Le Cercle des profileurs disparus
Ah bah oui
Maintenant que tu le dis, ça me revient 
Merci
La prochaine étape, pour faire parler du film, ils vont en révéler le format. 1:33 ?
Cool ! J'aime bien ses Conjuring
J'aime avoir raison
Colère des aborigènes pour la fête nationale en Australie
Le "Jour de l'Australie" est davantage le "Jour de l'Invasion" selon eux, car il commémore l'arrivée des colons britanniques sur leur sol.
https://www.franceinter.fr/emissions/so ... nvier-2021
oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooh merciiiiiiiiiii
"APRÈS-MIDI RACLETTE" dispo sur Podcloud, iTunes, Google Podcast, Amazon podcast, et Podcast Addict !
https://apres-midi-raclette.lepodcast.fr/
https://apres-midi-raclette.lepodcast.fr/rss
https://apres-midi-raclette.lepodcast.fr/
https://apres-midi-raclette.lepodcast.fr/rss
Bridgerton casse Netflix, double The Witcher et devient la série N°1 de la plateforme
Le réseau de streaming avait sous-estimé ses performances. 82 millions de foyers dans le monde ont jeté un œil à La Chronique des Bridgerton.
Des audiences qui dépassent largement les projections les plus optimistes. Cela en dit long sur le succès de La Chronique des Bridgerton sur Netflix depuis un mois. Début janvier, la plateforme estimait que la série créée par Chris Van Dusen et adaptée des romans à succès de Julia Quinn était en bonne voie pour être la 5e série de l'Histoire de Netflix, avec certainement 63 millions de foyers ayant regardé (au moins 2 minutes) du drama romantico-historique. En réalité, les vrais chiffres tombés cette semaine sont bien plus impressionnants.
Netflix avait sous-estimé la famille Bridgerton dans les grandes largeurs, puisque les véritables audiences (calculées et relatées par la plateforme elle-même) après 28 jours de diffusion se montent à 82 millions de foyers dans le monde ayant jeté un coup d'oeil (a minima) au premier drama produit par Shonda Rhimes pour Netflix. Cela en fait toute simplement la série n°1 de l'histoire de la plateforme !
La Chronique des Bridgerton dépasse ainsi The Witcher, qui détenait ce record depuis un an avec 76 millions de visionnages.
Forcément, La Chronique des Bridgerton a été renouvelée pour une deuxième saison. La production débutera ce printemps.
https://www.premiere.fr/Series/News-Ser ... plateforme
Le réseau de streaming avait sous-estimé ses performances. 82 millions de foyers dans le monde ont jeté un œil à La Chronique des Bridgerton.
Des audiences qui dépassent largement les projections les plus optimistes. Cela en dit long sur le succès de La Chronique des Bridgerton sur Netflix depuis un mois. Début janvier, la plateforme estimait que la série créée par Chris Van Dusen et adaptée des romans à succès de Julia Quinn était en bonne voie pour être la 5e série de l'Histoire de Netflix, avec certainement 63 millions de foyers ayant regardé (au moins 2 minutes) du drama romantico-historique. En réalité, les vrais chiffres tombés cette semaine sont bien plus impressionnants.
Netflix avait sous-estimé la famille Bridgerton dans les grandes largeurs, puisque les véritables audiences (calculées et relatées par la plateforme elle-même) après 28 jours de diffusion se montent à 82 millions de foyers dans le monde ayant jeté un coup d'oeil (a minima) au premier drama produit par Shonda Rhimes pour Netflix. Cela en fait toute simplement la série n°1 de l'histoire de la plateforme !
La Chronique des Bridgerton dépasse ainsi The Witcher, qui détenait ce record depuis un an avec 76 millions de visionnages.
Forcément, La Chronique des Bridgerton a été renouvelée pour une deuxième saison. La production débutera ce printemps.
https://www.premiere.fr/Series/News-Ser ... plateforme
Mourir peut attendre retouché pour mettre à jour les placements de produit ?
A force d'être reporté, le nouveau Bond n'est plus à jour !
Il devait sortir initialement le 14 février 2020, puis a été reporté en avril, novembre, avril 2021 et est à présent daté au 6 octobre 2021 : Mourir peut attendre, de Cary Joji Fukunaga, est fini depuis de longs mois, mais le public le découvrira bien plus tard que prévu. En attendant, les rumeurs vont bon train quant à l'identité du futur remplaçant de Daniel Craig, qui endosse pour la dernière fois le costume de James Bond, et le film va devoir faire l'objet de quelques retouches, révèle The Sun, qui explique que les téléphones, montres et autres paires de chaussures vus dans le films ne seront plus vraiment à la pointe de la technologie ou de la mode quand 007 reviendra enfin sur grand écran.
Plusieurs marques impliquées dans le projet telles que Nokia (fournisseur de téléphones), Adidas (qui a chaussé Craig le temps d'une scène), Omega (partenaire de la production pour les montres du héros) ou Bollinger (la marque de champagne est aussi bien représentée dans la saga) ont ainsi demandé à la production de modifier quelques séquences, notamment celle où Q (Ben Whishaw) présente ses nouveaux gadgets à Bond. L'article évoque aussi de possibles "reshoots" pour mettre à jour tous ces produits dérivés. Un "insider" parle lui plutôt de retouches numériques.
"Le problème, c'est que toutes ces choses représentaient le tout dernier modèle quand ils ont filmé, mais quand le film sortira, Daniel Craig et les autres porteront des vêtements et accessoires qui sont déjà sur le marché depuis plusieurs mois, détaille-t-il. Ce n'est pas franchement le but de ces contrats avec les marques ! Les firmes de nouvelles technologies veulent que les stars utilisent leurs objets les plus récents, c'est une manière d'en faire la promo au grand public. Cela signifie que plusieurs scènes devront être numériquement modifiées avec soin, afin de mettre en avant les nouveautés."
Notez que ce ne sera pas la première fois que les producteurs de James Bond devront effectuer des retouches en numériques à cause d'un placement de produit, puisqu'ils avaient été contraints d'effacer les gants de Bond lors d'une séquence de Skyfall après s'être aperçus qu'il ne pouvait sans cela utiliser son arme à "reconnaissance palmaire". Une erreur qui leur avait coûté cher !
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... e-produit-
A force d'être reporté, le nouveau Bond n'est plus à jour !
Il devait sortir initialement le 14 février 2020, puis a été reporté en avril, novembre, avril 2021 et est à présent daté au 6 octobre 2021 : Mourir peut attendre, de Cary Joji Fukunaga, est fini depuis de longs mois, mais le public le découvrira bien plus tard que prévu. En attendant, les rumeurs vont bon train quant à l'identité du futur remplaçant de Daniel Craig, qui endosse pour la dernière fois le costume de James Bond, et le film va devoir faire l'objet de quelques retouches, révèle The Sun, qui explique que les téléphones, montres et autres paires de chaussures vus dans le films ne seront plus vraiment à la pointe de la technologie ou de la mode quand 007 reviendra enfin sur grand écran.
Plusieurs marques impliquées dans le projet telles que Nokia (fournisseur de téléphones), Adidas (qui a chaussé Craig le temps d'une scène), Omega (partenaire de la production pour les montres du héros) ou Bollinger (la marque de champagne est aussi bien représentée dans la saga) ont ainsi demandé à la production de modifier quelques séquences, notamment celle où Q (Ben Whishaw) présente ses nouveaux gadgets à Bond. L'article évoque aussi de possibles "reshoots" pour mettre à jour tous ces produits dérivés. Un "insider" parle lui plutôt de retouches numériques.
"Le problème, c'est que toutes ces choses représentaient le tout dernier modèle quand ils ont filmé, mais quand le film sortira, Daniel Craig et les autres porteront des vêtements et accessoires qui sont déjà sur le marché depuis plusieurs mois, détaille-t-il. Ce n'est pas franchement le but de ces contrats avec les marques ! Les firmes de nouvelles technologies veulent que les stars utilisent leurs objets les plus récents, c'est une manière d'en faire la promo au grand public. Cela signifie que plusieurs scènes devront être numériquement modifiées avec soin, afin de mettre en avant les nouveautés."
Notez que ce ne sera pas la première fois que les producteurs de James Bond devront effectuer des retouches en numériques à cause d'un placement de produit, puisqu'ils avaient été contraints d'effacer les gants de Bond lors d'une séquence de Skyfall après s'être aperçus qu'il ne pouvait sans cela utiliser son arme à "reconnaissance palmaire". Une erreur qui leur avait coûté cher !
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... e-produit-
-
ClintReborn
- Messages : 4049
- Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
- Localisation : Avalon
J'ai très peur historiquement et puis c'est quoi cette tour Eiffel en carton ? A cette étape on avait pas encore construit les arcades des restaurants ! Ils ont quand même pas fait des modélisations 3d sans suivre les photos d'époque ? 
Ils ont pas oser ? J'espère que c'est juste une erreur sur l'affiche 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Ils ont voulu enjoliver un peu le trucClintReborn a écrit : ↑jeu. 28 janv. 2021 16:22
Et toi, tu oses ?ClintReborn a écrit : ↑jeu. 28 janv. 2021 16:22
-
ClintReborn
- Messages : 4049
- Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
- Localisation : Avalon
Pale a écrit : ↑jeu. 28 janv. 2021 17:26Ils ont voulu enjoliver un peu le trucClintReborn a écrit : ↑jeu. 28 janv. 2021 16:22
Faudra voir avec la bande annonce... D'un coté peu de gens connaissent les arcades de l'exposition de la tour Eiffel qui ont été enlevées dans les années 30 ce qui l'a rendue beaucoup trop lisse a mon gout Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
-
NaughtyDog
- Messages : 2203
- Enregistré le : lun. 26 oct. 2020 12:34
- Localisation : Paris
Bon....The Little Things est une petite déception...mais pas non plus un mauvais film, bien que (trop) familier.
Ce qu'il faut savoir, c'est que malgré le fait que le script date d'il y a près de 30 ans, bcp d'autres films du genre sont passés par là depuis.
Et à ce titre, ce nouveau film de John Lee Hancock n'apporte grosso modo rien de singulier sur la table.
On y suit donc Joe Deacon, shériff ayant quitté la police de LA après de sordides évènements, qui va reprendre officieusement du service pour continuer la traque d'un tueur de femmes. Pour se faire il va faire équipe avec Jimmy Baxter (Rami Malek qui joue un gars normal pour une fois
), et son investigation va le mettre sur la trace de Albert Sparma (un bon Jared Leto qui semble tout droit sortir d'un film sur Manson).Le film débute de manière assez efficace,où une jeune femme est traquée par le tueur en question. Mais très vite le constat est là, dans une séquence faisant penser au début de Zodiac : on tient là un polar "light-boiled".
John Lee Hancock fait preuve d'un peu trop de retenue vis-à-vis du matériau qu'il souhaite illustrer. On aura certes quelques plans sur les corps des victimes,mais filmés avec une certaine distance (la photographie tant plus occupée à montrer un comté de LA plus rural) et neutralité.
Finalement, The Little Things s'intéresse avant tout à ces personnages : les dialogues sont plutôt bons,la direction d'acteurs également. Denzel Washington est comme Tom Hanks ou Meryl Streep aujourd'hui : un monstre sacré du cinéma qui excelle à chaque fois,apportant des nuances supplémentaires à ses rôles. Et c'est évidemment le gros point fort du film, arrivant à dépeindre un flic au lourd passé, traumatisé et ne lâchant rien de sa quête des années après.
Jared Leto tire légèrement son épingle du jeu, en outsider au faciès suspect, et le film joue habilement là-dessus.
Très vite, le coeur de The Little Things est de justement savoir si oui ou non le suspect numéro 1 est bien le tuteur en question. La narration joue bien sur ce questionnement jusqu'à son final (un brin attendu il faut le dire, mais qui offre une conclusion intéressante sur la limite à ne pas franchir au nom de la vérité et de notre propre guérison mentale).
Cependant, si le film n'est jamais déplaisant, il lui manque une mise en scène plus impliquante pour plonger le spectateur dans l'état émotionnel des protagonistes, et ainsi construire de manière logique une descente plus affirmée dans l'obssession (chose qu'un Memories of Murder faisait admirablement, et reste encore aujourd'hui la référence absolue). L'exemple le plus parlant est le personnage de Rami Malek, désireux de venger les victimes de par sa condition de père de famille, mais à aucun moment la réalisation ne souhaite illustrer les tréfonds de sa psyché ni sa bascule émotionnelle avec efficience.
La BO de Thomas Newman apporte 1 ou 2 motifs intéressants, même si on aurait aimé qu'elle concoure à illustrer une atmosphère de plus en plus anxiogène.
Au final,The Little Things est au mieux sympathique, bénéficie d'un solide trio d'acteurs qui porte le film,quelques bonnes séquences et d'un bon fond in fine. Dommage de ne pas y avoir été corps et âme avec plus de rigueur pour illustrer le tout via une mise en scène plus adéquate.
5.5/10 donc 3/5
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
-
BoBleMexicain
- Messages : 3470
- Enregistré le : mer. 15 juil. 2020 11:43
- Localisation : IDF 77
quand on est obligé de s appuyer sur le CV des acteurs sur l affiche c est jamais trés bon signe
-
ClintReborn
- Messages : 4049
- Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
- Localisation : Avalon
C'est assez courant sur les bandes annonces les gros studios comme la Warner survendent un peu tout depuis au moins les années 90; du moment qu'il y a des récompensés aux oscars au castingBoBleMexicain a écrit : ↑ven. 29 janv. 2021 15:54quand on est obligé de s appuyer sur le CV des acteurs sur l affiche c est jamais trés bon signe
Mais directement sur l'affiche c'est plus rare en effet Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Vingt ans après Requiem for a Dream, Darren Aronofsky et Jared Leto vont faire un film d'horreur surnaturel
Vingt ans après Requiem for a Dream, Darren Aronofsky et Jared Leto vont se retrouver pour un film d'horreur chez le producteur Jason Blum.
Longtemps considéré comme un véritable prodige parmi les réalisateurs américains de sa génération, Darren Aronofsky a connu une période difficile après avoir enchainé de grands films tels que Requiem for a Dream, The Wrestler ou encore Black Swan. En effet, de la réception critique mitigée de son blockbuster biblique Noé à la présentation huée à la Mostra de Venise de son huis clos métaphysique Mother!, dont les métaphores religieuses ont plus que divisé la critique et le public, tout n'a pas été rose.
Depuis 2017, Darren Aronofsky n’est pas revenu sur le devant de la scène, au point qu’on a fini par se demander si l’échec cuisant au box-office de son dernier film sorti en 2017 n’avait pas calmé sa carrière. Question d'autant plus légitime quand on a appris qu'il allait livré une série National Geographic avec Will Smith pour Disney+.
Heureusement, le cinéaste a refait parler de lui avec un nouveau projet pour le moins intrigant, à savoir l’adaptation de la pièce de Samuel D. Hunter, The Whale, produit par A24, avec au casting l’acteur Brendan Fraser, qui pourrait s’offrir un sacré come-back chez le cinéaste, à l’image de Mickey Rourke dans The Wrestler. Et apparemment, ce projet plus qu'alléchant et glauque ne sera pas le seul du cinéaste.
Selon Deadline, le réalisateur de The Fountain a également signé un deal avec la boîte de production Blumhouse, et son producteur Jason Blum, qui semble se spécialiser dans la résurrection de cinéastes en difficulté, après M. Night Shyamalan et le triple succès The Visit, Split et Glass. Un projet sur lequel le réalisateur sera en terrain connu, puisqu’il retrouvera pour l’occasion l’acteur Jared Leto, plus de vingt ans après Requiem for a Dream.
En effet, le producteur Jason Blum a accepté de financer les retrouvailles de l’acteur et du cinéaste. Ils s'allieront de nouveau pour un projet que Jared Leto tente de porter à l’écran depuis dix ans, à savoir un thriller intitulé Adrift. Basé sur une histoire courte éponyme, écrite par Kôji Suzuki, auteur notamment de Ring et Dark Water, portés à l’écran par Hideo Nakata, Adrift se déroule en plein mer. On y suit un bateau de pêche qui découvre un yacht abandonné avec un étrange appel de détresse. Le matelot, probablement joué par Jared Leto, accepte de prendre le contrôle du yacht en solo pour le remorqué au port, et va alors découvrir pourquoi les membres de son équipage le surnomme le « vaisseau fantôme ».
Issu du recueil de nouvelles intitulé Dark Water, Adrift pourrait bien être l’occasion pour le réalisateur Darren Aronofsky d’expérimenter pleinement le genre de l’horreur qui a toujours été à la lisière de son cinéma. C'était notamment le cas dans Mother!, déjà à la limite du huis clos horrifique sur certains aspects. Cela pourrait également permettre à Jared Leto de retrouver un rôle solide, comme ce fut déjà le cas à l’époque de Requiem for a Dream, où l’acteur n’était pas encore en plein cabotinage.
Néanmoins, le scénario d’Adrift, que le cinéaste co-écrira avec Luke Dawson, devra patienter quelque temps avant d’être mis en boîte chez Blumhouse. Avant, Darren Aronofsky devrait rentrer en tournage au mois de mars 2021 pour The Whale, avec Brendan Fraser à l’affiche, qui n’a pas encore de date de sortie annoncée pour le moment.
En attendant, Jared Leto va continuer à cabotiner pour notre plus grand plaisir, dans ce qui ressemble en apparence à un rôle de serial killer pâle, avec le thriller Une affaire de détails, aux côtés de Denzel Washington et Rami Malek. Warner Bros. le sortira en salles et sur HBO Max aux États-Unis, tandis que le film n'a pas de date de sortie fixe en France, la situation étant encore compliquée concernant la réouverture des cinémas. Pour patienter, la bande-annonce est disponible par ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1611927359
Vingt ans après Requiem for a Dream, Darren Aronofsky et Jared Leto vont se retrouver pour un film d'horreur chez le producteur Jason Blum.
Longtemps considéré comme un véritable prodige parmi les réalisateurs américains de sa génération, Darren Aronofsky a connu une période difficile après avoir enchainé de grands films tels que Requiem for a Dream, The Wrestler ou encore Black Swan. En effet, de la réception critique mitigée de son blockbuster biblique Noé à la présentation huée à la Mostra de Venise de son huis clos métaphysique Mother!, dont les métaphores religieuses ont plus que divisé la critique et le public, tout n'a pas été rose.
Depuis 2017, Darren Aronofsky n’est pas revenu sur le devant de la scène, au point qu’on a fini par se demander si l’échec cuisant au box-office de son dernier film sorti en 2017 n’avait pas calmé sa carrière. Question d'autant plus légitime quand on a appris qu'il allait livré une série National Geographic avec Will Smith pour Disney+.
Heureusement, le cinéaste a refait parler de lui avec un nouveau projet pour le moins intrigant, à savoir l’adaptation de la pièce de Samuel D. Hunter, The Whale, produit par A24, avec au casting l’acteur Brendan Fraser, qui pourrait s’offrir un sacré come-back chez le cinéaste, à l’image de Mickey Rourke dans The Wrestler. Et apparemment, ce projet plus qu'alléchant et glauque ne sera pas le seul du cinéaste.
Selon Deadline, le réalisateur de The Fountain a également signé un deal avec la boîte de production Blumhouse, et son producteur Jason Blum, qui semble se spécialiser dans la résurrection de cinéastes en difficulté, après M. Night Shyamalan et le triple succès The Visit, Split et Glass. Un projet sur lequel le réalisateur sera en terrain connu, puisqu’il retrouvera pour l’occasion l’acteur Jared Leto, plus de vingt ans après Requiem for a Dream.
En effet, le producteur Jason Blum a accepté de financer les retrouvailles de l’acteur et du cinéaste. Ils s'allieront de nouveau pour un projet que Jared Leto tente de porter à l’écran depuis dix ans, à savoir un thriller intitulé Adrift. Basé sur une histoire courte éponyme, écrite par Kôji Suzuki, auteur notamment de Ring et Dark Water, portés à l’écran par Hideo Nakata, Adrift se déroule en plein mer. On y suit un bateau de pêche qui découvre un yacht abandonné avec un étrange appel de détresse. Le matelot, probablement joué par Jared Leto, accepte de prendre le contrôle du yacht en solo pour le remorqué au port, et va alors découvrir pourquoi les membres de son équipage le surnomme le « vaisseau fantôme ».
Issu du recueil de nouvelles intitulé Dark Water, Adrift pourrait bien être l’occasion pour le réalisateur Darren Aronofsky d’expérimenter pleinement le genre de l’horreur qui a toujours été à la lisière de son cinéma. C'était notamment le cas dans Mother!, déjà à la limite du huis clos horrifique sur certains aspects. Cela pourrait également permettre à Jared Leto de retrouver un rôle solide, comme ce fut déjà le cas à l’époque de Requiem for a Dream, où l’acteur n’était pas encore en plein cabotinage.
Néanmoins, le scénario d’Adrift, que le cinéaste co-écrira avec Luke Dawson, devra patienter quelque temps avant d’être mis en boîte chez Blumhouse. Avant, Darren Aronofsky devrait rentrer en tournage au mois de mars 2021 pour The Whale, avec Brendan Fraser à l’affiche, qui n’a pas encore de date de sortie annoncée pour le moment.
En attendant, Jared Leto va continuer à cabotiner pour notre plus grand plaisir, dans ce qui ressemble en apparence à un rôle de serial killer pâle, avec le thriller Une affaire de détails, aux côtés de Denzel Washington et Rami Malek. Warner Bros. le sortira en salles et sur HBO Max aux États-Unis, tandis que le film n'a pas de date de sortie fixe en France, la situation étant encore compliquée concernant la réouverture des cinémas. Pour patienter, la bande-annonce est disponible par ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1611927359
Timothée Chalamet et le réalisateur de Call Me by Your Name vont faire un film de cannibale (sans Armie Hammer)
Luca Guadagnino (Call Me by Your Name, Suspiria) devrait collaborer de nouveau avec Timothée Chalamet pour une adaptation du roman Bones & All.
Après le succès de Call Me by Your Name, on a attendu impatiemment une nouvelle collaboration entre le réalisateur Luca Guadagnino et l’acteur Timothée Chalamet. Après tout, l’auteur André Aciman a écrit une suite à son fameux roman adapté, pour lequel Guadagnino aurait immédiatement souhaité lancer un projet de film.
Pourtant, Deadline a révélé que le cinéaste derrière le remake de Suspiria s’est tourné vers un autre livre, intitulé Bones And All. Cette histoire d’amour horrifique de Camille DeAngelis raconte le périple d’une jeune femme dotée d’un “petit” problème d’affection : dès que quelqu’un tient un peu trop à elle, elle ne peut s’empêcher de le manger.
Luca Guadagnino aurait ainsi l’occasion de retrouver Timothée Chalamet pour ce projet littéralement alléchant, tandis que le rôle principal serait confié à Taylor Russell. Repérée par la série Netflix Perdus dans l'espace, la jeune comédienne a surtout été acclamée pour sa performance dans le film Waves de Trey Edward Shults (notre critique ici).
Par ailleurs, Deadline a précisé que le scénario de Bones And All serait signé par David Kajganich, déjà à l’œuvre sur deux autres films de Guadagnino, à savoir A Bigger Splash et Suspiria. Niveau horreur, le monsieur n’en est d’ailleurs pas à son coup d’essai puisqu’il a également signé l’excellente série The Terror.
Si aucune date de tournage n’a été donnée, la production du film pourrait débuter en avril ou mai 2021. Il faut néanmoins souligner la douce ironie de Bones And All, et son concept cannibale suivant de peu le scandale entourant l’acteur Armie Hammer, autre star de Call Me by Your Name accusée pour ses penchants anthropophages (toujours non-confirmés à l’heure actuelle). Suite à la fuite de messages privés sur les réseaux sociaux, le comédien a quitté plusieurs de ses projets, rendant incertaine la mise en chantier de la suite des aventures d’Elio et Oliver.
En attendant, Timothée Chalamet devrait avoir une année 2021 chargée, entre Dune de Denis Villeneuve (daté pour le 29 septembre 2021) et The French Dispatch de Wes Anderson (non daté). L'acteur serait également en phase de casting face à Tom Holland pour incarner un jeune Willy Wonka dans un prequel de Charlie et la chocolaterie, réalisée par Paul King (Paddington).
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1611915822
Luca Guadagnino (Call Me by Your Name, Suspiria) devrait collaborer de nouveau avec Timothée Chalamet pour une adaptation du roman Bones & All.
Après le succès de Call Me by Your Name, on a attendu impatiemment une nouvelle collaboration entre le réalisateur Luca Guadagnino et l’acteur Timothée Chalamet. Après tout, l’auteur André Aciman a écrit une suite à son fameux roman adapté, pour lequel Guadagnino aurait immédiatement souhaité lancer un projet de film.
Pourtant, Deadline a révélé que le cinéaste derrière le remake de Suspiria s’est tourné vers un autre livre, intitulé Bones And All. Cette histoire d’amour horrifique de Camille DeAngelis raconte le périple d’une jeune femme dotée d’un “petit” problème d’affection : dès que quelqu’un tient un peu trop à elle, elle ne peut s’empêcher de le manger.
Luca Guadagnino aurait ainsi l’occasion de retrouver Timothée Chalamet pour ce projet littéralement alléchant, tandis que le rôle principal serait confié à Taylor Russell. Repérée par la série Netflix Perdus dans l'espace, la jeune comédienne a surtout été acclamée pour sa performance dans le film Waves de Trey Edward Shults (notre critique ici).
Par ailleurs, Deadline a précisé que le scénario de Bones And All serait signé par David Kajganich, déjà à l’œuvre sur deux autres films de Guadagnino, à savoir A Bigger Splash et Suspiria. Niveau horreur, le monsieur n’en est d’ailleurs pas à son coup d’essai puisqu’il a également signé l’excellente série The Terror.
Si aucune date de tournage n’a été donnée, la production du film pourrait débuter en avril ou mai 2021. Il faut néanmoins souligner la douce ironie de Bones And All, et son concept cannibale suivant de peu le scandale entourant l’acteur Armie Hammer, autre star de Call Me by Your Name accusée pour ses penchants anthropophages (toujours non-confirmés à l’heure actuelle). Suite à la fuite de messages privés sur les réseaux sociaux, le comédien a quitté plusieurs de ses projets, rendant incertaine la mise en chantier de la suite des aventures d’Elio et Oliver.
En attendant, Timothée Chalamet devrait avoir une année 2021 chargée, entre Dune de Denis Villeneuve (daté pour le 29 septembre 2021) et The French Dispatch de Wes Anderson (non daté). L'acteur serait également en phase de casting face à Tom Holland pour incarner un jeune Willy Wonka dans un prequel de Charlie et la chocolaterie, réalisée par Paul King (Paddington).
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1611915822
Après Sinister, Ethan Hawke retrouve Scott Derrickson pour un film d'horreur de Blumhouse
L'acteur Ethan Hawke va de nouveau collaborer avec Blumhouse et le réalisateur Scott Derrickson pour le film d'horreur The Black Phone.
Après s'être imposé dans le cinéma d'horreur moderne avec L'Exorcisme d'Emily Rose, Délivre-nous du mal et surtout l'excellent Sinister, il était assez curieux de voir Scott Derrickson passer par l'écurie Marvel pour le beaucoup plus classique Doctor Strange. Mais quand Kevin Feige a annoncé que Doctor Strange in the Multiverse of Madness aurait des accents horrifiques, on était emballé, puis finalement assez déçu que le réalisateur plie bagages et claque la porte du studio pour les habituels différends créatifs. Heureusement, Sam Raimi a été attaché au projet et a décuplé l'attention qu'on portait jusqu'ici au film.
De son côté, Derrickson n'a pas tardé à revenir aux origines de son art en replongeant tête la première dans l'horreur avec The Black Phone annoncé en octobre dernier. Le film sera aini l'adaptation d'une nouvelle de Joe Hill, qui a fait parlé de lui ces deux dernières années avec les adaptations de Netflix Dans les hautes herbes et Locke & Key tirées de ses oeuvres. Il sera co-écrit par le cinéaste et le scénariste C. Robert Cargill avec qui il avait déjà travaillé pour Doctor Strange et les deux Sinister.
En se basant sur la nouvelle de l'écrivain, le film devrait suivre un enfant, John Finney, kidnappé et enfermé dans un sous-sol où gisent les cadavres de plusieurs autres victimes. Dans cette pièce se trouve un vieux téléphone sans tonalité qui sonne pourtant la nuit à cause "des appels des morts". Une ambiance tout à fait charmante à laquelle se joindra, d'après Deadline, l'acteur Ethan Hawke qui devrait jouer le ravisseur après été casté pour joué le grand méchant de la série Marvel Moon Knight.
Ce dernier est d'ailleurs habitué à collaborer avec le producteur Jason Blum après son premier rôle dans Sinister, mais aussi la série The Good Lord Bird ou le film American Nightmare. Il rejoint ainsi le jeune Mason Thames, qui devrait camper le garçon séquestré, ainsi que Jeremy Davis qui incarnera probablement son père et Madeleine McGraw sa soeur. La production devrait officiellement commencer le mois prochain en Caroline du Nord, mais aucune date de sortie n'a encore été annoncée. En attendant d'en savoir plus, on parle du studio Blumhouse dans le dossier juste ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... M2qIfm-f1Q
L'acteur Ethan Hawke va de nouveau collaborer avec Blumhouse et le réalisateur Scott Derrickson pour le film d'horreur The Black Phone.
Après s'être imposé dans le cinéma d'horreur moderne avec L'Exorcisme d'Emily Rose, Délivre-nous du mal et surtout l'excellent Sinister, il était assez curieux de voir Scott Derrickson passer par l'écurie Marvel pour le beaucoup plus classique Doctor Strange. Mais quand Kevin Feige a annoncé que Doctor Strange in the Multiverse of Madness aurait des accents horrifiques, on était emballé, puis finalement assez déçu que le réalisateur plie bagages et claque la porte du studio pour les habituels différends créatifs. Heureusement, Sam Raimi a été attaché au projet et a décuplé l'attention qu'on portait jusqu'ici au film.
De son côté, Derrickson n'a pas tardé à revenir aux origines de son art en replongeant tête la première dans l'horreur avec The Black Phone annoncé en octobre dernier. Le film sera aini l'adaptation d'une nouvelle de Joe Hill, qui a fait parlé de lui ces deux dernières années avec les adaptations de Netflix Dans les hautes herbes et Locke & Key tirées de ses oeuvres. Il sera co-écrit par le cinéaste et le scénariste C. Robert Cargill avec qui il avait déjà travaillé pour Doctor Strange et les deux Sinister.
En se basant sur la nouvelle de l'écrivain, le film devrait suivre un enfant, John Finney, kidnappé et enfermé dans un sous-sol où gisent les cadavres de plusieurs autres victimes. Dans cette pièce se trouve un vieux téléphone sans tonalité qui sonne pourtant la nuit à cause "des appels des morts". Une ambiance tout à fait charmante à laquelle se joindra, d'après Deadline, l'acteur Ethan Hawke qui devrait jouer le ravisseur après été casté pour joué le grand méchant de la série Marvel Moon Knight.
Ce dernier est d'ailleurs habitué à collaborer avec le producteur Jason Blum après son premier rôle dans Sinister, mais aussi la série The Good Lord Bird ou le film American Nightmare. Il rejoint ainsi le jeune Mason Thames, qui devrait camper le garçon séquestré, ainsi que Jeremy Davis qui incarnera probablement son père et Madeleine McGraw sa soeur. La production devrait officiellement commencer le mois prochain en Caroline du Nord, mais aucune date de sortie n'a encore été annoncée. En attendant d'en savoir plus, on parle du studio Blumhouse dans le dossier juste ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... M2qIfm-f1Q
Alien, Kingsman, La Mouche, Deadpool... Disney+ France dévoile les films et séries qui arrivent sur Star
Orientée pour un plus large public, la section Star va enfin permettre à Disney+ de piocher abondamment dans le catalogue de la Fox, mais pas que.
À son lancement en novembre 2019 aux États-Unis (et avril 2020 en France), Disney+ a assumé de ne mettre en avant que les oeuvres family-friendly de son immense conglomérat. Néanmoins, le contenu assez pauvre de la plateforme a toujours laissé penser que la firme aux grandes oreilles a vu plus loin pour son avenir. Et cet avenir s’appelle Star.
Annoncé lors du Investor Day de décembre 2020, Star est une section à part entière de Disney+, qui sera ajoutée à partir du 23 février 2021. Visant un public plus large, elle sera alimentée par les films et séries “matures” provenant de Disney Television Studios, de 20th Century Studios, 20th Television ou encore FX. La section pourra donc être restreinte par un contrôle parental pour ceux qui le souhaitent.
En tout cas, Disney a enfin dévoilé le catalogue disponible au lancement de Star, et il s’est révélé pour le moins alléchant. Côté séries, des classiques comme 24 heures chrono, Alias, Buffy contre les vampires ou encore Desperate Housewives seront présents dans leur intégralité. À noter que Disney possède également la plateforme Hulu, dont les droits de certaines séries sont dispersés à l’international (The Handmaid’s Tale par exemple). Néanmoins, Star devrait permettre de centraliser un peu plus quelques créations exclusives, comme Love, Victor ou la série super-héroïque Helstrom.
Pour les films, Star va regrouper un nombre conséquent de propositions assez diverses, allant de l’horreur (La Colline a des yeux, 28 jours plus tard) à la comédie romantique (Pretty Woman, Moulin Rouge).
Mais surtout, cette nouvelle section va enfin permettre à Disney+ de centraliser certaines grosses franchises du catalogue Fox, d’Alien à Predator en passant par Kingsman, Die Hard 4, Deadpool et La Planète des Singes (originaux et reboots). Il est d’ailleurs bon de rappeler que ces longs-métrages ont pu se retrouver sur d’autres plateformes de streaming (notamment Amazon Prime Video), qui ont visiblement anticipé l’arrivée de la multinationale sur ce terrain.
On sera également ravis de voir (une partie) des œuvres produites par Touchstone, une filiale de Disney déjà orientée pour les adultes, et jusque-là quasi-inexistante sur son service de SVoD. On aura ainsi l’occasion de se replonger avec bonheur dans des films cultes comme Le Cercle des poètes disparus ou Good Morning Vietnam.
Mais ce n’est pas tout, puisque Touchstone a épaulé un bon paquet de réalisateurs reconnus, de Tony Scott (Ennemi d'état, USS Alabama) à M. Night Shyamalan (Le Village) en passant par Michael Bay (Rock, Pearl Harbor). On se demande juste où sont passés Sixième Sens, Incassable et Armageddon...
Puisqu’on n'a pas pu tout passer en revue, on a malgré tout tenu à mettre en avant les immanquables de ce catalogue, ainsi que ses curiosités. Par exemple, Star va mettre à l’honneur le réalisateur Wes Anderson avec trois de ses films incontournables (À bord du Darjeeling Limited, La Famille Tenenbaum et The Grand Budapest Hotel). Côté classiques du septième art, on ne peut que saluer la présence de La Mouche de David Cronenberg, Starship Troopers de Paul Verhoeven, French Connection de William Friedkin ou encore La Ligne rouge de Terrence Malick.
Et pour de bonnes séances décalées, difficile de passer à côté du cultissime Rocky Horror Picture Show, mais surtout de Zardoz, film de science-fiction déviant de John Boorman, porté par l’incroyable pilosité (et le slip rouge) de Sean Connery. Enfin, il y aura évidemment quelques exclusivités (ou quasi) avec l'arrivée sur la plateforme de Lucy in the Sky sorti en VOD en décembre dernier en France ou le remake de Snow Therapy, Downhill, avec Will Ferrell et Julia Louis-Dreyfus.
Un lancement qui servira, en plus d'agrémenter le catalogue Disney+, de tremplin pour les prochaines séries Hulu/FX de la plateforme à l'image de Nine Perfect Strangers, Dopesick, Y : The Last Man, Shōgun, Reservation Dogs et plus tard la série Alien de Noah Hawley. Sans compter les longs-métrages Fox qui, à l'avenir, finiront leur course sur la plateforme laissant un peu moins de marge de manoeuvre à la concurrence. Dans les prochaines années, devrait donc s'ajouter The Last Duel de Ridley Scott, The King’s Man : Première Mission, West Side Story de Steven Spielberg, Deep Water de Adrian Lyne et une ribambelle d'autres.
Pour rappel, le tarif de Disney+ va augmenter avec l’arrivée de Star. Au lieu des 6,99 euros mensuels et des 69,99 euros annuels, la plateforme va passer à 8,99 euros et à 89,99 euros. À noter que si votre abonnement est déjà en cours, ce nouveau prix ne prendra effet que six mois après le lancement de la section. La liste complète est disponible ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1611840250
Orientée pour un plus large public, la section Star va enfin permettre à Disney+ de piocher abondamment dans le catalogue de la Fox, mais pas que.
À son lancement en novembre 2019 aux États-Unis (et avril 2020 en France), Disney+ a assumé de ne mettre en avant que les oeuvres family-friendly de son immense conglomérat. Néanmoins, le contenu assez pauvre de la plateforme a toujours laissé penser que la firme aux grandes oreilles a vu plus loin pour son avenir. Et cet avenir s’appelle Star.
Annoncé lors du Investor Day de décembre 2020, Star est une section à part entière de Disney+, qui sera ajoutée à partir du 23 février 2021. Visant un public plus large, elle sera alimentée par les films et séries “matures” provenant de Disney Television Studios, de 20th Century Studios, 20th Television ou encore FX. La section pourra donc être restreinte par un contrôle parental pour ceux qui le souhaitent.
En tout cas, Disney a enfin dévoilé le catalogue disponible au lancement de Star, et il s’est révélé pour le moins alléchant. Côté séries, des classiques comme 24 heures chrono, Alias, Buffy contre les vampires ou encore Desperate Housewives seront présents dans leur intégralité. À noter que Disney possède également la plateforme Hulu, dont les droits de certaines séries sont dispersés à l’international (The Handmaid’s Tale par exemple). Néanmoins, Star devrait permettre de centraliser un peu plus quelques créations exclusives, comme Love, Victor ou la série super-héroïque Helstrom.
Pour les films, Star va regrouper un nombre conséquent de propositions assez diverses, allant de l’horreur (La Colline a des yeux, 28 jours plus tard) à la comédie romantique (Pretty Woman, Moulin Rouge).
Mais surtout, cette nouvelle section va enfin permettre à Disney+ de centraliser certaines grosses franchises du catalogue Fox, d’Alien à Predator en passant par Kingsman, Die Hard 4, Deadpool et La Planète des Singes (originaux et reboots). Il est d’ailleurs bon de rappeler que ces longs-métrages ont pu se retrouver sur d’autres plateformes de streaming (notamment Amazon Prime Video), qui ont visiblement anticipé l’arrivée de la multinationale sur ce terrain.
On sera également ravis de voir (une partie) des œuvres produites par Touchstone, une filiale de Disney déjà orientée pour les adultes, et jusque-là quasi-inexistante sur son service de SVoD. On aura ainsi l’occasion de se replonger avec bonheur dans des films cultes comme Le Cercle des poètes disparus ou Good Morning Vietnam.
Mais ce n’est pas tout, puisque Touchstone a épaulé un bon paquet de réalisateurs reconnus, de Tony Scott (Ennemi d'état, USS Alabama) à M. Night Shyamalan (Le Village) en passant par Michael Bay (Rock, Pearl Harbor). On se demande juste où sont passés Sixième Sens, Incassable et Armageddon...
Puisqu’on n'a pas pu tout passer en revue, on a malgré tout tenu à mettre en avant les immanquables de ce catalogue, ainsi que ses curiosités. Par exemple, Star va mettre à l’honneur le réalisateur Wes Anderson avec trois de ses films incontournables (À bord du Darjeeling Limited, La Famille Tenenbaum et The Grand Budapest Hotel). Côté classiques du septième art, on ne peut que saluer la présence de La Mouche de David Cronenberg, Starship Troopers de Paul Verhoeven, French Connection de William Friedkin ou encore La Ligne rouge de Terrence Malick.
Et pour de bonnes séances décalées, difficile de passer à côté du cultissime Rocky Horror Picture Show, mais surtout de Zardoz, film de science-fiction déviant de John Boorman, porté par l’incroyable pilosité (et le slip rouge) de Sean Connery. Enfin, il y aura évidemment quelques exclusivités (ou quasi) avec l'arrivée sur la plateforme de Lucy in the Sky sorti en VOD en décembre dernier en France ou le remake de Snow Therapy, Downhill, avec Will Ferrell et Julia Louis-Dreyfus.
Un lancement qui servira, en plus d'agrémenter le catalogue Disney+, de tremplin pour les prochaines séries Hulu/FX de la plateforme à l'image de Nine Perfect Strangers, Dopesick, Y : The Last Man, Shōgun, Reservation Dogs et plus tard la série Alien de Noah Hawley. Sans compter les longs-métrages Fox qui, à l'avenir, finiront leur course sur la plateforme laissant un peu moins de marge de manoeuvre à la concurrence. Dans les prochaines années, devrait donc s'ajouter The Last Duel de Ridley Scott, The King’s Man : Première Mission, West Side Story de Steven Spielberg, Deep Water de Adrian Lyne et une ribambelle d'autres.
Pour rappel, le tarif de Disney+ va augmenter avec l’arrivée de Star. Au lieu des 6,99 euros mensuels et des 69,99 euros annuels, la plateforme va passer à 8,99 euros et à 89,99 euros. À noter que si votre abonnement est déjà en cours, ce nouveau prix ne prendra effet que six mois après le lancement de la section. La liste complète est disponible ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1611840250
3 annonces bien sympas
-
ClintReborn
- Messages : 4049
- Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
- Localisation : Avalon
C'est beau comme visuel
petit retour nostalgique car cette façon de se mettre en scène entre ombre est lumière est très western chez Eastwood
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
@robinne en DVD, même si ça me déplairait pas de l'avoir en BR.
Belle surprise, ce Finding 'Ohana possède un capital sympathie indéniable. Peut-être que le film en fait un peu des tonnes sur la fin mais dans l'ensemble c'est beau, drôle et dépaysant avec en prime une petite pointe d'émotions et quelques chouettes références. Les acteurs sont excellents et nous font passer un très bon moment.
Ah la belle époque. J'avais même consacré un bloc au film sur mon profil, quand on pouvait le personnaliser, enfin ça remonte tout ça...