Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Robert Downey Jr. devrait faire un remake d'un film culte d'Hitchcock

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Dans la catégorie "remake inutile" on demande le petit dernier, celui de Sueurs froides d'Alfred Hitchcock initié par Paramount.

Souvent copié, mais jamais égalé, Alfred Hitchcock reste encore aujourd'hui une référence indétrônable pour de nombreux cinéphiles, mais aussi de nombreux cinéastes. Tout le monde a son Hichcock préféré. Hitchcock, qui a lui-même réalisé un remake de son propre film avec L'Homme qui en savait trop en 1956, version américaine de son film anglais du même nom tourné en 1934, est le seul à avoir réussi à faire un remake d'Hitchcock.

S'il est impossible de lister tous les films adaptés d'œuvres du Maître du suspense, on se rend compte avec le Psycho de Gus Van Sant que personne ne pourra jamais égaler Hitchcock et que surtout, ses films n'ont nullement besoin d'être refaits. Même le film Netflix Rebecca, qui n'est pas un remake, mais une nouvelle adaptation du roman de Daphné du Maurier, fait pâle figure face au film d'Hitchcock. C'est simple, à chaque annonce de remake, on tremble, et d'ailleurs, on apprenait il y a peu que Gal Gadot devrait jouer dans un remake d'un film d'Hitchcock.

Côté grand classique, après le téléfilm Les Oiseaux 2, remake des Oiseaux, film culte d'Hitchcock et grand film d'horreur, c'est au tour d'un autre monument d'être attaqué, Vertigo, ou Sueurs froides en français.

La nouvelle de ce remake par la Paramount, société de production du film original, nous vient du média Deadline. Ce nouveau Vertigo sera écrit par Steven Knight, scénariste du film Spencer et créateur des séries Peaky Blinders et See. L'histoire de Vertigo est inspirée du roman D'entre les morts de Boileau-Narcejac.

Si le réalisateur de ce remake n'a pas été dévoilé (ou trouvé), Deadline a annoncé que Robert Downey Jr. avait de grandes chances de remplacer James Stewart dans le rôle de John Ferguson alias Scottie. Lui et sa femme Susan Downey sont également producteurs du film. Sueurs froides est aujourd'hui l'un des films les plus appréciés et cités d'Alfred Hitchcock, en réaliser un remake semble aussi fou qu'inutile.

Après avoir été associé pendant des années à Marvel, Robert Downey Jr. essaie peut-être de se détacher d'Iron Man et de redonner du sens à sa carrière, surtout après l'échec du Voyage du Dr Dolittle. Avant d'en savoir plus sur Vertigo 2.0 et de voir si ce choix de casting était judicieux, on retrouvera Robert Downey Jr. dans le nouveau film de Christopher Nolan, Oppenheimer, au cinéma le 19 juillet 2023 en France.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... crumdV1NEo
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Pale a écrit :
mer. 22 mars 2023 18:13


Ça a l'air énorme.
Le même trailer mais en beaucoup plus sanglant :

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BOX OFFICE STORY
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Pale a écrit :
ven. 24 mars 2023 17:59
Robert Downey Jr. devrait faire un remake d'un film culte d'Hitchcock

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Dans la catégorie "remake inutile" on demande le petit dernier, celui de Sueurs froides d'Alfred Hitchcock initié par Paramount.

Souvent copié, mais jamais égalé, Alfred Hitchcock reste encore aujourd'hui une référence indétrônable pour de nombreux cinéphiles, mais aussi de nombreux cinéastes. Tout le monde a son Hichcock préféré. Hitchcock, qui a lui-même réalisé un remake de son propre film avec L'Homme qui en savait trop en 1956, version américaine de son film anglais du même nom tourné en 1934, est le seul à avoir réussi à faire un remake d'Hitchcock.

S'il est impossible de lister tous les films adaptés d'œuvres du Maître du suspense, on se rend compte avec le Psycho de Gus Van Sant que personne ne pourra jamais égaler Hitchcock et que surtout, ses films n'ont nullement besoin d'être refaits. Même le film Netflix Rebecca, qui n'est pas un remake, mais une nouvelle adaptation du roman de Daphné du Maurier, fait pâle figure face au film d'Hitchcock. C'est simple, à chaque annonce de remake, on tremble, et d'ailleurs, on apprenait il y a peu que Gal Gadot devrait jouer dans un remake d'un film d'Hitchcock.

Côté grand classique, après le téléfilm Les Oiseaux 2, remake des Oiseaux, film culte d'Hitchcock et grand film d'horreur, c'est au tour d'un autre monument d'être attaqué, Vertigo, ou Sueurs froides en français.

La nouvelle de ce remake par la Paramount, société de production du film original, nous vient du média Deadline. Ce nouveau Vertigo sera écrit par Steven Knight, scénariste du film Spencer et créateur des séries Peaky Blinders et See. L'histoire de Vertigo est inspirée du roman D'entre les morts de Boileau-Narcejac.

Si le réalisateur de ce remake n'a pas été dévoilé (ou trouvé), Deadline a annoncé que Robert Downey Jr. avait de grandes chances de remplacer James Stewart dans le rôle de John Ferguson alias Scottie. Lui et sa femme Susan Downey sont également producteurs du film. Sueurs froides est aujourd'hui l'un des films les plus appréciés et cités d'Alfred Hitchcock, en réaliser un remake semble aussi fou qu'inutile.

Après avoir été associé pendant des années à Marvel, Robert Downey Jr. essaie peut-être de se détacher d'Iron Man et de redonner du sens à sa carrière, surtout après l'échec du Voyage du Dr Dolittle. Avant d'en savoir plus sur Vertigo 2.0 et de voir si ce choix de casting était judicieux, on retrouvera Robert Downey Jr. dans le nouveau film de Christopher Nolan, Oppenheimer, au cinéma le 19 juillet 2023 en France.


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il ne manquerait plus qu'un remake de West Side Story par Spielberg
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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Pale
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BOX OFFICE STORY a écrit :
sam. 25 mars 2023 00:23
il ne manquerait plus qu'un remake de West Side Story par Spielberg
:lol:

Vu :

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Alors oui c'est clairement mieux que le troisième épisode. John Wick 4 peut même prétendre au titre du meilleur opus pendant les deux premières heures. Mais malheureusement il y a une certaine lassitude qui s'installe lors du dernier acte à Paris. La virtuosité des scènes d'action est complètement démentielle (le must étant un plan séquence de dingue durant la partie parisienne justement) mais la longueur du film joue un peu en sa défaveur sur la fin. Par contre, malgré une mise en scène qui déchire, faut avouer que les quelques scènes se déroulant de jour sont assez dégueulasses avec une image à la Instagram qui fait très artificielle et lisse. Enfin voilà, très bon moment dans l'ensemble mais lassant à la fin.
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ClintReborn
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Pale a écrit :
ven. 24 mars 2023 17:59
Robert Downey Jr. devrait faire un remake d'un film culte d'Hitchcock

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Dans la catégorie "remake inutile" on demande le petit dernier, celui de Sueurs froides d'Alfred Hitchcock initié par Paramount.

Souvent copié, mais jamais égalé, Alfred Hitchcock reste encore aujourd'hui une référence indétrônable pour de nombreux cinéphiles, mais aussi de nombreux cinéastes. Tout le monde a son Hichcock préféré. Hitchcock, qui a lui-même réalisé un remake de son propre film avec L'Homme qui en savait trop en 1956, version américaine de son film anglais du même nom tourné en 1934, est le seul à avoir réussi à faire un remake d'Hitchcock.

S'il est impossible de lister tous les films adaptés d'œuvres du Maître du suspense, on se rend compte avec le Psycho de Gus Van Sant que personne ne pourra jamais égaler Hitchcock et que surtout, ses films n'ont nullement besoin d'être refaits. Même le film Netflix Rebecca, qui n'est pas un remake, mais une nouvelle adaptation du roman de Daphné du Maurier, fait pâle figure face au film d'Hitchcock. C'est simple, à chaque annonce de remake, on tremble, et d'ailleurs, on apprenait il y a peu que Gal Gadot devrait jouer dans un remake d'un film d'Hitchcock.

Côté grand classique, après le téléfilm Les Oiseaux 2, remake des Oiseaux, film culte d'Hitchcock et grand film d'horreur, c'est au tour d'un autre monument d'être attaqué, Vertigo, ou Sueurs froides en français.

La nouvelle de ce remake par la Paramount, société de production du film original, nous vient du média Deadline. Ce nouveau Vertigo sera écrit par Steven Knight, scénariste du film Spencer et créateur des séries Peaky Blinders et See. L'histoire de Vertigo est inspirée du roman D'entre les morts de Boileau-Narcejac.

Si le réalisateur de ce remake n'a pas été dévoilé (ou trouvé), Deadline a annoncé que Robert Downey Jr. avait de grandes chances de remplacer James Stewart dans le rôle de John Ferguson alias Scottie. Lui et sa femme Susan Downey sont également producteurs du film. Sueurs froides est aujourd'hui l'un des films les plus appréciés et cités d'Alfred Hitchcock, en réaliser un remake semble aussi fou qu'inutile.

Après avoir été associé pendant des années à Marvel, Robert Downey Jr. essaie peut-être de se détacher d'Iron Man et de redonner du sens à sa carrière, surtout après l'échec du Voyage du Dr Dolittle. Avant d'en savoir plus sur Vertigo 2.0 et de voir si ce choix de casting était judicieux, on retrouvera Robert Downey Jr. dans le nouveau film de Christopher Nolan, Oppenheimer, au cinéma le 19 juillet 2023 en France.


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:cry: :cry: :cry: :cry: :cry: :cry: :cry: :cry: :cry: :cry: :cry: :cry: :cry: :cry: :cry:

Hollywood se porterait tellement mieux et serait 1000 fois plus créatif si il y avait une close de production interdisant les remakes sans accord du réalisateur original ... :roll:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Cocu
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Pale a écrit :
sam. 25 mars 2023 17:19
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Ouah j'adore 😍
Pouet
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:hello:

Vu :

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Il faut s'accrocher durant la première heure car on va suivre le quotidien (chiant) du personnage principal qui est plongé dans une routine totalement rodée. Bref on s'ennuie poliment mais ensuite le film interpelle davantage car cette routine va être parasitée par des gestes maladroits et à partir de ces petits riens, le film en dit beaucoup sur la tristesse/solitude/désespoir/vide du personnage principal. Film considéré comme l'un des meilleurs de tous les temps par certains critiques, je n'irai pas jusque là même si c'est quand même un gros morceau doté d'une mise en scène méticuleuse à souhait.

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Je découvre seulement ce classique et j'ai modérément apprécié. Le film vaut principalement pour John Travolta qui est absolument flamboyant, les scènes de danse et bien évidemment la bande-originale. Mais à part ça, j'ai trouvé ça assez moyen. L'histoire et les personnages paraissent totalement décousus et c'est pas hyper bien rythmé non plus, notamment dans sa deuxième partie. Je m'attendais à un truc totalement endiablé mais c'est assez mou.

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Je vais être honnête, je n'ai jamais été un grand fan de Blade Runner... jusque maintenant. Mon ciné A&E proposait une séance du film dans sa version Final Cut. Séance exceptionnelle dans une salle totalement comble (ça fait vraiment plaisir). Concernant le film, j'avais juste des souvenirs d'adolescence, une époque où je pigeais rien au film :D Bref c'est une totale redécouverte dans des conditions optimales et je me suis pris une bonne claque dans la gueule tellement c'est d'une puissance absolue. Le rythme contemplatif, la mise en scène, les décors qui grouillent de vie et qui transpirent l'artisanat, l'ambiance sonore et visuelle, la musique, tout contribue à faire de Blade Runner une expérience exceptionnelle. Bref je suis pas mécontent de m'être rendu à cette séance :hot:
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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En VOD :

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Très impatient de voir Donjons et Dragons :hot:
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Mon programme ciné de avril :

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En VOD :

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Ma plus grosse attente : Evil Dead Rise
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Prisoner
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L'affiche de beau is afraid est terrible. Je kiffe
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Vu :

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J'ai découvert ce classique et je n'ai pas les mots pour dire à quel point j'ai été impressionné par cette fresque absolument grandiose et épique et c'est assez hallucinant et émouvant de voir l'influence que ce film a eu sur le cinéma. Bref en un mot :

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Kit
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poucenlair

Pale a écrit :
lun. 27 mars 2023 19:25
Vu :

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J'ai découvert ce classique et je n'ai pas les mots pour dire à quel point j'ai été impressionné par cette fresque absolument grandiose et épique et c'est assez hallucinant et émouvant de voir l'influence que ce film a eu sur le cinéma. Bref en un mot :

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:hello: mieux vaut tard que jamais :ninja:
Vosg'patt de cœur
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Pale a écrit :
mar. 28 mars 2023 18:44
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j'adore cette affiche :love:
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mar. 28 mars 2023 18:44
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Cool ! Un nouveau Wes Anderson :hot:
Quelle brochette d'acteurs/actrices :love:
Il manque juste Bruce Willis :cry:
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Ambiance très "Vice Versa" :o

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Je suis allé voir ce qu'était Wild Tales : c'est sorti en France sous le nom Les nouveaux sauvages.
Affiche prometteuse :)
Musique de Carter Burwell :bounce:

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C'est quoi, cette trilogie ?
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robinne
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weird

Kit a écrit :
mar. 28 mars 2023 18:54
Pale a écrit :
lun. 27 mars 2023 19:25
Vu :

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J'ai découvert ce classique et je n'ai pas les mots pour dire à quel point j'ai été impressionné par cette fresque absolument grandiose et épique et c'est assez hallucinant et émouvant de voir l'influence que ce film a eu sur le cinéma. Bref en un mot :

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:hello: mieux vaut tard que jamais :ninja:
Toujours pas vu :saint:
Il ne passe pas sur C8 :lol: :lol:
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robinne a écrit :
mar. 28 mars 2023 18:59
Je suis allé voir ce qu'était Wild Tales : c'est sorti en France sous le nom Les nouveaux sauvages.
J'adore ce film, un de mes plus gros coups de cœur de 2015 :D
C'est quoi, cette trilogie ?
C'est une sorte de marathon durant lequel sera diffusé Man of Steel, Batman v Superman et Zack Snyder's Justice League.

Une partie de l'argent sera reversé à un centre de prévention du suicide.
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Pale a écrit :
mar. 28 mars 2023 19:30
robinne a écrit :
mar. 28 mars 2023 18:59
Je suis allé voir ce qu'était Wild Tales : c'est sorti en France sous le nom Les nouveaux sauvages.
J'adore ce film, un de mes plus gros coups de cœur de 2015 :D
C'est quoi, cette trilogie ?
C'est une sorte de marathon durant lequel sera diffusé Man of Steel, Batman v Superman et Zack Snyder's Justice League.

Une partie de l'argent sera reversé à un centre de prévention du suicide.
rajouter The Suicide Squad aurait été de mauvais goût ?
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Kit a écrit :
mar. 28 mars 2023 20:07
rajouter The Suicide Squad aurait été de mauvais goût ?
Kit :hello:

Cela aurait été un peu bizarre :D
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weird

Kit a écrit :
mar. 28 mars 2023 20:07
Pale a écrit :
mar. 28 mars 2023 19:30
robinne a écrit :
mar. 28 mars 2023 18:59
Je suis allé voir ce qu'était Wild Tales : c'est sorti en France sous le nom Les nouveaux sauvages.
J'adore ce film, un de mes plus gros coups de cœur de 2015 :D
C'est quoi, cette trilogie ?
C'est une sorte de marathon durant lequel sera diffusé Man of Steel, Batman v Superman et Zack Snyder's Justice League.

Une partie de l'argent sera reversé à un centre de prévention du suicide.
rajouter The Suicide Squad aurait été de mauvais goût ?
:lol: :lol:
C'est horrible :lol:
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Sans aucune surprise, Wes Anderson fait du Wes Anderson.
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weird

Pale a écrit :
mer. 29 mars 2023 15:52

Sans aucune surprise, Wes Anderson fait du Wes Anderson.
C'est pour ça qu'on l'aime :D
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robinne a écrit :
mer. 29 mars 2023 16:53
Pale a écrit :
mer. 29 mars 2023 15:52

Sans aucune surprise, Wes Anderson fait du Wes Anderson.
C'est pour ça qu'on l'aime :D
Si il n'en faisait pas cela ne serait pas lui ! :lol: Après cela peut rebuter d'avoir un univers identifiable par une réalisation marquée mais cela fait partie de l’expérience Wes Anderson :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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robinne a écrit :
mer. 29 mars 2023 16:53
Pale a écrit :
mer. 29 mars 2023 15:52

Sans aucune surprise, Wes Anderson fait du Wes Anderson.
C'est pour ça qu'on l'aime :D
Perso il commence à me gonfler :D
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EL a modérément apprécié Bonne conduite (3 étoiles) :

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Après avoir réalisé les sketchs du Palmashow, à la fois pour le web et la télé, Jonathan Barré est passé sur grand écran avec La Folle histoire de Max et Léon et Les Vedettes, écrits et portés par le duo d’humoristes. Si Grégoire Ludig et David Marsais sont toujours présents dans Bonne conduite en tant que seconds rôles, cette étonnante comédie bretonne sur une serial killeuse (incarnée par la géniale Laure Calamy) est moins un film “du Palmashow” que l’œuvre personnelle d’un cinéaste discret.

PERMIS DE TUER


À première vue, Jonathan Barré peut sembler effacé derrière l’humour du Palmashow, qu’il soutient depuis de nombreuses années en assurant la mise en scène de leurs sketchs. Pourtant, le réalisateur est un rouage essentiel de leur dynamique comique. Avec le temps, il a perfectionné la captation de leur tempo et de leur langage corporel, et a acquis un savoir-faire indéniable dans le pastiche de nombreux styles de réalisation. Clips, publicités, jeux télé, reportages : tout y passe sans jamais que la moquerie ne l’emporte sur la connaissance aiguë des codes.

Le cinéaste l’a d'autant plus prouvé lors de son passage au cinéma, alors que La Folle histoire de Max et Léon a pris le risque de convoquer le film d’époque et l’héritage de Gérard Oury pour mieux moderniser l’ensemble. En transitant du petit au grand écran, Jonathan Barré et le Palmashow auraient pu rater le coche, mais ils ont su mêler leurs références avec un équilibre rare. Les Vedettes a confirmé cette trajectoire en faisant de la télévision le sujet central d’une comédie sociale. Au-delà de mélanger les formes et les formats, il y a dans l’énergie du trio une gestion habile des ruptures de ton, comme une sorte de zapping cinématographique plus structuré qu’il n’y paraît.

C’est ce qui frappe d’emblée en voyant Jonathan Barré passer à sa première réalisation “solo”. Avec ses couleurs vives striant la nuit et sa musique électro, Bonne conduite puise avec loisir dans le giallo pour accentuer l’originalité de son concept : Pauline, formatrice dans un centre de récupération de points, préfère une méthode drastique de prévention routière en tuant des chauffards.

Gants de cuir, cagoule et emblèmes de voitures transformés en trophées, l’héroïne coche toutes les cases de la psychopathe à la Argento. Mais déjà, le cinéaste contrecarre nos acquis grâce à sa carte maîtresse : le choix de Laure Calamy en tête d’affiche. Depuis Dix pour cent ou Antoinette dans les Cévennes, on ne doute plus du talent comique de l’actrice, qui juxtapose à merveille l’intensité de son jeu très premier degré avec une maladresse ingénue.

Là réside d’ailleurs la première qualité de Bonne conduite : sa foi inébranlable dans son sujet, dès lors qu’il s’attarde sur cette femme endeuillée et investie d’une mission dont elle est persuadée du bien-fondé. La drôlerie des situations engendre un malaise déstabilisant, en nous imposant de la sympathie et de la compassion pour cette criminelle et sa quête vengeresse.

QUE LA BRETAGNE EST BELLE

Et c’est peut-être ce qui définit le mieux le cinéma de Jonathan Barré : sa tendresse pour cet esprit gauche, qu'il aborde en filmant ses personnages comme de grands gamins convaincus d’être des adultes dans un monde qu’ils ne maîtrisent pas. Bien sûr, le réalisateur l’illustre de la meilleure des manières en ramenant dans l’équation David Marsais et Grégoire Ludig en flics incompétents, ici comme des poissons dans l’eau. Cependant, le film sublime avant tout son actrice principale par ce parti-pris, notamment lors d’une séquence burlesque autour d'une voiture compromettante, où un plan fixe et du jump cut suffisent pour capturer une crise de nerfs hilarante.

On se met alors à appréhender la tonalité du film, pour mieux qu’il nous échappe de nouveau. Derrière ses envies de giallo et de thriller décalé, Bonne conduite prend aussi la forme étonnante d’une comédie régionale au cœur de la Bretagne natale du réalisateur. Jonathan Barré n’en fait pas qu’un cadre pittoresque, mais bien la clé de voûte de son film. L’architecture et les reliefs de ses décors servent de réceptacle à la singularité du projet, comme si ces terres isolées par la mer ne pouvaient qu’encapsuler des personnages et des situations cherchant à s’échapper de leurs carcans.

À partir de là, Bonne conduite trouve sa plus grande force, ainsi que sa principale faiblesse, dans ce trop-plein stylistique et référentiel. S’il est plaisant de voir les aventures de Pauline partir en vrille jusqu’à mêler comédie romantique, film de gangsters et revenge movie, la narration tend à déliter ses enjeux par des rebondissements plus ou moins précipités, que l’ensemble essaie de pallier par l’explicitation un peu facile de ses inspirations cinéphiliques. Reste que cette énergie foutraque offre au long-métrage ses plus beaux moments, de ses citations d’Usual Suspects à cette scène improbable en hommage aux Oiseaux d’Hitchcock (la meilleure du film).

La maladresse qu'aime tant filmer Jonathan Barré se retrouve en creux dans cette mise en scène qui ose tout, quitte à parfois se planter. Néanmoins, par rapport à toutes les comédies pantouflardes qui pullulent sur les écrans, on ne saurait enlever au réalisateur sa générosité, sa sincérité, et sa soif plus ou moins réussie d’expérimentation. À chaque film, il prend toujours plus de risques, sans filet de sécurité, surtout maintenant qu’il s’émancipe en partie de son duo d’humoristes. En voilà, une bonne conduite !

À la fois giallo et comédie bretonne, Bonne conduite se distingue autant qu’il pèche par sa dimension protéiforme. Mais Jonathan Barré s’amuse, tout comme son casting parfait.


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Pale a écrit :
mer. 29 mars 2023 18:22
robinne a écrit :
mer. 29 mars 2023 16:53
Pale a écrit :
mer. 29 mars 2023 15:52

Sans aucune surprise, Wes Anderson fait du Wes Anderson.
C'est pour ça qu'on l'aime :D
Perso il commence à me gonfler :D
Tu te lasses ?
Dommage :o

Tu te lasses de Woody Allen aussi ?
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robinne a écrit :
mer. 29 mars 2023 18:55
Pale a écrit :
mer. 29 mars 2023 18:22
robinne a écrit :
mer. 29 mars 2023 16:53
C'est pour ça qu'on l'aime :D
Perso il commence à me gonfler :D
Tu te lasses ?
Dommage :o

Tu te lasses de Woody Allen aussi ?
Non pour Woody mais je le trouve quand même plus diversifié :D

Wes j'ai véritablement l'impression de toujours voir la même chose maintenant.
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Eleanor, une jeune enquêtrice au lourd passé, est appelée sur les lieux d’un crime de masse terrible. La police et le FBI lancent une chasse à l’homme sans précédent, mais face au mode opératoire constamment imprévisible de l’assassin, l’enquête piétine. Eleanor, quant à elle se trouve de plus en plus impliquée dans l'affaire et se rend compte que ses propres démons intérieurs peuvent l’aider à cerner l'esprit de ce tueur si singulier…

Théorie perso : Je parie que c'est elle l'assassin :gore:
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Après Balle Perdue, Netflix va encore tout péter avec la bande-annonce d'AKA

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Après le succès de Balle perdue, Alban Lenoir refait équipe avec Netflix dans la bande-annonce explosive d'AKA.

Le géant du streaming a créé la surprise en 2020 avec le faste et furieux Balle perdue, un délicieux coup de boule spectaculaire, populaire et ambitieux qui est venu péter les rotules du cinéma d'action français. Le fil a connu un succès retentissant, dans l'Hexagone comme dans le reste du monde, assurant la mise en chantier d'une suite. Et l'autoroute du kiff Balle perdue 2 a confirmé tous les espoirs placés dans la superbe surprise du premier volet.

Porté par un impressionnant Alban Lenoir, ce deuxième chapitre s'est imposé comme un film d'action aussi jouissif qu'exigeant, qui est allé encore plus loin que son prédécesseur dans un étourdissant ballet de tôles froissées et de mâchoires brisées. Depuis, le réalisateur Guillaume Pierret a confirmé qu'un Balle perdue 3 était bien en préparation, dont il a commencé l'écriture dès le tournage du deuxième épisode. Mais c'est dans une autre explosion de pyrotechnie gauloise que l'on va retrouver Alban Lenoir sur Netflix puisque la première bande-annonce d'AKA vient d'être dévoilée, et la tension est soudainement montée d'un cran.



Le film suivra l'agent des opérations spéciales Adam Franco, qui va devoir infiltrer une organisation mafieuse pour déjouer un attentat dans la capitale française. Et ces premières images devraient conquérir le coeur de tous les amateurs de soufre et de sueur, dans la parfaite lignée des précédents films de l'acteur pour la plateforme. Loyauté ambiguë, héros mutique et hyper-performant, Eric Cantona en grand boss mafieux façon Max Payne sur son 31, gros calibre et grosses fractures, le cocktail éruptif de la bande-annonce annonce un ballet bourrin qui devrait faire frissonner de plaisir tous les amoureux d'action nerveuse et finement emballée.

Le projet est né d'une idée de l'acteur et du réalisateur Morgan S. Dalibert, qui a été directeur photo sur les deux volets de Balle perdue, au départ pensé comme une série avant de se transformer en long-métrage. Le personnage principal a été écrit sur mesure pour Alban Lenoir dans le rôle d'un anti-héros archétypal de soldat surentraîné et sans identité, qui va découvrir son humanité au contact d'un univers clandestin. Cette situation tendue va le mettre face à des choix moraux inattendus.

La note d'intention est claire, et l'amour du cinéma d'action des vidéos club, aussi bien des DTV que des gros blockbusters américains, transpire à l'image. Un cinéma avec des intrigues simples et efficaces entièrement dédiées à la générosité et au rythme d'un divertissement spectaculaire. Les deux hommes ont aussi revendiqué avec ce projet une passion pour la nouvelle vague de polar coréen, avec des pépites comme A Bittersweet Life ou encore le terrassant J'ai rencontré le diable.

Le film a été pensé comme « un film d'action intelligent » selon son réalisateur. Ses références aussi bien asiatiques qu'américaines et françaises (le film noir des années 70) promettent un spectacle aussi généreux que soigné, avec une véritable "écriture" de l'action et des chorégraphies au service du plaisir total de l'adrénaline cinématographique. Le film accueillera un beau casting de gueules (à) cassées puisque Alban Lenoir sera notamment accompagné d'Eric Cantona et Thibault de Montalembert. Pour découvrir ce ballet explosif et prometteur, AKA sera disponible sur Netflix le 28 avril 2023.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... VPKK8bIfWQ
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... w6VBnI1Ia0
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robinne
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weird

Pale a écrit :
jeu. 30 mars 2023 16:00
Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... w6VBnI1Ia0
Mon crime s'approche tranquillement du million d'entrées :ouch:
Tranquillement.
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ClintReborn
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Une annonce assez étonnante mais prometteuse ... Bien sûr il n'a jamais annoncé ni confirmé sa retraite :saint:

Selon le site américain DiscussingFilm, Clint Eastwood s’apprête à mettre en scène ce qui pourrait être le dernier film de sa longue carrière, à l’âge de 92 ans. Baptisé «Juror #2», il en sera le scénariste et réalisateur.
https://www.cnews.fr/culture/2023-03-31 ... re-1339086

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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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ClintReborn a écrit :
ven. 31 mars 2023 18:56
Une annonce assez étonnante mais prometteuse ... Bien sûr il n'a jamais annoncé ni confirmé sa retraite :saint:

Selon le site américain DiscussingFilm, Clint Eastwood s’apprête à mettre en scène ce qui pourrait être le dernier film de sa longue carrière, à l’âge de 92 ans. Baptisé «Juror #2», il en sera le scénariste et réalisateur.
https://www.cnews.fr/culture/2023-03-31 ... re-1339086

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Le synopsis :

Intitulé "Juré #2", il suivra un juré dans un procès pour meurtre qui se rend compte qu'il a peut-être lui-même causé la mort de la victime. Il devra alors décider s'il doit se rendre ou s'il doit manipuler le jury.
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ClintReborn
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Pale a écrit :
ven. 31 mars 2023 19:44
ClintReborn a écrit :
ven. 31 mars 2023 18:56
Une annonce assez étonnante mais prometteuse ... Bien sûr il n'a jamais annoncé ni confirmé sa retraite :saint:

Selon le site américain DiscussingFilm, Clint Eastwood s’apprête à mettre en scène ce qui pourrait être le dernier film de sa longue carrière, à l’âge de 92 ans. Baptisé «Juror #2», il en sera le scénariste et réalisateur.
https://www.cnews.fr/culture/2023-03-31 ... re-1339086

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Le synopsis :

Intitulé "Juré #2", il suivra un juré dans un procès pour meurtre qui se rend compte qu'il a peut-être lui-même causé la mort de la victime. Il devra alors décider s'il doit se rendre ou s'il doit manipuler le jury.
Dans les fait c'est une bonne idée de prendre le parti inverse de 12 hommes en colère :o :D après il a quelques problèmes avec la warner faut espérer que le film se fasse même si il doit toc toc a la porte de Spielberg :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Renfield : les premiers avis sur le Dracula avec Nicolas Cage sont tombés

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La comédie d'horreur Renfield mettra en scène Nicolas Cage dans le rôle de Dracula, et certains Américains ont pu découvrir le film.

On ne se souvient que trop bien de la désastreuse tentative d'Universal de surfer sur la tendance des univers partagés pour ressusciter au cinéma ses monstres classiques. Résultat : une annonce de casting devenue mythique pour toutes les mauvaises raisons, un premier film incroyablement raté et un rétropédalage quasiment immédiat. Pourtant, le catalogue du studio devrait permettre des propositions aussi intéressantes que variées, mais le blocage semblait difficile à surmonter.

L'espoir avait fini par revenir par le prisme d'Invisible Man, pur film d'horreur co-produit par Blumhouse qui avait fait son effet à sa sortie, juste avant la pandémie de coronavirus. Universal a voulu continuer sur la voie de l'exploration du sous-genre horrifique, avec sa comédie Renfield, centrée sur la relation toxique entre Dracula, incarné par Nicolas Cage, et son fidèle serviteur R. M. Renfield, joué par Nicholas Hoult, désireux de prendre son indépendance. Après avoir révélé une bande-annonce déjantée, le film a été projeté en avant-première aux États-Unis, et les premiers avis sont donc tombés. Revue de presse.

"Renfield est une comédie d'horreur hybride, charmante et sanguinolente, qui passe facilement d'un genre à l'autre. Nicolas Cage se glisse dans la peau de Dracula et il est difficile de le quitter des yeux. Poursuivant une série de films qui aiment tous les genres, Renfield est une nouvelle preuve que le fun est revenu au cinéma." CinemaBlend

"Alors que Cage sort de son cercueil et que Hoult devient un héros digne d'être soutenu (même s'il se nourrit de grillons, de fourmis et d'araignées), tout le film est délicieusement parsemé de gore et ne s'éloigne jamais trop de l'esprit camp. Avec une bande-son amusante, des acteurs secondaires fantastiques et des costumes de Dracula absolument parfaits, Renfield est un véritable plaisir." Gizmodo

"Réalisé par Chris McKay et basé sur une histoire de Robert Kirkman, créateur de The Walking Dead, le nouveau film Universal est une comédie d'action glorieusement violente et tout à fait agréable, avec une esthétique visuelle audacieuse qui aime la couleur autant qu'elle aime voir l'intérieur d'une personne à l'extérieur." Consequence Film

"Toutes les blagues ne font pas mouche – certaines tombent carrément à plat – mais Renfield est très amusant, surtout lorsqu'il se laisse aller à la loufoquerie que lui permet sa prémisse. Facile et décontracté, Renfield réussit à être à la fois un film d'horreur et une comédie, et fonctionne mieux lorsqu'il sait sur quelle voie tonale se concentrer pour une scène donnée." CBR

"Un bon moment amusant et sanglant, surtout lorsque Nicolas Cage est à l'écran en train de mâcher le décor face à Nicholas Hoult. Le fait de retravailler l'histoire pour en faire une relation de co-dépendance entre deux personnages emblématiques du cinéma d'horreur est un angle brillant pour raconter cette histoire. L'humour est parfois grossier, exagéré et peu drôle. Nicholas Hoult et Awkwafina n'ont pas d'alchimie romantique." Next Best Picture

"Même si on ne se connecte pas totalement à l'évolution de Renfield ou de Rebecca, grâce à Cage, Renfield est une des rares comédies d'horreur à trouver l'équilibre entre le respect et l'irrévérence ludique." The Playlist

Les premières critiques pour Renfield sont donc plutôt positives, même s'il convient de rappeler que c'est souvent le cas après les avant-premières américaines. Les avis semblent s'accorder sur le côté sans prétention de l'ensemble, et Nicolas Cage a l'air comme un poisson dans l'eau dans son rôle de Vampire théâtral.

On pourra compter sur la gestion du tempo comique du réalisateur Chris McKay, auteur du génialissime LEGO Batman : Le film pour réussir le pari de cette comédie d'horreur, et finir de relancer les monstres d'Universal au cinéma. En France, Renfield sortira le 31 mai 2023.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... np-U3rsW08
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Quentin Tarantino confirme le titre de son prochain film, mais fait taire quelques rumeurs

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Quentin Tarantino l'a lui-même confirmé, son dernier film s'appellera The Movie Critic, et en a profité pour faire taire une rumeur.

Cela fait maintenant quelques années que le réalisateur culte l'a annoncée, au plus grand dam des cinéphiles, sa carrière prendra fin avec son 10e film. Alors que pour Tarantino, Hollywood connait l'une de ses ères les plus pourries, le cinéaste qui a révolutionné le monde du cinéma indépendant a souvent déclaré ne pas vouloir s'éterniser. Selon lui, trop de réalisateurs ont continué à faire des films après avoir dépassé leur apogée, pour réaliser des films de moins en moins bons.

Avec son 9e film, Tarantino a livré une somptueuse lettre d'amour au monde du 7e Art, et a remué le coeur de nombreux cinéphiles. Après Once Upon a Time... in Hollywood, Quentin Tarantino a failli lancer sa série, il a finalement commencé à travailler sur son chant du cygne. Le moment que nombre d'amoureux du cinéma redoutent va bientôt arriver. Et le réalisateur a confirmé le titre de ce supposé dernier film.

Présent au cinéma du Grand Rex pour une séance de question-réponse, Tarantino a officialisé l'information : son dixième et dernier film s'appellera bien The Movie Critic. En revanche, le cinéaste en a aussi profité pour faire taire l'autre grande rumeur qui a couru sur la toile ces derniers jours : le long-métrage ne parlera pas de la célèbre critique des années 70 Pauline Kael.

On a également appris que le film prendra place en 1977, une année légendaire et primordiale dans l'Histoire du cinéma. En effet, cette année iconique a vu notamment la sortie des monuments Star Wars : Episode IV - Un nouvel espoir et Rencontres du troisième type. Cela a aussi été une période charnière pour le 7e Art avec la montée en puissance d'une nouvelle génération de réalisateurs. En plus de George Lucas et Steven Spielberg, des petits noms comme Martin Scorsese, Francis Ford Coppola, Brian de Palma ou encore William Friedkin ont commencé à imposer leur marque, pendant que Joe Dante et James Cameron faisaient leurs premières dents cinématographiques.

Les années 70 ont été une période d'autant plus importante et parfaite pour cette fin de règne que Tarantino a grandi à cette époque. L'homme qui s'est fait connaitre grâce à sa culture cinématographique ahurissante a choisi un moment très particulier pour faire ses adieux. Une occasion parfaite pour le cinéaste de partir avec les honneurs qu'ils méritent, en rendant un dernier hommage à la période de cinéma qui a fait sa cinéphilie.

Le film devrait commencer son tournage à l'automne, mais l'on devra encore patienter pour en savoir plus. On se consolera en se replongeant dans sa filmographie passionnante d'ici là. On vous conseille notamment le déchirant Once Upon a Time... in Hollywood, que Tarantino considère comme son meilleur film.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... t1XWId22r8
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NaughtyDog
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Hellooo

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Pas mal ce Byun Sung-hyun, dans la lignée de Sans Pitié mais avec une approche plus lègère versant aussi dans les ruptures de ton plus humotistiques.
Un décalage que l'on doit à sa protagoniste Gil Bok-soon, à la fois célébrité dans le monde de l'assassinat et mère de famille qui sait mieux manier le couteau qu'éduquer sa fille.
Jeon Do-yeon (Secret Sunshine) porte vraiment tout le film à elle seule, autant crédible en mère un peu gauche que killeuse badass.

C'est simplement dommage qu'en terme d'intrigue le tout reste complètement sur des rails, en allant pas aussi loin que le film devrait en terme de subversion ou de développement de personnages.

La mise en scène reste carrée (malgré une facture visuelle beaucoup trop propre), avec quelques séquences d'action bien fichues (ptite influence Sherlock Jolmes/Guy Ritchie d'ailleurs) trouvant son point d'orgue dans une baston en restaurant bien fun.

Pas inoubliable mais non dénué d'interet

6.5/10

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Une bonne surprise. Pas fan des films en milieu médical d'habitude (étant moi même du milieu et ayant connu les facettes de l'hopital public) celui-ci se veut finalement cohérent et sincère (jusque dans les TPs sur le pelvis), tout en dressant un beau portrait de toutes les femmes en maieutique du service d'obstétrique.

Boomer et Viard portent eux aussi le film comme il faut.

3.5/5

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Suite pas terrible car on enlève "l'humilité" et un certain charme qu'avait le 1er à placer son récit à hauteur d'enfant (bref en adaptant Shazam)

Là ça devient du super heros movie lambda, et même en terme d'incarnation du perso il y a une grosse dissonance entre un Billy Batson plus mûr et un Zachary Levi qui se comporte comme un gamin hyperactif de 12 ans.

Pareil les filles d'Atlas constituent des antagonistes assez ridicules malgré le fait que les actrices se donnent du mal (quel dommage de voir la talentueuse Rachel Zegler dans un rôle réduit à peau de chagrin comme ça)

Le cast de la Shazam Family est toujours bon, techniquement le film a aussi des qualités et le climax est parfois sympathique, mais voilà ça reste assez oubliable (tout comme un cameo de Wonder Woman)

4/10

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Bien aimé cette 1e partie d'adaptation, surtout quand on compare aux daubes qu'on s'est tapé ces 20-30 dernières années avec La Fille de D'Artagnan, Vidocq (ce masterpiece de la honte), Jacquou le Croquant, Belphegor et j'en passe.

Là on a du blockbuster à la française qui se reapproprie le texte de Dumas avec respect et modernit: l'ambition est là, la thune aussi et le cast m'a paru bien adapté (surtout François Civil qui amene une naïveté touchante à D'Artagnan, Duris parfait dans ce mélange de séduction et de dangerosité, ainsi qu'une Eva Green qui n'a pas à se forcer pour incarner la froide Milady).

Ce n'est pas sans défauts ceci dit : outre la fin cliffhanger qui fait attendre la Partie 2, Bourboulon ne donne pas de vraie vision d'ensemble de cette France d'époque (pas d'ampleur à la Scott donc), vu que le cadre est souvent reserré sur les ruelles et intérieurs (l'Empereur de Paris ou même un Pacte des Loups ont une direction artistique mieux mise en valeur).
Pareil, ptite déception niveau musique qu'on croit tiré de la Zimmer-machine période TDK.

Pas de quoi saborder la sincérité du projet et son exécution bien carrée, notamment via quelques scènes de combat en plan-séquence plutot immersives et péchues (sauf le tout premier qui me semble brouillon malgré de bonnes choregraphies.

Pour faire simple : pas la claque attendue (la photographie est également assez perfectible selon moi) mais une honnete adaptation, soignée, avec un bon cast.

3.5/5

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Film sympathique mais qui manque d'un vrai traitement de son histoire et de ses persos pour pleinement convaincre.

Alors oui, on est bien au-dessus du film live de 93 (qui avait un plot similaire d'ailleurs), avec nos 2 frères plombiers qui se voient transportés de New York au Royaume champignon, tout ça pour sauver la contrée de Bowser et son armée de Koopa.

Un pitch ultra classique, alors que le film empilera avant tout les easter eggs et morceaux iconiques pour constituer la charpente de l'intrigue.
Pêle-mêle on retrouve donc le Chateau de Bowser, les pingouins de 64, une Peach guerrière (loin de la demoiselle en détresse), Toad l'acolyte jovial, des tuyaux partout, une séquence référencée à Luigi's Mansion, la superstar en McGuffin mais aussi du Mario Kart sur route arc-en-ciel ou bien du Smash Bros au Royaume de la Jungle (en mettant un hommage à la 1e rencontre de Mario et Donjey Kong alors que ce dernier était conçu comme un antagoniste)

Même les power-ups sont de la partie, et le film part du principe basique d'adapter toute l'imagerie connue de Mario sans trop se soucier de développer quoi que ce soit.
Heureusement le tout se suit sans gros déplaisir, et se veut respectueux (la base) via en + une belle animation du studio Illumination et un beau cast vocal des persos.

Pour l'avoir vu en VO je dois dire avoir été surpris en bien par Chris Pratt qui use réguliérement d'un accent, tout comme Charlie Day en Luigi.
Les meilleurs restent cependant Keegan en Toad, et Jack Black en Bowser (à la fois grotesque amoureux transi de Peach et antagoniste qui en impose)

Bref c'est pas le film incroyable sur Mario (et c'est avant tout destiné aux plus jeunes) mais ça fait correctement le job en adaptant fidèlement, à défaut d'être réellement singulier ou même incarné la plupart du temps

5 ou 6/10 pas +
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Pale
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:hello:

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J'avais beaucoup apprécié le premier, idem pour cette suite. L'intrigue et le dénouement sont peut-être plus simples ici mais ça reste un bon moment de rigolade grâce au duo Adam Sandler-Jennifer Anniston, ils sont irrésistibles et il y a une bonne alchimie entre eux. Et puis on n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer car c'est mené tambour battant pendant 1h30.

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J'ai trouvé ce film passionnant de bout en bout, l'histoire est incroyable et tient en haleine du début à la fin.

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Ça c'est vraiment la grosse surprise. De base je le sentais bien mais c'est encore mieux que je l'imaginais. Tout d'abord j'ai été impressionné par l'ampleur et la richesse du film, les décors et paysages sont grandioses et très variés, c'est souvent un régal pour les yeux. C'est vraiment 2 heures d'aventures, d'action, de trouvailles, d'humour (certaines scènes sont hilarantes) et d'esprit. J'ai adoré.
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Anya Taylor-Joy à l'avant-première mondiale de Super Mario Bros :

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