Top des Films sortis en 2024

[groil_groil]

1. Le mal n’existe pas - Aku wa sonzai shinai - Ryusuke Hamaguchi
2. Borgo – Stéphane Demoustier
3. Le Tableau Volé - Pascal Bonitzer
4. Priscilla - Sofia Coppola
5. La Zone d'Intérêt - The Zone of Interest - Jonathan Glazer
6. Un Eté Afghan - A Cooler Climate - James Ivory
7. Civil War - Alex Garland
8. Ferrari - Michael Mann
9. Daaaaaali ! - Quentin Dupieux
10. Un Silence - Joachim Lafosse
11. Eileen - William Oldroyd
12. May December – Todd Haynes
13. Iris et les Hommes - Caroline Vignal
14. La Bête - Bertrand Bonello
15. Dune part 2 – Denis Villeneuve
16. L'Affaire de la Mutinerie Caine - The Caine Mutiny Court-Martial - William Friedkin

[groil_groil]

1. Le mal n’existe pas - Aku wa sonzai shinai - Ryusuke Hamaguchi
2. Borgo – Stéphane Demoustier
3. Le Tableau Volé - Pascal Bonitzer
4. Priscilla - Sofia Coppola
5. La Zone d'Intérêt - The Zone of Interest - Jonathan Glazer
6. Un Eté Afghan - A Cooler Climate - James Ivory
7. Civil War - Alex Garland
8. Ferrari - Michael Mann
9. Daaaaaali ! - Quentin Dupieux
10. Un Silence - Joachim Lafosse
11. Eileen - William Oldroyd
12. La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume - Kingdom of the Planet of the Apes - Wes Ball
13. May December – Todd Haynes
14. Iris et les Hommes - Caroline Vignal
15. La Bête - Bertrand Bonello
16. Dune part 2 – Denis Villeneuve
17. Un Homme en Fuite - Baptiste Debraux
18. L'Affaire de la Mutinerie Caine - The Caine Mutiny Court-Martial - William Friedkin

[groil_groil]

1. Le mal n’existe pas - Aku wa sonzai shinai - Ryusuke Hamaguchi
2. Borgo – Stéphane Demoustier
3. Le Tableau Volé - Pascal Bonitzer
4. Priscilla - Sofia Coppola
5. La Zone d'Intérêt - The Zone of Interest - Jonathan Glazer
6. Moi, Capitaine - Io Capitano - Matteo Garrone
7. Un Eté Afghan - A Cooler Climate - James Ivory
8. Civil War - Alex Garland
9. Ferrari - Michael Mann
10. Daaaaaali ! - Quentin Dupieux
11. Un Silence - Joachim Lafosse
12. Eileen - William Oldroyd
13. La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume - Kingdom of the Planet of the Apes - Wes Ball
14. May December – Todd Haynes
15. Iris et les Hommes - Caroline Vignal
16. La Bête - Bertrand Bonello
17. Dune part 2 – Denis Villeneuve
18. Un Homme en Fuite - Baptiste Debraux
19. L'Affaire de la Mutinerie Caine - The Caine Mutiny Court-Martial - William Friedkin

[Tamponn Destartinn]

1. May December - Todd Haynes
2. Le mal n'existe pas - Ryūsuke Hamaguchi
3. La Bête - Bertrand Bonello
4. Eureka - Lisandro Alonso

5. Civil War - Alex Garland
6. Borgo - Stéphane Demoustier
7. Le cercle des neiges - Juan Antonio Bayona
8. Pauvres Créatures - Yórgos Lánthimos
9. Bis Repetita - Emilie Noblet
10. Vampire humaniste cherche suicidaire consentant - Ariane Louis-Seize
11. L'Esprit Coubertin - Jérémie Sein
12. Priscilla - Sofia Coppola

13. La Zone d'Intérêt - Jonathan Glazer
14. Making Of - Cédric Kahn
15. Dune : Deuxième Partie - Denis Villeneuve
16. Nous, les Leroy - Florent Bernard

17. L'Empire - Bruno Dumont

[Narval]

1 : L'Empire - Bruno Dumont
2 : Man in Black - Wang Bing
3 : Le mal n'existe pas - Ryūsuke Hamaguchi (vu 2 fois)
4 : La fleur de Buriti / Crowrã - João Salaviza et Renée Nader Messora Confirmation que ce duo de réalisateur/ice portugais et brésilienne a un regard très inspiré et inspirant sur ces communautés et leur combat quotidien pour survivre. Bien plus politisé que leur précédent film, il n'en demeure pas moins tout aussi beau et fort plastiquement.
5 - Eureka - Lisandro Alonso (vu 2 fois)
6 : La zone d'intérêt - Jonathan Glazer
7 : Jeunesse (Printemps) - Wang Bing
8 : La jeune fille et les paysans - Dorota Kobiela et Hugh Welchman (vu 2 fois)
9 : Daaaaaali ! - Quentin Dupieux

[groil_groil]

1. Le mal n’existe pas - Aku wa sonzai shinai - Ryusuke Hamaguchi
2. Borgo – Stéphane Demoustier
3. Le Tableau Volé - Pascal Bonitzer
4. Priscilla - Sofia Coppola
5. La Zone d'Intérêt - The Zone of Interest - Jonathan Glazer
6. Moi, Capitaine - Io Capitano - Matteo Garrone
7. Un Eté Afghan - A Cooler Climate - James Ivory
8. Civil War - Alex Garland
9. Ferrari - Michael Mann
10. Daaaaaali ! - Quentin Dupieux
11. Un Silence - Joachim Lafosse
12. Eileen - William Oldroyd
13. La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume - Kingdom of the Planet of the Apes - Wes Ball
14. La Tête Froide - Stéphane Marchetti
15. May December – Todd Haynes
16. Iris et les Hommes - Caroline Vignal
17. La Bête - Bertrand Bonello
18. Dune part 2 – Denis Villeneuve
19. Un Homme en Fuite - Baptiste Debraux
20. L'Affaire de la Mutinerie Caine - The Caine Mutiny Court-Martial - William Friedkin
21. Cocorico - Julien Hervé

[Tamponn Destartinn]

21. Cocorico - Julien Hervé

Bien joué de mater ça juste pour arrêter d'avoir un Friedkin en dernier

[groil_groil]

21. Cocorico - Julien Hervé

Bien joué de mater ça juste pour arrêter d'avoir un Friedkin en dernier

AHAHAHA bien vu mais je pense que les films de début d'année commençant à sortir en dvd ou en liens, le Friedkin va progressivement remonter la pente

[teklow13]

1. Le mal n'existe pas – Aku wa sonzai shinai – Ryusuke Hamaguchi

2. Eureka – Lisandro Alonso
3. La Bête – Bertrand Bonello
4. Los Delincuentes – Rodrigo Moreno
5. Priscilla – Sofia Coppola
6. Civil War – Alex Garland
7. La Fleur de Buriti – Crowrã – João Salaviza et Renée Nader Messora
8. Ferrari – Michael Mann
9. Jeunesse – Qīngchūn – Wang Bing
10. Man in Black – Wang Bing

11. La Zone d’interêt – The Zone of Interest – Jonathan Glazer
12. Le Deuxième Acte – Quentin Dupieux
13. Pauvres Créatures – Poor Things – Yórgos Lánthimos
14. May December – Todd Haynes
15. Dune - Deuxième partie – Dune: Part Two – Denis Villeneuve
16. Iron Claw – The Iron Claw – Sean Durkin
17. Daaaaaali ! – Quentin Dupieux

18. Conte de feu – Riddle of fire – Weston Razooli
19. The Sweet East – Sean Price Williams
20. Borgo – Stéphane Demoustier
21. Le Cercle des neiges – La sociedad de la nieve – J. A. Bayona
22. The Fall Guy – David Leitch
23. La Planète des singes - Le Nouveau Royaume – Kingdom of the Planet of the Apes – Wes Ball
24. Black Flies – Jean-Stephane Sauvaire
25. Making of – Cédric Kahn
26. Rosalie – Stéphanie Di Giusto
27. Le Jeu de la reine – Firebrand – Karim Aïnouz

28. Sleep – Jam – Jason Yu

29. Jusqu’au bout du monde – The Dead Don’t Hurt – Viggo Mortensen
30. Project Silence – Talchul: Project Silence – Kim Tae-Gon
31. Drive-Away Dolls – Ethan Coen
32. Salem – Jean-Bernard Marlin

[groil_groil]

1. Le mal n’existe pas - Aku wa sonzai shinai - Ryusuke Hamaguchi
2. Borgo - Stéphane Demoustier
3. Le Tableau Volé - Pascal Bonitzer
4. Priscilla - Sofia Coppola
5. La Zone d'Intérêt - The Zone of Interest - Jonathan Glazer
6. Le Deuxième Acte - Quentin Dupieux
7. Moi, Capitaine - Io Capitano - Matteo Garrone
8. Un Eté Afghan - A Cooler Climate - James Ivory
9. Civil War - Alex Garland
10. Ferrari - Michael Mann
11. Daaaaaali ! - Quentin Dupieux
12. Un Silence - Joachim Lafosse
13. Eileen - William Oldroyd
14. La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume - Kingdom of the Planet of the Apes - Wes Ball
15. La Tête Froide - Stéphane Marchetti
16. May December -Todd Haynes
17. Iris et les Hommes - Caroline Vignal
18. La Bête - Bertrand Bonello
19. Dune part 2 - Denis Villeneuve
20. Un Homme en Fuite - Baptiste Debraux
21. L'Affaire de la Mutinerie Caine - The Caine Mutiny Court-Martial - William Friedkin
22. Cocorico - Julien Hervé

[Mr-Orange]

1. Le Mal n'existe pas — Ryusuke Hamaguchi
2. May December — Todd Haynes
3. Riddle of Fire — Weston Razooli

4. Pauvres créatures — Yorgos Lanthimos
5. The Zone of Interest — Jonathan Glazer
6. L'Empire — Bruno Dumont
7. Le Deuxième acte — Quentin Dupieux
8. The Sweet East — Sean Price Williams
9. Priscilla — Sofia Coppola

10. Une famille — Christine Angot

11. Argylle — Matthew Vaughn

@sokol demandait quel est l'autre film de Dupieux qui s'en rapproche le plus : pour moi, c'est Au poste !. D'ailleurs le film souffre du même problème : il a une couche de méta en trop (la dernière). Franchement, c'est plus possible, ce genre de dispositifs.
Après celui-ci est quand même bien mieux, c'est peut-être le film le plus drôle de Dupieux. Mais les 15 dernières minutes sont de trop.

[sokol]

@sokol demandait quel est l'autre film de Dupieux qui s'en rapproche le plus : pour moi, c'est Au poste !. D'ailleurs le film souffre du même problème : il a une couche de méta en trop (la dernière). Franchement, c'est plus possible, ce genre de dispositifs.
Après celui-ci est quand même bien mieux, c'est peut-être le film le plus drôle de Dupieux. Mais les 15 dernières minutes sont de trop.

Je l'ai vu hier. Et j'ai pensé, exactement comme toi à "Au poste" !

[groil_groil]

1. Le Mal n'existe pas — Ryusuke Hamaguchi
2. May December — Todd Haynes
3. Riddle of Fire — Weston Razooli

4. Pauvres créatures — Yorgos Lanthimos
5. The Zone of Interest — Jonathan Glazer
6. L'Empire — Bruno Dumont
7. Le Deuxième acte — Quentin Dupieux
8. The Sweet East — Sean Price Williams
9. Priscilla — Sofia Coppola

10. Une famille — Christine Angot

11. Argylle — Matthew Vaughn

@sokol demandait quel est l'autre film de Dupieux qui s'en rapproche le plus : pour moi, c'est Au poste !. D'ailleurs le film souffre du même problème : il a une couche de méta en trop (la dernière). Franchement, c'est plus possible, ce genre de dispositifs.
Après celui-ci est quand même bien mieux, c'est peut-être le film le plus drôle de Dupieux. Mais les 15 dernières minutes sont de trop.

Oui la fin n'est pas du tout à la hauteur du reste du film, et c'est dommage, y avait quand même plein de façons de retomber sur ses pattes mieux qu'icelle.

[sokol]

je les reverrais bien un jour :

1. Le mal n’existe pas (Ryūsuke Hamaguchi, Japon) 10.0 (vu déjà 2 fois)
2. Los delincuentes (Rodrigo Moreno, Argentine) 10.0
3. Walk Up (Hong Sang-Soo, Corée du Sud) 10.0 (vu déjà 2 fois)


Une fois ça suffit :

4. May December (Todd Haynes, USA) 9.0
5. Riddle of Fire (Weston Razooli, USA) 9.0
6. The Sweet East (Sean Price Williams, USA) 8.0
7. Jeunesse - le printemps - (Wang Bing, Chine) 7.0
8. Eureka (Lisandro Alonso, Argentine/USA) 7.0
9. Une famille (Christine Anglot, France) 7.0
10. Borgo (Stéphane Demoustier, France) 7.0 - Quand on voit un film réussi mais assez naturaliste comme celui-ci, on se pose cette question : des cinéastes tels que les argentins Rodrigo Moreno (Los delicuentes) ou Laura Citarella (Trenque Lauquen), que feraient-ils avec un sujet pareil ? Très probablement, des films totalement différents de celui-ci. Et c'est là que réside la magie du cinéma : elle n'est pas dépendante du scénario mais de l’approche cinématographique du cinéaste (de la mise en scène, encore et toujours). Très probablement j'aurais préféré les films des argentins
11. Enys men (Mark Jenkin, Royaume Uni) 7.0
12. Le Tableau volé (Pascal Bonitzer, France) 7.0 - R.A.S
13. Priscilla (Sofia Coppola, USA) 6.0
14. Le Deuxième acte (Quentin Dupieux, France) 6.0 - Tout est à savoir à quel moment Dupieux deviendra "le Haneke de l'absurde" (le Professeur de l'absurde) et du coup, le professeur de rien du tout (puisque le cinéma est une affaire de tout sauf de professorat). Or, il en est à deux doigts. La preuve : les quatre personnages principaux auraient pu être bel et bien joué par des acteurs moins célèbres. Oui oui oui, je sais bien que "c'est fait exprès" (puisque c'est le sujet du "premier acte", c'est à dire, du film dans le film : voir, par exemple, la scène de Léa Seydoux avec sa fille : une réussite). Mais dans ce cas, pourquoi ne pas utiliser d'autres acteurs pour le deuxième acte et ainsi, foutre la pagaille dans le film ? (et du coup, le rendre 'absurde'). C'est parce que le film deviendrait bien plus déroutant et donc moins 'grand public' ?
En tout cas, que je 'refasse' le film à la place d'un cinéaste pour lequel j'ai de l'estime est un mauvais signe car, bien évidement, pathétique.
@Mr-Orange Tu dis que la dernière scène (elle pouvait être considéré comme un troisième acte) est une couche de méta en trop. Si on aime dans sa totalité le film (en tout cas, tu penses que c'est peut-être le film le plus drôle de Dupieux, ce qui n'est pas du tout mon cas), je pense que les quinze dernières minutes ont toute leur place. Or, à mes yeux, comme je dis plus haut, ce nouveau film de Dupieux a perdu "l'aspect" de l'absurde (pourtant, j'ai toujours aimé ses films qui étaient un peu plus encrés dans une réalité que ceux qui étaient totalement absurdes). Le problème c'est que cette fois-ci, cette réalité nous est bien expliquée (le travelling final par exemple, comme un contre-coup du "premier acte" du cinéma par l'IA). Coucou M Haneke ! ("vous-verrez-ce-que-vous-verrez")
15. Nome (Sana Na N'Hada, Guinée-Bissau) 6.0
16. Chroniques de Téhéran (Ali Asgari et Alireza Khatami, Iran) 6.0
17. Sidonie au Japon (Élise Girard, France) 5.0

Je n’aurais pas dû aller les voir :

18. La bête (Bertrand Bonello, France) 4.9
19. L'empire (Bruno Dumont, France) 4.0
20. Civil War (Alex Garland, USA) 3.5
21. Pauvres créatures (Yorgos Lanthimos, Grande-Bretagne) 2.0
22. La zone d’intérêt (Jonathan Glazer, Angleterre) 2.0

[sokol]

En une phrase (dieu que je suis lent parfois ) : Dupieux est à deux doigts de devenir un cinéaste-demiurge

[groil_groil]

En une phrase (dieu que je suis lent parfois ) : Dupieux est à deux doigts de devenir un cinéaste-demiurge

c'est pas faux

[Narval]

1 : L'Empire - Bruno Dumont
2 : Man in Black - Wang Bing
3 : Le mal n'existe pas - Ryūsuke Hamaguchi (vu 2 fois)
4 : La fleur de Buriti / Crowrã - João Salaviza et Renée Nader Messora
5 - Eureka - Lisandro Alonso (vu 2 fois)
6 : La zone d'intérêt - Jonathan Glazer
7 : Jeunesse (Printemps) - Wang Bing
8 : La jeune fille et les paysans - Dorota Kobiela et Hugh Welchman (vu 2 fois)
9 : Furiosa - Une saga Mad Max - George Miller
10 : Daaaaaali ! - Quentin Dupieux

[Tamponn Destartinn]

A chaud

1. May December - Todd Haynes
2. Le mal n'existe pas - Ryūsuke Hamaguchi
3. La Bête - Bertrand Bonello
4. Eureka - Lisandro Alonso

5. Bird - Andrea Arnold
6. Grand Tour - Miguel Gomes
7. Civil War - Alex Garland
8. Borgo - Stéphane Demoustier
9. Le cercle des neiges - Juan Antonio Bayona

10. Pauvres Créatures - Yórgos Lánthimos
11. Bis Repetita - Emilie Noblet
12. Vampire humaniste cherche suicidaire consentant - Ariane Louis-Seize
13. L'Esprit Coubertin - Jérémie Sein
14. Priscilla - Sofia Coppola

15. La Zone d'Intérêt - Jonathan Glazer
16. Making Of - Cédric Kahn
17. Dune : Deuxième Partie - Denis Villeneuve
18. Marcello mio - Christophe Honoré
19. Nous, les Leroy - Florent Bernard

20. L'Empire - Bruno Dumont

[sokol]

je les reverrais bien un jour :

1. Le mal n’existe pas (Ryūsuke Hamaguchi, Japon) 10.0 (vu déjà 2 fois)
2. Los delincuentes (Rodrigo Moreno, Argentine) 10.0
3. Walk Up (Hong Sang-Soo, Corée du Sud) 10.0 (vu déjà 2 fois)


Une fois ça suffit :

4. May December (Todd Haynes, USA) 9.0
5. Riddle of Fire (Weston Razooli, USA) 9.0
6. The Sweet East (Sean Price Williams, USA) 8.0
7. Jeunesse - le printemps - (Wang Bing, Chine) 7.0
8. Eureka (Lisandro Alonso, Argentine/USA) 7.0
9. Une famille (Christine Anglot, France) 7.0
10. Borgo (Stéphane Demoustier, France) 7.0
11. Enys men (Mark Jenkin, Royaume Uni) 7.0
12. Le Tableau volé (Pascal Bonitzer, France) 7.0
13. Priscilla (Sofia Coppola, USA) 6.0
14. Le Deuxième acte (Quentin Dupieux, France) 6.0
15. Nome (Sana Na N'Hada, Guinée-Bissau) 6.0
16. Chroniques de Téhéran (Ali Asgari et Alireza Khatami, Iran) 6.0
17. Sidonie au Japon (Élise Girard, France) 5.0

Je n’aurais pas dû aller les voir :

18. La bête (Bertrand Bonello, France) 4.9
19. L'empire (Bruno Dumont, France) 4.0
20. Civil War (Alex Garland, USA) 3.5
21. Pauvres créatures (Yorgos Lanthimos, Grande-Bretagne) 3.0
22. La zone d’intérêt (Jonathan Glazer, Angleterre) 2.0
23. La Fleur de Buriti (João Salaviza, Renée Nader Messora, Brésil) 0.0 - Quand on fait une fiction durant laquelle les acteurs (amateurs, en l'occurrence) passent leur temps à regarder la caméra (le metteur en scène), soit il faut faire un documentaire, soit on applique la méthode Straub (mais alors, c'est tout un travail en amant, pendant des mois, voir des années). Là, les deux cinéastes brésiliens ont voulu faire une fiction "à tout prix". Raté : la preuve supplémentaire que la fiction n'est pas un but en soi, même si on a le financement pour

[groil_groil]

1. Le mal n’existe pas - Aku wa sonzai shinai - Ryusuke Hamaguchi
2. Borgo - Stéphane Demoustier
3. Le Tableau Volé - Pascal Bonitzer
4. Priscilla - Sofia Coppola
5. La Zone d'Intérêt - The Zone of Interest - Jonathan Glazer
6. Le Deuxième Acte - Quentin Dupieux
7. Moi, Capitaine - Io Capitano - Matteo Garrone
8. Un Eté Afghan - A Cooler Climate - James Ivory
9. Civil War - Alex Garland
10. L'Homme aux 1000 Visages - Sonia Kronlund
11. Ferrari - Michael Mann
12. Daaaaaali ! - Quentin Dupieux
13. Un Silence - Joachim Lafosse
14. Eileen - William Oldroyd
15. La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume - Kingdom of the Planet of the Apes - Wes Ball
16. La Tête Froide - Stéphane Marchetti
17. May December -Todd Haynes
18. Iris et les Hommes - Caroline Vignal
19. La Bête - Bertrand Bonello
20. Dune part 2 - Denis Villeneuve
21. Un Homme en Fuite - Baptiste Debraux
22. L'Affaire de la Mutinerie Caine - The Caine Mutiny Court-Martial - William Friedkin
23. Cocorico - Julien Hervé

[Tamponn Destartinn]

1. May December - Todd Haynes
2. Le mal n'existe pas - Ryūsuke Hamaguchi

3. All We Imagine as Light - Payal Kapadia
4. La Bête - Bertrand Bonello
5. Eureka - Lisandro Alonso
6. Bird - Andrea Arnold
7. Grand Tour - Miguel Gomes
8. Borgo - Stéphane Demoustier

9. Civil War - Alex Garland
10. Le cercle des neiges - Juan Antonio Bayona
11. Pauvres Créatures - Yórgos Lánthimos
12. Bis Repetita - Emilie Noblet
13. Vampire humaniste cherche suicidaire consentant - Ariane Louis-Seize
14. L'Esprit Coubertin - Jérémie Sein
15. Priscilla - Sofia Coppola

16. La Zone d'Intérêt - Jonathan Glazer
17. Making Of - Cédric Kahn
18. Dune : Deuxième Partie - Denis Villeneuve
19. Nous, les Leroy - Florent Bernard
20. Marcello mio - Christophe Honoré

21. L'Empire - Bruno Dumont

[Mr-Orange]

1. Le Mal n'existe pas — Ryusuke Hamaguchi
2. May December — Todd Haynes
3. Riddle of Fire — Weston Razooli

4. Pauvres créatures — Yorgos Lanthimos
5. The Zone of Interest — Jonathan Glazer
6. L'Empire — Bruno Dumont
7. Memory — Michel Franco
8. Le Deuxième acte — Quentin Dupieux
9. The Sweet East — Sean Price Williams
10. Priscilla — Sofia Coppola

11. Une famille — Christine Angot

12. Argylle — Matthew Vaughn

[yhi]

Je serai curieux de savoir comment tu l'as perçu. J'ai l'impression que les critiques le voient comme un film de Franco "soft" et donc acceptable même parmi ses détracteurs (dont je fais partie).

Alors que j'ai l'impression que la touche Franco est belle et bien présente. Et pas seulement lors de quelques scènes de malaises évidentes comme celle ou les enfants posent "trop de questions" mais aussi dans la manière dont est traitée le personnage masculin qui d'après la mise en scène n'est jamais innocenté quand aux accusations de viol lancées des le départ (innocence ne tenant qu'à la soeur qui pourrait mentir + toutes les scènes qui suivent comme celle où il hésite devant les portes des deux chambres) Je trouve que l'ambiguïté sordide est maintenue tout du long "à la Franco" alors que j'ai l'impression que les gens qui voient le film passent a côté. Qu'en penses-tu ?

[sokol]

7. Memory — Michel Franco

C'est la première fois que tu vois un film de Franco ? (je n'en ai jamais vu, en fait).

[Mr-Orange]

Je serai curieux de savoir comment tu l'as perçu. J'ai l'impression que les critiques le voient comme un film de Franco "soft" et donc acceptable même parmi ses détracteurs (dont je fais partie).

Alors que j'ai l'impression que la touche Franco est belle et bien présente. Et pas seulement lors de quelques scènes de malaises évidentes comme celle ou les enfants posent "trop de questions" mais aussi dans la manière dont est traitée le personnage masculin qui d'après la mise en scène n'est jamais innocenté quand aux accusations de viol lancées des le départ (innocence ne tenant qu'à la soeur qui pourrait mentir + toutes les scènes qui suivent comme celle où il hésite devant les portes des deux chambres) Je trouve que l'ambiguïté sordide est maintenue tout du long "à la Franco" alors que j'ai l'impression que les gens qui voient le film passent a côté. Qu'en penses-tu ?

Ah je n'ai pas du tout vu ça comme ça. Pour moi, la relation entre les deux personnages échappe finalement à ce genre d'insinuations perverses ; une fois que le malentendu est passé, il y a une vraie possibilité d'amour et une foi dans cette relation dénuée de précédents glauques. Pour les scènes d'hésitation devant les chambres, j'ai pris ça très littéralement comme l'incapacité pathologique du personnage à se souvenir. La soeur pourrait certes mentir, mais le personnage de Chastaing ne s'est jamais plié devant les négations de l'inceste qu'elle a subi ; or là, quand sa sœur lui dit qu'il est impossible chronologiquement que Saul l'ait violée, elle n'insiste pas du tout. Je pense que le personnage, troublé par le trauma de l'inceste, est en convalescence mémorielle, le souvenir clair de l'inceste contaminant tous les autres, et par ce quiproquo elle s'en rend compte.

D'ailleurs, j'avais un peu peur de la direction que risquait de prendre le film avec ce personnage présenté comme confus. Mais au final je ne le trouve pas problématique. L'inceste n'est pas démenti, le personnage odieux est clairement la mère, la soeur a fini par avouer ce qu'elle avait à avouer, et le seul malentendu (Saul confondu avec un autre violeur) est dissipé et permet de faire éclore une relation amoureuse.

Mais je connais la réputation de Franco comme misanthrope patenté, peut-être que j'aurais analysé le film différemment si j'avais vu le reste de ses films. Mais là je ne le pense pas traversé par ce genre de perversités.

[Mr-Orange]

7. Memory — Michel Franco

C'est la première fois que tu vois un film de Franco ? (je n'en ai jamais vu, en fait).

Oui. J'avais vu le début de Despues de Lucia - à la réputation bien désagréable - il y a quelques années, mais j'avais vite arrêté car je n'étais pas dans l'état d'esprit. Je vais essayer de le revoir vite et d'en voir d'autres prochainement, car Franco attise un peu ma curiosité.

[Kahled]

Bégaudeau est un grand fan en tout cas !

Mais c’est vrai que les commentaires qu’il reçoit (et notamment ceux que je lis de la part de @yhi) ne sont pas très engageants…

[yhi]

je n'ai pas du tout vu ça comme ça.

D'accord. Peut être qu'il s'est juste assagi du coup. Bien que ça paraisse "trop beau pour un Franco".
Subndown était déjà plus light, il est peut être vraiment entré dans une phase rédemptrice, mais c'est difficile de ne pas être soupçonneux et de ne pas voir une perversité au détour de chaque plan.

[sokol]

Perso, j’ai vu exactement le même film que toi.

Cela dit, je parie cher que Bégaudeau (salut @Kahled ) va évoquer exactement ce que @yhi évoque mais en défendant le film dans le sens : misanthrope ne veut rien dire (il a dit ça, mot à mot, dans un de ses podcasts mais ça c’est une très grande spécialité de Bégaudeau : les mots n’ont pas toujours le même sens quand ça l’arrange). Donc, pour nous dire que ‘c’est un film bien plus riche et bien plus complexe qu’il apparaît’ (or j’ai vu un téléfilm de bon qualité), il défendra la misanthropie (supposée, selon Bégaudeau) du cinéaste.
Sinon, je ne vois pas comment il peut justifier les éloges à propos de ce (tele)film

[sokol]

je les reverrais bien un jour :

1. Le mal n’existe pas (Ryūsuke Hamaguchi, Japon) 10.0 (vu déjà 2 fois)
2. Los delincuentes (Rodrigo Moreno, Argentine) 10.0
3. Walk Up (Hong Sang-Soo, Corée du Sud) 10.0 (vu déjà 2 fois)


Une fois ça suffit :

4. May December (Todd Haynes, USA) 9.0
5. Riddle of Fire (Weston Razooli, USA) 9.0
6. The Sweet East (Sean Price Williams, USA) 8.0
7. Jeunesse - le printemps - (Wang Bing, Chine) 7.0
8. Eureka (Lisandro Alonso, Argentine/USA) 7.0
9. Une famille (Christine Anglot, France) 7.0
10. Borgo (Stéphane Demoustier, France) 7.0
11. Enys men (Mark Jenkin, Royaume Uni) 7.0
12. Le Tableau volé (Pascal Bonitzer, France) 7.0
13. Priscilla (Sofia Coppola, USA) 6.0
14. Le Deuxième acte (Quentin Dupieux, France) 6.0
15. Nome (Sana Na N'Hada, Guinée-Bissau) 6.0
16. Chroniques de Téhéran (Ali Asgari et Alireza Khatami, Iran) 6.0
17. Memory (Michel Franco, USA) 6.0 - R.A.S
18. Sidonie au Japon (Élise Girard, France) 5.0

Je n’aurais pas dû aller les voir :

19. La bête (Bertrand Bonello, France) 4.9
20. L'empire (Bruno Dumont, France) 4.0
21. Civil War (Alex Garland, USA) 3.5
22. Pauvres créatures (Yorgos Lanthimos, Grande-Bretagne) 3.0
23. La zone d’intérêt (Jonathan Glazer, Angleterre) 2.0
24. La Fleur de Buriti (João Salaviza, Renée Nader Messora, Brésil) 0.0

[teklow13]

1. Le mal n'existe pas – Aku wa sonzai shinai – Ryusuke Hamaguchi

2. Eureka – Lisandro Alonso
3. Septembre sans attendre – Volveréis – Jonás Trueba
4. La Bête – Bertrand Bonello
5. Les Linceuls – The Shrouds – David Cronenberg
6. Los Delincuentes – Rodrigo Moreno
7. All We Imagine As Light – Payal Kapadia
8. The Substance – Coralie Fargeat
9. Furiosa - Une saga Mad Max – Furiosa : A Mad Max Saga – George Miller
10. Priscilla – Sofia Coppola
11. Civil War – Alex Garland
12. Le Roman de Jim – Arnaud et Jean-Marie Larrieu
13. Ferrari – Michael Mann
14. Jeunesse – Qīngchūn – Wang Bing
15. La Fleur de Buriti – Crowrã – João Salaviza et Renée Nader Messora
16. Man in Black – Wang Bing

17. La Zone d’interêt – The Zone of Interest – Jonathan Glazer
18. Megalopolis – Francis Ford Coppola
19. Emilia Perez – Jacques Audiard
20. Le Deuxième Acte – Quentin Dupieux
21. Pauvres Créatures – Poor Things – Yórgos Lánthimos
22. May December – Todd Haynes
23. Dune - Deuxième partie – Dune: Part Two – Denis Villeneuve
24. Iron Claw – The Iron Claw – Sean Durkin
25. Daaaaaali ! – Quentin Dupieux
26. La Plus Précieuse des marchandises – Michel Hazanavicius
27. C'est pas moi – Leos Carax

28. Conte de feu – Riddle of fire – Weston Razooli
29. The Sweet East – Sean Price Williams
30. Borgo – Stéphane Demoustier
31. My Sunshine – Boku no Ohisama – Hiroshi Okuyama
32. Le Cercle des neiges – La sociedad de la nieve – J. A. Bayona
33. The Fall Guy – David Leitch
34. Le Fil – Daniel Auteuil
35. La Planète des singes - Le Nouveau Royaume – Kingdom of the Planet of the Apes – Wes Ball
36. Vivre, mourir, renaître – Gaël Morel
37. Black Flies – Jean-Stephane Sauvaire
38. Making of – Cédric Kahn

39. La Prisonnière de Bordeaux – Patricia Mazuy
40. Rosalie – Stéphanie Di Giusto
41. Maria – Jessica Palud
42. Le Jeu de la reine – Firebrand – Karim Aïnouz
43. En fanfare – Emmanuel Courcol
44. Sleep – Jam – Jason Yu

45. L'Amour ouf – Gilles Lellouche
46. Marcello Mio – Christophe Honoré
47. Jusqu’au bout du monde – The Dead Don’t Hurt – Viggo Mortensen
48. Project Silence – Talchul: Project Silence – Kim Tae-Gon
49. Drive-Away Dolls – Ethan Coen
50. Angelo dans la forêt mystérieuse – Vincent Paronnaud et Alexis Ducord
51. Salem – Jean-Bernard Marlin

A venir :
1. Grand Tour – Miguel Gomes
2. Anora – Sean Baker
3. Les Graines du figuier sauvage – The Seed of the Sacred Fig – Mohammad Rasoulof
4. Ce n'est qu'un au revoir – Guillaume Brac
5. Miséricorde – Alain Guiraudie
6. Les Damnés – The Damned – Roberto Minervini
7. Bird – Andrea Arnold
8. Good One – India Donaldson
9. Caught by the Tides – Fēngliú yīdài – Jia Zhang-Ke
10. Trois kilomètres jusqu’à la fin du monde – Trei kilometri până la capătul lumii – Emanuel Parvu
11. The Apprentice – Ali Abbasi
12. Rumeurs – Rumors – Evan Johnson, Galen A. Johnson et Guy Maddin
13. Apprendre – Claire Simon
14. Limonov, la ballade – Limonov: The Ballad – Kirill Serebrennikov
15. Spectateurs ! – Arnaud Desplechin
16. Oh, Canada – Paul Schrader
17. Blue Sun Palace – Constance Tsang
18. Parthenope – Paolo Sorrentino
19. Armand – Halfdan Ullmann Tøndel
20. Everybody Loves Touda – Nabil Ayouch
21. Motel Destino – Karim Aïnouz
22. Vétéran 2 – Beterang 2 – Ryoo Seung-Wan
23. Baby – Marcelo Caetano
24. Lula – Oliver Stone
25. Les Femmes au balcon – Noémie Merlant

[Tamponn Destartinn]

1. May December - Todd Haynes
2. Le mal n'existe pas - Ryūsuke Hamaguchi
3. Furiosa - George Miller

4. All We Imagine as Light - Payal Kapadia
5. La Bête - Bertrand Bonello
6. Eureka - Lisandro Alonso
7. Bird - Andrea Arnold
8. Grand Tour - Miguel Gomes
9. Borgo - Stéphane Demoustier

10. Civil War - Alex Garland
11. Le cercle des neiges - Juan Antonio Bayona
12. Pauvres Créatures - Yórgos Lánthimos
13. Bis Repetita - Emilie Noblet
14. Vampire humaniste cherche suicidaire consentant - Ariane Louis-Seize
15. L'Esprit Coubertin - Jérémie Sein
16. Priscilla - Sofia Coppola

17. La Zone d'Intérêt - Jonathan Glazer
18. Making Of - Cédric Kahn
19. Dune : Deuxième Partie - Denis Villeneuve
20. Nous, les Leroy - Florent Bernard
21. Marcello mio - Christophe Honoré

22. L'Empire - Bruno Dumont

[Whiskiss]

1. Le mal n'existe pas – Aku wa sonzai shinai – Ryusuke Hamaguchi

2. Eureka – Lisandro Alonso
3. Septembre sans attendre – Volveréis – Jonás Trueba
4. La Bête – Bertrand Bonello
5. Les Linceuls – The Shrouds – David Cronenberg
6. Los Delincuentes – Rodrigo Moreno
7. All We Imagine As Light – Payal Kapadia
8. The Substance – Coralie Fargeat
9. Furiosa - Une saga Mad Max – Furiosa : A Mad Max Saga – George Miller
10. Priscilla – Sofia Coppola
11. Civil War – Alex Garland
12. Le Roman de Jim – Arnaud et Jean-Marie Larrieu
13. Ferrari – Michael Mann
14. Jeunesse – Qīngchūn – Wang Bing
15. La Fleur de Buriti – Crowrã – João Salaviza et Renée Nader Messora
16. Man in Black – Wang Bing

17. La Zone d’interêt – The Zone of Interest – Jonathan Glazer
18. Megalopolis – Francis Ford Coppola
19. Emilia Perez – Jacques Audiard
20. Le Deuxième Acte – Quentin Dupieux
21. Pauvres Créatures – Poor Things – Yórgos Lánthimos
22. May December – Todd Haynes
23. Dune - Deuxième partie – Dune: Part Two – Denis Villeneuve
24. Iron Claw – The Iron Claw – Sean Durkin
25. Daaaaaali ! – Quentin Dupieux
26. La Plus Précieuse des marchandises – Michel Hazanavicius
27. C'est pas moi – Leos Carax

28. Conte de feu – Riddle of fire – Weston Razooli
29. The Sweet East – Sean Price Williams
30. Borgo – Stéphane Demoustier
31. My Sunshine – Boku no Ohisama – Hiroshi Okuyama
32. Le Cercle des neiges – La sociedad de la nieve – J. A. Bayona
33. The Fall Guy – David Leitch
34. Le Fil – Daniel Auteuil
35. La Planète des singes - Le Nouveau Royaume – Kingdom of the Planet of the Apes – Wes Ball
36. Vivre, mourir, renaître – Gaël Morel
37. Black Flies – Jean-Stephane Sauvaire
38. Making of – Cédric Kahn

39. La Prisonnière de Bordeaux – Patricia Mazuy
40. Rosalie – Stéphanie Di Giusto
41. Maria – Jessica Palud
42. Le Jeu de la reine – Firebrand – Karim Aïnouz
43. En fanfare – Emmanuel Courcol
44. Sleep – Jam – Jason Yu

45. L'Amour ouf – Gilles Lellouche
46. Marcello Mio – Christophe Honoré
47. Jusqu’au bout du monde – The Dead Don’t Hurt – Viggo Mortensen
48. Project Silence – Talchul: Project Silence – Kim Tae-Gon
49. Drive-Away Dolls – Ethan Coen
50. Angelo dans la forêt mystérieuse – Vincent Paronnaud et Alexis Ducord
51. Salem – Jean-Bernard Marlin

A venir :
1. Grand Tour – Miguel Gomes
2. Anora – Sean Baker
3. Les Graines du figuier sauvage – The Seed of the Sacred Fig – Mohammad Rasoulof
4. Ce n'est qu'un au revoir – Guillaume Brac
5. Miséricorde – Alain Guiraudie
6. Les Damnés – The Damned – Roberto Minervini
7. Bird – Andrea Arnold
8. Good One – India Donaldson
9. Caught by the Tides – Fēngliú yīdài – Jia Zhang-Ke
10. Trois kilomètres jusqu’à la fin du monde – Trei kilometri până la capătul lumii – Emanuel Parvu
11. The Apprentice – Ali Abbasi
12. Rumeurs – Rumors – Evan Johnson, Galen A. Johnson et Guy Maddin
13. Apprendre – Claire Simon
14. Limonov, la ballade – Limonov: The Ballad – Kirill Serebrennikov
15. Spectateurs ! – Arnaud Desplechin
16. Oh, Canada – Paul Schrader
17. Blue Sun Palace – Constance Tsang
18. Parthenope – Paolo Sorrentino
19. Armand – Halfdan Ullmann Tøndel
20. Everybody Loves Touda – Nabil Ayouch
21. Motel Destino – Karim Aïnouz
22. Vétéran 2 – Beterang 2 – Ryoo Seung-Wan
23. Baby – Marcelo Caetano
24. Lula – Oliver Stone
25. Les Femmes au balcon – Noémie Merlant

Tu as écrit quelque part à propos des films de la sélection cannoise ?

[Whiskiss]

1. Les Chambres rouges – Pascal Plante
2. Ferrari – Michael Mann
3. When Evil Lurks – Cuando acecha la maldad – Demián Rugna
4. Le Cercle des neiges – La sociedad de la nieve – J. A. Bayona

Le premier loin devant !

[Tamponn Destartinn]

Ah oui, au fait
j'avais oublié, mais :

1. May December - Todd Haynes
2. Le mal n'existe pas - Ryūsuke Hamaguchi
3. Furiosa - George Miller

4. All We Imagine as Light - Payal Kapadia
5. La Bête - Bertrand Bonello
6. Eureka - Lisandro Alonso
7. Bird - Andrea Arnold
8. Grand Tour - Miguel Gomes
9. Borgo - Stéphane Demoustier

10. Civil War - Alex Garland
11. Le cercle des neiges - Juan Antonio Bayona
12. Pauvres Créatures - Yórgos Lánthimos
13. Bis Repetita - Emilie Noblet
14. Vampire humaniste cherche suicidaire consentant - Ariane Louis-Seize
15. L'Esprit Coubertin - Jérémie Sein
16. Priscilla - Sofia Coppola

17. La Zone d'Intérêt - Jonathan Glazer
18. Making Of - Cédric Kahn
19. Dune : Deuxième Partie - Denis Villeneuve
20. Nous, les Leroy - Florent Bernard
21. Marcello mio - Christophe Honoré

22. L'Empire - Bruno Dumont
23. Spectateurs ! - Arnaud Desplechin

[B-Lyndon]

1. La Zone d’intérêt – Jonathan Glazer
2. Le Mal n’existe pas – Ryusuke Hamaguchi
3. Une famille – Christine Angot
4. Jeunesse (Le Printemps) – Wang Bing
5. Memory – Michel Franco
6. Los Delicuentes – Rodrigo Moreno
7. Daaaaaali ! – Quentin Dupieux
8. Ici Brazza – Antoine Boutet


Bah moi j'ai trouvé ça très beau.

[sokol]

Bah moi j'ai trouvé ça très beau.

ben oui, on dirait, par exemple, du Pialat, n'est ce pas ? (ce n'est surtout pas péjoratif !!!).

[sokol]

Par contre, ce que je ne comprends pas c'est pourquoi la critique (j'ai écouté Bégaudeau aussi hier : il pense la même chose), pour défendre un film, pense que la mission d'un cinéaste est celui d'un toubib !

"Memory... Il permet de comprendre définitivement le cinéaste non plus comme un misanthrope, mais selon une double optique : soit comme un médecin qui ausculte la noirceur du monde avec fatalité, soit comme un chirurgien capable de guérir ses personnages pour qu'ils puissent aimer à nouveau".

https://www.rayonvertcinema.org/memory- ... RuONjYHuT8

[B-Lyndon]

Bah moi j'ai trouvé ça très beau.

ben oui, on dirait, par exemple, du Pialat, n'est ce pas ? (ce n'est surtout pas péjoratif !!!).

Ne serait-ce que par la brièveté des scènes, et la précision du scénario, Franco n'est absolument pas pialatien non.
Personnellement j'ai surtout pensé à Bresson.

Mais du coup c'était mon premier, je m'attendais à un truc de gros malin, j'ai été surpris par la bonté et la dignité du film (même si c'est d'une grande sécheresse et parfois, à bon escient, assez cruel).
Je vais écouter Bégaudeau.

[B-Lyndon]

Par contre, ce que je ne comprends pas c'est pourquoi la critique (j'ai écouté Bégaudeau aussi hier : il pense la même chose), pour défendre un film, pense que la mission d'un cinéaste est celui d'un toubib !

"Memory... Il permet de comprendre définitivement le cinéaste non plus comme un misanthrope, mais selon une double optique : soit comme un médecin qui ausculte la noirceur du monde avec fatalité, soit comme un chirurgien capable de guérir ses personnages pour qu'ils puissent aimer à nouveau".

https://www.rayonvertcinema.org/memory- ... RuONjYHuT8

Ouais c'est l'enfer cette façon de regarder les films.
Justement je trouve que le film se dérobe à ça en permanence, c'est la plus grande de ses beautés. De ménager toujours un espace de mystère pour ses personnages, tout en les saisissant dans une toile formelle très précise. Franco ne cherche pas à comprendre les gens, mais à dessiner des liens entre eux pour que quelque chose frotte un peu.

[sokol]

Ne serait-ce que par la brièveté des scènes, et la précision du scénario, Franco n'est absolument pas pialatien non.

Oui, tu as raison car les scènes sont très très courtes mais j'avais surtout en tête le jeu des acteurs. Et même le tournage : quelque chose me dit qu'ils y énormément de prise chez lui, comme chez Pialat. Il faut qu'il soit parfait, au millimètre.

Personnellement j'ai surtout pensé à Bresson.

Justement, c'est ça le problème. Pour moi, avant tout, chez Bresson c'est le jeu des acteurs qui ne sont pas des acteurs d'ailleurs mais des modèles, disait-il, qui est primordial. Or, dans le film de Franco c'est pas ça du tout.

Je vais écouter Bégaudeau.

Je le trouve décevant son podcast car il commente le scénario, du début à la fin de l'émission. Donc, quand ça l'arrange, Bégaudeau descend (très justement) le scénario en tant qu'objectif central d'un film; mais là, non, ça ne l’arrange pas donc il en parle tout le temps, sans prononcer, bien sur, le mot scénario

[B-Lyndon]

Justement, c'est ça le problème. Pour moi, avant tout, chez Bresson c'est le jeu des acteurs qui ne sont pas des acteurs d'ailleurs mais des modèles, disait-il, qui est primordial. Or, dans le film de Franco c'est pas ça du tout.

Je vais écouter Bégaudeau.

Je le trouve décevant son podcast car il commente le scénario, du début à la fin de l'émission. Donc, quand ça l'arrange, Bégaudeau descend (très justement) le scénario en tant qu'objectif central d'un film; mais là, non, ça ne l’arrange pas donc il en parle tout le temps, sans prononcer, bien sur, le mot scénario

Je le trouve au contraire très cohérent : Bégaudeau, en bon écrivain de romans, adore l'art du scénario. Ce qu'il conteste, à raison, c'est ce qu'il appelle "l'ordre narratif" (le fait qu'un scénario doit obéir à des codes très précis). Parfois il se paluche sur des films platement mis en scène au seul motif que leur scénario est surprenant. C'est un peu la limite de son approche très "collée" aux films : tout est forme, même le scénario, et tant pis si la mise en scène ne suit pas. Et toi comme moi croyons d'abord que la forme d'un film, c'est sa mise en images en sons. Approche qui nous fait souvent décoller un peu de l'os des films, il faut le reconnaître. Sa position est rafraichissante car rigoureuse et précise, beaucoup plus que la mienne en tout cas.

Je suis tout à fait d'accord pour dire que Michel Franco est un super scénariste, fin et subtil. C'est peut-être justement la limite du film, pour moi : ces scènes sont si minuscules, si ramassées, que le film n'échappe jamais tout à fait à son scénario. En même temps, je salue la puissance d'incarnation des acteurs, la beauté des plans (franchement la scène de filature dans le métro et la scène d'amour sont de très grands moments de cinéma - et comme par hasard, ce sont les moments où ça s'installe un peu plus). Tout d'un coup je pense à Akerman et aux Rendez-vous d'Anna, plus qu'à Bresson, en fait. Mais chez Akerman, les scènes durent un peu plus qu'elles devraient dans un cadre naturaliste, et le réel est transcendé. Memory reste encore un peu trop à l'étage du dessous.

Tu es un peu de mauvaise foi quand tu dis qu'il ne parle pas de mise en scène dans son podcast, ce qu'il dit notamment sur les plans larges et l'inconfort des comédiens me paraît brillant et très juste. Après, il est transparent dans sa défense d'un certain cinéma de scénario. C'est ce qui fait que ses admirations divergent pas mal des miennes alors qu'il me passionne. Memory n'est pour moi pas un grand film, mais c'est un très beau film, un peu limité, un peu trop timide à l'endroit de la durée des scènes. Ce qui fait que cette histoire surprenante, ambivalente, pleine de surprises qui échappent aux attendus, me met un peu trop dans le rôle d'un détective. Mais quand je suis un spectateur-détective, il y a une zone de la pensée qui ne m'est pas tout à fait accessible, car je suis occupé à reconstituer les pièces d'un puzzle. Devant un Bresson, je ne suis jamais assigné à cette place là, je ne suis pas devant un puzzle : la réalité est éclatée, fragmentaire, et je ne suis pas invité à la reconstituer - je regarde, j'observe, je suis ému, sidéré, élevé, transcendé. Memory n'y arrive jamais vraiment, il y a quelque chose de trop "collé"., de trop joueur, de trop malin dans le rapport qu'il me fait entretenir avec son récit.

Mais quand même, c'est quelque chose, on peut s'accorder là-dessus. Le film me reste en tête et j'y repense souvent dans les choses de la vie quotidienne (quand je ferme une porte, quand je fais ma vaisselle). Le côté très matériel du film et en même temps l'opacité des personnages fait des étincelles dans ma mémoire, le film me reste comme un bloc de mystères qui m'émeut beaucoup quand j'y repense.

[sokol]

Justement je trouve que le film se dérobe à ça en permanence, c'est la plus grande de ses beautés. De ménager toujours un espace de mystère pour ses personnages, tout en les saisissant dans une toile formelle très précise. Franco ne cherche pas à comprendre les gens, mais à dessiner des liens entre eux pour que quelque chose frotte un peu.

Je ne sais pas, je suis très attaché à la forme (la forme étant "ce qui reste du film" - Godard), tout en étant un ennemi du formalisme. Or là, "ce qui me reste" est un... (bon)téléfilm

[B-Lyndon]

Justement je trouve que le film se dérobe à ça en permanence, c'est la plus grande de ses beautés. De ménager toujours un espace de mystère pour ses personnages, tout en les saisissant dans une toile formelle très précise. Franco ne cherche pas à comprendre les gens, mais à dessiner des liens entre eux pour que quelque chose frotte un peu.

Je ne sais pas, je suis très attaché à la forme (la forme étant "ce qui reste du film" - Godard), tout en étant un ennemi du formalisme. Or là, "ce qui me reste" est un... (bon)téléfilm

Il faudrait être précis et mettre en parallèle un téléfilm à côté de ce film-là. On verrait que ça n'a absolument rien à voir.
Tant formellement (un téléfilm n'aurait jamais cette précision de mise en scène et cette tenue des cadres), tant narrativement (le récit étant bien trop surprenant et les personnages bien étrangement caractérisés).

[sokol]

Il faudrait être précis et mettre en parallèle un téléfilm à côté de ce film-là. On verrait que ça n'a absolument rien à voir.
Tant formellement (un téléfilm n'aurait jamais cette précision de mise en scène et cette tenue des cadres), tant narrativement (le récit étant bien trop surprenant et les personnages bien étrangement caractérisés).

C'est dans les téléfilms que les scène sont très très courte, non ? Ou alors, chez Malick ou Godard (mais leurs montages est une tuerie !). Franco serait-il une troisième voix ? Sérieux

[B-Lyndon]

Il faudrait être précis et mettre en parallèle un téléfilm à côté de ce film-là. On verrait que ça n'a absolument rien à voir.
Tant formellement (un téléfilm n'aurait jamais cette précision de mise en scène et cette tenue des cadres), tant narrativement (le récit étant bien trop surprenant et les personnages bien étrangement caractérisés).

C'est dans les téléfilms que les scène sont très très courte, non ? Ou alors, chez Malick ou Godard (mais leurs montages est une tuerie !). Franco serait-il une troisième voix ? Sérieux

Chez Bresson aussi, c'est la fameuse troisième voie. Mais comme tu le dis, Bresson avec ses modèles c'est autre chose. Je crois que c'est ce qu'essaie de faire Franco, avec moins de radicalité on est d'accord.

[sokol]

Chez Bresson aussi, c'est la fameuse troisième voie. Mais comme tu le dis, Bresson avec ses modèles c'est autre chose. Je crois que c'est ce qu'essaie de faire Franco, avec moins de radicalité on est d'accord.

C’est ce que j’ai voulu dire dès le début.

ps: c’est marrant car, en paralel, j’ai eu le même débat avec Bégaudeau. Qui m’a répondu :

« Il faut vraiment ne jamais voir de téléfilm pour comparer la forme Franco à un téléfilm. Méfie toi un peu des automatismes critiques ("c'est du téléfilm!" "c'est du théatre filmé"). Mets toi devant TF1 ce soir à 21h. Tu verras comment sont filmés les téléfilms - d'une certaine manière ça ressemble beaucoup plus à du Miller qu'à du Franco »

Du coup, je lui ai posé la même question qu’ici, à savoir :
“Pourtant, c'est dans les téléfilms que les scènes sont très très courtes, n’est ce pas ? Ou alors chez Malick ou Godard (mais leurs montages est une tuerie !).
Franco serait-il une troisième voix ?”

J’attend toujours sa réponse

ps: à propos de ce qu’il m’a répondu : j’ai vu des films de Miller et certains m’ont bien plus marqué que celui de Franco, je ne peux mentir

[yhi]

J'ai lu rapidement son interview (assez longue) dans Positif, c'est plutôt éclairant et ça redonnerait presque espoir dans le bonhomme.

Par contre il dit quasi mot pour mot (je pourrais retrouver la citation) qu'il ne veut pas que le spectateur se sente comme en train de résoudre un puzzle

[yhi]

Ce débat de téléfilm est tellement flou que je n'arrive même pas a savoir si on parle de George Miller (dans l'actualité, mais je vois pas le rapport) ou de Claude Miller (dont je ne connais pas le cinéma)

[sokol]

Claude