une réelle tension dans ce film) malgré qu'on aperçoit un nombre variés de dinosaures.
En résulte un film globe trotting avec beaucoup de trop de personnages (certains du 2 rapidement expédiés, des nouveaux qui font office de fonction...). Bien sûr i lfaut parler du retour du trio d'origine : si cela fait plaisir de les retrouver, il faut quand même se poser des questions sur la justification un peu fastoche de leur retour au sein du plot (surtout Ian Malcolm qui se retrouve employé d'un endroit qu'il devrait détester), tout en ne faisant strictement rien avec à part aider Owen & co.
Le scénario est aussi un sacré gruyère à base de facilités déconcertantes (les persos ont lu le script, comme les dinos qui attaquent selon ce que Trevorrow leur dit de faire) : base ennemie sans garde, méchant Dodgson aux vélléités agro-alimentaires nébuleuses, ciblage par des raptors têtes-chercheuses alors que y a 15 pélos autour...
Plein de détails nuisent concrètement à l'efficacité globale (ce passant en trottinette qui ne voit pas que 2 gros prédateurs sont au milieu de la grand place, du dino qui préfère aller sous l'eau que sauter sur sa victime...), pour un opus qui n'amène strictement rien de neuf (on est dans la même situation qu'à la fin du 2), ni aucun parcours de personnage
Il y a pourtant quelques petits passages sympas (une poursuite dans les rues de Malte, une séquence de tension où Bryce se cache sous l'eau), mais c'est bien trop peu pour justifier les 2h26 et ce nouvel épisode qui se conclue par un plaidoyer animalier abscons (non tu peux pas dire que la cohabitation est normale quand tu ne la montres jamais dans ton film).
Trevorrow pousse le vice encore plus loin en créant un climax sans réel poids, où là encore on se tape un 2 vs 1 sans grande justification que du wink wink
Heureusement Giacchino est une belle béquille, et les acteurs sans grande fausse note. Mais on tient là un produit vide qui tourne en circuit fermé, empli de couleuvres à avaler et dénué de merveilleux, d'aventure ou de wow effect.
Bref c'est mauvais
1,5/5
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
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ClintReborn
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Il y a des dinos et des gens qui se font manger ?NaughtyDog a écrit : ↑ven. 3 juin 2022 17:12
Pire opus de la saga avec JP3
Un mauvais Mission Impossible en plus d'un mauvais Jurassic Park
D'entrée de jeu le bas blesse :on a plus Bayona à la ral et ça se ressent.
Non pas que le film soit laid,mais on reste sur du quelconque et une mise en scène fonctionnelle (à part deux-trois soubresauts), dans un opus quipasse complètement àcôté de son sujet.
Pour rappel : à la fin de Fallen Kingdom, on nous promettait un postulat totalement inédit avec cette cohabitation entre humains et dinosaures. Profession de foi qui était d'ailleurs plutot réussie dans le court-métrage réalisé par Trevorrow, filmé caméra à l'épaule avec des plans longs et lisibles, où le danger se ressentait.
Ici que nenni ! Et si dans la 1e partie on a des éléments intéressants (Maisie qui est cachée, braconnage de dinos, marché noir...) mais finalement rapidement expédiés pour revenir à un "parc" (ou plutôt un complexe scientifique) avec une réserve naturelle.
Une unité de lieu qui va être cruellement sous-exploitée, expurgée de tout réel danger (à très peu de moments on ressent une réelle tension dans ce film) malgré qu'on aperçoit un nombre variés de dinosaures.
En résulte un film globe trotting avec beaucoup de trop de personnages (certains du 2 rapidement expédiés, des nouveaux qui font office de fonction...). Bien sûr i lfaut parler du retour du trio d'origine : si cela fait plaisir de les retrouver, il faut quand même se poser des questions sur la justification un peu fastoche de leur retour au sein du plot (surtout Ian Malcolm qui se retrouve employé d'un endroit qu'il devrait détester), tout en ne faisant strictement rien avec à part aider Owen & co.
Le scénario est aussi un sacré gruyère à base de facilités déconcertantes (les persos ont lu le script, comme les dinos qui attaquent selon ce que Trevorrow leur dit de faire) : base ennemie sans garde, méchant Dodgson aux vélléités agro-alimentaires nébuleuses, ciblage par des raptors têtes-chercheuses alors que y a 15 pélos autour...
Plein de détails nuisent concrètement à l'efficacité globale (ce passant en trottinette qui ne voit pas que 2 gros prédateurs sont au milieu de la grand place, du dino qui préfère aller sous l'eau que sauter sur sa victime...), pour un opus qui n'amène strictement rien de neuf (on est dans la même situation qu'à la fin du 2), ni aucun parcours de personnage
Il y a pourtant quelques petits passages sympas (une poursuite dans les rues de Malte, une séquence de tension où Bryce se cache sous l'eau), mais c'est bien trop peu pour justifier les 2h26 et ce nouvel épisode qui se conclue par un plaidoyer animalier abscons (non tu peux pas dire que la cohabitation est normale quand tu ne la montres jamais dans ton film).
Trevorrow pousse le vice encore plus loin en créant un climax sans réel poids, où là encore on se tape un 2 vs 1 sans grande justification que du wink wink
Heureusement Giacchino est une belle béquille, et les acteurs sans grande fausse note. Mais on tient là un produit vide qui tourne en circuit fermé, empli de couleuvres à avaler et dénué de merveilleux, d'aventure ou de wow effect.
Bref c'est mauvais
1,5/5
C'est bon 5/5 je n'attends rien d'autre 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Finalement j'ai trouvé ça assez satisfaisant même si le résultat est un peu boursouflé. J'ai beaucoup aimé la première partie, disons que l'intrigue et l'ambiance s'éloignent un peu de tous les opus précédents. Bien sûr il y a de grosses facilités scénaristiques pour faire avancer l'intrigue mais on s'en fout
La seconde partie devient plus classique et traine en longueur malgré quelques scènes assez tendues ici et là. Parmi le retour des anciens, Sam Neill et Laura Dern sont convaincants tandis que Jeff Goldblum a l'air de se demander ce qu'il fout là. Malgré tout j'ai quand même passé un bon moment.
EL a modérément apprécié Interceptor (3 étoiles) :
Elsa Pataky doit sauver le monde libre de vilains terroristes désireux d'atomiser les États-Unis. Interceptor réalisé par Matthew Reilly débarque sur Netflix pour taper fort. La plateforme tient-elle là un missile capable de ressusciter le cinéma d'action américain ?
DES PAINS ET DES JEUX
Auteur de best-sellers célèbre en Australie, Matthew Reilly mène de front sa carrière littéraire en parallèle de ses velléités de scénariste et producteur, depuis le mitan des années 2000. Une ambition qui l’aura porté du côté des séries, avec des succès inégaux. Mais ce collectionneur d’accessoires hollywoodiens réchappés des années 80 a peut-être trouvé avec Interceptor la recette qui lui permettra de transposer son amour des productions populaires de sa jeunesse.
La couleur nous est annoncée dès l’ouverture : bienvenue dans l’actioner militaro-bourrin circa 84, celui où l’on joue le sort du monde libre à coups de tatanes, où la menace est toujours nucléaire, et les deltoïdes plus luisants que des gonades snackées dans une baignoire de Jim Beam. Ici, la nuance est l’ennemi, au même titre que le Russe. Le programme a de quoi réjouir, les nostalgiques des prods musclées, balayées par les blockbusters super-héroïques, et progressivement boudées par le grand public au tournant des années 2000.
Un – relatif - désamour, qui a une conséquence directe sur le film qui nous intéresse. Interceptor est un film de plateforme, produit pour moins de quinze millions de dollars, soit une somme microscopique en regard de ses ambitions spectaculaires. Cette modestie est criante dès que le récit doit brièvement s’aventurer hors de son décor principal, prenant soudain des atours de telenovelas filmée par des aveugles, ou lors des séquences en extérieur, aux incrustations particulièrement hasardeuses. Mais l’intérêt de ce quasi-huis clos gonflé à bloc réside ailleurs.
ELSA ET LES GARÇONS
Qui dit petit budget, dit petit tournage, en l’occurrence, une mission commando de 33 jours à peine, et donc un récit ramassé. À l’heure où le cinéma de divertissement souffre régulièrement de dilatations narratives éreintantes, Interceptor ne dure que 96 minutes, et mène donc son récit à toute berzingue. Ce tempo soutenu permet en outre de limiter les errances du co-scénariste Stuart Beattie, coupable de quelques-uns des pires blockbusters de ces dernières années, et connu pour les caractérisations trépanées de personnages qui n’en demandent pas tant.
La preuve avec cette pauvre JJ, interprétée par Elsa Pataky, dont le scénario ne sait jamais s’il veut en faire une walkyrie féministe, une fille à papa, une patriote bon teint ou un modèle d’inclusivité. Il en ira de même pour le vilain anarcho-terroriste Luke Bracey, qui se donne beaucoup de mal pour justifier son projet de raser l’Amérique à coups de bombes atomiques... afin d’en finir avec ses racines violentes et inégalitaires. Caractérisés au lance-grenade, les protagonistes ne devraient pas marquer au fer rouge les annales de l’écriture dramaturgique.
Mais l’investissement des deux interprètes principaux n’en est que plus salvateur. Elsa Pataky s’en donne à cœur joie, ne s’arrête à aucune réplique mongoloïde, ne recule devant aucun bourre-pif pour s’imposer en militaire casseuse de bouche et raboteuse de vilain patriarcat. Sans forcément verser dans le vertige shakespearien, elle remplit à la perfection son contrat de combattante, et s’avère parfaitement crédible physiquement, un défi d’autant plus relevé qu’elle est seule à porter la charge physique de ce programme remuant.
KICK STARTEUSE
Et derrière la caméra, Matthew Reilly ne démérite pas. On sent le primo-metteur en scène gavé de références, follement désireux de proposer un spectacle simple, largement inspiré de Piège de Cristal, Piège en haute mer, le tout saupoudré d’une pincée d’Ultime décision. À la fois contraint et libéré par son décor quasi-unique, il peut l’envisager à la manière d’un coffre à jouets dont il faut sans cesse renouveler les possibilités.
Joutes à mains nues, fusillades, intrusion... tout y passe, et sans jamais que la caméra ne perde de vue l’essentiel, à savoir la lisibilité de l’action, ou l’impact des coups pleuvant à l’écran. C’est d’ailleurs un des humbles plaisirs de ce divertissement furieusement rétro, à avoir son goût pour une maltraitance des corps, qui investit le spectateur, décuple l’immersion, tout en offrant quelques plaisantes mises à mort. On pense ainsi souvent à l'inéluctable transformation de Bruce Willis en steak haché humain au gré des Die Hard. Car quand bien même JJ voit son visage relativement épargné par la violence qui déferle, l'amazone achève cette aventure sévèrement éprouvée.
À condition de passer outre une paire de dialogues fumeux, des motivations de personnages fumées comme un saumon norvégien et un budget aux limites un peu voyantes, Interceptor propose donc un contrat largement rempli, qui sonne comme un coup de boule à l’aube, idéal pour entamer un glorieux week-end, ou achever une soirée placée sous le signe de l’élégance. Un équilibre pas évident, qui doit peut-être au compagnon d’Elsa Pataky, Chris Hemsworth, ici producteur exécutif, visible dans un caméo qui rappelle malicieusement que c’est peut-être du côté de la comédie que Thor éclaire le plus.
Interceptor est disponible sur Netflix depuis le 3 juin 2022
Amis de la finesse, abandonnez tout espoir. Amis des tartes dans la tronche, réjouissez-vous, vos pains de ce jour sont arrivés, et ils sont distribués avec générosité par une Elsa Pataky parfaite en botteuse de fondements.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... KMqbyIlPI8
Elsa Pataky doit sauver le monde libre de vilains terroristes désireux d'atomiser les États-Unis. Interceptor réalisé par Matthew Reilly débarque sur Netflix pour taper fort. La plateforme tient-elle là un missile capable de ressusciter le cinéma d'action américain ?
DES PAINS ET DES JEUX
Auteur de best-sellers célèbre en Australie, Matthew Reilly mène de front sa carrière littéraire en parallèle de ses velléités de scénariste et producteur, depuis le mitan des années 2000. Une ambition qui l’aura porté du côté des séries, avec des succès inégaux. Mais ce collectionneur d’accessoires hollywoodiens réchappés des années 80 a peut-être trouvé avec Interceptor la recette qui lui permettra de transposer son amour des productions populaires de sa jeunesse.
La couleur nous est annoncée dès l’ouverture : bienvenue dans l’actioner militaro-bourrin circa 84, celui où l’on joue le sort du monde libre à coups de tatanes, où la menace est toujours nucléaire, et les deltoïdes plus luisants que des gonades snackées dans une baignoire de Jim Beam. Ici, la nuance est l’ennemi, au même titre que le Russe. Le programme a de quoi réjouir, les nostalgiques des prods musclées, balayées par les blockbusters super-héroïques, et progressivement boudées par le grand public au tournant des années 2000.
Un – relatif - désamour, qui a une conséquence directe sur le film qui nous intéresse. Interceptor est un film de plateforme, produit pour moins de quinze millions de dollars, soit une somme microscopique en regard de ses ambitions spectaculaires. Cette modestie est criante dès que le récit doit brièvement s’aventurer hors de son décor principal, prenant soudain des atours de telenovelas filmée par des aveugles, ou lors des séquences en extérieur, aux incrustations particulièrement hasardeuses. Mais l’intérêt de ce quasi-huis clos gonflé à bloc réside ailleurs.
ELSA ET LES GARÇONS
Qui dit petit budget, dit petit tournage, en l’occurrence, une mission commando de 33 jours à peine, et donc un récit ramassé. À l’heure où le cinéma de divertissement souffre régulièrement de dilatations narratives éreintantes, Interceptor ne dure que 96 minutes, et mène donc son récit à toute berzingue. Ce tempo soutenu permet en outre de limiter les errances du co-scénariste Stuart Beattie, coupable de quelques-uns des pires blockbusters de ces dernières années, et connu pour les caractérisations trépanées de personnages qui n’en demandent pas tant.
La preuve avec cette pauvre JJ, interprétée par Elsa Pataky, dont le scénario ne sait jamais s’il veut en faire une walkyrie féministe, une fille à papa, une patriote bon teint ou un modèle d’inclusivité. Il en ira de même pour le vilain anarcho-terroriste Luke Bracey, qui se donne beaucoup de mal pour justifier son projet de raser l’Amérique à coups de bombes atomiques... afin d’en finir avec ses racines violentes et inégalitaires. Caractérisés au lance-grenade, les protagonistes ne devraient pas marquer au fer rouge les annales de l’écriture dramaturgique.
Mais l’investissement des deux interprètes principaux n’en est que plus salvateur. Elsa Pataky s’en donne à cœur joie, ne s’arrête à aucune réplique mongoloïde, ne recule devant aucun bourre-pif pour s’imposer en militaire casseuse de bouche et raboteuse de vilain patriarcat. Sans forcément verser dans le vertige shakespearien, elle remplit à la perfection son contrat de combattante, et s’avère parfaitement crédible physiquement, un défi d’autant plus relevé qu’elle est seule à porter la charge physique de ce programme remuant.
KICK STARTEUSE
Et derrière la caméra, Matthew Reilly ne démérite pas. On sent le primo-metteur en scène gavé de références, follement désireux de proposer un spectacle simple, largement inspiré de Piège de Cristal, Piège en haute mer, le tout saupoudré d’une pincée d’Ultime décision. À la fois contraint et libéré par son décor quasi-unique, il peut l’envisager à la manière d’un coffre à jouets dont il faut sans cesse renouveler les possibilités.
Joutes à mains nues, fusillades, intrusion... tout y passe, et sans jamais que la caméra ne perde de vue l’essentiel, à savoir la lisibilité de l’action, ou l’impact des coups pleuvant à l’écran. C’est d’ailleurs un des humbles plaisirs de ce divertissement furieusement rétro, à avoir son goût pour une maltraitance des corps, qui investit le spectateur, décuple l’immersion, tout en offrant quelques plaisantes mises à mort. On pense ainsi souvent à l'inéluctable transformation de Bruce Willis en steak haché humain au gré des Die Hard. Car quand bien même JJ voit son visage relativement épargné par la violence qui déferle, l'amazone achève cette aventure sévèrement éprouvée.
À condition de passer outre une paire de dialogues fumeux, des motivations de personnages fumées comme un saumon norvégien et un budget aux limites un peu voyantes, Interceptor propose donc un contrat largement rempli, qui sonne comme un coup de boule à l’aube, idéal pour entamer un glorieux week-end, ou achever une soirée placée sous le signe de l’élégance. Un équilibre pas évident, qui doit peut-être au compagnon d’Elsa Pataky, Chris Hemsworth, ici producteur exécutif, visible dans un caméo qui rappelle malicieusement que c’est peut-être du côté de la comédie que Thor éclaire le plus.
Interceptor est disponible sur Netflix depuis le 3 juin 2022
Amis de la finesse, abandonnez tout espoir. Amis des tartes dans la tronche, réjouissez-vous, vos pains de ce jour sont arrivés, et ils sont distribués avec générosité par une Elsa Pataky parfaite en botteuse de fondements.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... KMqbyIlPI8
Arachnophobie : le remake produit par James Wan a trouvé son réalisateur et scénariste
La comédie horrifique Arachnophobie va avoir droit à un remake produit par James Wan qui a trouvé le réalisateur et scénariste de cette nouvelle adaptation.
Après Aquaman and The Lost Kingdom, James Wan va de nouveau se consacrer au cinéma d'horreur en produisant plusieurs longs-métrages du genre, notamment La Nonne 2, Insidious 5, mais aussi le remake de la comédie horrifique Arachnophobie de Frank Marshall sortie en 1990 et quelque peu tombée dans l'oubli depuis.
Le projet de réadaptation a été annoncé en 2018 avec Amblin Partners et Atomic Monster comme coproducteurs, mais entre les engagements de James Wan envers DC et ses errances du côté du Conjuring-verse, la préproduction a mis du temps à mettre le pied à l'étrier, mais comme l'a récemment annoncé The Hollywood Reporter, le développement a finalement passé un stade puisque le nom du cinéaste qui passera derrière la caméra a été annoncé.
Et même s'il aurait été assez drôle que James Wan puisse transformer l'essai avec son Malignant qui lorgnait presque prodigieusement sur le nanar horrificomique, c'est finalement sur Christopher B. Landon, un autre cinéaste qui s'est fait connaître dans l'horreur mainstream, que le choix s'est porté. Ce dernier a notamment réalisé Paranormal Activity : The Marked Ones, Manuel de survie à l'Apocalypse zombie, les deux Happy Birthdead et dernièrement Freaky, mais a aussi été scénariste de Paranormal Activity 2, 3, 4 et du dernier Paranormal Activity: Next of Kin. De son côté, Frank Marshall rejoindra également la production exécutive.
Le projet étant encore au premier stade de son développement, aucun détail concernant l'intrigue n'a encore été annoncé. On peut néanmoins s'attendre à un pitch assez similaire à celui du film original avec une expédition en Amazonie, une personne tuée par une nouvelle super race d'araignée qui s'introduit ensuite dans son cercueil et se fait rapatrier dans une tranquille petite ville des États-Unis qui ne va pas rester tranquille très longtemps. Reste maintenant à trouver les remplaçants de Jeff Daniels, Julian Sands, John Goodman et Harley Jane Kozak au casting.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... Vi5myPb9hQ
La comédie horrifique Arachnophobie va avoir droit à un remake produit par James Wan qui a trouvé le réalisateur et scénariste de cette nouvelle adaptation.
Après Aquaman and The Lost Kingdom, James Wan va de nouveau se consacrer au cinéma d'horreur en produisant plusieurs longs-métrages du genre, notamment La Nonne 2, Insidious 5, mais aussi le remake de la comédie horrifique Arachnophobie de Frank Marshall sortie en 1990 et quelque peu tombée dans l'oubli depuis.
Le projet de réadaptation a été annoncé en 2018 avec Amblin Partners et Atomic Monster comme coproducteurs, mais entre les engagements de James Wan envers DC et ses errances du côté du Conjuring-verse, la préproduction a mis du temps à mettre le pied à l'étrier, mais comme l'a récemment annoncé The Hollywood Reporter, le développement a finalement passé un stade puisque le nom du cinéaste qui passera derrière la caméra a été annoncé.
Et même s'il aurait été assez drôle que James Wan puisse transformer l'essai avec son Malignant qui lorgnait presque prodigieusement sur le nanar horrificomique, c'est finalement sur Christopher B. Landon, un autre cinéaste qui s'est fait connaître dans l'horreur mainstream, que le choix s'est porté. Ce dernier a notamment réalisé Paranormal Activity : The Marked Ones, Manuel de survie à l'Apocalypse zombie, les deux Happy Birthdead et dernièrement Freaky, mais a aussi été scénariste de Paranormal Activity 2, 3, 4 et du dernier Paranormal Activity: Next of Kin. De son côté, Frank Marshall rejoindra également la production exécutive.
Le projet étant encore au premier stade de son développement, aucun détail concernant l'intrigue n'a encore été annoncé. On peut néanmoins s'attendre à un pitch assez similaire à celui du film original avec une expédition en Amazonie, une personne tuée par une nouvelle super race d'araignée qui s'introduit ensuite dans son cercueil et se fait rapatrier dans une tranquille petite ville des États-Unis qui ne va pas rester tranquille très longtemps. Reste maintenant à trouver les remplaçants de Jeff Daniels, Julian Sands, John Goodman et Harley Jane Kozak au casting.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... Vi5myPb9hQ
Everything Everywhere all at once, le phénomène du multivers, a enfin une date de sortie en France
La comédie d'action avec Michelle Yeoh, Everything Everywhere All at Once, débarquera bien cet été dans les cinémas français.
Une fois n'est pas coutume, on commençait à se languir de voir un film de A24 s'exporter dans nos salles. Peinant parfois à négocier avec les distributeurs français pour la sortie de ces productions, la société avait déjà provoqué une certaine impatience chez certains, en 2021 avec le très singulier The Green Knight. À tel point qu'on s'interrogeait alors sur la possibilité que le piratage finisse tout simplement par tuer la sortie de The Green Knight en salles.
Au final, après une longue attente, c'est bien sur la plateforme Amazon Prime Video que le film arthurien nous est parvenu légalement. L'absence de toute sortie en salles sur le sol français pouvait s'accompagner d'une certaine frustration. Et malgré l'énorme succès de Everything Everywhere All at Once aux États-Unis, on était donc un peu inquiet de ne toujours pas voir venir le film chez nous. Mais désormais, toute crainte peut être apaisée : le film ne recevra pas le même sort que The Green Knight. Une date de sortie française a été annoncée pour le film de SF aux allures déjantées.
Versant plutôt dans la VOD habituellement, c'est bien Originals Factory qui garantira la sortie au cinéma du nouveau film de Daniel Kwan et Daniel Scheinert (Swiss Army Man). Alors que le distributeur avait récupéré récemment les droits du film auprès d'A24, il a annoncé qu'Everything Everywhere All at Once arrivera le 31 août dans nos salles. Une sortie qui pourrait être limitée dans le temps, a priori, afin de rapidement sortir le long-métrage en VOD (le film étant déjà disponible en téléchargement illégal depuis plusieurs mois).
Pour rappel, Everything Everywhere All at Once, raconte l'histoire d'Evelyn Wang, femme au bord de la crise de nerfs, qui se retrouve plongée dans un multivers où tout devient possible et accessible: elle est alors libre d'explorer les autres vies qu'elle aurait pu mener. Cependant, face à des forces obscures qui menacent le monde, elle doit se battre et protéger sa famille.
En plus de Michelle Yeoh, le film compte également dans ses rangs Jamie Lee Curtis (Halloween), Stephanie Hsu (Shang-Chi), Ke Huy Quan (Les Goonies) ou encore James Hong (Alerte Rouge). Un casting peut-être moins tape-à-l'oeil que celui de Doctor Strange in the Multiverse of Madness, l'autre film à exploiter le sujet du multivers, mais non moins alléchant. De quoi aussi nous donner encore plus envie de découvrir à la fin de cet été l'une des plus excitantes anomalies du cinéma américain promises cette année.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... C3SbbeCA60
La comédie d'action avec Michelle Yeoh, Everything Everywhere All at Once, débarquera bien cet été dans les cinémas français.
Une fois n'est pas coutume, on commençait à se languir de voir un film de A24 s'exporter dans nos salles. Peinant parfois à négocier avec les distributeurs français pour la sortie de ces productions, la société avait déjà provoqué une certaine impatience chez certains, en 2021 avec le très singulier The Green Knight. À tel point qu'on s'interrogeait alors sur la possibilité que le piratage finisse tout simplement par tuer la sortie de The Green Knight en salles.
Au final, après une longue attente, c'est bien sur la plateforme Amazon Prime Video que le film arthurien nous est parvenu légalement. L'absence de toute sortie en salles sur le sol français pouvait s'accompagner d'une certaine frustration. Et malgré l'énorme succès de Everything Everywhere All at Once aux États-Unis, on était donc un peu inquiet de ne toujours pas voir venir le film chez nous. Mais désormais, toute crainte peut être apaisée : le film ne recevra pas le même sort que The Green Knight. Une date de sortie française a été annoncée pour le film de SF aux allures déjantées.
Versant plutôt dans la VOD habituellement, c'est bien Originals Factory qui garantira la sortie au cinéma du nouveau film de Daniel Kwan et Daniel Scheinert (Swiss Army Man). Alors que le distributeur avait récupéré récemment les droits du film auprès d'A24, il a annoncé qu'Everything Everywhere All at Once arrivera le 31 août dans nos salles. Une sortie qui pourrait être limitée dans le temps, a priori, afin de rapidement sortir le long-métrage en VOD (le film étant déjà disponible en téléchargement illégal depuis plusieurs mois).
Pour rappel, Everything Everywhere All at Once, raconte l'histoire d'Evelyn Wang, femme au bord de la crise de nerfs, qui se retrouve plongée dans un multivers où tout devient possible et accessible: elle est alors libre d'explorer les autres vies qu'elle aurait pu mener. Cependant, face à des forces obscures qui menacent le monde, elle doit se battre et protéger sa famille.
En plus de Michelle Yeoh, le film compte également dans ses rangs Jamie Lee Curtis (Halloween), Stephanie Hsu (Shang-Chi), Ke Huy Quan (Les Goonies) ou encore James Hong (Alerte Rouge). Un casting peut-être moins tape-à-l'oeil que celui de Doctor Strange in the Multiverse of Madness, l'autre film à exploiter le sujet du multivers, mais non moins alléchant. De quoi aussi nous donner encore plus envie de découvrir à la fin de cet été l'une des plus excitantes anomalies du cinéma américain promises cette année.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... C3SbbeCA60
Chris Hemsworth annonce que le tournage de Mad Max : Furiosa a commencé
"Un nouveau voyage de la saga Mad Max commence".
Sept ans après Mad Max: Fury Road, le très attendu spin-off entre enfin en tournage. Furiosa vient de commencer sa production et c'est le nouveau venu, Chris Hemsworth, qui l'annonce.
Dans un message partagé sur les réseaux sociaux, la star australienne de Marvel confirme : "Un nouveau voyage dans la saga Mad Max commence."
A ses côtés, pas de Charlize Theron. C'est Anya Taylor-Joy du Jeu de la Dame qui jouera la jeune Furiosa, dans cette histoire préquelle qui racontera ses origines, avant les événements de Fury Road.
Selon le réalisateur, George Miller, il s'agira d'une "grande saga", qui se déroulera sur une période de 15 ans.
Miller a aussi co-écrit Furiosa et co-produit avec Doug Mitchell. Sortie prévue pour 2024 au cinéma.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 7I3_Ht4uxY
J'espère revivre un moment à la Fury Road.
"Un nouveau voyage de la saga Mad Max commence".
Sept ans après Mad Max: Fury Road, le très attendu spin-off entre enfin en tournage. Furiosa vient de commencer sa production et c'est le nouveau venu, Chris Hemsworth, qui l'annonce.
Dans un message partagé sur les réseaux sociaux, la star australienne de Marvel confirme : "Un nouveau voyage dans la saga Mad Max commence."
A ses côtés, pas de Charlize Theron. C'est Anya Taylor-Joy du Jeu de la Dame qui jouera la jeune Furiosa, dans cette histoire préquelle qui racontera ses origines, avant les événements de Fury Road.
Selon le réalisateur, George Miller, il s'agira d'une "grande saga", qui se déroulera sur une période de 15 ans.
Miller a aussi co-écrit Furiosa et co-produit avec Doug Mitchell. Sortie prévue pour 2024 au cinéma.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 7I3_Ht4uxY
J'espère revivre un moment à la Fury Road.
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NaughtyDog
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Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
Ce week-end j'ai vu :
Oui je découvre seulement ce film
J'avais déjà vu des scènes dans le passé et je connaissais quelques points de l'intrigue mais hors contexte. Donc le pourquoi du comment m'a quand même mis sur le cul.
J'aime beaucoup le cinéma de Peter Weir et il s'agit peut-être de mon film préféré du réalisateur, c'est un superbe film avec un Mel Gibson et une Sigourney Weaver à leur apogée, leur prestation donne des frissons. Très impressionné également par la prestation de Linda Hunt. Celle-ci a même remporté l'oscar pour son rôle où elle joue un... homme.
Au début on a l'impression de regarder un mauvais film genre un Steven Seagal tout claqué. C'est quand même très cheap mais malgré tout, la sauce prend petit à petit et ça tient un peu en haleine sur la fin.
Je n'ai pas lu le bouquin et je n'ai pas vu la précédente adaptation et malgré que cette version se fasse incendier par la critique, j'ai trouvé ça pas mal du tout. J'ai particulièrement apprécié l'ambiance rétro et la musique de Carpenter. Après le rythme est tel qu'on n'a pas le temps de s'ennuyer.
J'ai également commencé la saison 4 de Ozark. C'est toujours aussi intense
Oui je découvre seulement ce film
J'avais déjà vu des scènes dans le passé et je connaissais quelques points de l'intrigue mais hors contexte. Donc le pourquoi du comment m'a quand même mis sur le cul.J'aime beaucoup le cinéma de Peter Weir et il s'agit peut-être de mon film préféré du réalisateur, c'est un superbe film avec un Mel Gibson et une Sigourney Weaver à leur apogée, leur prestation donne des frissons. Très impressionné également par la prestation de Linda Hunt. Celle-ci a même remporté l'oscar pour son rôle où elle joue un... homme.
Au début on a l'impression de regarder un mauvais film genre un Steven Seagal tout claqué. C'est quand même très cheap mais malgré tout, la sauce prend petit à petit et ça tient un peu en haleine sur la fin.
Je n'ai pas lu le bouquin et je n'ai pas vu la précédente adaptation et malgré que cette version se fasse incendier par la critique, j'ai trouvé ça pas mal du tout. J'ai particulièrement apprécié l'ambiance rétro et la musique de Carpenter. Après le rythme est tel qu'on n'a pas le temps de s'ennuyer.
J'ai également commencé la saison 4 de Ozark. C'est toujours aussi intense
Modifié en dernier par Pale le dim. 5 juin 2022 22:45, modifié 1 fois.
Mon programme ciné du week-end prochain :
Sur Netflix :
Pour Men, ce sera en VF si je le vois en France. Le film sort en VOST dans mon ciné d'art & d'essai le 22 juin donc il est probable que je patiente jusque là même si j'ai hyper envie de le voir.
Sur Netflix :
Pour Men, ce sera en VF si je le vois en France. Le film sort en VOST dans mon ciné d'art & d'essai le 22 juin donc il est probable que je patiente jusque là même si j'ai hyper envie de le voir.
Le box-office US de ce week-end :
https://www.boxofficemojo.com/weekend/2 ... _=bo_hm_rw
Top Gun signe un second week-end assez dingue. Encore vendredi c'était blindé pour le film dans mon ciné.
En deux semaines, le film est devenu le plus gros succès de Tom Cruise au box-office américain et ça va certainement devenir son plus gros succès dans le monde. Bravo l'artiste et c'est de bon augure pour les prochains Mission Impossible.
https://www.boxofficemojo.com/weekend/2 ... _=bo_hm_rw
Top Gun signe un second week-end assez dingue. Encore vendredi c'était blindé pour le film dans mon ciné.
En deux semaines, le film est devenu le plus gros succès de Tom Cruise au box-office américain et ça va certainement devenir son plus gros succès dans le monde. Bravo l'artiste et c'est de bon augure pour les prochains Mission Impossible.
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NaughtyDog
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J'adore l'ambiance genre vieux film SF.
Vu :
Très beau film de Peter Bogdanovich. Celui-ci utilise avec brio l'art de l’ellipse et évoque à merveille des notions comme le temps qui passe, la fin d'une époque, les regrets, l'existentialisme, la nostalgie, etc. Forcément au début c'est pas évident de plonger dedans, c'est très lent mais quand on commence à s'intéresser aux différents personnages, c'est un film qui ne laisse pas insensible.
C'est le premier film bollywoodien que je regarde et ce sera probablement le dernier aussi Ces 3 heures n'ont pas été sans mal. Alors oui, les costumes, les décors et les chorégraphies sont superbes mais le niveau d'emphase et de niaiseries atteint des sommets stratosphériques. Certes ça fait certainement partie du charme mais c'est impossible de ne pas rire devant les gros cuts sur les mines déconfites des personnages, l'exagération des postures qu'ils prennent ou alors certains figurants qui ont l'air de provenir des ambianceurs qu'on retrouve dans N'oubliez pas les paroles. Après ce ne fut pas abominable à regarder pour autant mais c'est clairement pas mon truc
Très beau film de Peter Bogdanovich. Celui-ci utilise avec brio l'art de l’ellipse et évoque à merveille des notions comme le temps qui passe, la fin d'une époque, les regrets, l'existentialisme, la nostalgie, etc. Forcément au début c'est pas évident de plonger dedans, c'est très lent mais quand on commence à s'intéresser aux différents personnages, c'est un film qui ne laisse pas insensible.
C'est le premier film bollywoodien que je regarde et ce sera probablement le dernier aussi
Ces 3 heures n'ont pas été sans mal. Alors oui, les costumes, les décors et les chorégraphies sont superbes mais le niveau d'emphase et de niaiseries atteint des sommets stratosphériques. Certes ça fait certainement partie du charme mais c'est impossible de ne pas rire devant les gros cuts sur les mines déconfites des personnages, l'exagération des postures qu'ils prennent ou alors certains figurants qui ont l'air de provenir des ambianceurs qu'on retrouve dans N'oubliez pas les paroles. Après ce ne fut pas abominable à regarder pour autant mais c'est clairement pas mon truc -
BOX OFFICE STORY
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Ozark ma série préférée all time.Dès que je peux je la recommande à tout le Monde.
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
C'est ce que je fais actuellement, j'ai déjà converti quelques personnesBOX OFFICE STORY a écrit : ↑mar. 7 juin 2022 13:54Ozark ma série préférée all time.Dès que je peux je la recommande à tout le Monde.
Le début de la saison 4 est énorme.
J'en suis à l'épisode 6
Pouet
Vu :
Au début je ne voulais même pas en toucher un mot En vrai c'est mignon mais totalement dispensable. La tagline est mensongère, c'est lisse et d'une sagesse absolue.
L'éveil en français mais on pourrait également le renommer par Le Cercle des légumes disparus. Ce film peut prétendre à 2 titres : à celui du film le plus niais et mièvre de tous les temps et à celui du cabotinage le plus malaisant et hilarant de la part de Robert De Niro.
Au début je ne voulais même pas en toucher un mot
En vrai c'est mignon mais totalement dispensable. La tagline est mensongère, c'est lisse et d'une sagesse absolue.L'éveil en français mais on pourrait également le renommer par Le Cercle des légumes disparus. Ce film peut prétendre à 2 titres : à celui du film le plus niais et mièvre de tous les temps et à celui du cabotinage le plus malaisant et hilarant de la part de Robert De Niro.