Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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robinne a écrit :
lun. 23 nov. 2020 08:07
Il y avait Adèle et Mélanie , mais ce n’est pas le même niveau :o
Pas mal quand même :o
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robinne
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weird

J’ai revu Olga, Gemma (je ne me souvenais plus de sa présence :sweat: ) et un bout de Jennifer hier, et c’était pas mal :D
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Pale
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Jennifer comment ? Lawrence ? :D
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robinne
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Pale a écrit :
lun. 23 nov. 2020 11:00
Jennifer comment ? Lawrence ? :D
Oui. C’était bien elle. Dans Red Sparrow, sur france2.
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Pale
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robinne a écrit :
lun. 23 nov. 2020 12:06
Oui. C’était bien elle. Dans Red Sparrow, sur france2.
Ah oui elle se dénude plus que d'accoutumée dans celui-là :D
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robinne
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Pale a écrit :
lun. 23 nov. 2020 12:25
robinne a écrit :
lun. 23 nov. 2020 12:06
Oui. C’était bien elle. Dans Red Sparrow, sur france2.
Ah oui elle se dénude plus que d'accoutumée dans celui-là :D
Toutafé :o :saint:
C'est pour ça que j'ai revu les 30 premières minutes du film :lol: Je suis parti quand elle-même est partie de l'école des agents, et qu'elle avait écarté les jambes devant son violeur :sweat: .
En fait, je ne me souvenais pas de cette violence, qu'elle soit physique ou psychologique :ouch:
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C'est à peu près la seule chose qui m'a marqué dans le film ^^
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robinne
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weird

Next a écrit :
lun. 23 nov. 2020 12:35
C'est à peu près la seule chose qui m'a marqué dans le film ^^
La violence ?
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Plutôt la réflexion de Pale, mais c'est lié techniquement. :saint:
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robinne a écrit :
lun. 23 nov. 2020 12:54
Next a écrit :
lun. 23 nov. 2020 12:35
C'est à peu près la seule chose qui m'a marqué dans le film ^^
La violence ?
Les sous titres, les crédits ? ce sont des choses marquées ! :o :D
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Next a écrit :
lun. 23 nov. 2020 12:58
Plutôt la réflexion de Pale, mais c'est lié techniquement. :saint:
Ah bah oui, moi aussi, c’est ce qui m’avait marqué. Mais en le revoyant, j’ai été marqué par autre chose :D
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le nouveau Joe Carnahan, où Frank Grillo est pourchassé par des tueurs (envoyés par Mel Gibson) dans une timeloop à la Groundhog Day/Edge of Tomorrow
Le héros devra savoir pourquoi on veut le tuer, comment il arrive à ne pas mourir et le tout en sauvant sa meuf (Naomi Watts)

mes ptits bémols pour commencer iront sur :

- le méchant ultra classique et sans aspérité (heureusement Mel Gibson apporte sa classe mais c'est tout)

- quelques CGI voyants, et des scènes qui auraient vraiment eu + de tronche avec un meilleur budget

- la fin classique


tout le reste c'est du fun très bien agencé (ça rappelle le précédent film de Carnahan "Stretch" dans le ton), Frank Grillo porte littéralement le film et je trouve que toute la 1e partie avec son humour burlesque est la plus réussie


la structure de jeu vidéo "die & retry" est très cool également, et tout ce qui tourne autour de la rédemption de Roy (pour son fils) est également très bien amené


un bon ptit film de genre donc, à défaut d'être transcendant


3.5/5
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Plongée au sein d'une famille dysfonctionnelle qui vit d'arnaques en tout genre, on va surtout s'intéresser à la fille qui n'a jamais connu la moindre tendresse et attention. L'arrivée d'un élément perturbateur va forcément remettre les choses en question. Le film vaut principalement pour Evan Rachel Wood qui livre une prestation remarquable. Kajillionaire possède également des scènes touchées par la grâce qui ne laissent pas insensible et une superbe bande-originale. Le film n'emporte pas totalement l'adhésion à cause de certains flottements durant la dernière partie mais ça reste un bon film.
Modifié en dernier par Pale le lun. 23 nov. 2020 23:06, modifié 1 fois.
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Cette semaine il y a 5 nouveautés qui m'intéresse sur Netflix :

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The Call sur Netflix : le thriller coréen entre meurtres et faille temporelle à ne pas manquer ?

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The Call est un thriller fantastique sud-coréen avec tueuse au concept situé entre Phone Game et Fréquence interdite.

Dans The Call, film à suspense fantastique avec un scénario à tiroirs et des retournements de situation, deux personnages établissent une connexion temporelle par l’intermédiaire d’un téléphone. L’une des protagonistes, Oh Young-sook (jouée par Jun Jong-seo, vue dans Burning) reçoit en 1999 un appel d’une femme en train de regarder une photo d’elle en 2019 (Park Shin-hye, actrice dans #Alive et dans la série Memories of the Alhambra, tous deux disponibles sur Netflix).

Cette personne du futur a vu son père décéder, et ne s'en remet pas. Oh Young-sook se met donc, en 1999, à modifier des éléments afin de changer l’avenir. Mais elle est en fait une tueuse, et cette promesse était empoisonnée : son interlocutrice du futur se retrouve à sa merci.

The Call croise donc, à la manière sud-coréenne, les principes de départ de films comme Phone Game et Fréquence Interdite. Dans le premier, Colin Farrell ne devait surtout pas raccrocher son téléphone sous peine d’être abattu. Dans le deuxième, sorti en 2000 (et plus tard transposé en série sous le titre Frequency), Jim Caviezel empêchait son père, joué par Dennis Quaid, de mourir dans un incendie en le prévenant, mais changeait du même coup le destin de sa mère.

La bande-annonce ne promet pas un huis clos, mais plutôt un film avec un rythme façon course infernale contre le temps. Les images et le montage laissent deviner que l’intrigue va comporter des rebondissements machiavéliques. De surcroît, l’aspect esthétique du film semble travaillé, avec un univers visuel soigné et des séquences où le temps s’inverse qui tiennent la route.



Les amateurs de suspense à tiroirs et à twists temporels pourront donc, a priori, s’aventurer dans l’univers de The Call, film disponible sur Netflix le 27 novembre avec joie et bonheur. Et puis si c'est pour voir du cinéma coréen, on ne va pas dire non.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... WUcPs6mIqg
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C'est une adaptation des Chevaliers du Zodiaque version féminine ? ^^

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Channing Tatum rejoint les Universal Monsters avec les réalisateurs de La Grande aventure Lego

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Après des débuts pour le moins contrariés, le Monster Universe du studio Universal n’a pas dit son dernier mot, et recrute Phil Lord et Chris Miller accompagnés de Channing Tatum.

Comptant parmi les premières licences d’ampleur internationale, jusqu’à devenir un univers partagé, la galaxie des Universal Monsters, née dans les années 30, a abreuvé pendant plusieurs décennies le grand écran des aventures de Dracula, du loup-garou, du monstre de Frankenstein et des mauvais coups de l’homme invisible. Un catalogue riche, qui a logiquement pris beaucoup de valeur quand Disney a rencontré un succès mondial avec le MCU, et re-popularisé le principe d’univers étendu au cinéma.

Pour autant, Universal n’a pas trouvé tout de suite la recette du succès. En effet, Dracula Untold puis La Momie, malgré des campagnes marketing massives, n’ont pas réussi à installer dans l’esprit du public un agenda particulièrement dense, qui devait notamment accueillir Johnny Depp. Deux faux départs, jusqu’à ce que la major ait la bonne idée de s’allier avec Blumhouse, afin de retravailler ces marques avec une approche différente et moins directement inspirée par la charte Marvel.

Un changement de braquet avec à la clef un succès, celui d’Invisible Man, dont une suite est actuellement en chantier. Tout indique qu’Universal va poursuivre dans cette direction, et chercher des voix singulières pour porter ces projets, comme le rapporte le site Deadline. Ce dernier indique en effet que le studio a confié un long-métrage, qui n’a pas encore de titre officiel, qui sera réalisé par Chris Lord et Phil Miller, dans lequel jouera Channing Tatum.

On ignore encore quelle sera la bébête à l’honneur, mais le site indique qu’il s’agira d’une “réinvention audacieuse d’un des personnages les plus appréciés du Monster Universe”.

Lord et Miller sont bien loin d’être des nouveaux venus puisque le duo a mis en scène La Grande Aventure LEGO, mais aussi 21 ainsi que 22 Jump Street, comédies aventureuses volontiers méta, qui ont rencontré un beau succès. Tout cela, avant qu’ils ne soient embauchés, puis virés de Solo : A Star Wars Story, finalement confié à Ron Howard. Et toujours d’après Deadline, tout indique que le duo renouera avec l’esprit gentiment corrosif de ses débuts.

Le métrage se voudra “un thriller moderne, impertinent inspiré par l’héritage classique des monstres Universal”. Voilà un libellé prometteur.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... N1QffNyWRk
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EL a bof aimé Jiu Jitsu (2,5 étoiles) mais on pouvait s'attendre à pire :D

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Qui de mieux pour faire honneur au cinéma d'action absurde des années 1980 qu'un cinéaste qui y est littéralement né ? Dimitri Logothetis s'est fait un petit nom avec quelques séries B oubliées de la grande époque, comme Slaughterhouse Rock ou encore Body Shot, premier rôle principal de Robert Patrick après Terminator 2, avant d'enchainer sur quelques séries TV et de se lancer dans la saga Kickboxer en tant que producteur et réalisateur. Entre deux collaborations avec Jean-Claude Van Damme, Christophe Lambert, Dave Bautista et même Neymar, il se paye Tony Jaa et le seul et unique Nicolas Cage pour un Predator avec des ninjas et des marines. Forcément, on ne pouvait pas manquer ça.

honest trainer


La série B bébête est-elle morte ? Question pertinente, alors que Sharknado, Iron Sky et consorts ont fait sombrer les très petits budgets de genre américain dans la comédie feignante. Misant tout sur l'absurdité de leur postulat, ils s'alignent tous sur le créneau "nanar volontaire" (paradoxe croustillant s'il en est) qui a si bien réussi à la firme The Asylum, sans pour autant infuser le produit fini d'une once d'inventivité ou de passion. Heureusement, quelques papys font de la résistance, comme le dernier avorton de la saga Puppet Masters, grand prix et prix du public au festival de Gerardmer 2019. C'est dire à quel point le public traque les plus honnêtes de ces péloches, désormais très rares.

Et Jiu Jitsu pouvait donc s’avérer salvateur, puisque le vétéran Dimitri Logothetis y embarque sa muse, le poisson pané aux gros biscoteaux Alain Moussi, dans un délire de science-fiction martial au potentiel foutraque illimité, avec en prime des apparitions remarquées de deux cadors du n’importe nawak fun : Tony Jaa et le truculent Nicolas Cage. Ce dernier, oscar du meilleur acteur pour Leaving Las Vegas en 1996, faut-il le rappeler, s’improvisant grand manitou d’une secte dont le seul but est de bouter régulièrement un alien super-balèze dans sa dimension.

Les amateurs de Cage-porn seront aux anges : leur divinité, déjà excellente, récemment, dans The Color Out of Space, se laisse aller à quelques élucubrations mystiques non-sensiques avec un chapeau en papier sur la tête. Les fans de plaisirs d’action sans prise de tête ne seront pas non plus déçus par une première demi-heure qui évite soigneusement la parodie pour faire ressortir le mot d’ordre du film : la générosité.

Le long-métrage n’hésite pas à aligner les séquences de baston dans une frénésie rappelant presque les deux derniers opus de la franchise over-bancale Universal Soldier, la violence décomplexée et hypnotique en moins. Et c’est dans cette première partie qu’elle brille le plus, grâce à Tony Jaa, artiste martial confirmé échappé d’Ong Bak, qui permet aux chorégraphes (dont il fait peut-être partie officieusement) et aux techniciens de se surpasser. Il est au cœur de la séquence la plus fun du film : une course sur les toits filmée à moitié en point de vue subjectif. Une expérimentation formelle étrangement radicale qui se marie particulièrement bien avec les enchaînements dévastateurs de l’acteur.

Ennui vs Predator

Malheureusement, il s’agit indéniablement du meilleur morceau de bravoure d’une production qui ne manque certes pas de bastons très bien filmées, mais qui peine à se renouveler dès lors que les enjeux se précisent. En effet, les premières minutes jouent beaucoup de la cohue générale, et tout change lorsque Nicolas Cage se ramène pour exposer d'un ton illuminé l’état narratif des choses.

Le film se mue alors en repompe assumée de Predator, avec en guise de bad guy un cascadeur en costume gris, lequel chasse pour le plaisir et peut devenir invisible quand le scénario le demande. Il ne manquerait plus que les trois points rouges et un design un peu plus inspiré pour titiller les avocats de Disney (probablement encore plus redoutables que ceux de la Fox). Heureusement pour lui, Logothetis ne franchit jamais la ligne.

Il se contente de recycler la structure du chef-d’œuvre de John McTiernan avec quelques terrains vagues jonchés de rochers en plastique pour remplacer la jungle, et l’acteur principal, toujours effroyablement inexpressif, devant sa carrière à ses indéniables talents martiaux, dans les bottes d’Arnold Schwarzenegger. Plus concrètement, le monstre affronte les gentils un par un dans un combat à la loyale. Une logique alléchante sur le papier, surtout après les cabrioles audacieuses de Tony Jaa et du pauvre opérateur chargé de le suivre caméra à la main, mais véritablement décevante dans les faits.

Bien moins inspirés que les combats qui jalonnaient la première partie, ces affrontements font preuve d’une certaine répétitivité, chorégraphique et visuelle, qui pourrait presque faire deviner un bâclage éhonté. Peut-être est-ce finalement l’argument science-fiction qui gêne autant le metteur en scène : à peine énoncé, il affaiblit l’ensemble. Forcément, il est plus difficile de rendre crédible physiquement un sous-Predator en caoutchouc qu’un Tony Jaa déchaîné.

En 2015, Mortal Kombat X ajoutait à son roster de personnages Predator, pour le plus grand plaisir des joueurs gorophiles. Jiu Jitsu est peut-être la réponse du 7e art à ce cross-over délirant. Dommage, donc, que la nervosité de son gameplay n'ait pas été restituée.

Si Tony Jaa et l'enthousiasme du réalisateur dynamisent une première moitié qui ravira les amateurs de séries B d'action, le film s'assagit dès l'apparition de l'alien pour se laisser aller à une répétitivité heureusement transcendée par les apparitions hallucinées d'un Nicolas Cage toujours plus en roue libre.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... ARtK0dfIXM
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The Last of Us : la série HBO par le créateur de Chernobyl avance très bien

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La série HBO The Last of Us, par le créateur de Chernobyl, avance très bien, puisqu'elle vient d'être officiellement commandée par la chaîne.

Sortie le 19 juin 2020 sur Playstation 4, The Last of Us - Part II, second volet du jeu vidéo culte sorti en 2013, a été acclamé par la presse et une grande partie du public, tout en créant des réactions très contrastées au sein de sa communauté de fans. Le genre de réactions qui pousse à se demander si une œuvre, peu importe son médium, appartient aux fans ou à ses créateurs.

L’annonce, quelques semaines auparavant par Sony, de la production d’une série HBO revisitant le premier jeu a également soulevé quelques réactions chez les fans, très méfiants à l’idée de voir ce jeu culte être adapté au format sériel. Craig Mazin, showrunner acclamé pour la série HBO Chernobyl, qui sera aux commandes aux côtés de Neil Druckmann, scénariste et réalisateur des deux premiers jeux chez les studios Naughty Dog, a par ailleurs tenu à rassurer les fans récemment, en promettant que cette série serait fidèle au matériau d’origine.

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la série HBO avance plutôt très bien dans son développement, à en croire la chaîne qui a confirmée récemment, sur son compte Twitter officiel, que la série a bien été commandée officiellement.

HBO en a également profité pour dévoiler, au passage, le synopsis officiel de la série. L’histoire se déroulera donc vingt ans après la destruction de notre civilisation moderne, où l’on suivra Joel, un survivant coriace qui est embauché pour exfiltrer Ellie, une jeune fille de 14 ans, d’une zone de quarantaine dite oppressive.

Selon ce synopsis officiel, "ce qui commence comme un petit job deviendra bientôt un voyage brutal et déchirant, alors que tous deux doivent traverser les États-Unis et s’appuyer l’un sur l’autre pour survivre".

Un résumé qui confirme que la série HBO sera donc bien une relecture des évènements du premier jeu, adapté au format sériel. Francesca Orsi, vice-présidente exécutive de la programmation HBO, s’est exprimée dans un communiqué au sujet de cette annonce :

« Craig et Neil sont des visionnaires dans une ligue à part. Avec eux à la barre aux côtés de l’incomparable Carolyn Strauss [productrice exécutive de Game of Thrones, ndlr], cette série est sûre de résonner à la fois auprès des fans inconditionnels des jeux The Last of Us et les nouveaux venus dans la saga. »

Étendre l’univers du jeu en dehors de la sphère vidéoludique pour toucher un public plus large avec les aventures de Joel et Ellie ? Après tout, pourquoi pas. Mais on ne saurait trop vous conseiller de suivre leur histoire dans les deux premiers excellents jeux, qui ont fait la gloire des deux dernières générations de consoles chez Sony.

Pour rappel, Craig Mazin, créateur de la série HBO Chernobyl, est à l’origine du projet. Tandis que Neil Druckmann, scénariste et réalisateur des jeux, sera à l’écriture et à la production de cette série qui est donc officiellement lancée. En attendant, on vous dit pourquoi, selon nous, The Last of Us - Part II est une expérience ultime du jeu vidéo, avec notre critique disponible par ici.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... xjERudlHDs
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Après Hérédité et Midsommar, Ari Aster préparerait un film d'horreur surréaliste avec Joaquin Phoenix

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Après Hérédité et Midsommar, Ari Aster, le prodige de l'Elevated Horror, préparerait un film d'horreur surréaliste... avec Joaquin Phoenix.

Avec ses deux premiers excellents longs-métrages Hérédité et Midsommar, le jeune cinéaste Ari Aster s’est révélé comme l’un des nouveaux prodiges du cinéma d’horreur contemporain, aux côtés de ses comparses Jordan Peele (Get Out, Us) et Robert Eggers (The Witch, The Lighthouse). À trois, ils forment le mouvement de "l’Elevated Horror", une nouvelle vague qui, en seulement quelques films, a renouvelé le cinéma de genre américain de ces dernières années.

Autant dire qu’avec deux premiers essais aussi aboutis, Ari Aster est attendu au tournant par les amateurs du genre avec son troisième film. Aux dernières nouvelles, le réalisateur préparait un très, très long nouveau cauchemar, vendu comme "une comédie cauchemardesque" de plus de quatre heures, où le cinéaste semblait vouloir s’éloigner un peu de l’angoisse, mais pas trop quand même.

Mais apparemment, Ari Aster ne semble pas en avoir fini avec l’horreur puisque selon Discussing Film, il préparerait actuellement un film d’horreur surréaliste, intitulé Beau is Affraid, avec Joaquin Phoenix dans le rôle-titre. Selon les premières infos dévoilées par le média, l’histoire se déroulerait dans un présent alternatif, dans lequel Beau, un homme extrêmement anxieux, mais agréable d’apparence, a une relation tendue avec sa mère dominatrice, car il n’a jamais connu son père.

Lorsqu’il apprend la mort de celle-ci, il revient dans sa maison natale où il fait une découverte alarmante sur son passé. Durant son voyage, Beau va se heurter à diverses menaces surnaturelles, parmi lesquelles "les idées les plus folles qu’Ari Aster a imaginées à ce jour", ce qui fait monter la hype d’un cran. Le réalisateur et ses producteurs seraient actuellement en pourparlers avec Joaquin Phoenix, en espérant que ce dernier signe rapidement pour caler la production du long-métrage.

En effet, depuis son triomphe oscarisé avec Joker, l’acteur n'a pas été revu sur les écrans même s'il a déjà plusieurs projets en cours notamment Kitbag, un biopic pour la Fox, où il incarnera Napoléon Bonaparte devant la caméra de Sir Ridley Scott. Joaquin Phoenix qui a des problèmes avec sa maman dans une nouvelle séance de psychanalyse familiale bien angoissante chez Ari Aster, autant dire qu’il n’en faut pas plus pour nous donner envie.

La production n’ayant pas encore commencé, il n'y a évidemment aucune date de sortie, d'ailleurs aucun distributeur n'est attaché au projet pour le moment. On peut toutefois imaginer que le cinéaste travaillera de nouveau avec A24, après leur collaboration fructueuse sur ses deux premiers films.

En attendant d’en savoir plus sur ce projet alléchant qu’est Beau is Affraid, on vous invite à découvrir à ce que l’on pense des deux premiers cauchemars d’Ari Aster, à savoir Hérédité et Midsommar, avec nos critiques respectives disponibles par ici et par là.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... C8ExKQ-UF0
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Next a écrit :
mar. 24 nov. 2020 08:33
C'est une adaptation des Chevaliers du Zodiaque version féminine ? ^^
C'est vrai que ça y ressemble pas mal :D
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Pale a écrit :
mar. 24 nov. 2020 08:40
Après Hérédité et Midsommar, Ari Aster préparerait un film d'horreur surréaliste avec Joaquin Phoenix
Projet alléchant ! :bounce:
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robinne a écrit :
mar. 24 nov. 2020 08:54
Pale a écrit :
mar. 24 nov. 2020 08:40
Après Hérédité et Midsommar, Ari Aster préparerait un film d'horreur surréaliste avec Joaquin Phoenix
Projet alléchant ! :bounce:
Ah oui oui oui oui !!!! :love:

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La dégaine de Ron Perlman ce choc :rofl:

On dirait Cloud de FF VII qui a mal vieilli
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Next a écrit :
mar. 24 nov. 2020 09:08
La dégaine de Ron Perlman ce choc :rofl:

On dirait Cloud de FF VII qui a mal vieilli
:lol: :lol: :lol: Je ne peux pas m'empêcher de croire que ce film sera bien jouissif.
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Le Jeu de la dame : la série avec Anya Taylor-Joy cartonne sur Netflix et bat un record d'audience

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Le Jeu de la dame avec Anya Taylor-Joy en jeune prodige des échecs suscite l'engouement depuis son arrivée sur Netflix où la mini-série a battu un record d'audience.

Après que Robert Eggers ait lancé la carrière d'Anya Taylor-Joy avec l'envoûtant et psychotique The Witch, on a hâte que le cinéaste retrouve l'actrice dans le très attendu The Northman dont l'attrayante distribution comprend également Nicole Kidman, Alexander Skarsgård, Ethan Hawke et Willem Dafoe. Avant ces retrouvailles qu'on espère étincelantes, l'étoile montante de 24 ans a eu l'occasion de prouver l'étendu de son talent avec Split et sa suite Glass, la série Peaky Blinders, Emma. ou plus récemment Le Jeu de la dame, diffusée sur Netflix depuis le 23 octobre dernier.

La création de Scott Frank et Allan Scott gravite autour de Beth Harmon, un jeune génie des échecs névrosé par son passé douloureux et une addiction aux tranquillisants et à l'alcool qu'elle tente de conjuguer avec son ascension vertigineuse au sein d'un univers dominé par les hommes. En plus d'une mise en scène soignée et d'un récit rythmé avec justesse, la performance magnétique d'Anya Taylor-Joy a ébloui la critique et les téléspectateurs, qui ont été très nombreux a dévorer des yeux les sept épisodes de la mini-série.

Désormais habitué à communiquer ses chiffres en cas de succès, le géant du streaming n'a donc pas manqué une occasion de se faire mousser en annonçant que Le Jeu de la dame a établi un record en devenant la mini-série la plus regardée de la plateforme avec 62 millions de vues en 28 jours. Si on ne doute pas de l'engouement suscité (le New York Times a parlé d'une augmentation de 125% des ventes d'échiquiers aux États-Unis les semaines suivant sa diffusion), il faut malgré tout prendre ces chiffres avec un peu de distance.

Netflix enregistre en effet une vue après deux minutes de visionnage seulement, ce qui est loin d'être un système de comptage fiable et totalement transparent. Mais à titre de comparaison et sur la même durée, la série Ratched de Ryan Murphy avait établi un record pour 2020 avec 50 millions de vues, tandis que la série documentaire Au Royaume des fauves qui a cartonné en mars dernier est juste devant avec 64 millions de comptes concernés.

Le Jeu de la dame s'est ainsi hissée dans le Top 10 de Netflix dans 92 États, dont 63 où la mini-série foule la première marche du podium, notamment en France. Comme l'a précisé Netflix, le roman dont ont été tiré les sept épisodes est entré dans la catégorie des best-sellers près de 37 ans après sa sortie. Une belle performance pour la plateforme et l'actrice qu'on retrouvera également dans Last Night in Soho d'Edgar Wright et le spin-off de Mad Max : Fury Road sur Furiosa.

En attendant des nouvelles des prochains projets de l'actrice, notre critique du Jeu de la dame est toujours disponible de ce côté.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... MXvVIHF-u4
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Kit
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on dirait bien que c'est aujourd'hui que tu dépasseras Next en nombre de messages, bavard :D
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Pale
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Kit a écrit :
mar. 24 nov. 2020 09:22
on dirait bien que c'est aujourd'hui que tu dépasseras Next en nombre de messages, bavard :D
Ah oui effectivement :hehe: :rofl:
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Wickaël
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Bon ce week-end j'me fais les deux Chroniques de Noël, avec le meilleur acteur ayant interprété le Père Noël, Kurt Russell ! :D
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Kit a écrit :
mar. 24 nov. 2020 09:22
on dirait bien que c'est aujourd'hui que tu dépasseras Next en nombre de messages, bavard :D
Oser dépasser l'admin du forum. Y a plus de respect ! :o
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Pale
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Wickaël a écrit :
mar. 24 nov. 2020 10:51
Bon ce week-end j'me fais les deux Chroniques de Noël, avec le meilleur acteur ayant interprété le Père Noël, Kurt Russell ! :D
Il y a aussi Alain Chabat dans Santa & Cie :D

A ce propos, je te le conseille si tu ne l'as pas vu.
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ClintReborn
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Next a écrit :
mar. 24 nov. 2020 11:02
Kit a écrit :
mar. 24 nov. 2020 09:22
on dirait bien que c'est aujourd'hui que tu dépasseras Next en nombre de messages, bavard :D
Oser dépasser l'admin du forum. Y a plus de respect ! :o
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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Pale
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Le film se fait déchirer par la presse Outre-atlantique, je suis loin d'avoir détesté :D Le film va maybe souvent dans l'excès mais j'ai trouvé que c'était une bonne chronique familiale avec des hauts et des bas et des personnages à fleur de peau. Un bon drame de Ron Howard qui ne m'a pas laissé totalement insensible. J'ai même apprécié Glenn Close que j'avais incendié après avoir vu la bande-annonce :D
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Kit
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Wickaël a écrit :
mar. 24 nov. 2020 10:51
Bon ce week-end j'me fais les deux Chroniques de Noël, avec le meilleur acteur ayant interprété le Père Noël, Kurt Russell ! :D
et Edmund Gwenn
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Wickaël
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Pale a écrit :
mar. 24 nov. 2020 11:37
Wickaël a écrit :
mar. 24 nov. 2020 10:51
Bon ce week-end j'me fais les deux Chroniques de Noël, avec le meilleur acteur ayant interprété le Père Noël, Kurt Russell ! :D
Il y a aussi Alain Chabat dans Santa & Cie :D

A ce propos, je te le conseille si tu ne l'as pas vu.
Ah ouais toujours pas vu celui-là :sweat:
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Pale
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Wickaël a écrit :
mar. 24 nov. 2020 12:15
Ah ouais toujours pas vu celui-là :sweat:
C'est la période idéale pour le découvrir :hot:
Modifié en dernier par Pale le mar. 24 nov. 2020 12:22, modifié 1 fois.
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Kit
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weird

Projet alléchant ! :bounce:
@robinne
projet alléchant, pour AMCHI sur allociné c'était alléchant de Noël/ah les chants de Noël :D
ok==>> ch'uis sorti
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Pale
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Joli :D

EL a modérément apprécié Les chroniques de Noël 2 (3 étoiles) :

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En 2018, Les Chroniques de Noël avait su créer la surprise (malgré de très fortes ressemblances avec le Santa & Cie d'Alain Chabat), grâce à son arme secrète : Kurt Russell. Sa suite accueille sa compagne Goldie Hawn et espère reproduire ce miracle hivernal. Prêt à déballer ce cadeau Netflix ?

PAQUET CRADO


Le film hollywoodien de Noël est un objet étrange, pensé pour s’insérer dans la vie de ses consommateurs entre le déballage des cadeaux et la gueule de bois parentale, condamnant les écrans à assurer, au moins quelques heures par an, l’intérim affectif auprès de nos chères têtes blondes. D’où un certain relâchement dans leur conception, qui fait rarement la part belle à l’écriture, aux finitions techniques, et ne s’inquiète guère de se renouveler.

Et à bien des égards, Les chroniques de Noël 2 souscrit à ce programme. Volontiers enchanteur, mais pas téméraire quand il s’agit de représenter le village de Santa Claus, le film s’autorise quantité de grossièretés visuelles, de rendus approximatifs, d’incrustations baveuses et autres cascades numériques. Un je-m'en-foutisme visuel qui devrait engendrer un pic d’urgences ophtalmiques ces prochains jours, et qui attriste un peu, puisque c'est Chris Columbus qui tient la caméra.

Le temps de son Maman j'ai raté l'avion paraît, de prime abord, révolu et on se surprend à rêver de l'époque où les métrages de fin d'année réchauffaient les coeurs, mais ne renonçaient pas pour autant à une certaine acidité. Pour conventionnelles que paraissent les aventures de Macaulay Culkin ou encore Noël chez les Muppets, elles contenaient aussi une part d'étrangeté et de folie, particulièrement compatibles avec une célébration syncrétique, à mi-chemin entre délire commercial, restes païens et imagerie chrétienne.

Mais Les Chroniques de Noël 2 se veut beaucoup plus conformiste, quitte à verser dans la caricature. Non pas qu’on demande aux contes de fin d’année de se transformer en chansons de geste anarchistes ou en manifeste zadiste, mais l’entrain avec lequel le film choisit comme valeur cardinale l’obéissance et la soumission peut agacer. Et quand l’héroïque patriarche pourvoyeur de cadeaux aux enfants sages consent à lâcher un peu la bride des siens, y compris la Mère Noël, c’est toujours contre leur allégeance.

DANS LES GRIFFES DU PÈRE NOËL

Pourtant, malgré le jeu approximatif de ses jeunes comédiens, son scénario plutôt flemmard et son imaginaire de pudding lyophilisé, Les Chroniques de Noël 2 possède un atout passablement irrésistible, qui pourra convertir jusqu’aux moins Noëlolâtres des adultes. Au cœur du projet, l’investissement complice de Kurt Russell et Goldie Hawn, monsieur et madame Claus à l’écran et à la ville. S’ils ne peuvent à eux seuls faire oublier toutes les pétouilles du projet, ils lui confèrent une chaleur et une humanité inattendue.

Observer ce père Noël invraisemblablement charismatique tancer ses lutins d'un oeil énamouré, ou cette bonne madame Claus lui marcher sur les arpions avec une grâce revêche irrésistible a quelque chose de diaboliquement plaisant. Un peu comme un vin chaud, pas trop chaud, et plutôt léger sur la cannelle.

Ainsi, de loin en loin, il arrive que le duo pirate soudain la narration, génère des parenthèses enchantées plutôt inattendues, où les deux artistes charrient avec une étonnante simplicité un leg de cinéma et d’amour déroutant. L’aisance avec laquelle tous deux se jouent de leur image et de celle de l’autre, avec la participation jubilatoire du spectateur. La fausse dévotion de Mme Claus et la malice roublarde de son époux sont autant d’occasions pour le cinéphile de retrouver ses petits et de s’insérer dans ce récit balisé avec la tiède quiétude de vieux harpions retrouvant leurs charentaises préférées.

Les Chroniques de Noël 2, disponible sur Netflix le 25 novembre 2020 en France

Pas indispensable et trop souvent mécanique cette fable de Noël amuse et réjouit quand elle laisse un peu d'espace au couple formé par Kurt Russell et Goldie Hawn.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... k9Os5lQ5SI
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robinne
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weird

Next a écrit :
mar. 24 nov. 2020 09:03
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Il fumait quoi, Juju ? :ouch: :lol:
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mar. 24 nov. 2020 09:24
Kit a écrit :
mar. 24 nov. 2020 09:22
on dirait bien que c'est aujourd'hui que tu dépasseras Next en nombre de messages, bavard :D
Ah oui effectivement :hehe: :rofl:
C'est fait.
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robinne
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weird

Kit a écrit :
mar. 24 nov. 2020 12:21
Projet alléchant ! :bounce:
@robinne
projet alléchant, pour AMCHI sur allociné c'était alléchant de Noël/ah les chants de Noël :D
ok==>> ch'uis sorti
C'est de saison :o :jap:
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Kit
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ouch

j'aime de temps en temps regarder les stats

@Pale
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bah dis donc tu dois avoir peur de te perdre dès que tu sors de ton topic :rofl:
Vosg'patt de cœur
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Pale
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robinne a écrit :
mar. 24 nov. 2020 14:14
C'est fait.
Qu'est ce que je gagne ? :love:
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Pale
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Kit a écrit :
mar. 24 nov. 2020 16:06
bah dis donc tu dois avoir peur de te perdre dès que tu sors de ton topic :rofl:
:lol: :lol: :lol:
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Gku
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:hello: :hello:

Et les échecs semblent redevenir tendance :D
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Pale
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@Gku :hello:

La vidéo :lol: :lol: :lol: :love:

Oui impressionnant l'engouement autour de cette série :hot: :hot: :hot:

J'ai déjà converti plusieurs personnes :D
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