Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Je vais surprendre personne en disant que le film ne fait pas dans l'originalité mais il fait clairement le taf. L'humour et l'action sont constants du début à la fin, c'est un bon mélange de comédie, d'espionnage, d'action et d'aventures. On voyage beaucoup (même si certains décors puent le studio on est d'accord) et les acteurs sont fidèles à eux-mêmes et s'en donnent à cœur joie. Je n'ai pas boudé mon plaisir devant ce film :D
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Pale
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On est clairement dans un Eastwood mineur mais j'ai malgré tout apprécié, la magie opère petit à petit et le réalisateur livre un beau film très humain.
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Wickaël
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Pale a écrit :
sam. 13 nov. 2021 12:44
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Je vais surprendre personne en disant que le film ne fait pas dans l'originalité mais il fait clairement le taf. L'humour et l'action sont constants du début à la fin, c'est un bon mélange de comédie, d'espionnage, d'action et d'aventures. On voyage beaucoup (même si certains décors puent le studio on est d'accord) et les acteurs sont fidèles à eux-mêmes et s'en donnent à cœur joie. Je n'ai pas boudé mon plaisir devant ce film :D
Ce sera ce soir pour ma part :D

Et demain soir Holmes & Watson qui vient de débarquer sur Netflix.
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robinne
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weird

ClintReborn a écrit :
jeu. 11 nov. 2021 15:17
robinne a écrit :
jeu. 11 nov. 2021 15:05
Pale a écrit :
mer. 10 nov. 2021 18:06
Paul Rudd est élu homme le plus sexy du moment par le magazine People

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"Je vais me faire imprimer des cartes de visites !", s'amuse l'acteur d'Ant-Man en apprenant la nouvelle.

A 52 ans, Paul Rudd est en couverture du nouveau numéro de People, élu "Sexiest Man Alive". L'acteur de Friends, Présentateur vedette et Ant-Man succède à Michael B. Jordan (Creed, Black Panther) qui avait obtenu ce titre en 2020. Et il semble très amusé d'avoir été choisi pour entrer dans le club des beaux gosses : "J'espère que je vais enfin être invité à ces dîners sexy avec Clooney, Pitt et B. Jordan, s'exclame-t-il dans la vidéo accompagnant la parution du magazine. Je suppose aussi qu'on me conviera davantage sur des yachts. J'ai hâte de passer plus de temps à bord de yachts..." Toujours en rigolant, il avoue qu'il risque de pas mal se la raconter après ça : "Je vais vraiment en profiter. Ne comptez pas sur moi pour dire : 'Ok, restons modestes.' Je vais me faire imprimer des cartes de visites. Tous mes amis vont m'allumer, je le sais. C'est d'ailleurs pour ça que ce sont mes amis !"

Plus sérieusement, il avoue avoir été très surpris d'avoir reçu le mail lui annonçant qu'il allait recevoir cet honneur : "Ce n'est pas de la fausse modestie, il y a tellement de gens qui auraient dû être élus avant moi." Il raconte aussi la réaction mignonne de sa femme Julie, 53 ans dont 18 de mariage avec lui, en apprenant la nouvelle : "Elle était stupéfaite, mais elle a aussi été adorable à ce sujet. Après le choc et quelques rires, elle m'a dit : 'Oh, ils ont raison !' C'était très gentil. Elle ne me disait probablement pas la vérité, mais qu'est-ce qu'elle pouvait dire ? Dans la vie, je me vois plutôt comme un mari et un père de famille. CA, c'est moi. Je suis tout le temps avec eux quand je ne travaille pas. C'est ce que je préfère."

Ces temps-ci, Paul Rudd est très occupé : il sera au cœur de la série The Shrink Next Door, qui marque ses retrouvailles avec Will Ferrell, à partir du vendredi 12 novembre sur Apple TV +, puis au cinéma, à l'affiche de S.O.S. Fantômes : L'héritage, attendu sur les écrans le 1er décembre. Il a aussi tourné cette année Ant-Man et la Guêpe : Quantumania, le troisième opus de la saga Marvel, qui sortira en juillet 2023.


https://www.premiere.fr/People/News-Peo ... FMySimx5n8
Je le connais peu, mais il a l’air sympa.
Je pense que c'est pas très flatteur pour un artiste d'être considéré pour son physique par un magazine people :lol: C'est quand même le niveau zéro du vide intellectuel. Ils vendent juste une image :saint:
Je ne parlais pas du magazine, mais de Paul Rudd ^^ , qui d’ailleurs, s’amuse de cette « nomination » par le magazine.
Il (Paul Rudd :D) a l’air d’avoir les pieds sur terre et d’être un « gars normal ».
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Pale
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EL n'a pas trop aimé Red Notice (2,5 étoiles) :

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Red Notice, divertissement massif de fin d'année, débarque sur Netflix, porté par un casting en or composé de Dwayne Johnson, Gal Gadot et Ryan Reynolds, un budget pharaonique et une formule qui sent bon les pieds.

BITCH BETTER HAVE MY MONEY


Sitôt le cinéma considéré comme une source de revenus potentiellement importants (grosso modo, grâce à Naissance d'une Nation, premier succès international digne de ce nom), sa mutation industrielle s'est retrouvée face à un dilemme à priori insoluble, qui fait toute la singularité du médium, et le définit simultanément comme un support artistique, autant qu'une source de divertissement collectif.

Depuis le début du XXe siècle, le cinéma est une industrie du prototype, c'est à dire un système qui a besoin pour se maintenir de fabriquer à une intensité et un degré de technicité proche d'une logique industrielle, mais dont la réussite auprès du public dépend également de sa capacité à engendrer de nouvelles formes, à surprendre, à ne pas proposer systématiquement la même chose.

Les studios sont ainsi écartelés entre la nécessité de permettre au 7e Art de se renouveler, et la perpétuelle tentation de se risquer à lui trouver une recette, une formule, qui dispense ou préserve du risque lié à l'innovation. Le sujet polarise d'autant plus cinéphiles et cinéphages que le grand public adoube actuellement en masse les formules pré-établies et déclinées à l'infini au détriment des projets originaux, tandis que le succès planétaire de Netflix (et plus globalement des plateformes de SVoD) nourrit le concept - largement fantasmé - d'un algorithme diabolique qui permettrait d'établir avec certitude les attentes et désirs des usagers.

Au sein de cette équation, Red Notice fait figure d'incarnation parfaite des actuelles tendances industrielles, de leurs atouts comme de leurs limites. Un constat qui, sur le papier, pourrait s'appliquer à des dizaines de produits conçus ses dernières années, dans un contexte où le règne de Marvel sur les plus hautes marches du box-office a poussé la concurrence à se métamorphoser en vaste système de blanchiment d'idées. À la différence que le film de Rawson Marshall Thurber a poussé si loin cette logique, qu'elle prend ici des proportions ahurissantes.

LE CLUB DES TROIS

De ses décors rachitiques dopés à coups de fonds verts, en passant par ses personnages fonctions, ses séquences d'action structurées autour d'une poignée de plans vus ailleurs mille fois, ses twists artificiels, ses acteurs moins intenses qu'une énucléation ratée, tout pourrait aboutir à un blockbuster d'une banalité toute contemporaine. Un de ces objets dont le budget pharaonique est invisible à l'écran, équivalent filmique d'une brebis clonée. Mais le métrage refuse toute forme d'identité au point de se transformer régulièrement en simulacre de ses aînés.

Ainsi s'ouvre-t-il sur une scène de poursuite qui fait les poches de l'introduction de Quantum of Solace, avant de se lover dans les dessous de Tango et Cash, pour mieux singer True Lies, avant de se maquiller grossièrement en Indiana Jones et le Temple Maudit, le temps d'un climax aux enjeux aussi vigoureux qu'un prince britannique un peu trop rincé. Avec un je-m'en-foutisme total, Thurber ne se cache de rien, ne cherche aucunement à dissimuler le pillage, bien au contraire. C'est précisément le projet du bousin, que d'adresser un clin d'oeil au spectateur, de signer avec lui un pacte tacite, celui d'un mélange de nostalgie et d'écho lointain, capable d'entretenir sa victime dans une stase de quasi-plaisir.

Il en va de même pour les interprètes, qui interagissent avec l'entrain d'un prolapsus et la finesse d'un pain-surprise mal décongelé. Chauve, savonneux, tanké comme un char d'assaut qui refuserait d’écraser une pâquerette, Dwayne Johnson serre la mâchoire et le chéquier. Gal Gadot, d'humeur partageuse, laisse à l'équipe cascades l'opportunité de la remplacer sitôt le scénario exigeant qu'elle respire. Ryan Reynolds incarne le pet synaptique avec une constance qui n'est pas sans inquiéter. Mais là aussi, difficile de nier que chacun de ces producteurs de contenu maîtrise parfaitement son pré carré, et sait l'apporter à ses innombrables fans.

RAIDE NOTICE

On ne verra rien ici qui ne soit pas puissamment générique. Il ne faut pas en conclure pour autant que Red Notice est raté. Il est même parfaitement réussi, en cela qu'il coche toutes les cases qu'il ambitionnait de biffer pour s'assurer la plus grosse surface d'attention via les algorithmes de recommandation de Netflix. Plus angoissant : il le fait bien. Car si les productions menées en dépit du bon sens, sans jamais s'inquiéter de cinéma, ont jusqu'à présent presque systématiquement engendré de méphitiques étrons, la lobotomie douce que nous propose la plateforme parviendrait presque à rendre digeste sa recette opportuniste.

Avec moins de 100 minutes au compteur (générique inclus), le scénario, pour idiot qu'il soit, demeure rondement mené. La paresse de Reynolds vous agace ? Son art de la rupture de ton fera passer la pilule. Vous êtes conscient que Gadot joue moins bien qu'un gant de toilette ? Son charisme vous le fera un peu oublier. L'aura de désherbant industriel de Johnson vous a lassé ? Attendez de le voir contracter un deltoïde plus galbé qu'une cuisse de culturiste stéphanoise. Pour minable que soit leur conception, les scènes d'action n'ennuient jamais. Les décors générés numériquement ont la politesse d'être variés.

Même les effets spéciaux parviennent à se hisser légèrement au-dessus du tout-venant super-héroïque, comme pour ne jamais laisser leur proie détourner trop vivement les yeux de son écran. Mer d'huile apparue dans un océan de nullité industrieuse, le blockbuster pourrait bien être détestable par sa tiédeur calculée, son choix de sacrifier toute recherche dramaturgique ou quête spectaculaire au désir d'incarner le plus petit dénominateur commun.

Poison lent et sucré, il s'auto-détruit dans le cerveau de l'usager quelques secondes après son visionnage, comme pour mieux l'encourager à recommencer l'expérience, dès que la plateforme lui mettra sous le nez un nouveau monstre de Frankenstein filmique.

Red Notice est disponible sur Netflix depuis le 12 novembre 2021

Le néant a un nouvel emblème, un totem à sa gloire. Jamais détestable, jamais mémorable, Red Notice est à l'image de son casting. Inconsistant, prévisible, attendu, et trop propre pour être honnête.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1636738481
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Pale
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Licorice Pizza : les premiers avis sur le film de Paul Thomas Anderson sont là

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Les critiques ont enfin pu donner leurs avis sur Licorice Pizza, le nouveau film de Paul Thomas Anderson. Et ça donne envie !

Paul Thomas Anderson est incontestablement l'un des meilleurs réalisateurs de sa génération et il fait assurément partie des cinéastes dont on scrute chacune des nouvelles créations. Capable de toucher à tout, du film choral à la comédie romantique en passant par le western moderne, le drame sec et le quasi-expérimental (Inherent Vice), le Californien semblait revenir à ses premières amours avec Licorice Pizza.

Tout du moins, c'est ce que laissait entendre la bande-annonce du long-métrage, présageant d'un film plus doux, plus romantique et plus léger, au coeur de la San Fernando Valley, lieu où PTA a grandi (et tourné ses premiers films). Et d'après les premiers avis tombés sur Internet, on ne s'est pas vraiment trompé. Petite revue de tweets.

"Je suis tombé raid dingue du Licorice Pizza de Paul Thomas Anderson. Comme Punch- Drunk Love, c'est drôle et excentrique, mais le gars qui vend des matelas ici est un jeune entrepreneur de 15 ans qui est désespérément tombé amoureux et ne sait pas du tout quoi faire. Un film que vous regarderez encore et encore." Erik Davis - Fandango

"Licorice Pizza est un Paul Thomas Anderson divin et ce, même avant la séquence de 20 minutes où Bradley Cooper terrorise tout San Fernando Valley comme un Godzilla cocaïné, en ruth et portant un tailleur. C'est peut-être le meilleur film que j'ai vu sur un adolescent vendant des lits à eau pour impressionner son crush juif plus âgé." David Ehrlich - Indiewire

"J'aime énormément les films de Paul Thomas Anderson donc peut-être que j'étais déjà conquis par Licorice Pizza, mais bordel, qu'est ce que j'ai aimé Licorice Pizza. Une lettre d'amour à plusieurs étages belle, drôle et chaleureuse sur le fait de grandir, Los Angeles, les films... avec tant de personnages et moments merveilleux. AAAAAAh. La perfection." Germain Lussier - Gizmodo

"Licorice Pizza est un rêve. Une opportunité d'être complètement enveloppé par le Los Angeles des années 70, et le confort et charme d'une histoire incroyablement douce sur le fait de grandir et de trouver l'amour. Alana Haim et Cooper Hoffman ont attrapé mon coeur. Quelle joie de les voir s'éblouir l'un l'autre." Perri Nemiroff - Collider

"Licorice Pizza a du charme, de l'esprit et les deux premières performances exceptionnelles de Cooper Hoffman et Alana Haim. Je pense que beaucoup vont creuser son atmosphère. Il manque environ trois minutes à Bradley Cooper pour aller chercher un Oscar du meilleur second rôle. En revanche, Paul Thomas Anderson est sérieusement en jeu pour celui du scénario." Clayton Davis - Variety

"Licorice Pizza est définitivement un film d'ambiance. Peu de gens sont capables de créer une esthétique comme le fait Paul Thomas Anderson. C'est amusant, et la première moitié est vraiment très drôle, mais c'est aussi un peu sinueux parfois. Je le mettrais au côté de Inherent Vice sur l'échelle des PTA." Kevin Polowy - Yahoo

"Licorice Pizza de Paul Thomas Anderson est superbe ! L'impression d'être dans le rêve fiévreux, chaleureux et drôle conduisant à l'âge adulte, capturant une époque où les possibilités de la jeunesse se brisent face à la réalité. Alana Haim est absolument formidable. Cooper Hoffman, une vraie révélation. Et en plus, la bande-son tue !" Courtney Howard - Variety

"Licorice Pizza est le film le plus léger et joyeux que Paul Thomas Anderson ait fait depuis longtemps. Peut-être même depuis toujours. Doux, hilarant et fait avec tant d'amour et d'attention. Les divers cameos sont amusants, mais Cooper Hoffman et Alana Haim volent nos coeurs avec leur incroyable alchimie." Matt Neglia - Next Best Picture

"Triste de dire qu'il n'y a ni réglisse ni pizza dans Licorice Pizza [qui veut littéralement dire "pizza aux réglisses" en anglais, ndlr]. Cependant, c'est le film le plus accessible de PTA et une lettre d'amour à Hollywood dans les années 70. Et même si la première moitié est plus puissante que la seconde, j'ai adoré passer du temps dans le monde étrange créé par PTA." Scott Menzel - We Live Entertainment

Autant dire que les premiers retours sur Licorice Pizza sont dithyrambiques et que Paul Thomas Anderson semble avoir frappé une nouvelle fois, tout en parvenant à revenir sur un territoire qu'il n'avait plus trop exploré ces quinze dernières années. Si les avis tombent si tôt sur Internet, c'est parce que le film sortira dès le 26 novembre aux États-Unis dans certaines salles, avant une sortie nationale le 25 décembre.

En France, il faudra attendre l'année prochaine puisque Licorice Pizza est prévu pour une sortie le 5 janvier 2022 dans nos salles.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1636720860
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Road House : le remake oublié a trouvé son réalisateur et le super remplaçant de Patrick Swayze

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La MGM prépare un remake du film d'action Road House avec un nouveau réalisateur et un acteur très prisé pour remplacer Patrick Swayze dans le rôle principal.

On a beau le répéter souvent, l'affirmation n'en reste pas moins vraie : à Hollywood, rien ne se perd, tout se transforme et les projets qu'on pensait morts et enterrés finissent toujours par refaire surface à un moment. Et le remake de Road House, le film d'action de 1989 réalisé par Rowdy Herrington (Piège en eaux troubles), n'a pas échappé à la règle. Le projet a été annoncé en 2015 avec Nick Cassavetes (John Q, N’oublie jamais) à la réalisation avant d’être finalement abandonné, jusqu'à ce que Deadline annonce récemment la reprise du chantier par la MGM qui en aurait fait une nouvelle priorité.

Le studio serait ainsi en pourparlers avec le réalisateur et producteur Doug Liman (Mr. & Mrs. Smith, La mémoire dans la peau), qu'on a encore vu cette année au générique des films Locked Down et Chaos Walking. Et alors qu'il vient de jouer dans The Guilty, calqué sur le thriller danois éponyme, Jake Gyllenhaal serait lui aussi en négociations avec le studio pour décrocher le rôle principal, interprété par Patrick Swayze dans le film original (qui n'a pas emballé la critique et lui a même valu une double nomination aux Razzie Awards avec Un flic à Chicago).

L'acteur pourrait ainsi se glisser dans la peau de James Dalton, artiste martial et videur d'une boîte de nuit malfamée du Missouri, qui use de méthodes peu conventionnelles pour faire respecter l'ordre et tenir les malfrats à l'écart, ce qui lui vaut d'être réputé dans le milieu, jusqu'à ce qu'il se frotte à un homme d'affaires louche. S'il obtient effectivement le rôle, Jake Gyllenhaal alourdira un peu plus son emploi du temps après le tournage d'Ambulance, le prochain film de Michael Bay.

L'acteur tourne en ce moment dans The Division, le film post-apocalyptique de Rawson Marshall Thurber (Red Notice) avec Jessica Chastain, avant de devenir le nouveau super soldat de Sam Hargrave dans Prophet, et de donner la réplique à Vanessa Kirby dans le thriller d'action Suddenly. Il devrait également rejoindre The Interpreter, le prochain film de guerre de Guy Ritchie, et incarner le producteur Robert Evans dans Francis and the Godfather, le biopic de Barry Levinson qui reviendra sur la production belliqueuse du Parrain.

S'il passe effectivement derrière la caméra, Doug Liman remplira lui aussi un agenda déjà bien chargé avec le film Everest porté par Ewan McGregor, mais aussi son tournage dans l'espace avec Tom Cruise, qu'il doit également retrouvé dans Edge of Tomorrow 2 : Live Die Repeat and Repeat, la suite très attendue du film de SF de 2014.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... 1636707882
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Box-office français du 9 novembre : Les Eternels démarre en tête

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Le dernier Marvel démarre mieux que Shang-Chi, mais moins bien que Black Widow. (Source : Le Film Français)

Avec 772 802 entrées enregistrées dans 579 salles, dont 160 000 le mercredi de sa sortie, Les Eternels démarre largement en tête du classement hebdomadaire français. Les films suivants enregistrent tous plus de 100 000 tickets, et seule une autre nouveauté intègre le top 10 : Si on chantait, en dernière position grâce à 112 384 billets vendus dans 356 cinémas.

Le blockbuster de Chloé Zhao est le troisième blockbuster Marvel à sortir cette année, et il se situe pile entre les scores de Black Widow (909 000 spectateurs en première semaine) et Shang-Chi et la légende des dix anneaux (481 000 sur la même durée).

Mourir peut attendre tombe donc à la deuxième place, et ce malgré son nombre de salles très important (1092). Avec 276 345 curieux supplémentaires, le dernier James Bond atteint 3,6 millions d'entrées, ce qui est mieux que Casino Royale (sorti en 2006) et équivalent à Quantum of Solace (2008). Pour battre son propre record, le dernier épisode de Daniel Craig devra en atteindre 6,9 millions (Skyfall, sorti au cinéma en 2012, est pour l'instant le plus gros succès de toute la saga James Bond).

Deux autres films du top 10 cumulent plus d'un million d'entrées : Venom 2 (3e avec 226 100 spectateurs de plus) et Eiffel (6e, fort de 184 980 contremarques écoulées ces sept derniers jours), sortis respectivement depuis trois et quatre semaines. Le Loup et le lion, de Gilles de Maistre, devrait franchir cette barre symbolique dès la semaine prochaine, et se maintient pour l'instant dans le top 5 avec seulement une cinquantaine d'entrées de moins que Venom.

La semaine prochaine, les scores devraient être un peu plus faibles, les vacances de la Toussaint étant à présent terminées.

Box-office hebdomadaire français du 3 au 9 novembre 2021 :


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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... ltR8hF-lu0
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Aline est donc un hommage qui s'inspire librement de la vie de Céline Dion. Le film retrace malgré tout les temps forts de la carrière de la chanteuse. J'ai modérément apprécié, certaines choses fonctionnent mais d'autres pas. Ce qui m'a principalement déçu, c'est que à aucun moment le film ne s'intéresse au processus créatif, à l'écriture des chansons ou aux répétitions. A aucun moment on ne voit le personnage qui potasse ses textes ou qui réfléchit à ses spectacles. On dirait que Valérie Lemercier s'évertue à raconter tout ce qu'il y a de plus inintéressant chez la chanteuse. Le fait de s'intéresser à la vie privée et intime de la chanteuse et en faire un être humain/une femme ordinaire avant toute chose n'est pas forcément une mauvaise idée mais il aurait été intéressant quand même de voir la chanteuse qui s'implique dans la création de ses chansons car on dirait vraiment que c'est le dernier de ses soucis. Même le film prend le soin d'écourter au maximum les scènes de concert, on voit généralement les 20 dernières secondes. J'ai failli taper un scandale durant la scène de l'Eurovision car là on se mange carrément une ellipse entre son entrée sur scène et les résultats du concours. Bref cet aspect là n'intéresse clairement pas Valérie Lemercier. En vérité j'ai surtout apprécié la deuxième partie du film qui s'intéresse à la difficulté de la chanteuse à alterner entre intimité/vie de famille/problème familiaux et sa carrière. A ce moment on éprouve une véritable empathie pour le personnage et c'est durant cette partie que le film se montre le plus touchant. Personnellement je n'ai pas beaucoup ri. La première partie se veut plus drôle mais j'ai trouvé ça assez gênant parfois :D Je tiens aussi à souligner la ressemblance parfois troublante entre Valérie et Céline Dion durant certaines scènes. Même si j'ai modérément apprécié, je salue la prestation, le travail et l'implication de Lemercier.
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Cocu
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@Pale merci pour ton retour, j'imaginais aussi le film autrement ! (Je ne l'ai pas vu encore). Je pensais que Céline était surtout une interprète, beaucoup lui ont écrit des chansons, je ne savais pas qu'elle en avait écrit elle aussi!?
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:hello:
Cocu a écrit :
dim. 14 nov. 2021 09:38
Je pensais que Céline était surtout une interprète, beaucoup lui ont écrit des chansons, je ne savais pas qu'elle en avait écrit elle aussi!?
En vrai je ne sais pas si elle en a écrit elle-même mais le film ne dit rien à ce sujet et ni sur ses collaborations.
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Pale
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Bon c'était prévisible mais...

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Cocu a écrit :
dim. 14 nov. 2021 09:38
@Pale merci pour ton retour, j'imaginais aussi le film autrement ! (Je ne l'ai pas vu encore). Je pensais que Céline était surtout une interprète, beaucoup lui ont écrit des chansons, je ne savais pas qu'elle en avait écrit elle aussi!?
Non elle n'est qu'interprète depuis ses débuts, même s'il y a peut-être eu de rares exceptions mais qui sont au mieux négligeables sur la quantité.
Et elle ne compose pas non plus, donc logique que le film ne s'attarde pas tellement sur le processus créatif. Ca n'a jamais trop été son affaire.

Sa force est (était vu sa carrière actuelle) de savoir inspirer d'autres. Comme Johnny qui n'a écrit qu'une infime partie des textes de toute sa carrière (bien que lui ait plus régulièrement participé à la composition, même si c'était rarement sur ses plus grands succès).
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robinne
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Pale a écrit :
dim. 14 nov. 2021 09:39
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Contrairement à ce qu’on pourrait croire, c’est un film italien, non ? :lol:
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ClintReborn
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robinne a écrit :
dim. 14 nov. 2021 13:28
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Contrairement à ce qu’on pourrait croire, c’est un film italien, non ? :lol:
[/quote]

C'est difficile de voir autre chose qu'un film Italien quand on ressort le gros cliché de la ballade en vespa (sans casque évidemment) avec des acteurs aux physiques types :lol: :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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robinne
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ClintReborn a écrit :
dim. 14 nov. 2021 13:33
robinne a écrit :
dim. 14 nov. 2021 13:28
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Contrairement à ce qu’on pourrait croire, c’est un film italien, non ? :lol:
C'est difficile de voir autre chose qu'un film Italien quand on ressort le gros cliché de la ballade en vespa (sans casque évidemment) avec des acteurs aux physiques types :lol: :saint:
Je n’avais pas « vu » ça, car j’avais « lu » l’affiche :lol:
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Pale
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C'est un bon Fritz Lang même si je ne peux m'empêcher de lui trouver des défauts. L'ambiance de film noir est excellente comme souvent chez Lang, le scénario tient en haleine même si certaines ficelles sont trop grosses à avaler. Pas hyper fan du final qui sonne comme un aveu de faiblesse. A noter aussi un personnage principal qui a 2 de tension.
Kahled
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Pale a écrit :
dim. 14 nov. 2021 19:24
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C'est un bon Fritz Lang même si je ne peux m'empêcher de lui trouver des défauts. L'ambiance de film noir est excellente comme souvent chez Lang, le scénario tient en haleine même si certaines ficelles sont trop grosses à avaler. Pas hyper fan du final qui sonne comme un aveu de faiblesse. A noter aussi un personnage principal qui a 2 de tension.
Salut Pale ! :hello:

Le final je crois qu’il a été imposé à Lang par les producteurs qui voulaient un happy-end.
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Pale
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Kahled a écrit :
dim. 14 nov. 2021 19:27
Salut Pale ! :hello:

Le final je crois qu’il a été imposé à Lang par les producteurs qui voulaient un happy-end.
:hello:

Cela ne me surprend pas :D
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Pale
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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Peut-être :

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Très content à l'idée de découvrir le nouveau Jane Campion au ciné :hot:

Julie (en 12 chapitres) sort avec un peu de retard chez nous, ce sera selon mon degré de motivation :D
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robinne
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weird

Pale a écrit :
dim. 14 nov. 2021 19:35
Mon programme ciné du week-end prochain :

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Très content à l'idée de découvrir le nouveau Jane Campion au ciné :hot:
Le bol :bounce: :)
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Pale
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robinne a écrit :
dim. 14 nov. 2021 20:23
Le bol :bounce: :)
J'avoue :saint:
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Wickaël
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J'ai bien ri devant Holmes & Watson :D
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ClintReborn
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Wickaël a écrit :
lun. 15 nov. 2021 12:55
J'ai bien ri devant Holmes & Watson :D
Vu les notes c'est la version complètement ratée en comparaison de élémentaire mon cher Lock Holmes ? Avec Caine et Kingsley :saint:

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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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BoBleMexicain
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Mel Gibson va passer derrière les manettes pour le "Lethal weapon 5 "

65 et 75 ans respectivement , j ai un peu peur :crazy:

déjà que Dani répète depuis trente ans qu il est trop vieux pour ces conneries
a présent c est surement vrai :rofl: :rofl:

https://premiere.fr/Cinema/News-Cinema/ ... e-fatale-5
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ClintReborn
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BoBleMexicain a écrit :
lun. 15 nov. 2021 17:41
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Mel Gibson va passer derrière les manettes pour le "Lethal weapon 5 "

65 et 75 ans respectivement , j ai un peu peur :crazy:

déjà que Dani répète depuis trente ans qu il est trop vieux pour ces conneries
a présent c est surement vrai :rofl: :rofl:

https://premiere.fr/Cinema/News-Cinema/ ... e-fatale-5
Si le scénario est bon cela peut être une belle conclusion :o :D Bon j'imagine quand même le coup du "deux vieux inspecteurs sont rappelés comme conseillés sur une vieille affaire et travaillent auprès de deux policiers qui leur rappel leur jeunesse. Ils vont jouer les mentors pour une nouvelle génération" :lol: C'est le truc que n'importe quel producteur sans ambitions vise pour faire une recette facile de revival...

Ou ! :D Tu as un scénariste ambitieux qui replace sur le personnage de Gibson le même traumatisme que la mort de sa femme dans le premier volet mais avec cette fois la mort violente de son ancien coéquipier a la retraite... :saint: Il enquêtera donc avec le fils de Dani devenu entre temps lui même policier :roll:
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ClintReborn a écrit :
lun. 15 nov. 2021 16:14
Vu les notes c'est la version complètement ratée
Will Ferrell a beaucoup de détracteurs :D Le film est très drôle mais les puristes de Sherlock et les détracteurs de Will Ferrell s'en sont surement donnés à cœur joie.
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Cowboy Bebop : les premières critiques du live-action Netflix sont tombées

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Les premières critiques du remake par Netflix de l'un des monuments de l'animation japonaise, Cowboy Bebop, sont arrivées. Bide spatial ou chouchou des fans ?

Cowboy Bebop est réputé avoir tout. Une écriture subtile et efficace, des personnages qui sont restés iconiques, une musique qui pourrait marquer l'entrée au paradis (portée par la virtuose Yoko Kanno), voilà tout ce qui caractérise le matériau de base que Netflix a souhaité qu'André Nemec adapte aux côtés de John Cho (dans le costume de l'espiègle Spike Spiegel), Daniella Pineda (qui campera Faye Valentine) ou encore le colosse Mustafa Shakir officiant en tant que Jet Black.

Pas facile d'adapter l'animation japonaise et son ton parfois si étrange, si hors du temps. Lorsqu'il s'agit en plus de proposer une adaptation de l'un de ses plus grands lieux de sainteté, à savoir un western néo-noir rétro-futuriste bourré de références à la culture japonaise, mais surtout occidentale des années 70 à 90, on comprend l'ardeur de la tâche. On a donc écumé les recoins de l'espace pour obtenir les critiques de la presse américaine à propos de ce remake aux ambitions colossales.

"Cowboy Bebop est un remake sans âme d'une série modèle de l'animation. Le remake de Netflix essaye constamment de donner de l'attention à l'original tout en changeant juste assez pour lui retirer tout impact et le priver de ce qu'il essaye de produire. Le genre neo-noir disparaît pour une narration qui tire son inspiration du style Grindhouse des années 70, ce qui lui donne un rythme plus rapide, mais qui le rend cheap et peu coloré." Collider

"La seule chose qui m'a déçu sont les effets spéciaux. Le casting, les personnages et les costumes dans Cowboy Bebop sont presque tous très bons (j'ai déjà dit que le costume de Spike était étrange), mais les effets ont l'air cheap et pas à leur place. C'est spécialement vrai dans toutes les scènes dans l'espace. On passe d'un western noir et graveleux à un film de SF de série B très rapidement. Toutefois, il y a quelque chose d'indéniablement stylé à propos de ce live-action, même quand son objet lui échappe parfois." The Verge

"Cette nouvelle série est le produit d'une culture qui exhume ce qui a été fait hier parce qu'elle est à court d'idées nouvelles pour demain, et cette vision du futur déployée dans le live-action Cowboy Bebop est tellement stérile et peu inspirée qu'elle ressemble souvent à une version cheap des rêves de la série originale de Watanabe dont on ne voulait pas se réveiller." IndieWire

"Cowboy Bebop est une adaptation assumée d'un anime classique et parvient à amener aux fans tout ce qu'ils ont aimé dans la série animée. Malheureusement, l'envie d'ajouter de la nouveauté est un échec, et les ajouts du live-action menacent tout le projet. Heureusement, un trio stellaire de personnages principaux et leur dévotion à l'esprit original de la série parviennent à en faire quelque chose à regarder si on a du temps à perdre pendant un voyage dans l'espace." IGN

"Plutôt que d'étendre la palette d'inspiration de l'anime, le remake de Cowboy Bebop de Netflix se contente de rendre hommage à la série originale sans rien faire d'autre. Les racines du matériau d'origine telles que la blaxploitation ou la Nouvelle Vague française sont laissées sur le côté pour quelque chose de plus cérémonial. Ce qui nous fait nous questionner : pourquoi faire ce live-action ? Qu'est-ce qu'il ajoute ? Il semble fait pour ceux qui ont déjà vu l'anime, mais il n'en est qu'une copie avec une palette de styles et de couleurs plus limitée." Empire

"Quel était l'intérêt d'adapter Cowboy Bebop en live-action ? C'est la question que je me suis posée durant les 10 heures de la nouvelle série Netflix, et je suspecte que les créateurs de la série auraient dû se la poser un petit peu plus avant de se lancer. J'imagine qu'ils ont pensé que c'était un monde cool et que ça serait cool si quelqu'un décidait de le faire venir à la vie en live-action, et que ce quelqu'un pourrait bien être eux. S'il y avait une quelconque incrémentation de la série originale dans ce live-action, il n'en reste rien, ni lorsqu'il s'agit de la reconsidérer ni lorsqu'il s'agit de l'étendre." The Hollywood Reporter

Sans être un marque-page de l'histoire comme les catastrophes qu'ont été Death Note, Dragon Ball Evolution ou l'adaptation de Shyamalan d'Avatar, Cowboy Bebop semble être un peu court. Si l'ensemble ou presque des critiques admettent que le trio de tête oscille entre le correct et le stellaire, la série semble ne pas réussir à ramener la magie en son sein (et ce bien que Yoko Kanno soit revenue pour nous enchanter de ses compositions).

Cette itération de Cowboy Bebop transpire la fidélité à son matériau de base, mais elle a l'air cheap (des costumes jusqu'à l'espace). Pire encore, lorsqu'elle n'arrive pas à donner la même curiosité et la même imagination fertile à l'oeuvre, elle semble la déprécier. Finalement, ce live-action donne surtout envie de se replonger dans l'anime d'origine, ce qui ne serait pas un crime de lèse-majesté s'il ne se destinait pas à une audience qui l'a déjà vu. Cowboy Bebop sera disponible le 19 novembre 2021 sur Netflix.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... 1636974321
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J'aime bien les affiches de tik tik boum!
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Ça a l'air énorme.
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Olivier Assayas fait tourner Alicia Vikander et Kristen Stewart dans la série Irma Vep

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Une adaptation télévisuelle de son propre film de 1996.

Après avoir incarné Diana Spencer, Kristen Stewart va faire son retour en France et tournera à nouveau avec Olivier Assayas, qui prépare un remake télévisuel de son film de 1996 : Irma Vep.

Le New Yorker révèle que Stewart aura un "petit rôle" dans la série, actuellement en tournage à Paris. C'est la troisième fois que la star de Twilight travaille avec le réalisateur français, après Sils Maria (en 2014) et Personal Shopper (en 2016).

Sorti en 1996, Irma Vep était porté par Maggie Cheung, jouant une version fictive d'elle-même, dans un remake du classique du cinéma muet Les Vampires. Mais la production était ruinée par les egos et les querelles.

Alicia Vikander devrait jouer le rôle principal de cette nouvelle version sérielle, incarnant une star de cinéma américaine fictive désabusée par sa carrière.

Le reste du casting sera composé de Sylvie Barthet, Sam Levinson, Ashley Levinson, Kevin Turen, Stuart Manashil, Ravi Nandan et Hallie Sekoff.

Irma Vep est une coproduction entre HBO et A24. On ne sait pas encore qui la diffusera en France.


https://www.premiere.fr/Series/News-Ser ... dhBvCXbSoE
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Trailer du nouveau film de Aaron Sorkin :

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c'est très mauvais

pour un film Home Alone réussi il faut :
- un sale gosse attachant
- de l'humour slapstick rentre dans le lard
- du rythme
- des acteurs qui savent un minimum jouer
- des pièges inventifs et funs

et ce reboot n'a strictement rien de tout ça
c'est mieux que le 4 et le 5 (d'immondes DTV qui ne devraient pas exister) mais c'est très mauvais quand même
1/5
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
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Elle :love: :love: :love:
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Euh excuse, c'est qui la jeune femme qui semble te faire plaisir à montrer ?
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La pierre philosophale transformait le plomb en or.
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Pale a écrit :
mer. 17 nov. 2021 08:56


S'il y a bien un personnage Marvel qui m'intéresse pas c'est bien Spider-Man, mais à priori il y a une grande "hype" autour du film, non ?
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BOX OFFICE STORY a écrit :
mer. 17 nov. 2021 09:05
Euh excuse, c'est qui la jeune femme qui semble te faire plaisir à montrer ?
Elle Fanning :love2: :D
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BOX OFFICE STORY a écrit :
mer. 17 nov. 2021 09:06
S'il y a bien un personnage Marvel qui m'intéresse pas c'est bien Spider-Man, mais à priori il y a une grande "hype" autour du film, non ?
La vidéo en version originale a déjà dépassé les 19 millions de vues en 7 heures donc oui :D

Alors ils continuent à jouer la carte du mystère concernant le retour des 2 autres Spider-Man mais il y a de gros indices comme durant cette scène :

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On dirait que les autres Spider-Man ont été effacé numériquement.
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NaughtyDog a écrit :
mar. 16 nov. 2021 23:23
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c'est très mauvais

pour un film Home Alone réussi il faut :
- un sale gosse attachant
- de l'humour slapstick rentre dans le lard
- du rythme
- des acteurs qui savent un minimum jouer
- des pièges inventifs et funs

et ce reboot n'a strictement rien de tout ça
c'est mieux que le 4 et le 5 (d'immondes DTV qui ne devraient pas exister) mais c'est très mauvais quand même
1/5
J'apprécie ton courage :D
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