Je l'avais aussi acheté en DVD
Le Cercle des profileurs disparus
Magnifique film, l'histoire est sublime et émotionnellement ça se pose là. Penguin Bloom rappelle également à quel point Naomi Watts est une immense actrice. D'ailleurs le film n'a rien à envier à The Impossible sur le plan émotionnel.
C'est une mère de famille qui perd l'usage de ses jambes. Plus tard les enfants vont trouver un oiseau blessé et il y a comme une sorte de parallèle entre les deux. Même si la mère est condamnée à ne pas remarcher, c'est un combat qu'elle va mener pour ne pas sombrer.
7,99€ sur Amazonrobinne a écrit : ↑sam. 30 janv. 2021 14:46Il existe en BR : https://www.fnac.com/a2238310/Shoot-Em- ... en-Blu-ray
A pas cher en plus
C’est tentant
Même si j'ai pris du recul par rapport à la qualité du film, ça reste un très bon plaisir coupable
Je n’utilise pas AmazonWickaël a écrit : ↑sam. 30 janv. 2021 15:457,99€ sur Amazonrobinne a écrit : ↑sam. 30 janv. 2021 14:46Il existe en BR : https://www.fnac.com/a2238310/Shoot-Em- ... en-Blu-ray
A pas cher en plus
C’est tentant
- ClintReborn
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robinne a écrit : ↑sam. 30 janv. 2021 15:54Je n’utilise pas Amazon c'est lui qui m'utiliseWickaël a écrit : ↑sam. 30 janv. 2021 15:457,99€ sur Amazonrobinne a écrit : ↑sam. 30 janv. 2021 14:46Il existe en BR : https://www.fnac.com/a2238310/Shoot-Em- ... en-Blu-ray
A pas cher en plus
C’est tentant
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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- ClintReborn
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J’essaie d’éviter, mais ils produisent quelques bons trucs tout de même
[/quote]
Et puis il n'y a pas qu'Amazon qui vend; des millions de vendeurs vendent par l'intermédiaire de cette plateforme Chose régulièrement oubliée dans les critiques
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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Pareil pour la FnacClintReborn a écrit : ↑sam. 30 janv. 2021 16:10Et puis il n'y a pas qu'Amazon qui vend; des millions de vendeurs vendent par l'intermédiaire de cette plateforme Chose régulièrement oubliée dans les critiques
Décidément, Netflix a sorti l'artillerie route en ce début d'année. Très bon film que ce The Dig, mention spéciale pour la première partie qui est superbe. Le film a tendance à se disperser un peu sur la fin, le film développe beaucoup de choses à mesure qu'il avance mais ça reste un très beau film servi par un casting 4 étoiles.
Visuellement et musicalement, c'est une merveille absolue. L'histoire est magnifique même si quelques facilités sont à déplorer ici et là. Sinon c'est également très sombre dans le sens où le film souligne encore une fois l'ignominie dont sont capables les humains envers la nature.
La Mission avec De Niro et Irons?
Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
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Ah oui, c'est son dernier film là! J'aurais du m'en douter quand j'ai vu les autres titres que tu citais et qui sont tous récents
Barjow mais pas fous!
https://www.youtube.com/@teambarjow
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Ils ont remis la même cassette ce matinrobinne a écrit : ↑mer. 27 janv. 2021 09:23Et là, c'est un extrait de la BO de Sicariorobinne a écrit : ↑mer. 27 janv. 2021 09:13J'écoute justement la BO de Tenet sur France Musique BO : https://www.francemusique.fr/radios-the ... s-de-films
J'ai découvert ce super film l'autre jour
Paul Rudd y incarne un aide-soignant au triste passé qui s'occupe d'un jeune malade et ils vont entreprendre un périple pour sortir le jeune de son isolement. Le film alterne habilement entre le rire et l'émotion. À noter aussi la présence de Selena Gomez au casting
Ok, je vois
Mais il faut dire que les films font tellement peu parler d'eux (en général ; sauf quelques-uns bien entendu), et que je vois beaucoup moins d'affiches qu'avant
Je ne retiens donc rien ou si peu
Cloverfield 2 : une vraie suite est confirmée et il y aura un gros changement
Après avoir manipulé son public à plusieurs reprises quant à l’identité de ses suites, l’univers de Cloverfield va bien revenir avec un nouvel opus.
Avant de devenir une valeur sûre du blockbuster avec les derniers volets de La Planète des singes et prochainement The Batman, Matt Reeves s’est fait remarquer avec le surprenant Cloverfield, film de monstre qui a su intelligemment se réapproprier le kaiju eiga en lui injectant une dose de found-footage.
À partir de là, la production de J.J. Abrams a servi de point de départ à un univers étendu exploré par deux autres films : 10 Cloverfield Lane et The Cloverfield Paradox. Néanmoins, l’échec critique de ce dernier (qui a d’ailleurs poussé le studio Paramount à en vendre les droits à Netflix) semblait bien avoir enterré la franchise.
Pourtant, d’après The Hollywood Reporter, Paramount et Bad Robot (la société de production d’Abrams) ont commandé une nouvelle suite de la saga. Si Matt Reeves ne devrait pas être impliqué, le scénario a été confié à Joe Barton, étoile montante également en charge de la série spin-off de The Batman. Comme quoi, le monde est petit à Hollywood...
En dehors de ces projets alléchants, l’auteur a créé la série Giri / Haji pour la BBC Two et Netflix, ayant pour contexte une guerre des gangs entre Yakuzas dans les bas-fonds de Tokyo. Nul doute que ce passif devrait lui être utile pour développer la série HBO Max autour du Chevalier noir, qui devrait se concentrer sur la police de Gotham City au moment de l’émergence du justicier masqué. Pour rappel, Joe Barton a pris la direction de ce spin-off suite au départ du précédent showrunner, Terence Winter.
Pour ce qui est de Cloverfield, difficile de savoir dans quelle direction va partir la franchise, qui a quitté le found-footage après le premier volet pour explorer d’autres horizons, à savoir le huis-clos et le survival spatial. Réalisés avec des budgets limités, les films ont surtout fait parler d’eux pour leur marketing mystérieux.
Alors que le long-métrage matriciel a profité de l’émergence de YouTube pour partager sa bande-annonce, 10 Cloverfield Lane a été façonné dans le secret, avant que son trailer ne prévienne de sa sortie en salles à peine quelques semaines plus tard. Et enfin, The Cloverfield Paradox est allé encore plus loin, puisque Netflix a dévoilé les premières images durant le Super Bowl, avant de rendre le film immédiatement disponible sur la plateforme.
Néanmoins, ce nouveau projet pourrait s’avérer différent pour la simple et bonne raison que J.J. Abrams a jusque-là développé l’univers de Cloverfield avec des scripts préexistants. En effet, 10 Cloverfield Lane et The Cloverfield Paradox ont d’abord été des créations originales et autonomes, récupérées par le réalisateur pour leur concept et légèrement modifiées pour s’inclure dans le canon de la franchise. Joe Barton devrait donc être le premier scénariste à écrire une suite officielle du premier film de 2008.
En tout cas, les sources du Hollywood Reporter ont affirmé que le long-métrage ne devrait pas prendre la forme d’un found-footage, ce qui serait un gros changement par rapport au parti-pris du film originel. En attendant d’en savoir plus, vous pouvez retrouver nos critiques de 10 Cloverfield Lane et de The Cloverfield Paradox.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1612175472
Après avoir manipulé son public à plusieurs reprises quant à l’identité de ses suites, l’univers de Cloverfield va bien revenir avec un nouvel opus.
Avant de devenir une valeur sûre du blockbuster avec les derniers volets de La Planète des singes et prochainement The Batman, Matt Reeves s’est fait remarquer avec le surprenant Cloverfield, film de monstre qui a su intelligemment se réapproprier le kaiju eiga en lui injectant une dose de found-footage.
À partir de là, la production de J.J. Abrams a servi de point de départ à un univers étendu exploré par deux autres films : 10 Cloverfield Lane et The Cloverfield Paradox. Néanmoins, l’échec critique de ce dernier (qui a d’ailleurs poussé le studio Paramount à en vendre les droits à Netflix) semblait bien avoir enterré la franchise.
Pourtant, d’après The Hollywood Reporter, Paramount et Bad Robot (la société de production d’Abrams) ont commandé une nouvelle suite de la saga. Si Matt Reeves ne devrait pas être impliqué, le scénario a été confié à Joe Barton, étoile montante également en charge de la série spin-off de The Batman. Comme quoi, le monde est petit à Hollywood...
En dehors de ces projets alléchants, l’auteur a créé la série Giri / Haji pour la BBC Two et Netflix, ayant pour contexte une guerre des gangs entre Yakuzas dans les bas-fonds de Tokyo. Nul doute que ce passif devrait lui être utile pour développer la série HBO Max autour du Chevalier noir, qui devrait se concentrer sur la police de Gotham City au moment de l’émergence du justicier masqué. Pour rappel, Joe Barton a pris la direction de ce spin-off suite au départ du précédent showrunner, Terence Winter.
Pour ce qui est de Cloverfield, difficile de savoir dans quelle direction va partir la franchise, qui a quitté le found-footage après le premier volet pour explorer d’autres horizons, à savoir le huis-clos et le survival spatial. Réalisés avec des budgets limités, les films ont surtout fait parler d’eux pour leur marketing mystérieux.
Alors que le long-métrage matriciel a profité de l’émergence de YouTube pour partager sa bande-annonce, 10 Cloverfield Lane a été façonné dans le secret, avant que son trailer ne prévienne de sa sortie en salles à peine quelques semaines plus tard. Et enfin, The Cloverfield Paradox est allé encore plus loin, puisque Netflix a dévoilé les premières images durant le Super Bowl, avant de rendre le film immédiatement disponible sur la plateforme.
Néanmoins, ce nouveau projet pourrait s’avérer différent pour la simple et bonne raison que J.J. Abrams a jusque-là développé l’univers de Cloverfield avec des scripts préexistants. En effet, 10 Cloverfield Lane et The Cloverfield Paradox ont d’abord été des créations originales et autonomes, récupérées par le réalisateur pour leur concept et légèrement modifiées pour s’inclure dans le canon de la franchise. Joe Barton devrait donc être le premier scénariste à écrire une suite officielle du premier film de 2008.
En tout cas, les sources du Hollywood Reporter ont affirmé que le long-métrage ne devrait pas prendre la forme d’un found-footage, ce qui serait un gros changement par rapport au parti-pris du film originel. En attendant d’en savoir plus, vous pouvez retrouver nos critiques de 10 Cloverfield Lane et de The Cloverfield Paradox.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1612175472
Matrix 4 : le titre officiel du film aurait fuité avec un gros indice sur le scénario
La Warner n'a toujours pas dévoilé le titre officiel du quatrième volet de la saga Matrix, mais ce dernier a peut-être fuité sur internet.
Avec une date de sortie avancée au 22 décembre 2021, il reste désormais moins d'un an avant que le public découvre Matrix 4, pour lequel Lana Wachowski est repassée derrière la caméra sans sa soeur Lilly Wachowski. Mais jusqu'ici, on ne sait toujours pas grand-chose de l'intrigue co-écrite avec Aleksandar Hemon et David Mitchell, si ce n'est qu'elle sera explosive au vu du tournage et marquera le retour de Neo et Trinity, toujours incarnés par Keanu Reeves et Carrie-Anne Moss, ainsi que ceux de Niobe (Jada Pinkett Smith) et du Mérovingien (Lambert Wilson). On a également eu la confirmation que ce quatrième volet sera bien une suite de Matrix Revolutions et non un prequel ou un soft-reboot, ainsi qu'une "histoire d'amour" d'après l'acteur principal.
Mais une information capitale a peut-être fuité sur internet, celle du titre officiel que garde encore secret la Warner. Selon un utilisateur de Reddit, une maquilleuse ayant travaillé sur le quatrième opus aurait divulgué par erreur le titre du blockbuster. Elle a ainsi partagé sur Instagram une photo sur laquelle on voit un cadeau reçu pour son travail sur le film et surtout l'emballage du cadeau sur lequel on peut lire "Resurrections". L'information, qui n'a pas été confirmée par le studio, a ensuite été relayée sur Twitter.
Le titre du film serait donc Matrix : Resurrections, ce qui paraît plutôt plausible étant donné que Neo et Trinity devraient revenir à la vie après leur disparition dans le troisième opus, que les sous-titres des deux précédents volets commençaient par la lettre R et surtout que cette mention reprend à nouveau la thématique messianique de la saga. Il ne reste maintenant plus qu'à savoir quel tour de passe-passe va bien pouvoir dégainer le scénario, ce qu'on devrait apprendre avec une prochaine bande-annonce ou carrément le synopsis officiel que le studio devrait dévoiler d'ici quelques mois.
De son côté, le Morpheus de Laurence Fishburne n'a pas été convié aux retrouvailles, tandis que plusieurs nouveaux visages intégreront le casting comme Yahya Abdul-Mateen II, Jonathan Groff, Neil Patrick Harris (qui devrait cependant avoir un petit rôle), Jessica Henwick ou encore Priyanka Chopra. En attendant la sortie en salles et sur HBO Max aux États-Unis, on revient sur le mal-aimé Matrix : Revolution dans le dossier juste là.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... qN5cCeHDEs
La Warner n'a toujours pas dévoilé le titre officiel du quatrième volet de la saga Matrix, mais ce dernier a peut-être fuité sur internet.
Avec une date de sortie avancée au 22 décembre 2021, il reste désormais moins d'un an avant que le public découvre Matrix 4, pour lequel Lana Wachowski est repassée derrière la caméra sans sa soeur Lilly Wachowski. Mais jusqu'ici, on ne sait toujours pas grand-chose de l'intrigue co-écrite avec Aleksandar Hemon et David Mitchell, si ce n'est qu'elle sera explosive au vu du tournage et marquera le retour de Neo et Trinity, toujours incarnés par Keanu Reeves et Carrie-Anne Moss, ainsi que ceux de Niobe (Jada Pinkett Smith) et du Mérovingien (Lambert Wilson). On a également eu la confirmation que ce quatrième volet sera bien une suite de Matrix Revolutions et non un prequel ou un soft-reboot, ainsi qu'une "histoire d'amour" d'après l'acteur principal.
Mais une information capitale a peut-être fuité sur internet, celle du titre officiel que garde encore secret la Warner. Selon un utilisateur de Reddit, une maquilleuse ayant travaillé sur le quatrième opus aurait divulgué par erreur le titre du blockbuster. Elle a ainsi partagé sur Instagram une photo sur laquelle on voit un cadeau reçu pour son travail sur le film et surtout l'emballage du cadeau sur lequel on peut lire "Resurrections". L'information, qui n'a pas été confirmée par le studio, a ensuite été relayée sur Twitter.
Le titre du film serait donc Matrix : Resurrections, ce qui paraît plutôt plausible étant donné que Neo et Trinity devraient revenir à la vie après leur disparition dans le troisième opus, que les sous-titres des deux précédents volets commençaient par la lettre R et surtout que cette mention reprend à nouveau la thématique messianique de la saga. Il ne reste maintenant plus qu'à savoir quel tour de passe-passe va bien pouvoir dégainer le scénario, ce qu'on devrait apprendre avec une prochaine bande-annonce ou carrément le synopsis officiel que le studio devrait dévoiler d'ici quelques mois.
De son côté, le Morpheus de Laurence Fishburne n'a pas été convié aux retrouvailles, tandis que plusieurs nouveaux visages intégreront le casting comme Yahya Abdul-Mateen II, Jonathan Groff, Neil Patrick Harris (qui devrait cependant avoir un petit rôle), Jessica Henwick ou encore Priyanka Chopra. En attendant la sortie en salles et sur HBO Max aux États-Unis, on revient sur le mal-aimé Matrix : Revolution dans le dossier juste là.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... qN5cCeHDEs
EL a beaucoup aimé The Dig (4 étoiles) :
À la demande d'une riche veuve, un archéologue autodidacte entreprend des excavations au coeur d'un possible site funéraire médiéval, alors que le Royaume-Uni s'apprête à déclarer la guerre à l'Allemagne nazie. Netflix a-t-il déterré un brillant mélo ou mis à jour un énième cadavre avec The Dig ?
TRISTE MONDE TRAGIQUE
Netflix a beau s’enorgueillir de produire ou d’acheter ici et là des créations prestigieuses d’auteurs reconnus, la plateforme aux 200 millions d’abonnés doit avant tout abreuver ses usagers de flux, quitte à privilégier la quantité sur la qualité. Sur le papier, avec sa dégaine de petit drame britannique au contexte usé et aux personnages archétypaux, The Dig avait tout pour passer inaperçu et s’inscrire dans le tout-venant des produits diffusés par le géant de la SVoD La surprise engendrée par le second long-métrage de Simon Stone n’en est que plus grande.
Dès son ouverture, le réalisateur Simon Stoneappose sa signature et nous immerge au cœur de l’action alors qu’un modeste excavateur traverse le Suffolk pour retrouver un bien étrange chantier de fouilles. Le montage se plaît à syncoper l’action, tandis qu’une caméra beaucoup plus fluide qu’attendu navigue entre les personnages. En quelques secondes à peine, les enjeux sont posés et un réseau de symboles cristallins, mais étonnamment justes s’installe sous nos yeux.
Alors que Basil Brown tient enfin l’occasion de s’accomplir, la bourgeoise madame Pretty revit et approche du tombeau dans un même mouvement. Il en ira ainsi de tous les protagonistes, portés par les élans de leur cœur, emportés par ceux de l’Histoire. Les yeux vissés vers les nuages et les bombardements à venir, les mains creusant un sol, abritant simultanément une antique chambre funéraire et le secret de leurs existences. Fatalisme et désirs se mêlent ainsi progressivement, alors que l’intrigue se noue, que le vernis d’un romantisme provincial faussement convenu se craquèle pour révéler autant de tragédies intimes.
CREUSE, FIENNES, CREUSE
Stone a été à bonne école et a retenu aussi bien les enseignements de Malick ou Lubezki que la vigueur avec laquelle un Michael Mann a renouvelé l’imagerie du film historique. Et s’il ne vise pas ici le grand trip cosmogonique ni ne nous jette à la cornée de thriller post-moderne, il subvertit perpétuellement les identités remarquables du petit drame propre sur lui. Variant objectifs et angles, prenant toujours le pouls de ses personnages, il parvient toujours à dynamiser l’action, jusque dans la chronique faussement statique de longues fouilles archéologiques.
Le montage n’est pas en reste et use de techniques à priori éculées, étirant volontiers l’action d’un dialogue donné sur plusieurs séquences, mais use de ses effets avec une précision rare, et parvient plus d’une fois à subvertir les attentes du spectateur trop sûr de lui. Régulièrement, de ces assemblages combinés à la photographie somptueuse de Mike Eley naissent des plages de contemplation inattendue, des pointes de poésie lancinantes. Arrivé à mi-parcours, alors que le scénario renouvelle ses enjeux et injecte une tripotée de nouveaux personnages, l’ensemble du casting dévoile des trésors d’intensité.
Plutôt que de jouer le contre-emploi, le metteur en scène s’attache à la précision de ses interprètes, confiant à chacun un rôle idéalement calibré pour lui, qu’il finit par transcender. Carey Mulligan fascine au détour de chaque regard, redoublant d’intensité alors que sa vie lui échappe. Ralph Fiennes, lui, nous régale de son éternel éclat de beagle rejeté par la Royal Shakespeare Company, quant Lily James, elle, parvient à irradier malgré un rôle aussi bref que prévisible. Et ainsi, The Dig s’impose comme une des plus émouvantes surprises de ce début d’année.
The Dig est disponible sur Netflix depuis le 29 janvier en France
Devant la caméra sensible de Simon Stone, une galerie de personnages écrasés par le ciel, creusent des tombes pour essayer de retrouver un peu de sens à leurs existences. Fragile et puissant, ce mélodrame étonne et émeut.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1611933976
À la demande d'une riche veuve, un archéologue autodidacte entreprend des excavations au coeur d'un possible site funéraire médiéval, alors que le Royaume-Uni s'apprête à déclarer la guerre à l'Allemagne nazie. Netflix a-t-il déterré un brillant mélo ou mis à jour un énième cadavre avec The Dig ?
TRISTE MONDE TRAGIQUE
Netflix a beau s’enorgueillir de produire ou d’acheter ici et là des créations prestigieuses d’auteurs reconnus, la plateforme aux 200 millions d’abonnés doit avant tout abreuver ses usagers de flux, quitte à privilégier la quantité sur la qualité. Sur le papier, avec sa dégaine de petit drame britannique au contexte usé et aux personnages archétypaux, The Dig avait tout pour passer inaperçu et s’inscrire dans le tout-venant des produits diffusés par le géant de la SVoD La surprise engendrée par le second long-métrage de Simon Stone n’en est que plus grande.
Dès son ouverture, le réalisateur Simon Stoneappose sa signature et nous immerge au cœur de l’action alors qu’un modeste excavateur traverse le Suffolk pour retrouver un bien étrange chantier de fouilles. Le montage se plaît à syncoper l’action, tandis qu’une caméra beaucoup plus fluide qu’attendu navigue entre les personnages. En quelques secondes à peine, les enjeux sont posés et un réseau de symboles cristallins, mais étonnamment justes s’installe sous nos yeux.
Alors que Basil Brown tient enfin l’occasion de s’accomplir, la bourgeoise madame Pretty revit et approche du tombeau dans un même mouvement. Il en ira ainsi de tous les protagonistes, portés par les élans de leur cœur, emportés par ceux de l’Histoire. Les yeux vissés vers les nuages et les bombardements à venir, les mains creusant un sol, abritant simultanément une antique chambre funéraire et le secret de leurs existences. Fatalisme et désirs se mêlent ainsi progressivement, alors que l’intrigue se noue, que le vernis d’un romantisme provincial faussement convenu se craquèle pour révéler autant de tragédies intimes.
CREUSE, FIENNES, CREUSE
Stone a été à bonne école et a retenu aussi bien les enseignements de Malick ou Lubezki que la vigueur avec laquelle un Michael Mann a renouvelé l’imagerie du film historique. Et s’il ne vise pas ici le grand trip cosmogonique ni ne nous jette à la cornée de thriller post-moderne, il subvertit perpétuellement les identités remarquables du petit drame propre sur lui. Variant objectifs et angles, prenant toujours le pouls de ses personnages, il parvient toujours à dynamiser l’action, jusque dans la chronique faussement statique de longues fouilles archéologiques.
Le montage n’est pas en reste et use de techniques à priori éculées, étirant volontiers l’action d’un dialogue donné sur plusieurs séquences, mais use de ses effets avec une précision rare, et parvient plus d’une fois à subvertir les attentes du spectateur trop sûr de lui. Régulièrement, de ces assemblages combinés à la photographie somptueuse de Mike Eley naissent des plages de contemplation inattendue, des pointes de poésie lancinantes. Arrivé à mi-parcours, alors que le scénario renouvelle ses enjeux et injecte une tripotée de nouveaux personnages, l’ensemble du casting dévoile des trésors d’intensité.
Plutôt que de jouer le contre-emploi, le metteur en scène s’attache à la précision de ses interprètes, confiant à chacun un rôle idéalement calibré pour lui, qu’il finit par transcender. Carey Mulligan fascine au détour de chaque regard, redoublant d’intensité alors que sa vie lui échappe. Ralph Fiennes, lui, nous régale de son éternel éclat de beagle rejeté par la Royal Shakespeare Company, quant Lily James, elle, parvient à irradier malgré un rôle aussi bref que prévisible. Et ainsi, The Dig s’impose comme une des plus émouvantes surprises de ce début d’année.
The Dig est disponible sur Netflix depuis le 29 janvier en France
Devant la caméra sensible de Simon Stone, une galerie de personnages écrasés par le ciel, creusent des tombes pour essayer de retrouver un peu de sens à leurs existences. Fragile et puissant, ce mélodrame étonne et émeut.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1611933976
Le festival de Gérardmer sacre Possessor de Brandon Cronenberg
La 28ème édition du festival de Gérardmer s’est terminée ce week-end.
Si la 28e édition du Festival international du film fantastique de Gérardmer s’est tenue la semaine dernière ligne, la qualité n’a pas fait défaut et ce week-end, le jury présidé par Bertrand Bonello et composé de Lolita Chammah, Vimala Pons, Nora Hamzawi, le Pascal Bonitzer, Maxime Chattam, Alexandre Pachulski et Gaspard Ulliel a sans doute eu du mal à rendre son verdict.
Le Grand prix est donc allé à Possessor, le second film de Brandon Cronenberg (le fils de David Cronenberg) qui raconte comment Tasya Vos (Andrea Riseborough) un agent au sein d'une organisation secrète utilise une nouvelle technologie neurologique pour habiter le corps de n'importe quelle personne et la pousser à commettre des assassinats aux profits de clients très riches.
Le prix du Jury fut décerné ex-aequo à Sleep de Michael Venus et au film français Teddy de Ludovic & Zoran Boukherma.
Le prix de la Musique Originale est allé à Possessor de Brendan Cronenberg
Le prix de la Critique : La Nuée de Just Philippot
Le prix du Public : La Nuée de Just Philippot
Enfin, le prix du court-métrage : T'es morte Hélène de Michiel Blanchart
Bien évidemment, les dates de sorties de tous ces films restent soumises à la pandémie actuelle.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... Cronenberg
La 28ème édition du festival de Gérardmer s’est terminée ce week-end.
Si la 28e édition du Festival international du film fantastique de Gérardmer s’est tenue la semaine dernière ligne, la qualité n’a pas fait défaut et ce week-end, le jury présidé par Bertrand Bonello et composé de Lolita Chammah, Vimala Pons, Nora Hamzawi, le Pascal Bonitzer, Maxime Chattam, Alexandre Pachulski et Gaspard Ulliel a sans doute eu du mal à rendre son verdict.
Le Grand prix est donc allé à Possessor, le second film de Brandon Cronenberg (le fils de David Cronenberg) qui raconte comment Tasya Vos (Andrea Riseborough) un agent au sein d'une organisation secrète utilise une nouvelle technologie neurologique pour habiter le corps de n'importe quelle personne et la pousser à commettre des assassinats aux profits de clients très riches.
Le prix du Jury fut décerné ex-aequo à Sleep de Michael Venus et au film français Teddy de Ludovic & Zoran Boukherma.
Le prix de la Musique Originale est allé à Possessor de Brendan Cronenberg
Le prix de la Critique : La Nuée de Just Philippot
Le prix du Public : La Nuée de Just Philippot
Enfin, le prix du court-métrage : T'es morte Hélène de Michiel Blanchart
Bien évidemment, les dates de sorties de tous ces films restent soumises à la pandémie actuelle.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... Cronenberg
La série Willow sera dirigée par le réalisateur de The End of the F***ing World
Jonathan Entwistle a été engagé par Lucasfilm pour redonner vie à la saga.
La série Willow commence sérieusement à se concrétiser. Mais ce n'est pas Ron Howard qui fera son retour derrière la caméra. Le réalisateur Jonathan Entwistle, qui dirigea la série anglaise The End of the F***ing World (sur Netflix en France) ou qui fut récemment derrière le teen drama acclamé (mais annulé) de Netflix, I'm Not Okay with This, passe donc chez Disney Plus et prendra en main cette suite télévisée, succédant à Jon M. Chu (In The Heights), qui a récemment quitté le job.
Entwistle se réjouit : "Avec son monde épique d'épées, de sorcellerie et d'aventure, Willow a captivé et influencé tant de gens. Je suis ravi de faire ce voyage et de travailler avec Jon et Wendy pour créer quelque chose d'à la fois profondément lié au film original et aussi frais, drôle et charmant qui viendra se rajouter à l'histoire que tout le monde aime. Jouer dans ce monde si minutieusement conçu par Ron (Howard) en 1988 est un rêve devenu réalité !"
Écrit par Jonathan Kasdan (Solo: A Star Wars Story), la série sera co-showrunnée par Wendy Mericle (Arrow). On sait déjà qu'elle se déroulera des années après les événements du film original et présentera de tout nouveaux personnages. Mais on y retrouvera Willow Ufgood, toujours incarné par Warwick Davis. Il sera assisté par Erin Kellyman (Solo: A Star Wars Story), Cailee Spaeny (Devs) et Ellie Bamber (Les Misérables).
La série "tourne autour d'un groupe en mission pour sauver un prince kidnappé. Les membres de l'équipe incluent Dove (Bamber), dont la trame de fond ressemble à celle de Willow dans le film. Dove est une femme de ménage sans prétention qui prouve qu'elle est «l'élue» alors qu'elle entreprend le voyage. Elle est rejointe par Kit (Spaeny), la princesse dont le frère jumeau a été enlevé. Elle est destinée la future reine. Kellyman joue Jade, servant et meilleur amie et boussole morale de Kit. Elle est en passe de devenir la meilleure jeune guerrière du royaume. Un dernier membre de la bande fera écho au personnage de Val Kilmer dans le film. Voleur et menteur, il rejoindra la quête en échange de sa sortie de prison."
Aucune date n'a encore été annoncée, mais la série Willow devrait retourner filmer dans les paysages du Pays de Galles (comme pour le film de 1988), au printemps prochain. Sortie en 2022 sur Disney Plus.
https://www.premiere.fr/Series/News-Ser ... Fing-World
Jonathan Entwistle a été engagé par Lucasfilm pour redonner vie à la saga.
La série Willow commence sérieusement à se concrétiser. Mais ce n'est pas Ron Howard qui fera son retour derrière la caméra. Le réalisateur Jonathan Entwistle, qui dirigea la série anglaise The End of the F***ing World (sur Netflix en France) ou qui fut récemment derrière le teen drama acclamé (mais annulé) de Netflix, I'm Not Okay with This, passe donc chez Disney Plus et prendra en main cette suite télévisée, succédant à Jon M. Chu (In The Heights), qui a récemment quitté le job.
Entwistle se réjouit : "Avec son monde épique d'épées, de sorcellerie et d'aventure, Willow a captivé et influencé tant de gens. Je suis ravi de faire ce voyage et de travailler avec Jon et Wendy pour créer quelque chose d'à la fois profondément lié au film original et aussi frais, drôle et charmant qui viendra se rajouter à l'histoire que tout le monde aime. Jouer dans ce monde si minutieusement conçu par Ron (Howard) en 1988 est un rêve devenu réalité !"
Écrit par Jonathan Kasdan (Solo: A Star Wars Story), la série sera co-showrunnée par Wendy Mericle (Arrow). On sait déjà qu'elle se déroulera des années après les événements du film original et présentera de tout nouveaux personnages. Mais on y retrouvera Willow Ufgood, toujours incarné par Warwick Davis. Il sera assisté par Erin Kellyman (Solo: A Star Wars Story), Cailee Spaeny (Devs) et Ellie Bamber (Les Misérables).
La série "tourne autour d'un groupe en mission pour sauver un prince kidnappé. Les membres de l'équipe incluent Dove (Bamber), dont la trame de fond ressemble à celle de Willow dans le film. Dove est une femme de ménage sans prétention qui prouve qu'elle est «l'élue» alors qu'elle entreprend le voyage. Elle est rejointe par Kit (Spaeny), la princesse dont le frère jumeau a été enlevé. Elle est destinée la future reine. Kellyman joue Jade, servant et meilleur amie et boussole morale de Kit. Elle est en passe de devenir la meilleure jeune guerrière du royaume. Un dernier membre de la bande fera écho au personnage de Val Kilmer dans le film. Voleur et menteur, il rejoindra la quête en échange de sa sortie de prison."
Aucune date n'a encore été annoncée, mais la série Willow devrait retourner filmer dans les paysages du Pays de Galles (comme pour le film de 1988), au printemps prochain. Sortie en 2022 sur Disney Plus.
https://www.premiere.fr/Series/News-Ser ... Fing-World
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Une première image pour le remake de la famille Bélier, Coda (Child of Deaf Adults) réalisé par Sian Heder avec Emilia Jones, Marlee Matlin, Kevin Chapman.
Ruby, 17 ans est l’enfant entendant de parents sourds, qui hésite entre la jeune entreprise de pêche de sa famille à Gloucester, Massachusetts, ou poursuivre ses aspirations de chant à l’université.
Sur Apple TV+ qui a les droits mondiaux.
Une première image pour le remake de la famille Bélier, Coda (Child of Deaf Adults) réalisé par Sian Heder avec Emilia Jones, Marlee Matlin, Kevin Chapman.
Ruby, 17 ans est l’enfant entendant de parents sourds, qui hésite entre la jeune entreprise de pêche de sa famille à Gloucester, Massachusetts, ou poursuivre ses aspirations de chant à l’université.
Sur Apple TV+ qui a les droits mondiaux.
Du pour et du contre. La première partie est très bonne et immersive, l'ambiance rappelle aisément un épisode de La Quatrième Dimension. L'histoire et les rebondissements sont tirés par les cheveux et plombent un peu l'ensemble. La portée féministe ne fait pas vraiment dans la subtilité même si Chloë Grace Moretz livre une prestation solide. Le tout est un peu vain mais cela dure à peine 1h20 et je n'ai pas vraiment vu le temps passer.
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On sait jamais ce sera peut être bien. Hannibal avec Mads Mickelsen était une très grandes série sur NBC
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La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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