Le Cercle des profileurs disparus

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Après Old, M. Night Shyamalan dévoile le titre et la date de sortie de son mystérieux prochain film

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Après Old, le prochain film du réalisateur M. Night Shyamalan a dévoilé son titre et sa date de sortie.

Suite au succès retentissant de Sixième Sens en 1999, le public pensait avoir découvert un nouveau petit prodige du 7e art, M. Night Shyamalan, ce que ses films suivants, Incassable, Signe et Le Village, ont un peu plus confirmé. Mais dès le milieu des années 2000, le cinéaste s'est pris les pieds dans le tapis et a enchaîné les gamelles avec La jeune fille de l'eau, Phénomènes, Le Dernier Maître de l'air et After Earth, jusqu'à sa résurgence en 2015, avec The Visit, Split et Glass.

M. Night Shyamalan a donc prouvé plusieurs fois qu'il était capable du meilleur, comme du pire, et après le récent et décevant Old, il semblerait que le réalisateur renoue avec ses mauvais jours, n'augurant rien de bien rassurant pour le prochain long-métrage qu'il est déjà en train de préparer.

Le réalisateur avait déjà teasé ce prochain film, avec la photo d'un scénario non titré d'une centaine de pages, mais sans en dévoiler la teneur. Plus récemment, le studio a donc annoncé une nouvelle date de sortie en février, mais surtout dévoilé un titre officiel aussi limpide que mystérieux : Knock at the Cabin.

Shyamalan a d'ailleurs relayé l'annonce sur son compte Instagram. Et si on en croit l'atmosphère pesante de cette courte vidéo, il pourrait bien s'agir d'un nouveau thriller horrifique, l'histoire se déroulant vraisemblablement dans une cabine, peut-être celle d'un bateau. On imagine aussi assez facilement que la personne ou la chose qui toque à la porte n'est pas forcément bien intentionnée. Espérons que le film le soit un peu plus à l'égard de son public.

Concernant la nouvelle date de sortie, le 3 février 2023, et non plus le 17 février 2023 comme annoncé précédemment, on imagine qu'il s'agit d'un moyen pour le studio d'éviter le blockbuster Ant-Man and the Wasp : Quantumania de Marvel, programmé le même jour. À la place, Knock at the Cabin devrait débarquer en salles deux semaines après l'introduction de Kraven le chasseur chez Sony Pictures. Universal mise donc sur une nouvelle sortie en février, qui avait porté ses fruits avec Get Out en 2017 et Invisible Man l'année dernière. Pour l'instant, aucun casting n'a été annoncé, ni aucune date de début de production.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1634191736
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Le nouveau Bruce Willis transpire encore le chef d’œuvre :D
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Box-office français du 12 octobre : Mourir peut attendre est déjà millionnaire

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Et plus fort que Shang-Chi, le dernier Marvel. (Source : Le Film Français)

Après son très bon démarrage de mercredi dernier, Mourir peut attendre confirme la popularité de James Bond en France : l'ultime volet porté par Daniel Craig a déjà attiré 1 384 858 curieux dans 812 salles obscures, avant-premières comprises, ce qui lui permet évidemment de démarrer en tête du classement hebdomadaire, mais aussi de doubler le dernier Marvel, Shang-Chi et la légende des Dix Anneaux, qui est actuellement cinquième du top et cumule 1 304 434 billets vendus dans l'Hexagone.

Entre les deux, Dune, Boîte noire et Bac Nord se maintiennent dans le top 5, ajoutant respectivement 275 234, 100 553 et 89 864 entrées à leur palmarès. Le film de SF de Denis Villeneuve frôle ainsi les 2,5 millions de spectateurs en un mois (il est aussi le plus largement distribué du moment) et le thriller avec Pierre Niney, le million en cinq semaines (encore 30 000 petits billets pour y parvenir). Quant au polar porté par Gilles Lellouche, il a passé les 2 millions d'entrées en deux mois.

Viennent ensuite les continuations Pourris gâtés, Eugénie Grandet, Tous s'est bien passé et Stillwater, qui gagnent autour de 50 000 contremarques de plus, puis la nouveauté Tralala, des frères Larrieu, boucle le classement avec 45 065 tickets écoulés dans 248 cinémas.

Box-office hebdomadaire français du 6 au 12 octobre 2021 :


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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 4QQNetKeXY
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Pale a écrit :
jeu. 14 oct. 2021 15:03
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Le nouveau Bruce Willis transpire encore le chef d’œuvre :D
C'est une blague cette affiche ? Ils ont mis tellement de filtres sur les têtes :lol: J'ai la nette impression qu'ils ont voulu faire une approche chevaliers Jedi avec la couleur laser c'est pas simple à vendre :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Comment faire passer Showgirls et Boogie Nights pour de vulgaires films familiaux !

Avec Pleasure, Ninja Thyberg signe un premier film choc et coup-de-poing pour public averti. Une plongée sans aucune censure dans l'industrie du X, qui flirte avec le docu-fiction.


Le postulat est très simple : on suit Bella Cherry/Linnéa, jeune suédoise de 21 ans qui débarque à LA pour percer dans le porno. S'ensuivra donc une ascension dans ce milieu, où cette dernière va en découvrir les coulisses (tout comme le spectateur) au fur et à mesure où Bella va performer des scènes de plus en plus extrêmes.


Et bien sûr, rien nous est épargné dans un film qui dénonce le male gaze qui gangrène le milieu, en nous plaçant devant chaque séquence qui n'est jamais érotisée.

La mise en scène est maitrisée (quelques effets de décalage bien sentis entre , sans être dans le naturalisme documentaire ou la sur-esthétisation qui mettrait une distance avec son aspect réaliste.

Toujours en prenant le point de vue sa protagoniste, le film n'y va pas avec le dos de la cuillère (séquences d'humiliation, de bondage et autre triolisme pas très Charlie), et est par ailleurs constitué quasi intégralement d'un casting de vrais hardeurs pour plus d'authenticité.

Heureusement, Pleasure n'hésite pas à verser dans le rire jaune, via l'absurdité de ce à quoi on assiste sans aucune fioriture.


Mais surtout, le film est porté par une superbe performance physique de Sofia Kappel, dont il s'agit du tout premier rôle.

Concernant les limites du film, on pourra néanmoins pointer une intrigue finalement assez classique qui ne dévie jamais réellement de sa feuille de route, au profit de son exploration du milieu. On aurait aimé un parcours et une étude de personnage plus poussée qui s'ouvre un peu plus (comme le Showgirls de Verhoeven), bien qu'en filigrane on peut y déceler un métrage qui aborde notre société et ses structures (sans toutefois s'écarter de son sujet premier). La fin se veut également assez abrupte, mais on tient là un film pertinent, frontal et quine laissera personne indifférent


7/10
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Une suite pas terrible du tout,expédiée à la va-vite avec un Michael Myers encore plus surhumain qu'à l'accoutumée (alors qu'avant son aura mystérieuse et fantomatique rendait le tout crédible), une Laurie Strode qui vocifère mais n'a rien à jouer (elle passe tout le film dans sa chambre d'hosto c'est abusé) et des persos secondaires (gros focus du film) tous plus attardés les uns que les autres.

Il y a une volonté plutot bienvenue de montrer le trauma des habitants vis-à-vis de Myers, et de dépeindre un mouvement d'union proactif contre cette menace, mais le tout est fait de manière superficielle au possible


Pire, la tension est réduite au strict minimum, et il faut attendre le climax pour revenir à quelque chose d'un poil plus tenu plutot que du meurtre gore et gonzo sans réel poids ni frisson.


Bref.. un ptit loupé qui passe avec un combo pizza-bières néanmoins, et qui dispose heureusement d'une durée peu importante, et de meurtres violents et réguliers pour tenir éveillé.


2/5
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Halloween est diffusé par Peacock donc disponible dans toutes les bonnes crèmeries, j'veux même pas le voir
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Je m'y attendais pas mais ce trailer m'a donné des frissons.
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Pale a écrit :
ven. 15 oct. 2021 18:07
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Comme le laissait présager la bande-annonce, l'histoire d'amour parasite l'histoire de la création du célèbre monument. Celui-ci aurait mérité mieux. Il aurait été préférable de se concentrer sur l'énorme défi logistique que représentait l'édifice et tous les problèmes qui en ont certainement découlé. Tout cela est à peine esquissé dans le film au profil d'une bluette qui nuit aussi au génie du personnage. Je suis également dubitatif concernant le choix de l'actrice. Le film jongle entre passé et présent et dans la partie relatant les retrouvailles entre Romain Duris et Emma Mackey, celle-ci est censée avoir dans la quarantaine. On y croit moyen malgré le talent de l'actrice. Eva Green aurait été un choix plus judicieux et crédible. Il y a bien évidemment de jolis plans mais au final j'ai moyennement apprécié.
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Je lis l'avis du Figaro et je suis on ne peut plus d'accord : "Eiffel, c’est un peu Titanic sans le Titanic. Une love story sans véritable drame ni enjeu ni James Cameron."
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EL a aimé Halloween Kills (3,5 étoiles) :

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Avec Halloween 2018, David Gordon Green proposait une relecture soignée de John Carpenter. Dans Halloween Kills, il exécute un saut périlleux à la viande. En effet, pour profiter de ce menu fort peu vegan, il convient de prendre son titre au pied de la lettre.

HALLO WIN


Il est désormais établi et bien connu Michael Myers est une figure du mal absolu, d'une horreur irréfragable, qui n'a pas à s'inquiéter des assauts de ceux qui l'affrontent pour survivre et bâtir sa cathédrale meurtrière. Mais jusqu'à aujourd'hui, le film original était finalement le seul à proposer une réflexion passant par la matière même de sa mise en scène. Le reste de la saga à l'évidente exception des deux opus signés Rob Zombie se sera contenté de capitaliser sur le personnage. David Gordon Green se propose de reprendre cette équation pour mieux jouer avec.

Le tueur a toujours été ce prédateur unique, déchirant les chairs de son couteau. Dans Halloween Kills, si Michael Myers demeure le premier agent de la grande Faucheuse, il faut bien entendre que c'est désormais Halloween qui tue. Soit une célébration, une communion, un élément charnière du collectif américain, qui se voit tout à fait contaminé par le bouillonnement meurtrier d'un héros négatif mû par un pur désir de mort. L'ange exterminateur va donc, dès l'ouverture du récit, en forme de splendide flashback, s'amuser à retourner comme un gant plusieurs fondamentaux du slasher.

Progressivement, et comme l'annonçait l'un des derniers plans du précédent chapitre, ce sont les victimes d'hier, les survivants, qui vont se muer, consciemment ou non, en bourreaux. Or, le réalisateur du Prince du Texas sait capter, par un subtil jeu de tension entre découpage et montage, les déraillements de l'American Way of Life. Et sentir inexorablement les rescapés des massacres de Myers être gagnés par la rage, une rage absurde et inextinguible, est aussi inédit au sein de la saga que puissant thématiquement. Myers s'est tout à fait dissous dans sa petite cité, et dans le coeur de ses habitants.

VIVE LA VIANDE

Là où le métrage se paie le luxe d'être franchement imprévisible, c'est qu'en dépit de ce penchant théorique indiscutable, il se paie le luxe de la marier avec une résurrection miraculeuse de l'esprit crado-mongolo de tout un pan du cinéma des années 80. On se souvient en effet que, dans le sillage de Stranger Things, quantité de productions aux petits pieds tentèrent de convaincre le public qu'il suffisait de trois néons et de mauvais remix pour donner corps à la légèreté de cette décennie devenue hameçon à nostalgie. En réalité, l'esprit des productions de l'époque tient bien plus dans leur goût pour l'outrance, la démesure, l'immédiate satisfaction du spectateur, leur absence de sur-moi provoquant des bisseries jubilatoires.

Et c'est précisément ce avec quoi renoue Halloween Kills, qui multiplie les mises à mort à base de latex, les mutilations supra-gores et gaguesques, un plaisir vertigineux dans la mise en place de séances d'équarrissage dont la cruauté n'a d'égal que la profusion de trouvailles salissantes. Gordon Green prend un plaisir contagieux à mettre en place ces morceaux de découpes sauvages, les orchestrant comme autant de mini-courts-métrages, de déviations sur des figures identifiées du genre, d'expérimentations à la brutalité ou à la perversion saisissantes. On tient tout simplement là quelques-uns des meurtres les plus créatifs et revigorants éparpillés à l'écran depuis l'apparition du monstrueux personnage.

Jonglant toujours divinement entre suspense, plaisir, frissons, exagérations radicales, Green est probablement l'artisan le plus extravagant de la franchise. Renouant avec la grâce funambule des bisseries d'hier, il livre un authentique film d'exploitation, qui prend tous les risques. Soit une démarche proche de Malignant, quand bien même les ingrédients s'avèrent ici beaucoup mieux dosés que chez Wan. Moins kamikaze, plus maître de ses effets et généreux, l'auteur se débat à chaque scène pour embrasser le total héritage de la saga, se reconnecter à sa dimension la plus surréaliste et généreuse.

STEAK TER-TER

Malheureusement, cette attitude d'acrobate psychotique ne va pas sans quelques incompatibilités et fausses notes. Le désir de représenter une communauté ivre de sauvagerie et prête à tous les sacrilèges pour affronter sa peur - quand elle se contente d'assumer sa barbarie - a beau être passionnant, cette note d'intention n'est jamais miscible avec la verve B du reste du film. Difficile de passer sans accroc d'un jeu de démembrements chez deux vieillards, puis à quelques arrachages de boyaux et autres réjouissances, quand elles s'intercalent avec des respirations en forme de pensum vaguement sociétal.

De même, l'idée de donner corps aux seconds couteaux de jadis était plaisante, et le premier tiers du film laisse à croire que la démarche sera accomplie avec une certaine grâce. Mais le résultat est tantôt anecdotique, tantôt bourrin, et on ne sait finalement pas bien si Halloween Kills cède ici aux sirènes du fan service, ou s'égare un peu en nous proposant des exécutions de vieilles têtes passées par la franchise, le tout dans un festival gorasse plutôt fendard, mais qui tourne à vide.

À vouloir être tous les films d'horreur en un, du festival de l'éventration à l'exploration méta d'une icône, cette chanson de gestes (brutaux) est condamnée à laisser quelques plumes ici et là, à se prendre les pieds dans son tapis de tripes. Mais pour ces quelques chutes, on ne compte plus les éjaculats vermillons qui illuminent un écran qui n'en demandait pas tant.

Généreux jusqu'à l'excès, ultra-violent jusqu'à l'orgasme régressif, Halloween Kills est une authentique bisserie, une ode au régime carné. Le film paie ses glorieuses outrances de plusieurs faux-pas et fausses notes, mais elles valent bien le plaisir déviant et régressif qui nous est offert sur un plateau fumant.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1634319265

Un avis plus mitigé (2,5 étoiles) :

"Halloween Kills est un sacré carnage aux mises à mort sanglantes, graphiques et parfois très amusantes. Dommage qu'il soit aussi un gros épisode de transition paresseux et complètement idiot, avec un maximum de fan-service et une Laurie Strode quasi-absente."
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Tant que y'a du charclage dans les règles je prends :D
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J'apprécie Pialat mais je n'ai pas trop accroché à Sous le soleil de Satan. On dirait un film d'un autre temps dans lequel tout le monde tire une tronche de consternation et où les personnages débitent leurs dialogues en mode automatique. Seul Sandrine Bonnaire tire son épingle du jeu et apporte un tantinet de fougue à l'ensemble.
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Déjà à la base sous le soleil de Satan a soulevé une polémique à sa sortie : grosse merde ou non ? je réserve ma réponse mais....
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BOX OFFICE STORY a écrit :
sam. 16 oct. 2021 13:52
Déjà à la base sous le soleil de Satan a soulevé une polémique à sa sortie : grosse merde ou non ? je réserve ma réponse mais....
Je penche vers la première solution :D
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Très sympa. Pas prise de tête, fun, parfois drôle, violent. Bob Odenkirk fait le taf. J'ai passé un bon moment.

7/10
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NaughtyDog a écrit :
sam. 16 oct. 2021 22:42


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Je suis hypé de fou avec ce trailer. Malade. :love:
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Le trailer en 4K (ça vaut le coup de le voir en 4k je pense) : https://vimeo.com/633805668
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Construire pour mieux déconstruire, c'est ce qu'effectue Ridley Scott avec son nouveau film. Le Dernier Duel est un drame époustouflant, aussi intime que épique. Et puis je salue le véritable tour du force du film qui est de nous présenter Matt Damon et Adam Driver pendant 1h30 pour au final comprendre que ce sont deux gros connards :D

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Une dinguerie à découvrir sur Netflix. The Trip est un mélange de thriller et de comédie noire. La grande force du film c'est la capacité du réalisateur à étendre au maximum ses scènes, aussi bien anodines que tendues, tout en y injectant de l'authenticité. Ça rend le film extrêmement savoureux et jouissif.

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J'avais kiffé le premier (si si) mais là c'est juste pas possible, moi même je suis obligé d'admettre que ce Venom 2 est un étron cosmique. J'ai rarement ressenti un tel sentiment de gêne dans une salle de ciné :D
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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Peut-être :

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Sur Netflix :

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@Wickaël The Trip est un film que je te conseille à 100% :D

Ça charcle bien :D
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Sinon sans surprise aucune, le trailer de The Batman a de la gueule.
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Pale a écrit :
dim. 17 oct. 2021 21:30
@Wickaël The Trip est un film que je te conseille à 100% :D

Ça charcle bien :D
Il est sur ma liste d'envies mais pas dispo sur Netflix en France...
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Wickaël a écrit :
dim. 17 oct. 2021 21:57
Pale a écrit :
dim. 17 oct. 2021 21:30
@Wickaël The Trip est un film que je te conseille à 100% :D

Ça charcle bien :D
Il est sur ma liste d'envies mais pas dispo sur Netflix en France...
C'est pour cela que depuis des années il y a masse pub sur les VPN pour fausser la localisation sur Netflix :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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"Le record du nombre d’utilisateurs en ligne est de 540, le lun. 18 oct. 2021 02:08"

Ca y va les bots russes en ce moment. ^^
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weird

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lun. 18 oct. 2021 15:29
"Le record du nombre d’utilisateurs en ligne est de 540, le lun. 18 oct. 2021 02:08"

Ca y va les bots russes en ce moment. ^^
Ils étaient en ligne et ils n'ont rien posté ? :??:
Ils font quoi du coup ?
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Ils posteraient s'ils le pouvaient.
Ca fait quelques temps que je valide moi-même les inscriptions (des vraies il n'y en a pas tant que ça :saint: ) pour éviter l'invasion. :D
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Indiana Jones 5 : Disney repousse les nouvelles aventures de près d'un an

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Disney repousse la sortie d'Indiana Jones 5 d'un an alors que son agenda a été complètement repensé.

Décidément, la consommation de pangolin est pleine de répercussions inattendues. Alors que la pandémie de Covid-19 avait saccagé les agendas des studios, remettant en cause jusqu'au modèle d'exploitation et de diffusion des productions avec un plébiscite toujours plus appuyé des plateformes de streaming légal, la crise sanitaire n'a visiblement pas fini de semer les graines de la discorde avec des conséquences directes et indirectes.

D'abord prévu pour le 19 juillet 2019 aux États-Unis, repoussé au 10 juillet 2020, puis au 9 juillet 2021, Indiana Jones 5 avait vu sa date de sortie calée au 9 juillet 2022. Depuis, les rumeurs sur l'histoire du film allaient bon train, alors que le tournage suivait son cours avec Harrison Ford et ce, malgré ses blessures. Mais une nouvelle fois, le film a été repoussé par Disney : du 9 juillet 2022, il passe donc au 30 juin 2023.

Le studio a justifié ainsi ce report par la concurrence de Black Adam supposé sortir à la même date ainsi que la nécessité de repenser son agenda, avec un certain nombre de projets en développement allant du processus d'écriture au film déjà en post-production.

Désormais devenu un colosse trans-médias détenteur d'une bonne partie de la pop culture actuelle, Disney cherche sans doute à rééquilibrer ses plans et à harmoniser son parterre de sorties afin de garder une cohérence et une continuité entre de nombreuses franchises. Ajouter à ça les séries télé, et vous imaginez bien l'enfer du planning de la firme qui doit s'étaler sur autant de générations que la Fondation de la série éponyme sur Apple TV+.


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Enregistré le : jeu. 8 oct. 2020 22:39

Marvel repousse Doctor Strange 2, Black Panther 2 et (presque) tous les films du MCU

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Marvel Studios a décalé les dates de sortie de tous ses films à venir de la Phase 4, comprenant Doctor Strange, Thor et Black Panther.

2020 ayant été marquée par le gros de la pandémie de Covid-19, Marvel Studios ne s'était pas risqué à distribuer le moindre de ses Avengers durant les maigres fenêtres d'ouverture de l'année. La relance s'était tranquillement faite en 2021 en streaming sur Disney+, par le biais des séries WandaVision, Falcon et le Soldat de l'Hiver et Loki.

Même Black Widow a eu le droit à sa sortie simultanée en salles et sur Disney+ (provoquant par la suite son tollé judiciaire entre Disney et Scarlett Johansson). Mais malgré ces désagréments, Shang-Chi et la légende des Dix Anneaux a prouvé par son box-office explosif que le plus dur était derrière le studio, et que la machine allait pouvoir se relancer à vive allure... ou pas. Marvel a annoncé, à la surprise générale, que plusieurs de ses films étaient repoussés.

Que les fans soient légèrement rassurés, ces nombreux reports ne concernent pas les films de 2021. Ainsi Les Eternels et Spider-Man : No Way Home sortiront bien en salles le 3 novembre et le 15 décembre 2021 respectivement.

En revanche, Variety a donc relayé l'étendue des dégâts. Parmi les victimes, on compte Doctor Strange in the Multiverse of Madness qui, par une potentielle fuite de son intrigue et de son méchant, avait de quoi interloquer. Le film, initialement prévu pour le 25 mars 2022 aux États-Unis, a été repoussé au 6 mai 2022.

Thor : Love and Thunder, quatrième aventure du Dieu du Tonnerre (qui s'annonçait un peu comme un Avengers 5 avant l'heure), est passé du 6 mai 2022 au 8 juillet 2022. Black Panther : Wakanda Forever, qui a déjà été bien compliqué à mettre en œuvre depuis la mort de Chadwick Boseman, est passé du 8 juillet 2022 au 11 novembre 2022.

Parmi les projets plus lointains, The Marvels passe lui du 11 novembre 2022 au 17 février 2023 et Ant-Man and the Wasp : Quantumania du 17 février 2023 au 28 juillet 2023. On ajoutera à cette liste deux projets-mystères supprimés du calendrier et un repoussé du 10 octobre 2023 au 3 novembre 2023. À noter que toutes ces dates sont américaines et non pas françaises, même si ces dernières sont généralement très proches de leur voisin outre-Atlantique (à la semaine près, généralement).

Aucun motif officiel n'a été donné quant à tous ces reports, même si on peut supposer une éventuelle et (très) lointaine répercussion de la pandémie, mais rien n'est moins sûr. En tout cas, rien d'aussi alarmant que ce qu'on pourrait croire. Les fans de Marvel vont donc simplement devoir s'armer d'un peu plus de patience pour se farcir à plein régime leur dose annuelle de Marvel.

A noter toutefois, parmi ces nombreux reports, que Avatar 2 n'est pas concerné. La suite tant attendue de James Cameron a-t-elle donc enfin trouvé sa date officielle et définitive en ce 14 décembre 2022 ? Tout le monde croise les doigts.


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